Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: keitaro

Beta-reader(s): Lifetree

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 5 capitoli

Pubblicato: 10-05-04

Ultimo aggiornamento: 03-06-04

 

Commenti: 27 reviews

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General

 

Riassunto: Une rumeur est parvenue aux Yakusas.Que vas t-il ce passer? Que vont-ils faire?

 

Disclaimer: Les personnages de "L'arme étoilè, larme de vie" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the boundaries. So if you read something that doesn't seem correctly rated, please contact me.

 

 

   Fanfiction :: L'arme étoilè, larme de vie

 

Capitolo 3 :: chapitre 3

Pubblicato: 16-05-04 - Ultimo aggiornamento: 16-05-04

Commenti: Grand merci a ma Beta Lifetree pour ses encouragements et son travail puis je tenais a m'excuser pour les fautes que j'ai oublier de corriger aux chapitres 2.Je remercie SEk, Indya, Kaori, Sophie, Kelly, Hatori et Miyukichan pour leurs reviews qui me vas droit au coeur et pourleurs encouragements.Pour les chapitres suvantes je vous demande de patientez qar je n'ai pas encore fait le quatrième chapitre .Mais j'espère que ce troisième chapitre vous plaira et plaire a d'autres.Encore merci

 


Capitolo: 1 2 3 4 5


 

Chapitre 3  

 

 

Au même moment que l’attentat de Shinjuku Gyo  

 

Dans un vieil immeuble en recul de la ville, triste et lugubre, quelqu’un était prostré à côté d’un lit.  

 

Elle n’avait plus goût à rien, ni boire, ni manger, et encore moins envie de sortir. Le ménage n’en parlons pas, tout était dessus dessous comme si une guerre avait eu lieu. Sur la table de la cuisine un repas attendait les convives pour être mangé. Dans la pièce d’à côté la télévision était en mille morceaux, éventrée par on ne sait quel objet. Dans la bibliothèque les armoires étaient en piteux états, l’une d’elle avait encore une massue plantée dans son flanc. Un peu partout les toiles d’araignée commençaient à apparaître.  

 

Dans la salle de bain, la baignoire était remplie d’eau datant de plusieurs jours et des médicaments étaient étalés partout sur le sol. L’armurerie au sous-sol était un carnage total. Des balles avaient été tirées dans tous les sens et toutes les armes étaient mises en vrac dans un coin. Toutes sauf une. Un python 357 magnum, astiqué et prêt à l’usage. La personne l’entretenait en espérant qu’un jour prochain l’heureux possesseur de cette arme reviendrait un beau matin. Les chambres du premier étage étaient dans le même état de délabrement, sauf une, la chambre où justement la personne se trouvait en ce moment.  

 

Ici il y avait un grand miroir couvert de photos ainsi que plusieurs bouteilles de différents parfums posés sur la table spécialement conçue à cet effet. Le lit était double, en forme de cœur, et au-dessus de celui-ci il y avait un tableau représentant trois silhouettes, volant dans la clarté de la lune, ce qui ne laissait qu’entrevoir leurs formes onduleuses. Juste à côté du lit se trouvaient diverses armoires pour le linge, trois pour elle et deux pour lui. Les rideaux bleu émeraude, couvert de cerisiers en fleur, laissaient passer le soleil qui éclairait toute la pièce. Cette chambre aurait dû respirer la joie et bonheur, mais à présent elle ne dégageait qu’une profonde tristesse.  

 

Une personne était assise à côté du lit. Depuis la nouvelle de la mort de Ryo Saeba, elle était restée là, pleurant toutes les larmes de son corps !  

 

Elle était méconnaissable. Depuis plusieurs jours elle ne se nourrissait plus. Ses joues se creusaient et son visage avait pris une pâleur inquiétante. Elle n’était pas lavée, ni maquillée, et la fatigue se lisait dans ses yeux. Elle refusait de voir qui que se soit et ne sortait plus de chez elle. Elle restait là, en pyjama, à attendre la mort. La mort qui l’emporterait pour rejoindre l’amour de sa vie.  

 

C’était Kaori.  

 

Elle qui était normalement si robuste, si forte, que tout le monde la craignait. Même lui. Elle qui souriait toujours à la vie et qui, il y a encore une semaine, était la plus heureuse de toutes.  

 

Mais plus maintenant.  

 

Maintenant il n’y avait plus d’étincelles de vie dans ses yeux. Il n’y avait plus rien dans ses yeux. Seule une profonde tristesse y était présente, un chagrin impossible à guérir.  

Il était mort.  

 

Elle ne pouvait y croire. Elle avait d’abord penser à une blague. Pendant toute cette journée fatidique elle l’avait attendu derrière la porte, avec une massue, pour lui faire payer la peur qu’il lui avait faite. Même si ce n’était qu’une massue de deux tonnes, elle le lui ferait payer. Mais après deux longues journées, elle ne pouvait plus nier l’évidence. Il l’avait quitté à jamais.  

 

Depuis plus rien et plus personne ne comptait à ses yeux. Elle voulait seulement retrouver son amour, son bien aimé, sa vie. Elle voulait le rejoindre au plus vite, là où il se trouvait  

 

Après plus d’une semaine sans manger, boire ou dormir, ainsi que toutes les larmes qu’elle avait pleurées, elle succomba au sommeil. Pendant qu’elle rêvait, un sourire se dessina lentement sur son visage.  

 

- Je te présente Ryo Saeba, un ami de longue date  

 

La jeune femme était réservée et son expression devint vite très inquiet. Elle était habillée d’un pantalon et portait une chemise cachée par un blouson de cuir. Son visage était caché par une grande casquette et des lunettes noires.  

 

- Bonjour, je m’appelle Kaori Makimura, dit-elle timidement en regardant autour d’elle  

 

A part son frère personne ne se trouvait en face d’elle. La seule chose qu’elle remarqua s’était un homme en train de draguer sans vergogne les jeunes filles qui passaient à côté de lui. Il passait de droite à gauche, tantôt complimentant, tantôt soulevant les jupes de ces demoiselles. A peine s’était-il pris une baffe, qu’il en abordait une autre.  

 

S’est quoi ce fou ? pensa t-elle. Il faudrait appeler la police pour l’arrêter et l’enfermer à l’asile le plus proche. Jamais je ne sortirai avec un homme comme lui.  

 

Alors qu’elle était dans ses pensées elle le vit s’approcher d’eux.  

 

- RYO ! Enfin merde, tu pourrais te retenir au moins aujourd’hui.  

 

- Bah, c’est l’été. Il faut en profiter ! Il répondit tout en se retournant vers un autre groupe de jeune fille et en leurs lançant un clin d’œil. J’ai trop de charme, elles ne peuvent pas me résister, moi qu’on surnomme l’Etalon du Shinjuku.  

 

- C’est ça, tu as raison ! lâcha Hideyuki en se retournant. Viens que je te présente la personne à qui je tiens le plus.  

 

- Bonjour jeune homme dit-il à la personne devant lui. Que fais-tu là et où sont tes parents ? Tu sais que c’est dangereux de se promener tout seul de nos j….  

 

Avant qu’il ne puisse finir sa phrase une main lui arracha la mâchoire et il se retrouva les quatre fers en l’air.  

 

Un peu plus tard.  

 

- Que.. que m’est t-il arrivé ? demanda t-il en se frottant la joue toute enflée. Il regarda autour de lui est vit Hideyuki sermonner le jeune homme qui l’avait mis au tapis.  

 

- Tu es folle ? Tu aurais pu le tuer !  

 

- Ce vieux pervers, il m’a cherché et il m’a trouvé. En plus c’est un VIEUX dégoûtant et un VIEUX fou ! Il l’a bien mérité. Et puis où est celui qui doit m’apprendre à être détective privé, tu m’as certifié connaître le meilleur des meilleurs.  

 

- C’est lui !  

 

Elle se retourna mais ne vit que l’homme assit à terre en train de pleurer.  

 

- Je ne suis pas vieux et aucunement pervers. Je suis le plus beau de tout Shinjuku et mon mokkori est le plus recherché de toute la ville, disait-il tout en faisant des ronds sur le sable avec ses doigts, regardant devant lui les larmes aux yeux.  

 

- C’est… c’est pas possible ! Tu me fais une blague, grand frère ? Tu veux dire que ce VIEUX fou est ton ami !?! lui demande t-elle avant de partir d’un fou rire incontrôlable.  

 

Pendant ce temps là, notre infortuné héros s’approcha d’eux.  

 

- Donc tu veux devenir un détective privé ? demanda t-il tout en le regardant. Petit, tu n’as pas assez de muscles et tu n’es pas bien grand. En plus est-ce que tu sais tirer avec une arme et es-tu près à tuer quand cela sera nécessaire ?  

 

Kaori avait viré du blanc au rouge vif. Grâce à son frère qui la retenait, Ryo ne se prit pas le banc sur la figure.  

 

- Ryo ce n’est pas un garçon, mais ma sœur Kaori.  

 

A ces dires, Kaori retira d’un geste brusque ses lunettes et sa casquette.  

 

Ryo en resta bouche bée. Devant lui se tenait à présent une jeune fille avec de long et beau cheveux bruns et dont les yeux lançaient des flammes. Pas mal pensa t-il, alors que son regard fixait sa poitrine, dommage que ce soit une planche à pain.  

 

Cette dernière phrase était sortie toute seule et fort haut.  

 

- QUOI ?  

 

- Euh ! Planche à pain ! Tu sais faire le pain, car j’ai une planche pour cela chez moi ?  

 

Mais, son regard le trahissait, il s’était encore poser sur la poitrine de Kaori.  

 

- Crève ! Enfoiré de VIEUX !  

 

Une massue d’une taille immense, sortie dont ne sais où, atterrit sur le crane de notre héros national.  

 

C’est ainsi que commença leur cohabitation, difficile mais instructive pour l’un comme pour l’autre.  

 

Bien des années ont passé. Ryo, comme a son habitude, avait essayé de faire une visite nocturne dans la chambre de Kaori.  

 

- Ryo tu exagères, ça fait un million de fois que je te répète de ne rien tenter, et toi tu persistes.  

 

Ryo était assis en face d’elle. Elle était occupée de lui recoudre l’arcade sourcilière.  

 

-C’est pas ma faute si mon mokkori s’auto guide tout seul. Je ne peux que le suivre.  

 

-A d’autre, tu veux ? Tu n’as pas du tout changé. Et puis c’est toi, et rien que toi, qui le guide, lui répondit-elle tout en continuant la délicate opération  

 

-Bon aujourd’hui nous devons aller voir un client qui a besoin de nos services.  

 

-Un client ! Tu sais fort bien que je m’occupe que seulement des affaires de la gente féminine. Vas-y tout seul et fait moi un rapport.  

 

Kaori savait depuis longtemps que se mettre en colère ne servait plus à rien, et elle partit seule au rendez-vous. Mais, dans l’ombre, Ryo la surveillait pas à pas pour qu’il ne lui arrive rien.  

 

-Monsieur Kiyochi je présume ? Je suis mademoiselle Makimura, la personne que vous avez eue au téléphone concernant votre requête.  

 

-Oui ! oui ! C’est bien moi !  

 

A peine avait-il fini ces quelques mots, qu’il tira de sa poche une arme et qu’un coup de feu se fit entendre. Kaori était tétanisée de peur. L’homme était allongé a terre  

 

-Tu n’as rien ? Tu n’ais pas blessé au moins ?  

 

Ryo venait de faire son apparition, son arme fumante encore au poing.  

 

- Euh… non. Je… j’ai cru mon heure arrivée…  

 

Alors qu’elle prononçait ces paroles, un filet de sang apparut sur son bras et elle s’évanouit.  

 

Le lendemain, elle se réveilla dans son lit. Elle était nue et son bras était couvert d’un bandage. Juste à côté d’elle Ryo était endormit. Il avait veillé sur elle pendant toute la nuit.  

 

A partir de ce jour-là leur relation changea. Ils allèrent ensemble faire les repérages de clients, homme ou femme, et Ryo l’entraîna au maniement des armes. Puis, un jour de leur septième année de vie commune, Ryo appela Kaori. Il n’était pas habillé comme à son habitude de sa veste et de son tee-shirt. Un grand sourire se dessinait sur son visage.  

 

-Que me veux-tu Ryo !  

 

- C’est ton anniversaire ! J’ai réservé une table dans un bon restaurant. Habille-toi vite, on est à la bourre !  

 

Kaori, stupéfaite par la gentillesse de son partenaire, s’exécuta de suite. Une heure plus tard ils se retrouvaient en tête-à-tête dans le meilleur restaurant du Japon.  

 

- Kaori ?  

 

Ryo n’avait plus le même ton de voix. Voilà plusieurs minutes déjà qu’il était devenu maladroit.  

 

- Oui, Ryo ?  

 

- Est-ce que le repas t’a plus ?  

 

- Il était succulent. Merci. Mais pourquoi un tel festin ? Et pourquoi maintenant ?  

 

- C’est ton anniversaire, et je voulais te faire une surprise. C’est pour cela que tout doit être impeccable…  

 

Alors qu’il répondait, il sortit une boite de sa poche.  

 

-Kaori veux-tu m’ép…..  

 

- KAORI !  

 

Une voix la fit sortir de son sommeil. Elle était toute tremblante et couverte de sueur. Relevant difficilement la tête elle regarda les personnes qui l’entouraient.  

 

 

 

 

 

 

 


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