Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Sophie

Beta-reader(s): Ayumi, Ally Ashes

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 48 capitoli

Pubblicato: 15-09-04

Ultimo aggiornamento: 23-03-06

 

Commenti: 436 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: Attention ! Je préfère prévenir tout de suite, avant même que vous ne cliquiez (si vous en aviez envie)… il y a peu d’action dans le sens de "pas d'affaire"…mais ça ne veut pas dire qu'il ne se passe STRICTEMENT rien... Ma prochaine fic reviendra dans le normal… le chapitre 1 tente d’expliquer mieux…

 

Disclaimer: Les personnages de "Un Noël décisif" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un Noël décisif

 

Capitolo 45 :: Comment te toucher ?

Pubblicato: 16-02-06 - Ultimo aggiornamento: 17-02-06

Commenti: N'est ce pas là la question ? Chacun se demande comment toucher l'autre ? Merci infiniment pour vos reviews, elles m'ont apporté beaucoup de plaisir. Je ne sais pas si la suite vous plaira mais j'ai essayé de la faire au mieux. J'espère que vous verrez le changement..mais qu'il vous paraîtra naturel.... merci particulièrement aux reviews qui me font réfléchir sur ma fic (comment ça je devrais quelque fois arrêter de réfléchir???? O_o). Merci à tous ceux qui continuent la lecture de cette fic ! PS: les choses ne sont pas faciles entre Ryô et Kaori.... J'espère que vous serez là à la fin ! ^^ PS2: j'espère aussi que vous tenez le coup sur ces chapitres...

 


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.... Encore une mauvaise réponse.  

 

Kaori serra les mâchoires, retrouvant toute sa colère contre lui.  

« - Et merde, tu vas encore te défiler en gardant ce calme stoïque, en acceptant tout ce que je te dirai sans broncher… Aucune réaction. Je te fais rien, hein ? Ni dans un sens, ni dans l’autre. Toutes ses années, tu n’as fais que jouer… Me laisser croire pour que je ne souffre pas… Ça aurait beaucoup moins difficile si tu avais été clair dès le départ… »  

Il la regarda stupéfait. Mais qu’était-elle en train de lui dire ?  

« - Si c’était à cause de cette maudite promesse, tu n’aurais pas du la faire… J’aurais compris que tu puisses dire ça à Hideyuki alors qu’il mourrait… même si tu ne la tenais pas après… Ça aurait été plus honnête d’y renoncer … Tout le monde aurait compris. Après tout, je suis trop décalée dans ce monde, trop stupide pour y survivre sans ta présence pour me sauver de tous les mauvais pas…Alors quand tu te rendais compte que je m'attachais au delà du raisonnable, tu aurais du me le dire… Tu aurais du me dire d'arrêter!!!! C’était à toi de le faire… »  

Ryô ne comprenait pas  

« - Que fais-tu ? »  

« - Ça ne se voit pas ? Je dégouline de sang et j’essaye de t’expliquer que ton comportement odieux ne justifie pas que je pleure sur moi, sur toi, sur nous… Comme d’habitude, tu as pris la bonne décision : Au mieux, je suis un second choix… Au pire, un boulet… La différence est minime de toute façon, hein? Toi et moi, ça n’a jamais existé… J’y ai cru car j’avais besoin de croire en quelque chose… C’est tout… Mais tu m’as ouvert les yeux dans cette ruelle… Ça fait un mal de chien, tu sais… Mais,…tu n’as pas besoin d’être sauvé et tu te fous que j’ai besoin de toi…. »  

Sa main saignait toujours. Le devant de son pyjama commençait à être bien imprégné.  

Il fixa ce sang. Son sang à elle. Et il en était responsable…  

Elle avait pris sa décision…  

 

C’était la fin de City Hunter. Il s’était promis qu’il accepterait son choix… et il semblait qu’elle avait décidé. La fin de son espoir. Sa dernière étincelle de vie.  

« - Alors, tu as choisi… C’est fini… Bien. » Sa voix était étrangement tranchante, même à ses propres oreilles. Il ne devait absolument pas lui montrer combien cela lui faisait mal.  

« - Ah non !!!!! Trop facile !!!! Je n’ai rien choisi !!! »  

Elle ne se contrôlait plus. Il venait de passer une nouvelle limite. Combien donc y en aurait-il avant que ...? Qu'elle abandonne? Qu'elle renonce ? Que l'explosion soit sans retour possible ? Même lui se rendait compte que tant qu’ils parlaient, il restait un lien entre eux.  

« - Quoi ça serait ma faute ??? Qu’espérais-tu après ce que tu m’as dit tout à l’heure ??? Que j’accepterais l’humiliation ? Encore une fois ? Jusqu’à la prochaine ? Cette situation c’est toi qui l’as voulu, alors n’inverse pas les rôles…. c’est toi qui veux que je parte ! »  

Il décida de garder son calme olympien, s’énerver n’aurait fait qu’envenimer les choses entre eux.  

« - Je veux que tu vives… »  

« - Je veux que tu vives… » le singea-t-elle méchamment. « Arrêtes de te voiler la face Ryô, ce que tu veux, c’est pouvoir vivre comme tu le souhaites, simplement… sans aucune contrainte… Tu veux que personne ne s’attache à toi car ça remettrait en cause ton comportement, ton je m’en foutisme particulier, ton besoin de défier la mort. Tu ne veux t’attacher à personne car ta petite vie peinarde en serait toute chamboulée… »  

Au moment où ces mots s’échappèrent de sa bouche, elle s’en rendit compte combien elle était mauvaise. Elle se conduisait comme lui… Était-ce vraiment elle ? Comment pouvait-elle lui dire de telles horreurs… Comment pouvait –elle la taxer d’être un si grand égoïste ? S’il avait décidé de rompre leur partenariat, n’était-ce pas parce que c’était la meilleure des décisions ? Rester près de lui, c’était, tôt ou tard, rencontrer la mort. Et c’est parce qu’elle le savait qu’elle réagissait avec tellement de fougue?  

Malgré tout, elle ne voulait pas voir la douleur qui émanait de Ryô.  

« - Arrêtes ce petit jeu Kaori. Toi seule, sais ce que j’ai ressenti quand Hideyuki est mort, quand Kaibara est mort… »  

La réponse de Kaori se fit rauque.  

« - Je croyais le savoir… Je n’ai fait qu’essayer de te comprendre, t’offrir mes larmes, mais tu es resté muet… autant de peine et tu l’as gardée en toi… Est-ce que tu t’es senti mieux après ? »  

« - Non…. »  

« - Pourquoi ne veux-tu pas partager ? »  

« - Il y a des douleurs qui ne se partagent pas.... »  

« - Tu ne partages rien… avec personne… »  

Elle détourna la tête et retint ses larmes. Elle était entrée en colère et maintenant elle n’était qu’honteuse, honteuse d’avoir voulu lui faire autant de mal qu’il lui en avait fait, honteuse d’avoir perdu sa colère. Elle n’était maintenant que désespérée. Désespérée de devoir renoncer à lui, désespérée qu’il ne l’aime pas, désespérée qu’il la rejette.  

Pourquoi ne pas lui dire alors ? Peut-être une simple question de fierté…  

 

« - Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? » Une question de pure rhétorique. Elle s’interrogeait nerveusement elle-même. Pourquoi l’amour si fort qu’elle lui portait n’était-il pas arrivé à les garder liés ?  

Il approcha sa main de sa joue, mais elle eut un brusque recul. Il sourit tendrement.  

« - Parce que tu n’as rien à faire avec moi… »  

La lueur d’exaspération se raviva instantanément dans les yeux de Kaori. Elle s’obstinait à refuser toute compréhension, toute justification de sa part. Si la douleur physique n’arrivait pas à masquer la douleur de son cœur, la colère, elle, y arrivait. Elle voulait tellement le croire.  

« - Encore une phrase toute faite ! Mais qui donc es-tu pour décider de qui doit être ou pas à tes côtés ?… Je n’ai rien à faire avec toi ? Qu’en sais-tu ? … Et puis, après tout… c'est peut-être vrai ? » Elle le provoquait. Pourquoi le pousser ainsi ? Pourquoi lui donner des arguments ?  

« - Tu le reconnais enfin ? » mi-sarcastique, mi-sérieux.  

Sans réfléchir, la réplique fusa durement.  

« - Ça te ferait plaisir, hein ? Ça serait tellement plus simple pour toi ? »  

Elle lâcha sa main ensanglantée et approcha de sa paume de sa bouche, sans la toucher. Qu’avait-elle dit ? Certes, elle lui en voulait à mort. Il l’avait rejeté de la manière la plus méprisante possible et, pourtant, à demi mot, caché derrière des paroles blessantes, elle le suppliait de revenir sur sa décision. Sa rage se tourna contre elle-même ! N’avait-elle donc aucun amour propre ? Cet homme menait son cœur en bateau depuis le début. Et elle restait avec lui… Elle était pathétique de s’accrocher ainsi à lui….  

Pourtant, elle ne lâcherait pas l’affaire. La minuscule voix n’avait cessé de crier du fond de son cœur. Une voix qui affirmait, contre vent et marées, que les apparences étaient trompeuses, qu’abandonner Ryô n’était pas seulement une bêtise, mais un acte de désespoir, une condamnation pour les deux.  

 

Elle le connaissait trop. Peut-être pas son passé, mais elle comprenait les tourments de son âme. Pourquoi elle ? Pourquoi lui ? Elle ignorait. Et ne s’interrogeait pas souvent sur la possible raison. Elle avait été attirée par lui dès leur première rencontre. Une présence, une aura, une solitude qui résonnait en elle. Peu à peu, elle sentait qu’ils avaient créé quelque chose qu’aucun des deux n’attendait… A leurs corps défendants peut-être… mais trop réel pour être avoué… Et la vie avait continué, entre massues et sourires en coin, entre dangers et affections, entre crises de colère et élans de tendresse incontrôlables. Elle n’imaginait pas un avenir sans lui… tout ce qu’elle voyait alors, c’était un ciel gris, bas, un horizon morne et le goût amer du temps qui passe sans raison.  

Elle ne voulait pas seulement le soutenir, elle voulait aussi qu’il l’aide. Pourquoi n’avait-il jamais vu qu’elle avait autant besoin de lui qu’il avait besoin d’elle ? Que tout était réciproque..même la peur d’aimer, même la peur de souffrir, même la peur de se détruire.  

 

Elle le détestait pour ce qu’il lui avait dit, mais tout son être se révoltait à l’idée de l’abandonner. Face à lui, dans son cœur, la colère maintenant disputait la place à compassion et à la compréhension. Même elle n'aurait pu dire ce qu'elle ressentait vraiment pour lui en cet instant.  

 

Il la tira de ses pensées, en tentant de la raisonner.  

« - Tu mérites… »  

Elle ne le laissa pas terminer sa phrase compatissante.  

« - Je mérite quoi ? Vas-y dis le ! Je mérite que tu me proposes une partie de sexe avec toi dans une ruelle sordide en plein mois de décembre. C'est bien ça que je mérite d'après toi? »  

Il tiqua. En effet, c'était bien ce qu'il lui avait proposé. Maintenant il comprenait tout l'impact d'une telle proposition sur la jeune femme, elle qui ne savait que se donner entièrement, sans restriction aucune.  

« - Tu as bien su dire non. »  

Le regard qu’elle lui lança lui confirma, si besoin était, que cette remarque n’était pas appropriée.  

« - Tu as vraiment cru que je pouvais accepter ? Tu es tellement suffisant ? Sur des tes attraits ? Sur que je suis si peu ? Si… rien ? »  

Ce dernier mot avait été simplement soufflé comme une peur qu’on n’ose formuler de crainte de lui donner corps.  

« - Je n’attendais pas de réponse. » mi mensonge, mi vérité. Mais que lui dire d’autre ? C’était vrai que la question n’avait pas été faite pour recevoir une réponse, mais pour toucher Kaori, pour lui montrer jusqu’où il pouvait aller… qu’il était son pire ennemi… En même temps, la seconde maudite où il avait espéré qu’elle lui dise oui…. Comment l’oublier ?  

« - Evidemment ! »  

Il eut un éclair soudain de compréhension en entendant le ton tranché qu’elle utilisa.  

« - Tu as compris ! Tu le savais ! »  

La précipitation avait laquelle elle répondit « non » fut le signe le plus flagrant de son aveu.  

Si elle savait, tout devrait alors être plus simple. Si elle savait qu’il l’avait fait d’abord pour elle… alors pourquoi autant de hargne, voire de haine dans ses échanges avec lui ?  

" Parce que je suis allé trop loin… avec elle tout est disproportionné…"  

Elle le sortit de ces réflexions par un ton amer. Elle ne voulait surtout pas qu’il puisse si facilement s’excuser…  

« - Tu n’as besoin que de ça… une femme dans chaque port pour assouvir tes besoins…C’est facile d’être un salaud, non ? Ça excuse tout hein ? Pas de culpabilité… je suis un salaud.. Je fais du mal… mais c’est dans ma nature, je suis un salaud… les autres souffrent mais qui puis-je ? Je suis un salaud… Aucune remise en question…. »  

« - Tu es injuste…. »  

Elle le savait très bien. Ryô n’était pas un salaud…ou si, c’en était un… mais avec une conscience… et c’est grâce à cette dernière qu’elle pouvait l’atteindre, qu’elle pouvait espérer, sans y croire pourtant un seul instant, que le blesser apaiserait sa propre peine.  

« - Les femmes faciles, l’alcool pour oublier, l’arrogance envers les autres…. Le mépris envers ceux qui font preuve de sentiments envers toi… le dégoût pour ceux qui osent croire en la vie… la solitude et la mort. J’espère que c’est une vie qui en vaut le coup ! Qu’elle t’apporte cette paix à laquelle tu aspires tellement ! »  

 

Il resta silencieux, incapable de s’expliquer, incapable peut-être de répondre à des attaques qui avaient un mauvais goût de vérité.... Il décida alors de prendre le taureau par les cornes. La douleur qu’elle exprimait, cette volonté détournée de la faire porter à quelqu’un d’autre, il la connaissait bien.  

« - Je sais que tu as mal, Kaori..mais… »  

« - Qu’en sais-tu ? Vas-y, étonnes moi! Ouvre toi un peu! Que sais-tu de ma douleur ? La douleur d’être rejetée ? La douleur liée à l’incompréhension de ne pouvoir te toucher. L’idée de voir dériver le seul être que vous… »  

In extrémis, se rendant compte de ce qu’elle allait lui dire sous le coup de cette colère qu’elle ne voulait pas laisser partir, elle referma la bouche.  

Avisant autour d’elle, elle se détourna de lui et se dirigea vers son armoire. Elle l’ouvrit et attrapa un de ses tee-shirts propres. Elle l’enroula autour de sa main ensanglantée, plus comme protection que comme autre chose. Les jointures saignent beaucoup mais le sang commençait à sécher.  

Lui montrant son dos, elle grommela pour ne pas en rester sur sa dernière phrase.  

« - Ca fera toujours l’affaire en attendant… »  

 

Un silence envahit la pièce.  

Ryô ne savait pas quoi dire. Il avait envie de la prendre dans ses bras et lui dire que tout irait bien. Mais il ne savait pas comment faire et, pire, trouvait même ce geste déplacé. Si faux. Si mensonger. Après tout, il savait que tout n'irait pas bien! Elle semblait pourtant si fragile en cet instant, comme si elle s’était dévoilée devant lui.  

Une partie de lui lui criait "je vais la perdre, encore… si ce n’est pas déjà trop tard.. je dois aller vers elle… tendre la main… Elle saura quoi faire…" et une autre partie de lui, tout aussi forte lui répétait : "Et si elle ne la prend pas ? Et si en tendant cette main, je lui impose encore un choix ? Je ne la forcerais pas ! Je ne veux pas qu’elle parte… mais elle doit partir et je ne dois pas l’entraver… J'ai presque réussi. "  

C’était le presque qui lui faisait si mal.  

 

Kaori, quant à elle, se demandait encore d’où lui venait encore toute cette colère… Elle ne pensait pas qu’elle pourrait être si forte, si remplie d’énergie… si contradictoire durer si longtemps et être aussi douloureuse à la fois.  

Les mots restaient dans sa gorge, formant une boule de désespoir, des mots qu'elle aurait tellement voulus prononcer mais elle craignait d'entendre la réaction de Ryô. Elle avait beau essayer d'oublier, les paroles destructrices de son partenaire restaient en elle, entre eux.  

Le sentiment étrange, pourtant, qui lui faisait savoir qu'elle était à un tournant et la certitude qu'elle allait le manquer car elle s'était elle-même entravée dans sa lâcheté et dans sa fierté la poussait à réagir.  

Elle se rendit alors compte qu’elle avait maintenant surtout peur… peur de se retourner et de voir dans ses yeux un éclair de résignation... pire de froide indifférence… que la colère n'était là que pour masquer son angoisse, pour rester debout, pour continuer à se battre… pour y croire encore simplement.  

 

Ce silence devint rapidement si pesant qu'aucun des deux n'osait avouer ce qu'il avait sur le cœur.  

Des paroles enfermées que l'on n'a pas su dire…. Equivalentes à mille regrets, à la peur de vivre…. Au temps qui s'écoule, indifférent, insaisissable, inéluctable.  

Ils étaient irrémédiablement seuls avec leurs interrogations, leurs regrets et leurs peines.  

 

Où étaient donc passées toutes ces personnes qui faisaient irruption dans leur vie quand ce n'était pas le bon moment? Plus encore qu'auparavant, Ryô avait bien besoin d'eux… vraiment besoin… Ceux qui ouvraient la porte à la volée pour dire "coucou c'est moi" au moment où l'attente, le suspens était à son comble. Les indésirables de leur vie. Là aurait été un instant parfait pour ces intempestifs qui lui permettraient de réfléchir à ce qu'il dirait ou mieux qui remettraient la conversation à plus tard…peut-être à jamais…  

 

Ryô ne voulait pas admettre que c'était à lui de rétablir le contact, que Kaori n'en n'avait plus la force cette fois-ci. Il avait changé la donne dans cette ruelle. Il pouvait laisser cette distance entre elle et lui. Il pouvait se détruire en même temps qu'elle… il en avait l'habitude… mais…sa raison d'être c'était elle. Ça, il ne pouvait plus le nier.  

C'était à lui de rétablir l'équilibre… la confiance.  

 

Mais comment ?  

Comment aller au-delà de ce qu'on est, même par amour ?  

 

 

 


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