Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 02-01-05

Ultimo aggiornamento: 03-10-05

 

Commenti: 27 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Fic Alternative : Si Ryo avait découvert ses origines grâce à Makimura mais qu'il n'est rien dit à personne sauf qu'un jour, le passé resurgit. Comment agira notre nettoyeur face à ca?

 

Disclaimer: Les personnages de "Toi petite Lune" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toi petite Lune

 

Capitolo 7 :: Une ville pleine de surprise

Pubblicato: 10-07-05 - Ultimo aggiornamento: 10-07-05

Commenti: Hum hum, et oui, vous ne rêvez pas, c'est bien un nouveau chapitre. Un mega bisou à ma béta à moi Saiyuki, super boulot ma puce. Bonne lecture et laissez moi vos avis. PS. pour ceux qui découvrent cette fic, où qui l'auraient oublié, y'a que 6 chap à reprendre,lol. gros bisous et les reviews sont les bienvenues.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Pourquoi la vie n’était-elle jamais simple ? Pourquoi avait-il fallu qu’elle vienne ici, dans sa ville, à lui ? Et maintenant, que devait-il faire ? L’empêcher de découvrir la vérité et la renvoyer au plus vite chez elle ? Ou bien trouver le courage d’avouer cette vérité cachée depuis maintenant plusieurs années et l’affronter ?  

Telles étaient les questions qui trottaient inlassablement dans l’esprit du nettoyeur, sans qu’il puisse pour autant en trouver les réponses. Il devait régler cette histoire. Il le fallait…  

Il s’occupa avant de la petite affaire que lui avait confiée Saeko. Celle-ci fut réglée assez rapidement ce qui permit à Ryô de s’attacher à trouver une solution au « problème Tsuki ».  

 

Deux nouvelles journées passèrent sans qu’aucun autre contact n’ait eu lieu entre le nettoyeur et l’inspectrice. Ryo avait eu besoin de recul et il avait donc profité de l’absence de Kaori pour se cloîtrer dans son appartement. Il passait ses journées à réfléchir à cette situation plus que désagréable pour lui et consacrait ses soirées à vider des bouteilles en enchaînant cigarette sur cigarette.  

Il devait absolument trouver un moyen efficace d’éloigner Tsuki de lui, et de cette ville par la même occasion et faire en sorte qu’elle n’y remette jamais les pieds. Si elle découvrait la vérité, s’en serait fini de sa vie.  

 

 

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Le troisième jour, il reprit contact avec Saeko. Il avait besoin de savoir tout ce qu’avaient appris la jeune fille et la durée exacte de son séjour. Mieux valait évaluer tous les éléments pour être le plus efficace possible. Ryo voulait absolument enterrer cette histoire avant le retour de Kaori, il n’avait pas besoin de ça en plus qu’une curieuse comme sa partenaire pose tout un tas de questions.  

 

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Tsuki, quand à elle, mit de côté toutes ses questions pour se consacrer à la compétition qui débutait. Elle faisait entièrement confiance à l’inspectrice Nogami pour répondre à toutes ses interrogations et dévoiler ainsi le mystère du bienfaiteur secret.  

Son équipe remporta assez facilement ses premiers matchs.  

Ryo était venu plusieurs fois l’observer à la dérobée et il était très fier d’elle. Petit à petit, Tsuki devenait une belle jeune femme et malgré la distance, il avait la voir grandir et évoluer.  

Mais à chaque fois, il était repartit, seul, avec ce secret. Il ne lui restait plus alors que le quartier chaud pour se morfondre de son comportement et pour supporter le fait qu’il la privait d’une famille. Seul Ryô connaissait la vérité sur les origines de la jeune femme. Lui seul était capable de ne plus faire d’elle une orpheline.  

Saeko avait réussi à le renseigner et maintenant, la seule chose à faire était pour lui, de trouver une parade, une explication plausible pour que la jeune fille ne pousse pas plus loin sa quête de vérité.  

 

 

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Après les trois premiers jours de compétition, l’équipe de volley de l’école avait maintenant deux jours de repos. Elles étaient qualifiées pour la suite du championnat. Leur coach avait décidé de pratiquer un entraînement portant sur l’endurance le premier jour et de leur donner quartier libre le second.  

Tsuki en avait profité pour visiter l’université de Tokyo. Le campus était immense et elle se faufila naturellement vers les salles de sports. Une des étudiantes l’avait informé d’une rencontre sportive de l’équipe universitaire qui se déroulerait en début d’après-midi.  

La jeune adolescente profita donc au maximum de cette journée de battement. Cela faisait déjà presque une semaine qu’elle était en ville et elle regrettait déjà de devoir quitter ces lieux.  

 

C’est vers 19h00 que Tsuki prit la direction de son hôtel. Elle s’attarda dans les rues peuplées de la cité nipponne encore quelques instants, traînant d’une boutique à l’autre, s’imprégnant de cette façon, de l’ambiance et des habitudes des grandes villes.  

Mais voilà, une ville aussi grande que Tokyo avait son lot de voyous et malfrats en tout genre et la jeune fille allait très rapidement s’en rendre compte.  

 

Tsuki s’était arrêtée une dernière fois, dans une supérette de quartier, pour faire quelques courses de dernières minutes avant de sagement rentrer à l’hôtel quand deux hommes armés et cagoulés firent irruption chez le petit commerçant.  

L’un d’eux braqua le caissier avec un pistolet tandis que l’autre s’apprêtait à dépouiller les malheureux clients encore présents, soit Tsuki, deux jeunes femmes, un géant et un vieillard accompagné de son petit chien. Ce dernier n’appréciait apparemment pas d’être dérangé lors de sa sortie popo et n’arrêtait pas d’aboyer. (NDA : Enfin, c’est un tout petit chien à sa mémère donc il fait pas tant de bruit que ça, c’est juste, comment dire, stressant ces petites bêtes.) (NDB : Des voleurs… un chien –aussi petit soit-il – des aboiements…rien d’illogiques lol mais c’est sur, ça doit être stressant…^_^ mais on se demande bien pour qui… ^_^, hum, moui j’arrête mon délire et continues à lire ^_^)  

 

- « Dépêches-toi de nous filer la caisse sinon on fait un massacre. Haki, vides donc les poches de ces messieurs dames. », ordonna le meneur, arme toujours pointée sur le pauvre vendeur.  

Le deuxième homme, Haki donc, s’exécuta mais en commençant par le vieil homme dont les aboiements de la bête à poil insupportaient.  

-« Ton fric et magnes-toi ou je fais taire ton sale clébard à jamais. »  

-« Petit con ! Tu crois me faire peur ? », s’énerva le vieillard, face à ce jeunot qui jouait les caïds.  

Les trois filles présentes étaient, elles, mortes de peur au vue de la scène qui se jouait devant leurs yeux. L’autre client, de son côté, se demandait pourquoi cette affaire lui tombait dessus. Il voulait juste faire quelques achats pour rendre service à sa femme et rien de plus. Il n’aimait pas se mêler des histoires qui ne le concernaient pas et était d’un naturel discret, enfin, pas physiquement parlant.  

Mais pour l’heure, il n’eut pas d’autres choix que d’intervenir lorsque ce Haki pointa son arme contre le vieil homme.  

Il attrapa la « petite » main du voleur avec une facilité déconcertante avant de lui tordre le bras et de l’envoyer valdinguer hors du petit établissement.  

Le géant se retourna ensuite vers le « chef » de ce pitoyable duo pour lui faire comprendre que son tour venait.  

Ce dernier, complètement pris au dépourvu, tenta d’utiliser le caissier comme bouclier humain.  

-« Bouges pas mon gros sinon je le descends ! », hurla-t-il sans trop y croire.  

-« Qui tu traites de gros là, guignol ! », grogna le client dont la colère commençait à prendre place.  

 

Les trois jeunes femmes en profitèrent pour tenter de sortir du magasin mais le braqueur s’en aperçut et pointa son arme dans leur direction.  

-« Restez où vous êtes vous ! », hurla-t-il, fou de colère et prêt à faire feu.  

 

Tsuki crut l’espace d’un instant que tout allait s’arrêter là, dans une petite boutique de quartier, sans avoir eu le temps de vivre sa vie.  

Mais les Dieux semblaient cléments en ce début de soirée car juste avant que le coup ne parte, le braqueur s’écroula au sol, assommé par un violent coup porté à la tête par une boîte de conserve, jetée par le géant à lunettes.  

Une des trois jeunes filles poussa un cri de soulagement avant de tirer son amie par la manche et de quitter ce lieu maudit à grandes enjambées.  

Le vieillard ne put s’empêcher de rire de la situation et sortit à son tour du magasin, non sans avoir réglé ses commissions.  

Il ne restait maintenant plus que le caissier, l’adolescente, le « sauveur » et le petit voleur toujours inconscient, son acolyte ayant pris la poudre d’escampette. Une fois hors de l’établissement, il aura une sacrée surprise à son réveil.  

 

-« Merci monsieur, vous nous avez sauvé la vie ! », remercia le caissier, récupérant tout juste une respiration normale.  

-« Hum, vous devriez plutôt appeler la police, qu’il vienne chercher ce type avant son réveil. »  

-« Oui, vous avez raison. » L’homme s’exécuta rapidement.  

Tsuki osa s’approcher de l’inconnu pour le remercier à son tour, toujours un peu perturbée par les derniers évènements.  

-« Merci. », dit-elle simplement.  

Falcon se retourna pour fixer la petite voix qui venait de l’interpeller. Quelque chose le troubla alors chez cette jeune fille sans qu’il ne puisse toutefois se l’expliquer.  

Il hocha la tête et déposa quelques billets sur le comptoir avant de quitter l’établissement et de retourner chez lui.  

L’adolescente et le vendeur le regardèrent s’éloigner avant que deux patrouilles de police ne se présentent, toutes sirènes hurlantes.  

 

 


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