Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 02-01-05

Ultimo aggiornamento: 03-10-05

 

Commenti: 27 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Fic Alternative : Si Ryo avait découvert ses origines grâce à Makimura mais qu'il n'est rien dit à personne sauf qu'un jour, le passé resurgit. Comment agira notre nettoyeur face à ca?

 

Disclaimer: Les personnages de "Toi petite Lune" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toi petite Lune

 

Capitolo 8 :: Esquisse de rencontre.

Pubblicato: 18-09-05 - Ultimo aggiornamento: 18-09-05

Commenti: Salut chers lecteurs. Voici un nouveau ptit chapitre. L'histoire avance doucement mais elle avance. Merci à pour les reviews à Nanou, Saiyuki, Loreley, et encore à ma Nanou pour ses corrections. J'espère que ça vous plaira, bonne lecture, et gros bisous. PS: j'attends vos coms.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Après un bref entretien avec les agents de police dépêchés sur place, la jeune sportive retourna à son hôtel.  

Son entraîneur vint aux nouvelles et elle le rassura en lui expliquant toute l’histoire. Il était, suite à ce récit, tout sauf rassuré. Tout cela aurait pu très mal se finir sans l’intervention de cet homme et hormis la responsabilité qu’il avait concernant ces jeunes filles, il s’était beaucoup attaché à chacune d’elles.  

Tsuki le salua une dernière fois avant de prendre le chemin de sa chambre où une bonne douche l’attendait.  

 

 

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Cat’s Eye Café, le lendemain  

 

-« Bonjour Saeko, on ne t’a pas vu depuis un bout de temps maintenant. », commença Miki à l’arrivée de l’inspectrice.  

-« Bonjour Miki, oui, je suis passée comme ça pour dire bonjour et voir notre justicier des temps modernes. », sourit-elle à l’attention du géant.  

La réaction de ce dernier ne se fit pas attendre et la gêne s’empara de tout son être (NDB : qu’il est mimi notre Umi comme ça !). Il était un homme discret et essayait de se noyer au maximum dans la foule alors devoir jouer les héros pour midinettes dans les boutiques de quartiers n’était pas pour lui.  

-« Oui, Falcon m’a raconté tout ça. Tu veux un café ? »  

-« S’il te plaît. Alors vous avez des nouvelles de Kaori, ses vacances se passent bien? »  

-« Oui, très bien, elle s’amuse comme une folle. Je crois même qu’elle a rencontré un garçon qui vit ici à Tokyo. », finit la propriétaire du café dans un souffle.  

Falcon lui jeta un regard réprobateur mais il savait que sa femme ne pouvait s’empêcher de faire la commère.  

-« Ah oui, et elle rentre bientôt ? »  

-« Normalement dans deux jours. J’ai hâte qu’elle me raconte tout en détail. »  

-« Moi j’ai hâte de voir comment va se comporter Ryo avec ce nouveau minet dans le coin. »  

-« Saeko. », gronda le géant.  

-« Bah quoi ? Ryo et Kaori sont super protecteurs l’un envers l’autre dans leurs relations sentimentales mais je parierais que cette attitude cache plus qu’une très bonne amitié. Après tout, ils vivent ensemble depuis maintenant plus de deux ans, c’est tout à fait normal que quelque chose se passe entre eux. »  

-« Mais il ne se passe rien alors inutile de jouer les dames pipi. »  

Falcon avait une nouvelle fois eu le dernier mot. Les deux jeunes femmes changèrent de sujet et lui put reprendre son activité.  

 

 

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Centre sportif, 11h00.  

 

L’équipe de Tsuki était en plein match. Le score était assez serré mais les attaquantes savaient placer leurs balles et d’ici quelques points, les jeux seraient faits.  

Dans la foule venue en masse supporter ces jeunes athlètes, un homme se tenait un peu à l’écart, l’air sérieux mais avec une certaine fierté dans le regard.  

De son poste, il avait une vue d’ensemble sur la salle et pouvait aussi surveiller les différents accès au site, une vieille manie due au boulot.  

 

 

Mais pour l’heure, il prenait plaisir à l’observer, comme toujours, en silence, au loin. Le nettoyeur savait pertinemment qu’il prenait un risque en faisant cela mais son besoin de la voir avait été le plus fort. Cette proximité soudaine ne réglait en rien son dilemme, bien au contraire.  

Il était de plus en plus dur envers lui-même et évitait au maximum le contact avec ses amis proches, de peur que l’un d’entre eux ne sente quelque chose, ne perçoive le trouble qui l’animait.  

Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas que la fin de match avait été sifflée, et que les joueuses avaient déjà quitté le terrain pour se mélanger à la foule. Il jeta un coup d’œil rapide pour connaître le score final et fut ravi d’y découvrir la victoire de sa petite sœur.  

 

Comme ce mot lui semblait étrange. Il était très rare qu’il l’emploie pour y penser, même si c’était la réalité.  

Il ne s’attarda pas sur ses réflexions sans grand intérêt pour l’heure et essaya de la repérer parmi la foule massive.  

En quelques secondes il l’aperçut, entourée de son groupe de filles et parlant avec des joueurs du championnat masculin. Tous très grands et plutôt bien bâtis, deux d’entre eux portaient une attention particulière à la jeune fille, ce qui ne plut pas du tout au nettoyeur. Un étrange sentiment de jalousie s’empara de lui à ce spectacle. Il voyait encore la jeune fille comme une enfant et ne voulait pas voir des types lui tourner autour, surtout de jeunes loups qui n’avaient qu’une idée derrière la tête. (NDA : Ryo, tous les hommes ne sont pas comme toi ! NDB : encore heureux !)  

Le groupe commençait à rejoindre les vestiaires et le public quittait progressivement la salle. Ryo en profita pour se faufiler dans la foule pour rejoindre sa mini garée non loin à l’extérieur.  

« Qu’est-ce qu’il y a comme monde, c’est pas possible. », se dit-il, jouant des coudes pour rejoindre la sortie.  

L’homme ne regardait maintenant plus devant lui et ce qui devait arriver, arriva, il percuta un groupe de jeunes. Un d’entre eux se retrouva instantanément au sol suite à ce choc alors que Ryo n’avait, du fait de sa carrure, pas bougé d’un centimètre.  

-« Merde, vous pourriez faire attention ! », commença l’un de la bande à l’attention du nettoyeur.  

Ryo, qui jusqu’alors fixait le gamin par terre leva un regard noir en direction de son interlocuteur. Il n’avait pas pour habitude d’entendre ce genre de mot à son égard et ado ou pas, il ne comptait pas le laisser filer à si bon compte.  

Les filles reculèrent d’un pas en voyant l’expression de cet homme brun et les gars ne firent pas mieux mais tout bascula en l’espace d’une seconde.  

 

Ryo n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche que l’air semblait lui manquer. Elle.  

Elle était là, à côté de lui, en face de lui, tout autour de lui. Comment, pourquoi ?  

Il n’avait pas reconnu cette bande qu’il surveillait quelques minutes plus tôt.  

Devant ce silence pesant, deux jeunes aidèrent leur camarade à se lever et ils commencèrent à partir tandis que Ryo ne pouvait détacher son regard de la jeune brune qui les accompagnait.  

 

Tsuki n’avait pas bien compris ce qu’il se passait. Une bousculade, un grognement et un froid qui s’installait. Ensuite, une drôle de sensation, et ce type, qui portait en lui la même intensité que l’homme qu’elle avait croisé la veille à la boutique. Etrange ville que Tokyo.  

Et maintenant il semblait la fixer, elle, avec ce regard si sombre et si triste à la fois.  

Elle eut soudain peur, elle ne le sentait pas, il l’effrayait. Quelques secondes s’écoulèrent et le petit groupe repartait, laissant l’homme statique.  

 

En la voyant s’en aller, il reprit le contrôle qu’il ne perdait d’habitude jamais. Il activa le pas pour se retrouver dans le parking extérieur. Il s’installa, mit ses mains sur le volant et resta là une bonne dizaine de minutes sans bouger. Il se sentit mal un instant puis il prit rapidement la route pour rejoindre le Cat’s Eye.  

 

 

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Retour au Cat’s Eye, 12h15.  

 

La clochette du café retentit et un homme volant bien identifié s’envola vers l’ex mercenaire. Ni une ni deux, un bazooka sortant de sous le comptoir vint se poser devant la face de l’individu qui stoppa net sa course dans les airs.  

-« Du calme mon chaton, c’est dangereux ces petites choses là ! »  

-« Alors pose tes fesses sur ce tabouret et arrête de m’appeler comme ça ! », hurla le géant, rouge de colère contre les attaques incessantes que subissait sa femme.  

-« Tu ne t’arrêteras donc jamais Ryo, toujours à jouer avec ta vie pour une jolie fille. »  

-« Et toi, quand vas-tu me rembourser toute ta dette ? Si on profitait de l’absence de Kaori pour filer à l’appartement pour que je récupère enfin mon dû. »  

-« Désolée, pas aujourd’hui, j’ai un métier moi ! »  

-« Ouais, tu dis toujours ça mais en attendant, c’est moi qui le fait ton sale boulot ! », grogna le nettoyeur en croisant ses bras sur son torse pour montrer son mécontentement.  

-« Bon, à bientôt. »  

L’inspectrice quitta simplement le café sans un autre regard pour son vieil ami qui boudait toujours comme un enfant de cinq ans.  

-« Qu’est-ce que tu prends ? », demanda Miki.  

-« Un café merci. »  

La jeune femme le laissa un instant seul avec son mari le temps d’aller à la réserve. Falcon en profita pour demander :  

-« Alors, qu’est-ce qu’il t’arrive ? »  

Ryo leva un œil surpris en sa direction.  

-« Qu’est-ce qu’il t’arrive tête de poulpe ? »  

-« Je ne t’ai pas senti aussi perturbé depuis longtemps, depuis la mort de Maki. »  

 

 

Un long silence s’installa alors entre les deux hommes. Ryo ne savait pas quoi lui répondre sans se dévoiler complètement. Il tenta de se reprendre en apercevant Miki revenir avec un sac de café dans les mains.  

-« T’inquiètes pas ma grande, c’est juste la nuit qui a été un peu longue c’est tout, mais qu’est-ce que tu veux, n’est pas étalon qui veut ! » (NDB : qu’est ce qu’il m’énerve quand il dit ça !)  

Il fit un clin d’œil dans la direction du mercenaire qui haussa les épaules et il quitta l’établissement sans même attendre sa commande.  

 

 

 

 


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