Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Laur_e

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 22 capitoli

Pubblicato: 20-02-05

Ultimo aggiornamento: 15-02-15

 

Commenti: 129 reviews

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General

 

Disclaimer: Les personnages de "L'air pur de la compagne" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: L'air pur de la campagne

 

Capitolo 14 :: Ah l'amour !

Pubblicato: 09-06-05 - Ultimo aggiornamento: 15-02-15

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22


 

Le couple fut interrompu dans leur baiser. Inutile de dire que les deux protagonistes étaient quelque peu déçus.  

C’était Yoshi qui venait de les importuner.  

Le couple était toujours enlacé. Conscient qu’il venait d’interrompre quelque chose, Yoshi fut gêné et par la suite déstabilisé devant le regard sombre des deux nettoyeurs. Ryô encerclait toujours Kaori et s’apprêtait à renvoyer cet intrus lorsqu’il prit la parole :  

 

 

- « Euh veuillez m’excuser mais le père Bernard m’envoie vous dire qu’il faudra se lever aux aurores demain : c’est le grand nettoyage, ils veulent nettoyer toute la ferme ! Les hommes sont donc réquisitionnés ».  

 

 

Ryô fut soudain très las, lui qui voulait profiter de sa nouvelle relation avec Kaori…  

 

 

- « Mais... et toi ? Je peux savoir ce que tu fais là ? Tu ne devrais pas être couché à cette heure-ci ? » dit Ryô. Il prenait manifestement un malin plaisir à rabaisser le jeune homme devant Kaori.  

 

 

- « Ryô enfin ! », lui dit Kaori.  

 

 

- « Bon je vous attends en bas le dîner sera prêt dans environ une heure » Puis se tournant vers Kaori. « Je suis là si vous avez besoin de moi ». Même si le nettoyeur l'impressionnait, il y avait quelque chose qui poussait Yoshi à le provoquer.  

 

 

- « C'est gentil, merci. A plus tard Yoshi », dit cette dernière.  

 

 

Lorsqu’il fut en bas, Ryô déballa son sac.  

 

 

- « Non mais pour qui se prend-il ce jeunot ? Je serai en bas si vous avez besoin de moi très chère Kaori », dit-il en l’imitant.  

 

 

- « Ryô ? » dit-elle en lui passant les bras et en l'enlaçant, le sourire aux lèvres.  

 

 

- « Kaori, si tu savais combien de fois j'ai du me retenir quand je voyais ces hommes te regardaient. Eux, ils pouvaient te regarder comme bon leur semble ; j'ai mis tellement de temps à t'avouer ce que je ressentais que j'ai envie de protéger cet amour, je... » Ryô s'aperçut qu'il s'emmêlait les pédales alors il passa à l'action. Il l'embrassa passionnément, ne pouvant se détacher de la bouche de la nettoyeuse. Il n'arrivait pas à se détacher d'elle. Ryô permit à la jeune femme de respirer mais ce fut elle qui embrassa son partenaire en se mettant sur la pointe des pieds.  

 

 

- « Bon je crois que…….. »  

 

 

- « Tu vas me faire une petite visite nocturne, hein ? Finalement, les apparences sont trompeuses, tu es bien plus sournoise que moi ahah » Ryô s'était retourné et s'était approché à grandes enjambées.  

 

 

Elle allait répondre et s'énervait une fois encore de ce changement de comportement. Et puis non, pour une fois, elle lui répondrait en douceur.  

Elle s'approcha lentement de son partenaire et, tout en lui caressant ses cheveux qui tombaient dans sa nuque, l'embrassa délicatement. Elle ne cherchait pas à s'imposer ou à lui imposer quelque chose, elle se contentait d'appuyer délicatement sur ses lèvres et d'en savourer le goût.  

 

- « Ryô, arrête de dire des bêtises et ne confonds pas nos rôles. Maintenant à chaque fois que tu débiteras une ânerie, je me verrais dans l'obligation de te corriger. Do you see what I mean, darlin' ? ».  

 

 

Kaori s'en alla dans la salle de bain, sachant pertinemment qu'elle venait de provoquer son partenaire. Une serviette autour de la taille, la douche n'attendait plus qu'elle.  

Deux bras lui ceinturèrent la taille.  

Un baiser. L'envie. Le désir.  

 

Ryô lui prodiguait une myriade de baisers dans le cou.  

 

 

- « Ryô, sil-te-plaît... »  

 

 

- « Mon ange, tais-toi et profite », dit-il.  

 

 

- « Tu sais très bien qu’il faut que j’aille prendre ma douche. Et je voudrais… »  

 

 

- « Que je vienne avec toi ? » Ryô avait ôté sa tête de son cou et la regardait profondément. Il voulait voir jusqu'où Kao pouvait aller.  

 

 

- « Je veux bien essayer mais tu restes correct Ryô » Même si Kaori aimait se prêter au jeu et encore plus le taquiner, elle restait Kaori, sa timidité refaisait surface.  

Elle n'arrivait pas à la contrôler. Elle savait que ses joues rougissaient mais elle n'avait aucun contrôle sur son corps et ça l'agaçait. Pourtant, elle souhaitait de tout son coeur ne pas rougir "contrôle toi Kaori, tu peux y arriver, allez". Des fois, cela fonctionnait mais avec Ryô, jamais.  

Elle enviait les personnes qui parvenaient à contrôler la carnation de leurs peaux dans des situations gênantes.  

 

Elle se dirigea vers la salle de bain, son partenaire la suivait quelques mètres derrière.  

 

 

Le nettoyeur pressa le pas au cri de Kaori et entra à son tour dans la salle de bain. L'ami outre-atlantique se prélassait dans le bain alors que Kaori avait déjà enlevé sa serviette, trop bouleversée par l'échange qu'elle venait d'avoir avec Ryô. Celui-ci se plaça devant elle et tout en lui tendant une serviette prise à portée de main s'adressa à l'américain qui sifflotait :  

 

 

- « NON MAIS CA NE VA PAS DE SQUATTER LA SALLE DE BAIN DES AUTRES ? »  

 

 

- « Ben quoi, on n’a plus le droit de prendre un bain maintenant ? Je vous rappelle que nous avons une salle de bain qui communique », dit-il, le plus innocemment du monde.  

 

 

- « Non Ryô ! » dit Kaori, qui le retint par le bras. « Ce n'est pas grave j’en prendrais un après mangé, allez viens », dit-elle après avoir pris la serviette et s’être enveloppée dedans.  

Elle sortit, suivie de près par Ryô.  

 

 

- « Je te préviens Mick : maintenant que Kaori et moi sommes officiellement ensemble, je serai moins tolérant », l’informa-t-il après avoir refermé la porte, non sans l’avoir claquée.  

 

 

- « Je crois que mes chances se sont définitivement envolées », dit-il, puis pensa avec un sourire « Eh ben, ce n'est pas trop tôt ! Tu en as mis du temps Ryô ! Je crois que je vais bien m'amuser, niarc niarc niarc ».  

 

 

***** Derrière la porte *****  

 

 

- « Qu’est-ce qu’il peut m’énerver cet amerloque ! », dit-il, en jetant un dernier coup d’oeil vers la porte.  

 

 

- « Ryô, tu peux te retourner s'il-te-plaît ? » lui dit Kaori.  

 

 

Il se tourna alors vers elle : elle avait les joues légèrement rosies.  

 

 

- « Mais pourquoi donc mon ange ? », dit-il en se rapprochant d’elle.  

 

 

- « Et bien c’est que... j’aimerais bien m’habiller donc si tu pouvais... »  

 

 

- « Si je pouvais quoi ? », dit-il. Kaori était à présent dos au mur et Ryô avait posé sa main dessus, l’autre étant sur sa hanche.  

Il arrivait à changer de comportement d'une minute à l'autre.  

 

 

- « Arrête de jouer avec moi, tu vois parfaitement ce que je veux dire mais tu t'amuses à me troubler et je commen... »  

 

Ryô la fit taire d’un baiser.  

Un coup à la porte les ramena à la réalité : c'était Mme Bernard.  

 

 

- « Kaori ? Vous êtes là ? », demanda-t-elle.  

 

 

Bien que la vieille dame était là, Ryô ne se gêna pas pour déposer des baisers dans le cou de sa belle qui avait bien du mal à avoir les idées claires.  

 

 

- « Oui nous sommes là », dit-elle en repoussant Ryô. Ce dernier avait trouvé un point sensible et s’en amusait.  

 

 

- « Arrête Ryô, ce n’est pas correct ! », lui dit-elle tout bas. Elle maintenait la distance entre lui et elle à l'aide de ses mains.  

 

 

- « Qui te dit que j’ai envie d’être correct ? » Ryô força légèrement et les bras de Kaori cédèrent sous la pression.  

Les baisers reprirent de plus bel, au grand dam de Kaori qui avait toutes les peines du monde à s'empêcher de gémir.  

 

- « Kaori ça va, vous allez bien ? », demanda la vieille dame, anxieuse.  

 

 

- « ………………. »  

 

 

- « Bon le dîner est prêt ! On vous attend en bas ! A toute de suite » Mme Bernard ne s'attarda pas, elle savait que son partenaire était avec elle et qu'elle ne risquait donc rien.  

 

 

- « A tout de suite », fit Kaori dans un souffle.  

 

 

Et dans un éclair de lucidité, elle repoussa Ryô.  

 

 

- « Ryô ! Sil-te-plaît, on nous attend en bas ! Ce n’est pas correct de les faire attendre ! », le réprimanda-t-elle.  

 

 

- « Ok, je me rends pour cette fois ! Mais….. Tu ne perds rien pour attendre », lui dit-il, avec un sourire coquin.  

 

Ryô se sentait bien, il ne pensait plus avec sa tête mais avec son coeur. Il ne réfrénait plus les gestes.  

 

 

Il attendit derrière la porte que Kaori ait fini de s’habiller. La porte s’ouvrit et ils allèrent ensemble dîner, rejoignis par Mick.  

 

 

Le repas se passa merveilleusement bien : la joie et la bonne humeur y l'égaillaient. Après s’être souhaités à chacun une bonne nuit, les trois nettoyeurs montèrent tandis que le vieux couple se dirigea vers leur chambre.  

 

 

Mick souhaita une bonne nuit à Kaori et tapa dans la main de Ryô et alla se coucher.  

 

Le couple de Japonais entra dans sa chambre. Ryô était d’humeur taquine et ne cessait d'embêter Kaori.  

Mais celle-ci était fourbue ; Ryô se fit alors plus tendre. Il lui caressait les bras lentement et déposait de temps à autre un baiser derrière l'oreille ou dans sa nuque.  

 

Ils se mirent dans les couvertures et le nettoyeur ramena Kaori à lui.  

Kaori dormait la plupart du temps sur le côté, d'ailleurs elle avait déjà rejoint le pays des songes.  

Le corps de Ryô s'emboita à celui de la jeune femme et le nettoyeur encercla sa taille de son bras.  

Il la dépassait d'une bonne tête ; il déposa son menton sur le haut du crâne de la jeune femme et s'endormit à son tour.  

 

 

 

 


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