Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autori: Lexine , Angelheart

Beta-reader(s): Lexine

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 24-03-05

Ultimo aggiornamento: 30-04-05

 

Commenti: 47 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: Un homme tient à prendre sa revanche et refait surface du passé de Ryô, à l'époque où il tait en Amérique du sud. Pour l'atteindre ils ont pour cible une seule personne. Kaori court un danger de chaque instant.

 

Disclaimer: Les personnages de "Les escadrons de la mort" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Les escadrons de la mort

 

Capitolo 2 :: Hold-up à la banque !

Pubblicato: 02-04-05 - Ultimo aggiornamento: 02-04-05

Commenti: Et vi une maj, vous n'avez encore rien vu, du drame va y'en avoir beaucoup de pleurs aussi, apprêtez vous à sortir vos mouchoir hehe ! Un gros bisous à ma moman Nanou, mes soeurs, missy (tu me mank) Lex, Maiki, Jerm, Kaori maki et celle que j'oublies dsl ^^, mon fere ner'ik et TLM !!! Faut pas faillir à la tradition LAISSEZ MOI VOS REVIEWS ^-~

 


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Chapitre 2 :  

 

Kaori préparait le petit déjeuner avec une jolie teinte rosée colorée sur ses joues. En effet, aujourd’hui, elle allait faire les courses avec son partenaire. Bien sur, ce n’était pas la première fois mais, aujourd’hui, elle pensait que quelque chose allait changer. Elle ne savait pas encore quoi mais elle en était sure. Elle se figea à cette dernière pensée. Et si cette chose devait être mauvaise ? S'il s’agissait d’un malheur ? Aurait-elle mal interprétée cette impression ?  

Le temps ne l’aidait pas beaucoup. Elle quitta, alors, son raisonnement pour aller réveiller son partenaire.  

 

Ryô n’avait presque pas dormi de la nuit. Il avait réfléchi, tout le long de celle-ci, à cette impression et ce pressentiment qui ne l’avaient toujours pas quittés. Cette aura meurtrière et terriblement menaçante était encore présente au fond de ses entrailles de chasseur. Il voulait avoir tort. Il voulait pouvoir passer, au moins, un jour sans risquer sa vie ni celle de sa douce partenaire. Mais, il savait, au fond de lui, qu’on voulait, une fois de plus, l’atteindre. On ne le laissera donc jamais tranquille…  

Les bruits de pas de la jeune femme le sortirent de ses pensées et il feignit, comme à son habitude, l’endormissement.  

 

Kaori pénétra dans la pièce et s’approcha du lit.  

 

« Ryô, debout ! »  

« Mmm… »  

« Allez, debout » le ton se fit plus sec.  

« Encore un… »  

« Hein ? »  

« Encore un coup… Saeko »  

 

La sentence ne se fit pas attendre. Une énorme massue s’abattit sur la tête du pauvre endormi et sa propriétaire sortit, non sans claquer la porte dans un boucan monstrueux.  

Sentant que les pas lourds de Kaori s’éloignait petit à petit, Ryô s’extirpa de sous la massue et replaça quelques vertèbres déplacées.  

Il avait besoin de cette massue matinale pour se changer les idées et, surtout, celles de sa partenaire. Il avait senti son trouble et ne voulait pas qu’elle se préoccupe pour rien de cette affaire. En la mettant en colère, il espérait, ainsi, lui faire oublier ces obscures pensées et retrouver son sourire habituel. Et puis, il devait bien l’avouer. Sa partenaire était très attirante en colère. C'était aussi son moyen à lui de s’assurer qu’elle tenait toujours autant à lui.  

 

Le petit déjeuner fini, ils se dirigèrent ensemble vers le café que tenaient leurs amis. Sans rien changer à ses habitudes de pervers, l'éternel excité se jeta sur Miki avec, en cadeau bonus, une poêle en fonte by Umibozu et une massue spéciale dédicace by Kaori.  

 

« Je suis un incompris. Personne ne m’aime. Snif… » avait-il rétorqué lorsque ses amis l’avaient regardé avec un regard accusateur.  

 

La journée commençait comme à l’accoutumée. Rien ne laissait présager qu’un malheur d’une ampleur considérable allait survenir dans l’après-midi.  

Cette petite visite de courtoisie terminée, ils se dirigèrent vers le centre commercial.  

 

Pendant que Kaori liquidait le compte en banque, Ryô, lui, était chargé de porter tous les paquets.  

Après une heure de courses folles, il n’y avait plus d’argent.  

 

« Bon maintenant on rentre. »  

« Et mon cadeau ? »  

« Hein ? Ah oui ! C'est vrai ! »  

« Egoïste. T’as même pas pensé à mon cadeau ! Ouin !!! »  

« Je vais retirer de l’argent à la banque et ensuite on te l’achète. D'accord ? »  

« C’est vrai ? Snif… »  

« Vrai de vrai, alors arrêtes de pleurer, ok ? »  

 

Kaori se mit donc en route, tandis que Ryô restait dans la rue, trop fatigué pour suivre sa chère et tendre. De plus, il devait faire le point. Aucune menace ne planait, rien. Peut-être s’était-il trompé ? Il fallait néanmoins rester prudent. La journée n’étant pas fini, tout pouvait encore arrivé.  

 

Kaori arriva devant la grande bâtisse et espéra intérieurement qu’il n’y aurait aucun hold-up. Elle y entra et s’avança vers un guichet. Quelques minutes plus tard, et à grande joie, le banquier accepta de lui donner de l’argent. Au moment où elle rangea l’argent dans son portefeuille, des hommes armés et cagoulés entrèrent dans le bâtiment. C'était bien sa vaine !  

 

Un homme, qui paraissait être le chef, prit les devants et annonça la suite des opérations.  

 

« Vous allez bien m’écouter. Tout se passera bien si vous nous écoutez. »  

 

Dans la banque, la panique et la peur se lisaient sur les visages. Chacun avait peur pour sa vie et cela se comprenait aisément. Une jeune femme, enceinte à en exploser, se tenait le ventre, comme pour protéger son bébé. Non loin de là, et si on avait de bons yeux et qu’on regardait avec beaucoup d’attention, on aurait pu observer une silhouette qui se dessinait dans une ruelle sombre malgré le soleil.  

 

« Chef, la première étape de notre plan est un succès. »  

« Bien. Faîtes attention ! Qu’elle n’y réchappe pas ! »  

« A vos ordres. »  

 

Un sourire machiavélique se dessina sur le visage balafré.  

 

« Vous allez mettre dans ces sacs tous vos objets de valeur. C'est clair !?! » Avait lancé le chef des voleurs.  

A peine eut-il fini sa phrase que deux de ses hommes sortirent des sacs blancs et passèrent dans les rangs afin de récolter le trésor.  

Chacun mettait tout ce qu’il possédait. Les bijoux, l’argent, rien n’était laissé à l’abandon.  

« C’est quoi ça ? »  

« Non s’il vous plait c’est la broche de ma mère »  

« Et alors ? »  

« C’est mon dernier souvenir d’elle, s’il vous plait ! »  

 

L’homme de main arracha la broche et déchira en même temps la veste.  

La cruauté dont ils faisaient preuve révolta Kaori qui décida d’agir. Elle était la seule capable de les sortir de là, étant donné que son partenaire ne s’y trouvait pas. En bonne professionnelle qu’elle était, Kaori remarqua un bouton rouge en dessous d’un bureau. Il s’agissait de l’alarme silencieuse. Elle se détacha du groupe et, à quatre pattes, se dirigea vers le bureau. Elle pressa le bouton.  

 

« Eh toi ! »  

 

********************  

 

Ryô, qui attendait toujours dans la rue, commençait à trouver sa partenaire bien longue. Il s’inquiéta. De nos jours tout pouvait arriver. Soudain, il entendit les sirènes des voitures de polices et son pressentiment ressurgit. Il se mit à courir comme un dément vers la banque, espérant que sa partenaire aille bien.  

 

*********************  

 

Kaori stoppa net.  

.  

« Tu peux me dire ce que tu fais ? »  

« Moi ? Rien du tout ! »  

« Te fous pas de moi »  

 

Il l’attrapa violemment par le bras et la jeta sur le sol. Les frottements du sol carrelé contre sa peau satinée la brûlèrent. Des tas de questions fusèrent alors dans l’esprit de Kaori. Allaient-elle s’en sortir ? Que faisait son partenaire ? Pourrait-elle seulement le revoir un jour ? Il se peut que non…  

 

 


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