Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Dj Bull

Beta-reader(s): Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 2 capitoli

Pubblicato: 16-04-05

Ultimo aggiornamento: 16-04-05

 

Commenti: 6 reviews

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Action

 

Riassunto: Mammouth s'est fait tiré tirer dessus, l'appartement de CH est pris pour cible par une armée d'hommes en treillis, ...

 

Disclaimer: Les personnages de "La loi du milieu" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La loi du milieu

 

Capitolo 1 :: Le tireur qui venait de nul part

Pubblicato: 16-04-05 - Ultimo aggiornamento: 18-04-05

Commenti: J'aurais bien voulu mettre le tireur qui venait de l'ombre mais Hojo y avait déjà pensé ...

 


Capitolo: 1 2


 

Ryô dormait encore. Le jour venait de se lever. Kaori faisait le petit déjeuner. Miki entra précipitamment dans l’appartement de CH avec Falcon sur son épaule, tout ensanglanté et frissonnant, le sang coulait le long de son corps, en voyant son ami dans un tel état Kaori cria. Ryô se réveilla en sursaut et accourut voir ce qui se passait. On avait essayé de tuer Falcon. Kaori demanda :  

- Que s’est-il passé ?  

- Falcon s’est fait tirer dessus ! Quelqu’un veut sa peau !  

- Qui, demanda Kaori, je croyais qu’ Umibozu avait arrêté le « travail » ?  

- Oui, j’avais décidé de changer de travail pour que Miki aie une vie loin du milieu, car je savais que je ne saurais jamais la protéger comme Ryô protège celle qu’il aime, répondit Falcon.  

- Alors, je ne vois pas pourquoi quelqu’un voudrait te tuer, rétorqua Kaori.  

Ryô intervint dans la conversation :  

- Soit quelqu’un veut le faire taire d’une de ses vielles affaires, soit c’est des  

« nouveaux » qui veulent se faire une réputation.  

- Attention ! A terre !  

Des balles venant de tous les côtés sifflèrent et allèrent s’arrêter dans le mur.  

- C’est fini, personne n’est blessé ?  

Kaori :  

- Moi, ça va !  

- Moi aussi, répondit Miki.  

- Tu te fous de moi ! Hurla Falcon à Ryô.  

- Non, mais toi c’est différent tu n’es pas une jolie fille.  

- Qu’est-ce que c’était ? Demanda Kaori.  

- On a essayé de nous abattre, c’était une mitrailleuse, sûrement un M60 dans l’immeuble d’à coté.  

Miki et Kaori aidèrent Umibozu à se relever.  

Ryô :  

- Miki ! Tu es sure de n’avoir pas été suivie ?  

- Oui !  

- Alors, c’est qu’on m’en veut aussi à moi !  

- Ou à moi, rétorqua Kaori.  

- Miki avec moi jusqu’à l’armurerie, on prend le plus possible, toi Kaori occupe toi de soigner la grosse luciole. Allons-y Miki !  

Ryô et Miki descendirent jusqu’à l’armurerie chercher tout ce qu’ils pouvaient emporter.  

Ils remontèrent avec quasiment toute la réserve.  

Falcon allait déjà un petit peu mieux.  

- Maintenant, qu’est-ce qu’on fait Ryô ?  

- J’arrive, je vais vite sonner à Saeko.  

Ryô arracha le téléphone et composa en toute vitesse le numéro :  

- Halo ? Répondit une voie peur sure.  

- Halo, Saeko, c’est Ryô !  

- Ho, Ryô, que je suis contente, je croyais que …  

- Laisse moi deviner, on a essayé de t’avoir ?  

- Co… Comment tu sais ça, toi ?  

- Falcon est chez moi, il est blessé, on a essayé de l’abattre, et on vient de redécorer mon appartement au M60, je n’aime pas la tournure que prennent les événements.  

- Je… J’arrive, de toute façon j’étais déjà en route pour chez toi.  

Saeko entra tout essoufflé dans l’appartement de CH.  

Falcon :  

- Si on a, à elle aussi, essayé de repeindre son beau petit tailleur, c’est que la vengeance de quelqu’un qui a eu à faire à nous est en train de s’accomplir.  

Kaori toute bouleversée :  

- Je ne comprends pas pourquoi on voudrait nous tuer, toutes les personnes du milieu avec qui on a eut à faire sont soit mortes, soit en prison, soit calmées.  

- D’abord, ne dis pas nous, tu n’es pas incluse dans le lot, d’ailleurs toi non plus Miki, alors partez tant qu’il en est encore temps.  

- Snif ! Je … Fais bien attention à toi Ryô j’ai déjà perdu mon frère, je ne voudrais pas te perdre aussi. Ho! Ryô! Snif !  

Miki, les larmes aux yeux :  

- Moi, je reste, je t’aime Falcon ma vie sans toi ne vaut plus rien, si tu meurs, je n’aurai plus qu’à te suivre. C’est ce que font les personnes qui s’aiment vraiment.  

Umibozu, gêné, tout rouge, répondit :  

- S’il te plait Miki, va avec Kaori, je ne voulais déjà pas que tu reste avec moi, je voulais que tu aies une vraie existence de femme et pas de soldat, je serais heureux de mourir car si je meurs, tu pourras enfin vivre comme les autres femmes. Si je meurs, promets-moi de vivre.  

- Je ne te promets rien, mais tu as intérêt de revenir et vivant, hein?  

Miki serra Falcon dans ses bras puis dit :  

- Ho ! Oui, je t’aime Falcon.  

- Dépêchez-vous ! Dit Saeko.  

Kaori et Miki partirent dans la fiat Panda.  

Kaori :  

- Ne t’en fait pas à eux trois ils pourraient détruirent un bataillions tout entier. Tu le sais aussi bien que moi.  

- On va où ?  

- Ben, je pensais aller chez Reika.  

- La sœur de Saeko ? La détective privée ?  

- Oui, je la connais très bien, c’est une amie.  

- Je la connais aussi …  

- Elle voudra sûrement bien nous garder chez elle.  

Pendant ce temps dans l’appartement de CH, la discussion continuait entre les trois amis :  

- Qui peut bien nous en vouloir à ce point ? Demanda Saeko.  

Umibozu :  

- Tu as l’air bien pensif Ryô, quelque chose me dit que tu as une petite idée sur la question.  

- Je repensais à une vielle histoire qui nous avait impliqués tous les trois vous vous souvenez, c’était il y a quelques années Hideyuki était encore mon partenaire et Reika était encore dans la police, les services secrets étaient persuadés que notre beau pays allait être l’objet d’un coup d’état.  

- Oui, je m’en souviens, ils nous avaient engagés pour ne pas être mêlé dans cette affaire.  

- Oui, à moi aussi ça me revient, les chefs des services secrets avaient peur de se tromper de cible.  

- On devait d’abord être sûre de ce qu’ils préparaient puis notre boulot était de les faire disparaître discrètement. Seulement notre plan n’avait pas marché à la perfection, le père du chef avait pu s’enfuir avec quelques fidèles de son fils. Les dernières paroles que j’ai entendues de lui étaient : « Un jour, je reviendrai et là je pourrai enfin accomplir ma vengeance. » Les pièces du puzzle se recollent entre elles.  

- Seulement, tu as une pièce qui ne saurait pas rentrer dedans, le père de Jacky kayibara est mort le moi dernier, on me l’a dit de source sûre.  

Pendant ce temps, Miki et Kaori arrivaient chez Reika :  

- Reika ? Tu es là ?  

- C’est qui ?  

- C’est moi, Kaori, je suis avec Miki.  

- J’arrive.  

…  

- Salut ! Ca n’a pas l’aire d’aller pour vous, quelque chose ne va pas ?  

- Heu… Salut ! Heu… ! On a essayé de tuer Ryô, Falcon et ta sœur.  

- Quoi ?  

- Umibozu est blessé et on vient de saccager l’appartement de Ryô à la mitrailleuse.  

- Alors là, je ne suis plus rien.  

- Je vais te dire un petit secret : moi non plus je ne comprends rien. Tout ce que je sais c’est que Ryô nous a demandés de nous cacher. Puisque tu es une de nos meilleures amies, je me suis dit que ça ne te dérangerait pas si on passait quelques temps ici, le temps que Ryô et les autres fassent ce qu’ils ont à faire.  

- Tu sais bien que je ne peux pas te refuser ça surtout si ma sœur y est impliquée. Mais, si tu étais venu dans d’autre circonstance, n’oublie pas que tu es toujours ma rivale aux yeux de Ryô.  

- Je sais, en tout cas merci de nous accueillir chez toi.  

- Il n’y a pas de quoi. Ca ne va pas Miki ?  

- J’ai peurs pour Falcon.  

- Tu ne vas quand même pas t’inquiéter pour lui c’est un professionnel, il sait ce qu’il fait, c’est son boulot  

- Laisse tomber, tu ne saurais pas lui remonter le moral, j’ai déjà essayé dans la voiture mais sans succès.  

- Venez, je vais vous faire un café.  

- D’accord ça nous fera du bien, surtout à elle.  

- Je te rappelle que Falcon vient seulement d’accepter de se marier avec moi et que si ça continue, il n’y aura pas de mariage, parce qu’il n’y aura plus de Falcon.  

 

 


Capitolo: 1 2


 

 

 

 

 

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