Capitolo 2 :: Quand le passé resurgit

Pubblicato: 16-04-05 - Ultimo aggiornamento: 18-04-05

Capitolo: 1 2

- Attention !  

Une roquette entra à toute allure dans la pièce et alla exploser contre le mur.  

- Ils ne lé sillent pas sur les moyens, eux !  

- …  

- Qu’est-ce qu’on peut faire contre ça ?  

- Ne vous inquiétez pas j’ai remonté des bazookas du sous-sol.  

Une armée d’hommes en treillis encercla le bâtiment.  

- Vous avez vu le nombre qu’ils sont !.  

Brrr !  

- Qu’est-ce que c’est ?  

- On dirait un bruit de moteur.  

Deux tanks stationnaient anormalement devant l’appartement de CH.  

- Il y a quelque chose de bizarre avec les deux tanks devant !  

- Non, tu crois ?  

- Je sais : ils n’ont pas payé le parcmètre  

- Tu trouves que c’est vraiment le moment de faire de l’humour ?  

- Si, ils cassent mon immeuble, j’irai dormir où, moi ? Chez toi ? Et mais ce serait une bonne idée, j’irais t’aider à prendre ton bain et à t’habiller le matin, j’irais te dire un petit bonjour la nuit si tu te sens seule…  

Baammm !!!  

- Maintenant c’est sûr, Kaori fait école, sans conter qu’elle t’a vendu illégalement une massue de dix tonnes.  

- Tais-toi, Ryô, ou je te fais goûter au cent.  

- Je me demande bien ce qu’ils nous veulent. Car pendant que vous vous chamaillées en bas c’est de pire en pire les tanks nous alignent. Rapporta Falcon  

- Il y a un tout petit problème : il y a deux tanks mais je n’ai qu’un bazooka.  

- Tu n’as pas des explosifs ? J’ai une idée.  

- Est-ce que je ressemble à une armurerie ?  

- Ce n’est pas possible que tu n’ais pas des explosifs, tu remontes toute l’armurerie mais pas le moindre gramme de produit qui puisse exploser.  

- Il y en a au sous-sol mais… Je pense que ça sera dur avec nos petits copains qui nous attendent.  

- Ils ne sont pas encore entrés dans le bâtiment.  

- Et si, ils y entraient pendant que je suis en bas en train de prendre des explosifs pour ce gorille.  

- Bon j’y vais, vous deux restez là !  

- D’accord  

- OK, on te couvre s’ils essayent d’entrer.  

- Attend ! Si tu te fais tuer, tu ne pourras jamais me payer, alors payes moi tout de suite !  

Baammm !  

- Je t’avais dit que tu allais te manger mon cent tonnes.  

- Cha fa, je fai bien, chai chuste deux dents cachés.  

- Maintenant, j’espère que tu es calmé, hein Ryô ?  

- Ho ! Oui !  

Saeko prépara son arme :  

- Vous êtes près ?  

- Oui.  

- Quand tu veux.  

Saeko descendit rapidement les marches :  

- J ‘espère que ça va réussir.  

…  

- Ha ! Enfin, l’armurerie. Et mais, c’est quasiment vide ! Où sont les explosifs ? Ha, là.  

- Vite, prenons tout ce qui reste.  

En haut :  

- Hey, Ryô, il y en a un qui essaye d’entrer.  

Pan !  

- Pourquoi tu ne l’as pas tué ?  

- Tout le monde n’est pas comme toi ! Un gros gorille sans âme et sans cœur.  

Saeko ouvra brusquement la porte, elle tenait des sacs et des sacs d’explosifs :  

- Voilà, j’ai fait aussi vite que possible.  

- Bravo ! Félicita Umibozu.  

- Maintenant qu’est-ce que tu comptes faire ? Demanda Ryô.  

- Tu vas voir qu’être resté des années dans l’armée ça ne sert pas à rien, regarde !  

Il prit le C4, le roula en boule et dit :  

- Faites comme moi !  

Après quelques minutes, il y en avait une dizaine.  

- Maintenant, mettez les minis détonateurs !  

- Voilà.  

- Fini.  

- Quand j’étais encore soldat, mon sport préféré était le baseball, j’étais un super lanceur. Passez les boules !  

- Joyeux Noël !  

- Prenez les commandes et préparez-vous à faire tout exploser !  

- C’est parti !  

Umibozu lança les balles explosives sur les tanks :  

- Feu !  

BOUM !!!  

- Bravo Mammouth, je penserai à m’engager.  

Dans la rue :  

- Incapables ! Ils ne sont que trois, vous êtes plus d’une centaine  

- Ryô ! Tu m’entends ! Toi et tes amis n’en sortirez pas vivant !  

Dans l’appartement :  

- Cette voix, oui, je la reconnais. C’est … C’est Cindy, Cindy Mullway.  

- Je … Ha ! Oui, je me souviens.  

- Oui, moi aussi.  

Pendant ce temps chez Reika :  

- Tu as raison Reika, un café, il n’y a rien de mieux pour avoir les idées claires. Dit Kaori pour essayer de remonter le moral de Miki.  

Reika :  

- Oui, surtout, ça réveille.  

- N’empêche, je commence à avoir peur pour Ryô et les autres …  

- Et moi donc, ça fait depuis qu’on a tiré sur Falcon que j’ai peur. Mais non, on me dit que tout va très bien aller. Alors que vous savez très bien que la vue de Falcon n’arrête pas de baisser. Ajouta Miki.  

- Ecoutez, je vais allumer la TV ça vous changera les idées.  

- Oui, tu as raison.  

- Moi, rien ne pourra me changer les idées, ni personne.  

Clic ! :  

- Flash spécial, le centre ville est pris d’assaut, on entend les bruits de tanks au loin. Une armée d’homme en treillis aurait été aperçue dans le nord de Shinjuku.  

Miki s’évanouit et Kaori changea de couleur.  

La TV :  

- Ha, attendez, on vient de nous apprendre que les tanks seraient détruits. D’où je vous parle, on peut apercevoir une grande colonne de fumée noire sortant de Shinjuku. Un de nos hélicoptères est en train de se rapprocher. Ca y est, les images nous parviennent. Quel désastre, on croirait voir un champ de bataille, apparemment, les hommes en treillis tirent sur l’immeuble rouge. C’est incroyable, on assiste impuissant à ce massacre. J’espère que le propriétaire de l’immeuble est assuré. L’hélico va essayer de s’approcher plus, mais en restant derrière ceux de la police. Ho ! Mais … J’aperçois une tache dans le ciel ça se rapproche, qu’est-ce donc ? Un hélico ! Apparemment un AH64 Appache. Hé ! Mais ! Il vient de tirer une roquette sur un des hélicoptères de la police. Il est touché, il va s’écraser.  

Boum ! L’immeuble de Reika étant tout près du lieu du crash trembla.  

- Little Bird à terre, je répète un des Little Bird de la police de Tokyo vient de se crasher.  

Kaori tomba dans les vaps à son tour.  

- Notre hélico risque de se faire abattre, nous devons malheureusement nous éloigner. Je …  

Clic !  

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