Capitolo 11 :: Douce matinée...

Pubblicato: 24-09-06 - Ultimo aggiornamento: 24-09-06

Commenti: Tiens voilà une revenante. Dsl d'avoir disparu ainsi de la surface de la terre. Mais maintenant je suis de retour et j'essairais de raccourcir les écrats entre les chapitres. Si vous avez oubliez l'histoire je vous invite à parcourir les chapitres précédents sinon...vous avez une sacrée mémoire lol. Bon voilà, je vous laisse lire et surtout, n'oubliez pas de laissez pleins pleins pleins de REVIEWS. Biz

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Le lendemain, Kaori se réveilla tôt comme à son habitude. Elle descendit pour voir si quelqu’un était debout. Leila se trouvait dans la cuisine et préparait le petit déjeuner.  

- « Est-ce que je peux t’aider ? »  

- « Oui si ça ne te dérange pas » répondit Leila. Cela ne leur prit à peine plus une demi-heure pour finir de préparer le petit-déjeuner et pour dresser la table.  

- « Merci beaucoup pour ton aide Kaori. Mais il vaudrait peut-être mieux que tu ailles te changer. Mon frère ne va pas tarder à descendre et, bien que cela lui ferait plaisir de te voir ainsi, je crois qu’il serait préférable que tu montes te changer » déclara Leila d’un air moqueur.  

Ce n’est qu’à ce moment que Kaori remarqua la tenue dans laquelle elle était. En effet, elle portait une nuisette court et plutôt transparente. Miki lui avait obligé par je ne sais quel miracle à l’acheter et l’avait fait promettre de la porter (NDA : Je tiens à préciser que miracle pour Miki = torture, menace…). Elle se mit à rougir furieusement en pensant que Toshi pourrait la voir ainsi. Décidément, on aurait dit que toutes les leçons que ses amies lui avaient apprises au bout de plusieurs heures éprouvantes, épuisantes étaient totalement inutiles quand il s’agissait Toshi.  

Tout en montant dans sa chambre, elle se reprocha d’avoir de telles pensées. Quand elle arriva dans la chambre, Ryo venait à peine de sortir de la salle de bain et seule une petite serviette cachait, si l’on puit dire, sa nudité. Kaori fut figé sur place face à…ça. Elle avait toujours trouvé que Ryo était beau, du moins quand il était sérieux (NDA : dommage que ce soit si rare), mais là il n’était plus seulement beau mais carrément…wouah. Ses cheveux couleur ébène étaient mouillés ce qui le rendait terriblement…sexy. Et les gouttes d’eau qui coulait le long de son corps, les cicatrices qu’il avait sur le torse, et ces muscles, elle s’imaginait passant ses doigts dessus, et…  

Elle avait intérêt calmer son imagination sinon Dieu sait jusqu’où elle irait. Elle inspira profondément tout en priant pour qu’il n’ait pas remarqué son malaise et chercha les vêtements qu’elle allait mettre comme si de rien n’était. Elle était à milles lieux d’imaginer le trouble qui habitait son partenaire.  

En sortant de la salle de bains, rien ne l’avait préparé à ce qu’il verrait. Il fut surpris de voir comment la « simple » vision de cette créature divine, cette nymphe qui lui servait de partenaire avait réussi à effacer les effets apaisants qu’avait eut sur lui la douche froide qu’il venait de prendre. Et dire qu’elle faisait comme si de rien n’était. Bien qu’il se le reprocha, il ne pouvait s’empêcher de se demander si elle faisait semblant ou si de le voir ainsi, quasiment nu, la laissait véritablement indifférente. Et pris d’une impulsion soudaine, il s’approcha d’elle par derrière et l’enlaça.  

- « Ryo ?! »  

- « Oui Kaori ? »  

- « Tu…t’es tout mouillé ! Regarde comme je suis trempé à cause de toi » dit-elle en riant.  

A ça pour être trempé, elle l’était. Sa chemise de nuit était encore plus transparente et elle moulait les formes de son corps si parfait. Plus que jamais, il la désirait, il désirait la faire sienne, il voulait qu’elle lui appartienne corps et…âme, bien que le mot lui parut un peu grandiloquent. Alors qu’il était perdu dans ses pensées, sans qu’il ne sache comment c’était arrivé, il se retrouva plaquer sur le lit avec Kaori assis en califourchon sur lui en train de l’embrasser. Bien qu’il soit surpris, cela ne l’empêcha pas d’approfondir le baiser.  

Dieu sait qu’il en avait connu des femmes, et toutes aussi belles les unes que les autres. Mais elles n’étaient pour lui qu’un passe-temps et il était conscient d’avoir briser plus d’un coeur mais jusqu’à présent, ça lui importait peu. Mais avec Kaori, tout était différent. Il ne savait pas comment s’y prendre avec elle. Ce n’était pas un plaisir éphémère, c’était sérieux et lui, les histoires sérieuses il les fuyait. Mais comment fuir quand elle se met en tête de vouloir le séduire ? Il savait bien qu’il serait incapable de résister, et ce pas parce que c’était une belle jeune femme mais parce qu’elle était elle, Kaori !  

Mais il ne voulait pas y penser pour l’instant il voulait juste profiter de ce moment. Malgré tout, il n’arrivait pas à comprendre comment un simple baiser pouvait lui faire atteindre une telle extase. Sûrement qu’il n’y avait rien à comprendre. Alors qu’il commençait à perdre le contrôle de soi en sentant les mains de sa bien-aimée parcourir son torse, Kaori se leva et en deux temps trois mouvements, elle avait rassemblé ses affaires et se dirigeait vers la salle de bais.  

- « J’vais prendre une douche » dit-elle avec un sourire moqueur. En deux enjambées, il la rattrapa et la retint par le poignet. Il avait l’air assez énervé ce qui ne parut pas déplaire à Kaori. Elle s’amusait à le voir ainsi, c’était en quelque sorte une vengeance personnelle.  

- « Où crois-tu aller comme ça ? »  

- « J’te l’ai dit, je vais prendre une douche » répéta-t-elle toujours avec ce sourire moqueur.  

- « Et tu crois franchement que je vais te laisser faire ? »  

- « Faire quoi ? » répondit-elle d’un air faussement innocent.  

- « Faire quoi ?! » cria-t-il excédé. Il n’avait jamais supporté d’être manipulé.  

Or c’est ce qu’elle faisait et elle s’amusait à le voir sortir de ses gonds. Il inspira profondément pour se calmer. Il ne lui ferait pas ce plaisir.  

- « Venir m’allumer et l’instant d’après me laisser en plan comme tu le fais » expliqua-t-il aussi calmement qu’il le pouvait.  

- « Moi t’allumer ! Tu prends tes désirs pour des réalités mon pauvre » nia-t-elle. Elle ne put se contenir longtemps devant la tête qu’il faisait et éclata de rire.  

- « On t’as déjà dit que t’étais mignon quand t’étais fâché ? Non franchement tu devrais te mettre en colère plus souvent » dit-elle avant d’entrer dans la salle de bain et de fermer la porte. Ryo leva les yeux au ciel et soupira. A cet instant, il ne savait pas quel impulsion suivre : défoncer la porte et lui tordre le cou ou défoncer la porte et l’embrasser. Quoiqu’il en soit, il décida finalement de s’habiller.  

Quand Kaori sortit de la douche, Ryo était déjà descendu. Elle rit en repensant à la scène qui s’était déroulé auparavant. Pauvre Ryo, si elle continuait ainsi, il risquait de devenir fou. Pendant un instant, elle fut tentée d’arrêter de le torturer ainsi mais cette pensée la quitta aussi vite qu’elle n’était venu. C’était si drôle de le voir dans tous ses états ! Elle se rappela soudain qu’elle n’avait toujours pas trouvé de vêtements à mettre. Elle se décida pour un débardeur turquoise qui se refermait par des ficelles dans le dos et qui laissait à nu son ventre plat et son dos. Elle mit un short en jeans très court qui mettait en valeur ses jambes galbées et se décida enfin à descendre dans la salle à manger.  

Toshi était descendu à peine quelques minutes après que Kaori soit monté. Il était presque aussitôt remonté réveiller les enfants. Ryo était descendu juste quand tout le monde finissait de se préparer. Une demi-heure après, Kaori entra. Et son entrée ne passa pas inaperçue.  

Toshi ne pu quitter du regard cet ange. Comme elle était belle.  

- « Bonjour tout le monde, désolée du retard » dit-elle en prenant place.  

- « Ce n’est rien » répondit Leila.  

- « Tu es vraiment resplendissante » complimenta Toshi.  

- « Merci, c’est gentil » répliqua Kaori en souriant.  

Après la vaisselle, Leila annonça qu’aujourd’hui, les enfants avaient toute la journée de libre.  

Et Mélodie voulait en profiter pour aller au ciné. Kaori se proposa de l’accompagner.  

Elles étaient sur le point de partir quand on interpella Kaori. Elle se retourna et vit Tenshi. Il se jeta à son cou.  

- « Tu vas où Kaori ? »  

- « Au cinéma avec Mélodie. »  

- « Je peux venir avec vous ? »  

Elle regarda Mélodie pour avoir son accord. Mélodie leva les yeux au ciel…  

- « Ok, viens » accepta Mélodie  

Elles partirent partir accompagnées de Tenshi.  

- « Alors finalement t’es pas muet toi ? » demanda la jeune fille.  

- « Non, sinon je ne serais pas en train de te parler » répondit Tenshi d’un ton exaspéré. On aurait dit que la question ne valait même pas une seconde d’attention tellement la réponse était évidente d’après lui.  

Kaori éclata de rire devant l’air choqué de Mélodie. Ca devait être la première fois qu’un gamin lui répondait avec autant d'insolence. Finalement, cette sortie promettait d’être un moment inoubliable, autant pour Mélodie que pour le petit…  

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