Capitolo 3 :: La tunique

Pubblicato: 03-08-05 - Ultimo aggiornamento: 03-08-05

Commenti: Un nouveau chapitre ur cete nouvelle histoire .... je vous remercie pour vos reviews ... bonne lecture bizzz

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« Deux pupilles ne me quittaient plus. »  

« Depuis que j’avais croisé les yeux de cette charmante demoiselle, mon corps avait exprimé une certaine hardiesse : ma troisième main avait de suite réagit à la beauté de son visage. »  

Je vous l’accorde la transparence et l’échancrure de sa tunique y avait avantageusement contribué à la croissance de mon inclination. Je remerciais le ciel que la nappe dissimulait cette protubérance. Je ne désirais pas que la demoiselle fût surprise par l’expression grandissante de mon affection… charnelle. »  

« Oui je me suis rattrapé à temps je n’avais pas envie que l’auteur me fasse une remarque désobligeante. »  

« La demoiselle avait les joues rosées, certainement grâce au verre d’alcool qu’elle avait entre les mains. Ses pommettes rougissaient de plus en plus quand elle plongea son regard dans le mien. »  

« Ce fût d’une voix sensuelle qu’elle prononça son patronyme, ce ravissement ne calma guère mon petit soldat. Je savais bien que l’approche de la demoiselle eût été teintée de risque… Mon pantalon n’allait plus résister très longtemps à l’appétit grandissant que je portais à cette femme, au doux nom de Kaori. »  

« Elle se leva et se posa à mes côtés. Son souffle chaud emprunt de sensualité frôlait le peu de peau visible pour la demoiselle, celle de ma nuque. Son regard était teinté de convoitise. Ce fût aux prises d’un désir grandissant que je dus me résoudre à me décoller de la Kaori.  

Le risque devenait trop grand. Je ne pouvais guère montrer mon enthousiasme à toute l’assistance. »  

« Je me levais. Elle me lança un œil paré de tristesse. La donzelle attendait peut être un geste de ma part. Sa beauté était un ravissement de tous les instants. La position dans laquelle je me trouvais conférait un angle de vue fortement appréciable. Le buste de la jeune femme se levait lentement, déployant ainsi sa poitrine, se respiration devenait de plus en plus rapide. Elle craignait quelque chose ou quelqu’un.»  

« Je lui tendis la main. »  

« En se dégageant de l’étroit espace qu’il y avait entre la banquette de velours rouge et la table, la demoiselle trébucha sur le tapis. Elle se retrouva dans mes bras, son anatomie épousait avec perfection la mienne. Je vis ses joues devenir rouge cramoisie l’espace d’un instant. Elle qui avait déjà le feu aux joues, ne fût que d’autant plus gênée. Mais elle ne laissa rien paraître, seules ses pommettes trahissaient sa gêne.  

Elle sentit sans nul doute la protubérance de mon pantalon sur ses abdominaux. Contre toutes attentes, la demoiselle ne se laissait pas abattre, ses deux mains avaient gagnées mon torse. Ces dernières avaient entamées une danse particulière. »  

« Je m’écartais de la demoiselle, la regardait avec estime dans les yeux, et vit une lueur de tristesse de plus en plus intense.  

La demoiselle quelque peu confuse n’avait pas détourné son regard du mien. Elle me lançait éventuellement un appel de détresse… Tout ce qu’elle avait pu me faire n’était peut être qu’une mascarade. »  

« Vous allez bien mademoiselle Makimura ? »  

« Elle baissa les yeux, la torsion de ses mains trahissait sa nervosité. Je les lui pris. Nous sortîmes de la pièce, entrâmes dans le vestiaire.  

Je récupérais le paletot emprunté en début de soirée au triste sir. Le mit sur les épaules de la jeune femme. »  

« La demoiselle avait sur le coté son sac. »  

« A quelques mètres de la sortie, la jeune femme s’écroula. »  

« Moi qui étais venu dans ce cabaret pensant ne pas trouver cette jeune femme, Kaori Makimura, meneuse de revue se trouvait dans mes bras, inerte. Qu’allais je faire de cette demoiselle ? Je ne savais pas où elle logeait.»  

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