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Capitolo 11 :: Saeko Pubblicato: 15-12-05 - Ultimo aggiornamento: 15-12-05 Commenti: Me revoilou ... L'instant d'un battement cil et je suis tout a vous pour ce nouveau chapitre ... J'espères que celui ci vous plaira tout autant que les autres ..... bonne lecture les filles et merci pour vos reviews.... Ellipse du coeur
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Quelle ne fut ma stupeur quand je vis plusieurs jeunes demoiselles à peine vêtues dans la rue… Je tentais une percée vers l’objet qui accaparait leurs doux et tendres regards. Je m’avançais avec un certain mal vers le sujet de leur attention, tout en profitant pour toucher l’arrière main de ces demoiselles. Je ne vis en me frayant un chemin qu’une paire de jambes, ce qui ne fit qu’agiter un peu plus mon désir grandissant. J’avançais un peu plus, quel fut mon étonnement lorsque je vis étendu devant moi une femme que je connaissais depuis fort longtemps, cette dernière avait des pectoraux généreux et affriolants, mes mains s’en souviennent ! (ndlr : tu es sur qu’il n’y a que les mains qui s’en souviennent Ryo ??? Je te trouve très informé sur l’anatomie de la demoiselle !!!)
Saeko, est une de mes anciennes conquêtes… La juvénile femme avait sans nul doute glissé sur l’un des regards qui longe le bas-côté. Le visage de la donzelle était caché par les quelques cheveux qui retombaient complaisamment. Je tendis une main secourable à la damoiselle. Elle leva la tête et m’adressait un sourire des plus charmants, ses yeux bleus riaient. Elle pris appuie sur ses pieds, atterrit dans mes bras… Je sentis le souffle chaud de la jeune dame sur mon cou, j’eu un mouvement de recul, ce qui ne me ressemblait pas normalement. Elle se redressa, mais ce mouvement, n’eu que pour conséquence, une cheville foulée.
Elle ne tarda pas à se plaindre… Ma faisant passer ainsi pour un monstre…Moi ! Un monstre… Un sans cœur, qui renversait les belles demoiselles…
Je n’osais pas regarder les femmes qui m’entouraient, je sentais le poids de leurs attentions sur moi…Je pris Saeko dans mes bras, me dirigeais vers l’appartement quand, une massue survola mon crâne…
Je savais qu’à partir de cet instant ma vie en tant que protecteur, dragueur, géniteur prenait un virage différent… Pour résumer allègrement la situation: il ne me restait que peu de temps pour profiter des mille et uns plaisirs de la vie… Ma vie s’était quelques peu raccourcit à la vue de la masse qui venait de n’ôter quelques cheveux.
Par miracle, si on peut parler de phénomène : je croisais un banc … Je déposais Saeko, et m’agenouillait.
La sentence suprême ne se fit pas attendre…
A peine eu-je fait ma génuflexion, qu’une douleur lancinante m’empêcha d’articuler, cette dernière provenait de ma boîte crânienne…
« Ryo tu as une maîtresse… Ingrat ! Moi qui étais revenu pour te préparer le repas… »
Je tentais tout de même une explication… Mais Kaori ne me laissa pas commencer.
« Je ne veux pas d’explication vaseuse… »
Je subissais les foudres de la demoiselle devant une Saeko éberluée…
Les yeux grands ouverts, la jeune femme restait prostrée sur son morceau de banc.
Elle allait sans nul doute solliciter des informations sur l’identité de cette furie un peu plus tard – déformation professionnelle oblige. Ah…C’est le problème avec les journalistes.- Un rictus fit place à l’incompréhension… Je n’osais me demander à quoi la jeune femme avait bien pu penser à cet instant… Je la vis s’éloigner… Kaori me traînait, usant ainsi pour la seconde fois un de mes caleçons fétiches… Saeko, me voyant ainsi riait de plus bel.
Ce n’est qu’une fois arrivés chez nous que ma partenaire me lâcha le col. Elle m’avait abandonné sur le bas de la porte, toujours aussi furieuse, elle eu trouvé un autre centre d’intérêt, elle se déchaînait sur les légumes…
Je me levais, m’orientais vers ma chambre…
J’avais décidé de rétablir le dialogue une fois que cette pie-grièche aurait calmé ses ardeurs. J’entrais dans ma chambre… Lorsque le téléphone sonna…
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