Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Tiffany

Beta-reader(s): Maruku

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 11-08-05

Ultimo aggiornamento: 20-06-10

 

Commenti: 27 reviews

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RomanceRomance

 

Riassunto: Une petite fille, une simple petite fille qui pourtant à une place spéciale dans le coeur de Ryo. Il croit ne plus jamais aavoir à faire à elle mais il se trompe. Des années plus tard, il sauve une jeune femme d'une mort certaine mais comment réagira-t-il en apprenant que cette belle jene femme dont il s'éprend peu à peu est en fait cette petite fille ? Attention, ceci est une fic ALTERNATIVE

 

Disclaimer: Les personnages de "Amour quand tu nous tiens " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Amour quand tu nous tiens...

 

Capitolo 4 :: Souvenirs...

Pubblicato: 20-06-10 - Ultimo aggiornamento: 20-06-10

Commenti: Je sais. Après 2 ou 3 ans d'absence je n'ai pas d'excuse. Pardon, pardon... J'espère que ce chapitre me suffira à me faire pardonner. J'espère que vous apprécierez. Dîtes moi ce que vous en pensez. Et...soyez indulgent, je suis rouillée. N'hésitez pas à relire l'histoire si c'est plus très frais (ce que je comprendrais) et à laissez des coms. Biz. Tiffany

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

Une femme tenait le bureau des renseignements.  

- Excusez-moi, est-ce bien ici que travaille monsieur Makimura ?  

- Oui c’est ici. Mais il n’est pas disponible en ce moment.  

- J’aimerais le voir juste quelques minutes, c’est urgent.  

- Il a insisté pour qu’on ne le dérange pas pour le moment.  

- Bon d’accord, je vais attendre alors. Merci mademoiselle.  

Kaori se dirigea vers le couloir mais au lieu d’attendre, elle continua à la recherche du bureau de Makimura.  

Elle s’arrêta devant une porte.  

- Lieutenant Makimura. Je crois que c’est ici murmura-t-elle.  

Elle frappa à la porte mais personne ne répondit. Elle essaya une nouvelle fois sans succès. Elle ouvrit la porte. Un homme embrassait une belle jeune femme.  

- Hum… Excusez-moi de vous déranger.  

Aussitôt ils se séparèrent. Kaori les reconnut immédiatement.  

- J’avais dis que je ne voulais pas être dérangé.  

- C’est sûr. Tu étais tellement occupé.  

- Qui êtes-vous ?  

Il ne l’avait pas reconnu. Kaori décida de s’amuser un peu.  

- Alors c’est avec elle que tu me trompes ? Chaque fois que tu me dis que tu vas travailler, c’est pour la voir ?  

- Hideyuki, qui est cette femme ? demanda Saeko l’air contrarié.  

Oui, Kaori l’avait aussi reconnu.  

- Je ne sais pas. Je te jure que je ne la connais pas.  

- Comment oses-tu dire ça après tout ce qu’on a traversé ensemble.  

Elle ne pu resté sérieuse plus longtemps devant la mine déconfite d’Hideyuki. Elle éclata de rire.  

- Qui êtes-vous ? demanda à nouveau celui-ci  

- Je me doutais que vous ne me reconnaîtriez pas. C’est moi, Kaori. J’ose espérer que vous vous souvenez de moi.  

Ils écarquillèrent les yeux. Kaori se doutait que ça arriverait. Comment se seraient-ils rappeler d’une gamine rencontrée il y a onze ans de cela.  

- Kaori ? Tu…as grandi. Tu…  

Hideyuki s’avança et la prit dans ses bras. Il la fit tournoyer, comme avant, avant de la reposer et de la dévisager de la tête aux pieds.  

- Je suis drôlement surpris de te voir. Mais ça me fait plaisir. Je ne pensais pas que tu reviendrais un jour. J’ai même que tu étais…enfin…  

- J’ai crû que tu m’avais oubliée.  

- Comment est-ce que je pourrais oublier ma petite sœur. Je suppose que tu as reconnue Saeko ?  

- Oui. Désolée pour tout à l’heure mais c’était trop tentant.  

- Toujours aussi espiègle. Je suis contente de te revoir dit Saeko en souriant.  

- Je vois que ce grand timide t’a enfin avoué sa flamme.  

- Oui, il a mis du temps mais mieux vaut tard que jamais.  

Hideyuki se mit à rougir sous le regard amusé des deux jeunes femmes.  

- Qu’est-ce qui t’a décidé à revenir après tout ce temps ? demanda-t-il pour changer de sujet.  

- Je suis en cavale et j’ai besoin de ton aide.  

- Quoi ?  

- Tu te souviens de mon père ?  

- Oui bien sûr. Je ne sais pas si tu es au courant mais je…mène une enquête sur lui. Il est accusé de plusieurs crimes mais on n’a aucunes preuves. Après ton départ et avec la lettre que tu as laissée à Ryo, j’ai fais ouvrir une enquête mais je en m’attendais pas à ce que son dossier soit aussi chargé. Je préfère être honnête avec toi.  

- C’est parfait. J’avais peur que quelqu’un d’autre soit chargé de l’affaire. Je peux t’aider, t’apporter des preuves. Mais je dois d’abord t’expliquer.  

Elle lui exposa sa situation.  

- Donc après notre départ, il s’est remarié avec une femme. Mais il la battait et elle partit en laissant derrière elle ses quatre enfants. Depuis, je m’occupe d’eux. J’ai fais tout ce que j’ai pu pour les protéger mais je ne veux pas qu’ils grandissent dans un milieu pareil. Et tant qu’il ne sera pas en prison, mon père essaiera de les retrouver.  

- J’y travaille. Ca fait des années que je cherche à le coincer. Mais en quoi as-tu besoin de mon aide ?  

- J’aimerais que tu m’aides à retrouver quelqu’un.  

- Quelqu’un ?  

- Oui. Le père de ces enfants. Ils pourront peut-être se réfugiés là en attendant que tu arrêtes mon père.  

- Mais pour l’arrêter j’ai besoin de preuves. Et Junichi Hisaichi ne laisse jamais de preuves soupira Hideyuki.  

- J’ai fais appel à un spécialiste dans le genre.  

- Qui ça ?  

- City Hunter alias Ryo Saeba. Je l’ai rencontré tout à l’heure. Il a accepté de se charger de l’affaire.  

- Il a dû être heureux de te revoir. Dans trois jours, ça fera douze ans jour pour jour que vous vous êtes rencontrés.  

- A vrai dire, je…je ne lui ai pas donné mon vrai nom.  

- Pourquoi ? s’exclama Hideyuki.  

- Ben, on s’est rencontré dans le bar où je travaille. Il y avait Stéphanie, une amie et elle me connaît sous le nom Reika. Et après, je n’ai pas osé lui dire que je lui avais menti.  

- Pourquoi as-tu un faux nom ?  

- C’était pour brouiller les pistes à mon père. Ca aurait été trop facile de nos retrouver sinon.  

- Tu es intelligente ! Mais j’espère que tu vas le lui dire. Encore qu’à mon avis, il l’a deviné déclara Saeko.  

- Non. Il ne m’a pas reconnu.  

- Je crois que Saeko a raison. Et s’il ne t’as pas reconnu, il a dû sentir quelque chose de louche. Ryo sait sentir quand on lui ment. Il a un sixième sens pour ça. Et s’il découvre par lui-même ton mensonge, il t’en voudra à mort.  

- Dès que j’en ai l’occasion, je le lui dis promis. Mais ce n’est pas le plus important,…  

- Pour lui si l’interrompit son frère de cœur.  

- Non. Douze ans ont passés, il est passé à autre chose et…  

- Personne n’est passé à autre chose. Croire tu que se soit si simple de t’oublier une fois qu’on t’a rencontré ? Tout le monde se souvient de toi-même ceux que tu n’as fait que croisé. Souvent mon père se demande ce que tu deviens ! Mon père ! s’exclama Saeko.  

Kaori sourit. Elle se souviendrait toute sa vie de sa première journée passée avec Monsieur Nogami.  

 

Flash Black  

 

- Mais Hide, tu m’avais promis de rester avec moi !  

- Un autre jour, je dois partir travailler.  

- Mais tu dis toujours un autre jour ! S’il te plaît, emmène-moi avec toi alors.  

Hideyuki regarda cette adorable petite fille lui faire les yeux doux. Il aurait fallu être un monstre au cœur de pierre pour lui résister, et Hideyuki ne l’était pas.  

- Ok, mais tu me promets d’être sage et de ne pas déranger ?  

- C’est promis !  

Kaori l’accompagna donc au bureau. Elle devait rester à ses côtés pour voir en quoi consistait le travail d’un policier mais il avait été appelé en mission sur le terrain. Seulement, il n’avait pas le temps de passer la redéposer à chez le Doc.  

- Je peux rester ici jusqu’à ce que tu reviennes ? proposa la gamine.  

- Je vais voir ça avec mon chef.  

 

Il la conduisit jusqu’à une porte et frappa deux coups. Sans attendre de réponse, il entra suivit de la petite.  

- Je suis occupé, je…Makimura, ça ne m’étonne pas de toi. Que me vaut ce dérangement ? demanda un homme âgé d’une quarantaine d’année  

- Je dois aller en mission chef.  

- Mais encore ? C’est bien pour ça que tu es payé ?  

- Je ne voudrais pas laisser Kaori seule dans les couloirs. Alors je vous suis infiniment reconnaissant de bien vouloir la garder le temps que je revienne.  

Aussitôt il s’en alla.  

- Mais qui est Kaori ? Hideyuki Makimura ! Reviens ici tout de suite si tu tiens à ta place ! hurla son chef.  

Ses paroles tombèrent dans le vent.  

- C’est moi Kaori. Toi c’est Monsieur l’officier Nogami ? C’est ce qui est écrit là dit Kaori en pointant du doigt une plaque posée sur le bureau de « Monsieur l’officier Nogami ».  

Le regard de ce dernier se posa sur la petite fille qui le fixait de ses yeux innocents.  

- Bon, tu t’assieds là et tu ne bouges pas jusqu’à ce qu’il revienne.  

- Oui Monsieur l’officier Nogami répondit-elle.  

Il reçut un appel à ce moment. Puis un autre et encore un autre jusqu’à ce qu’il en oublie sa présence. Au bout d’une demi heure, le téléphone cessa enfin de sonner. Il poussa un soupir de soulagement.  

- Quand je serais préfet, j’interdirais quiconque de me déranger ainsi.  

- C’est quoi un préfet Monsieur l’officier Nogami ?  

Il sursauta.  

- Tu es encore là toi ?  

- Tu as fini ton travail Monsieur l’officier Nogami ?  

- Oui. Et arrête donc de m’appeler « Monsieur l’officier Nogami », ça commence drôlement à m’énerver !  

- Pardon. Comment je t’appelle alors ?  

- Appelle-moi Toshi.  

- Mais maman, elle dit toujours que c’est pas bien d’appeler les grandes personnes par le prénom. Elle dit aussi qu’il faut que je dise « monsieur » ou « madame » quand je parle à une grande personne.  

- Oui mais là, je te donne ma permission. Bon, qu’est-ce que je vais faire de toi ?  

- On peut aller manger une glace ? J’ai de quoi payer. C’est le Doc qui me donne de l’argent de poche parce que je l’aide à soigner Ryo. Ryo c’est…  

- Viens, allons manger cette glace. Tu me raconteras ça en route ok ? Je connais justement un magasin de glace pas très loin d’ici.  

Ils se dirigèrent donc vers là. Durant tout le trajet, Kaori ne cessa de parler. D’ailleurs, l’officier s’en amusait. Elle était intarissable. Une fois qu’elle avait commencé, elle ne s’arrêtait plus.  

- Alors, quel parfum veux-tu ? l’interrompit-t-il.  

- Au noisette avec plein de bonbon. Et toi Monsieur Toshi ?  

- Une au citron.  

Kaori tendit au marchand une pièce de 1 yen (NDA : je sais pas ça vaut combien donc on va dire que c’est comme un euro ok ? Ok, de toute façon c’est moi l’auteur, donc je fais ce que je veux.). Toshi Nogami la regarda attendri.  

- C’est moi qui invite ok ? proposa-t-il.  

- Mais…  

- S’il te plait, ça me ferait plaisir.  

- D’accord, merci beaucoup.  

 

Il la dévisageait avec insistance tandis qu’elle entamait joyeusement sa glace.  

- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle quand elle le remarqua.  

- J’allais souvent chez ce marchand de glace avec ma fille quand elle était petite. Elle prenait la même chose que toi. Noisette avec pleins de bonbon.  

- Maintenant vous y allez plus ?  

- Non, maintenant elle est trop grande. Et j’ai trop de travail.  

- Ma maman que ses deux passions c’est son travail et ses enfants. Elle est médecin, elle aime guérir les gens. Mais elle dit aussi qu’elle ne fera jamais passer son travail avant ma sœur et moi.  

- Ta maman a tout à fait raison. Dommage que je l’ai réalisé trop tard.  

- Ta fille c’est Saeko monsieur Toshi ?  

- Oui. Tu la connais ?  

- Je l’ai déjà vu. Quand je suis allée chez Hideyuki. Elle est très gentille. Elle et Hideyuki, ils sont amoureux mais ils ne veulent pas se le dire. J’ai vu comment ils se regardaient.  

Toshi repensa à ses paroles tandis qu’ils finissaient leurs glaces en silence. Comment tant de sagesse pouvait émaner de cette gamine âgée d’à peine huit ans ? D’après ce qu’elle lui avait raconté, elle tenait ça de sa mère.  

Après, il proposa une promenade dans un parc avant de rentrer. En chemin, Kaori s’arrêta devant la vitrine d’un magasin de jouet. Il y avait un petit lion en peluche.  

- Tu le veux ? demanda l’officier.  

- Non, tu m’as déjà offert une glace. Merci quand même Monsieur Toshi.  

- Laisse-moi te l’offrir. Je tiens à t’en faire cadeau pour que tu te souviennes de cette journée insista l’homme.  

- Mais je n’ai pas besoin d’un cadeau pour ça. Je n’oublierais jamais cette journée. Parce que tu as été vraiment très gentil avec moi.  

- Parce que tu es vraiment très adorable. Bon tu viens, cette peluche ne s’achètera pas toute seule répondit l’officier.  

Sans plus de protestations, ils achetèrent la peluche et reprirent le chemin du retour après avoir fait un arrêt sur un banc du parc.  

- Pourquoi un lion ? demanda soudain Toshi Nogami.  

- Parce que j’aime bien les films « Le roi lion ». Ma maman dit que les lionnes et elle ont un point commun, il ferait tout pour protéger leurs enfants. Elle dit souvent qu’elle nous aime parce qu’on ne sait pas ce qui peut arriver dans la vie. Elle ne veut pas regretter de ne jamais nous l’avoir dit.  

- Ta maman est une personne très intelligente. Toi aussi. Deviens comme elle.  

- C’est mon rêve. Parce que c’est la plus gentille des mamans au monde !  

A ce moment, elle aperçu Hideyuki qui rentrait de sa mission. Elle couru de jeter à son cou. Il la fit tournoyait dans les airs, c’était devenu une sorte de rituelle entre eux. Elle lui montra fièrement sa peluche tout en lui contant sa journée sous les yeux ébahis de Makimura. Il avait du mal à imaginer que l’homme dont elle lui parlait était bien son chef, grincheux et renfermé.  

- J’ai hâte de montrer ça à Ryo !  

- Il est tard, dès qu’on rentre, tu vas te coucher. Ca attendra demain.  

- Oui Hideyuki répondit la petite fille d’un air sage.  

Trop sage…  

 

Fin du Flash Back  

 

 

 

 


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