Capitolo 2 :: Oups…

Pubblicato: 13-09-05 - Ultimo aggiornamento: 13-09-05

Commenti: Voilà enfin le 2ème chap, la suite ne devrait pas tarder. Un grand merci à ma nouvelle béta Nanou et un gros bisous à ma Saiyuki qui doit bosser comme une folle, gros bisous ma belle et courage. Un autre gros bisous à vous pour les reviews Eden, Moon, Imala, Shan In XYZ, Milene, Nanou, Titia, Fan2Ch, Loreley, Tiffany, vous me motivez énormément. Alors bonne lecture, j'espère que ça vous ira et surtout laissez des reviews!!

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Café Cat’s Eye, 17 juillet, 18 h 30.  

- « Alors Kaori, tu as réussi à faire tous tes achats ? », questionna l’ex mercenaire tout en servant un grand verre d’eau à son amie.  

- « Oui, enfin. »  

- « Ryo aurait pu te donner un coup de main pour préparer cette petite fête. Il n’a pas d’affaire en cours en ce moment, il aurait dû se charger des courses. »  

- « Ne t’inquiète pas Miki, il s’en est occupé. C’est juste qu’il me manquait deux ou trois petites choses que monsieur Tan ne recevait que cet après-midi alors j’y suis passée après le travail. En plus, je n’avais pas encore trouvé le cadeau d’Alia. », finit la jeune maman, un peu honteuse de son aveu.  

- « Et tu as fini par te décider ? »  

- « Oui. » Kaori sortit d’un des sacs un petit ensemble blanc avec chaussures assorties et d’un autre, la dernière poupée à la mode. « Alors, qu’en dis-tu ? »  

- « Excellent choix, comme d’habitude. A quelle heure doit-on venir demain soir ? »  

- « Disons pour 19h, si ce n’est pas trop tôt pour le café. »  

- « Pas de problème pour nous, et en plus j’apporte le gâteau. »  

- « Parfait. Bon, je te laisse, je file retrouver mes amours et découvrir les nouvelles bêtises qu’ils m’ont encore inventées. »  

Kaori prit ses paquets et quitta l’établissement pour se rendre chez elle, contente que sa journée soit enfin terminée.  

Miki finit de ranger le café avant de fermer et de retrouver son fils et Falcon.  

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Immeuble CH.  

L’appartement était silencieux. En y pénétrant, Kaori eut le plaisir de découvrir sa petite famille tendrement endormie sur le canapé du salon. (NDA : oui, ils dorment tout le temps ces deux là.) (NDB : c’est tellement mimi !)  

Elle s’approcha d’eux, se pencha et déposa un baiser sur la joue de son mari qui ouvrit instantanément les yeux.  

- « Bonjour toi. »  

- « Bonjour vous. Elle dort depuis longtemps ? »  

- « Une petite heure, tout au plus. »  

- « Je te laisse la réveiller, je vais ranger les courses. A tout de suite. »  

Kaori disparut instantanément à ses quelques mots et Ryo se mit en tête de se lever.  

-« Debout ma puce, maman est arrivée. », murmura le nettoyeur à sa fille.  

L’enfant se frotta les yeux du revers de la main avant de bâiller tout en silence. Ryo la déposa à côté de ses jouets et se dirigea à son tour vers la cuisine.  

-« Tu veux un coup de main peut-être ? »  

-« Oui, tu peux mettre la table, merci. », dit-elle tout en continuant de s’afférer derrière ses fourneaux. Puis elle reprit : « Alors, ta journée s’est bien passée ? Pas de boulot pour City Hunter ? »  

-« Non, on dirait bien que la période estivale est un moment de faible activité pour nous, tout comme l’hiver d’ailleurs. Ah, mais bon, ça ira mieux dans quelques temps. »  

-« Oui, tu as raison. Au fait, toute la bande arrivera vers 19 heures demain. Je compte sur toi pour préparer l’appartement, ou tout du moins m’avancer un peu. »  

-« Ah, voilà à quoi en est réduit le terrifiant nettoyeur… », se plaignit Ryo, tête basse. (NDB : il peut au moins faire ça ce gros fainéant, non mais !)  

-« Tu disais ? », menaçait Kaori d’une petite massue de 100 tonnes entre les mains intitulée « Pense à ta fille, papa chérie. »  

-« Ce sera avec plaisir, oh grande déesse du foyer. »  

Il finit ensuite très rapidement sa tâche avant de s’enfuir retrouver sa télé et son programme de gym préféré. (NDB : on ne change pas les vieilles habitudes !)  

Le reste de la soirée se passa dans le calme et la bonne humeur.  

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Le lendemain, 17h00  

Ryo s’affairait à cacher ses derniers magazines collecteurs préférés, du regard des futurs invités de la petite fête.  

-« On va ranger tout ça bien au chaud avant que maman ou une autre personne mal intentionnée tombe dessus ! », dit-il à haute voix à l’attention de sa fille qui rangeait gentiment ses jouets dans son bac.  

Il les passa en revue rapidement et son attention fut attirée par un dossier rouge entre ses revues.  

-« Tiens, c’est quoi ça ? »  

Il l’ouvrit et son visage se transforma peu à peu pour refléter la peur que lui infligeait la vue de ces documents.  

-« Alia ma chérie, je crois que ta mère va me tuer cette fois. »  

La fillette leva des yeux d’incompréhension vers son géniteur qui lui répondit par un sourire crispé.  

-« On va ranger tout ça dans un coin et on s’en occupera demain, quand maman sera au travail. », finit le nettoyeur.  

Mais il n’eut malheureusement pas le temps de trouver une planque adéquate que la porte d’entrée s’ouvrit sur la maîtresse de maison.  

Ryo se débarrassa rapidement des preuves du délit en glissant l’ensemble derrière les coussins du canapé. Alia se mit à rire en voyant ainsi son paternel en mauvaise posture mais elle se précipita rapidement dans les bras de sa mère.  

-« Maman ! »  

-« Bonjour ma chérie, bon anniversaire ma grande. »  

-« Merci maman, je t’aime. »  

-« Oh, moi aussi je t’aime ma puce. »  

Kaori reposa la petite par terre avant de se diriger vers son mari.  

-« Bonjour mon chéri. Ryo, ça va ? Tu as une drôle de tête. »  

-« Oui, oui ça va. Je… j’étais juste en train de faire l’idiot avec Alia, c’est tout. », ria-t-il tout en se grattant l’arrière de la tête.  

Il embrassa ensuite la jeune femme qui lui jeta tout de même un regard intrigué.  

Kaori prit ensuite Alia pour l’habiller pour la petite fête qu’ils allaient donner un peu plus tard.  

Ryo en profita pour se saisir des magazines et surtout du dossier d’inscription d’Alia sous le canapé mais quelqu’un frappa à la porte et il dut remettre le tout à sa place.  

-« C’est pas vrai ! », râla le nettoyeur.  

Il se dirigea rapidement vers l’entrée et ouvrit sur le visage souriant de son homologue américain.  

-« Et bien, pas content de me voir ? »  

-« Non, alors salut. »  

Ryo s’apprêtait à refermer la porte mais la douce voix de sa femme l’en dissuada.  

-« Mick, te voilà déjà ? »  

-« Oui, je m’ennuyais tout seul alors je me suis dit que je pouvais peut-être me rendre utile ici. (NDB : ben voyons ! C’est encore une excuse pour voir Kaori ça !) Où est ma filleule préférée ? », questionna le blond, élégamment vêtu.  

-« La voilà. »  

Alia se tenait à côté de sa maman et elle sauta au cou de l’Américain en entendant sa voix.  

-« Tonton Mick. Alors, t’a apporté mon cadeau ? » (NDB : elle ne perd pas le nord la petite, comme son papa !)  

-« Alia. », gronda Kaori.  

-« Laisse, c’est moi qui lui en ai parlé avant-hier. », puis s’adressant à l’enfant, il dit : « Oui, mais tu l’auras tout à l’heure avec les autres. »  

-« Ok. », elle l’embrassa et il la déposa.  

-« Bonjour ma belle petite maman. »  

Mick ajouta à son sourire un tendre baiser sur la joue de son amie qui lui valut un deuxième grognement de la part du nettoyeur. (NDB : grand jaloux, va !)  

-« Mick, arrête un peu de faire l’idiot. Si tu veux être utile, donne donc un coup de main à Ryo pour préparer les apéritifs, les commissions sont à la cuisine. Et surtout ne commencez pas à grignoter à droite et à gauche ! », ajouta la jeune femme en observant les deux hommes quitter la pièce.  

-« Maman, regarde le dessin qu’on a fait papa et moi. »  

-« C’est très joli ma puce. Et dis-moi, ton papa n’a pas fait trop de bêtises aujourd’hui ? »  

Alia sourit à la question de sa maman mais répondit par la négative.  

Kaori laissa ensuite sa fille jouer avec ses poupées tandis qu’elle remit une dernière fois de l’ordre dans le salon.  

Elle rangea les différents magazines, et elle commença à replacer les coussins du canapé quand on frappa à la porte de l’appartement.  

-« C’est ouvert, entrez ! », répondit Kaori. Elle continuait son activité et Miki et son mari se présentèrent à la petite famille.  

-« Kaori, c’est… Kaori, quelque chose ne va pas ? », osa demander la mercenaire en apercevant sa meilleure amie devenir rouge de colère, une étrange aura menaçante prenant place tout autour de madame Saeba. (NDB : je sens que Ryô va passer un sale quart d’heure, non ?)  

-« Oups… », chuchota Alia en découvrant l’objet qui mettait sa maman dans cet état. Elle recula instinctivement de quelques pas en priant pour le salut de son papa chéri. (NDB : oui Alia, prie pour ton papa, il en aura besoin !)  

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