Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

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HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 4 :: La punition de Ryo

Pubblicato: 10-10-05 - Ultimo aggiornamento: 10-10-05

Commenti: Voilà la suite, j'espère que vous n'avez pas eu trop d'attente et que la suite vous plaiera toujours. Merci mille fois à pour vos encouragements qui sont toujours les bienvenus (Moon, Titia, Camille, Fan2CH, Imala, Shan In XYZ, Chibiusa, Eden), un gros bisous à ma béta de choc Nanou, bonne lecture et à ++

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

La fin de la petite fête se déroula sans accroc et la petite Alia fut très contente de tous les cadeaux qu’elle avait reçus.  

Après quelques danses improvisées, toute la bande quitta l’appartement.  

Kaori monta sa fille, qui s’était déjà endormie sur le canapé du salon, dans sa chambre.  

Ryo commença à ranger la salle pour montrer sa bonne volonté à sa petite femme même s’il savait pertinemment que ça ne suffirait pas à lui faire oublier la bêtise qu’il avait commise.  

Il avait arrêté ses pitreries après les remarques de tous ses amis car il ne voulait pas gâcher la petite fête de son bébé.  

Quand il vit Kaori rejoindre le salon, il tenta une approche :  

 

-« Alors ma chérie, tu n’es pas trop fatiguée ? »  

-« Ryo, n’essaie même pas ce petit jeu là, je ne suis pas d’humeur ! »  

« Ouh, terrain miné. Mais je suis sûr qu’elle ne pourra pas résister à mon corps d’athlète ! », pensa le nettoyeur.  

Il s’approcha tout en silence de la jeune femme qui remettait les coussins du canapé en place et la retourna brusquement avant de coller les lèvres aux siennes.  

La réponse ne se fit pas attendre longtemps.  

La maman, déjà passablement remontée contre sa moitié, lui mit un magistral coup de genou idéalement placé (NDA : je vous laisse deviner quelle partie notre chère Kaori a pris pour cible ! NDB : Aïe !), ce qui fit céder le nettoyeur. Il retomba lourdement au sol sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche qui traînait à présent par terre. (NDB : le pauvre !)  

-« Tu l’as bien mérité celui-là ! »  

Elle monta à l’étage pour récupérer une couverture et un oreiller. Une fois parée, elle redescendit et trouva Ryo, toujours dans la même position qu’il y a un instant. (NDB : bigre, elle y est pas allée de main morte !)  

-« Tiens, voilà de quoi te couvrir cette nuit. Je ne voudrais pas que tu prennes froid et que tu meures dans mon salon. Bonne nuit Ryo. » (NDB : sympa !)  

 

 

Une fois seule, le pauvre Ryo commença à renifler comme un enfant de 5 ans et il se résigna à son sort de pauvre homme rejeté et incompris.  

 

Après une demi-heure à se retourner sur le canapé du salon, il prit la décision de « squatter » le lit de sa fille. Il agrippa son oreiller et sa couverture pour se faufiler jusqu’à l’ancienne chambre de sa partenaire.  

Il ouvrit délicatement la porte pour ne pas réveiller les deux femmes de la maison. Dans la pièce peu éclairée, la petite fille dormait paisiblement, un doux souffle s’échappant de ses lèvres entrouvertes et son doudou tendrement enlacé contre elle. (NDB : elle est trop mimi !)  

Ryo referma la porte et se glissa lentement dans le lit.  

Alia bougea légèrement pour venir se blottir contre son papa qui en profita pour remonter les couvertures et déposer un dernier baiser sur le front de l’enfant.  

 

 

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Le lendemain, 7h45.  

 

Au petit matin, Kaori ne fût qu’à moitié étonnée de ne pas trouver son mari où elle l’avait laissé. Elle devina aisément le lieu de refuge qu’avait du utiliser le nettoyeur. Elle finit de se préparer et passa embrasser sa petite fille avant de quitter l’appartement.  

 

En entendant Kaori pénétrer dans la chambre, Ryo avait espéré un petit bisou qui lui aurait donné l’espoir d’une réconciliation future mais il n’avait eu droit à la place qu’à l’ignorance, pure et simple. Il n’aimait pas cette situation peu habituelle dans son couple et il se promit de réparer sa bêtise le jour même.  

 

 

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Bureau de Kaori, 11h20.  

 

-« Bonjour Kaori, comment vas-tu ce matin ? »  

-« Bonjour Shinobu, ça va plutôt bien et ton rendez-vous ce matin avec monsieur Caïo ? », répondit Kaori tout en apportant un parapheur pour signature.  

-« Tout s’est très bien passé, on va sûrement se revoir d’ici la fin du mois pour signer un contrat avec sa société. »  

Shinobu fit une pause avant de reprendre :  

-« Au fait, comment va Ryo ? »  

Kaori lui lança un regard amusé et répondit :  

-« Il n’est pas encore mort si c’est ça ta question. (NDB : elle est vache là !) Mais dis-moi plutôt comment s’est fini la soirée avec Saeko ? J’ai entendu que tu l’avais ramenée chez elle ? »  

L’homme piqua un fard à la question de son assistante et fût ravi d’entendre la sonnerie du téléphone retentir dans le bureau voisin.  

-« Sauvé par le gong ! », se moqua Kaori qui partit répondre.  

 

 

-« Allo. »  

-« Madame Saeba, un appel pour vous. », présenta la standardiste.  

-« Kaori Saeba, que puis-je pour vous ? »  

-« Kaori, c’est Ryo, je ne te dérange pas ? »  

-« Qu’est-ce que tu veux ? Et pourquoi passes-tu par le standard ? »  

-« Je voulais être sûr de t’avoir en ligne. Tu es libre pour déjeuner, rien que tous les deux ? »  

-« Et qui va s’occuper d’Alia ? »  

-« Ne t’en fais pas, Mick est là et il a promit de la surveiller. Je lui ai déjà préparé son repas, j’ai tout prévu. »  

Kaori hésita un instant avant de donner sa réponse. Elle finit par accepter l’invitation qui lui permettrait aussi de régler quelques points avec son mari.  

-« Ok, à quelle heure ? »  

-« Je passe te prendre à midi, j’ai réservé une table dans un petit restaurant du quartier. »  

-« Bon, je dois retourner travailler, à tout à l’heure. »  

-« Ok, à tout de suite. »  

« Eh bien, c’est pas gagné. », pensa Ryo.  

La jeune femme finit ses quelques travaux en cours avant de rejoindre le nettoyeur à l’heure convenue.  

 

 

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Hall d’entrée, 12h03.  

 

Kaori aperçut rapidement son époux et vint à sa rencontre.  

-« Alors ? »  

-« J’ai même pas le droit à un petit bisou ? », quémanda l’homme d’un air malheureux.  

Kaori fit mine de réfléchir avant de s’exécuter et d’ajouter :  

-« Ne crois pas que je ne sois plus fâchée contre toi pour autant Ryo. »  

-« Je n’en doute pas mais si on en discutait calmement ? On pourrait trouver une solution à notre petit problème ? Allez, viens. »  

Il la prit par la main et la conduisit chez le traiteur qui couvrait l’angle de la rue.  

Un des serveurs leur présenta leur table, finement décorée d’une rose rouge et légèrement à l’écart pour offrir un peu plus d’intimité.  

 

-« Tu essaies de te faire pardonner ? », lança la jeune maman.  

-« En partie oui. », avoua le nettoyeur. « Mais je sais que ça ne suffira pas à excuser ma faute. Bon, si nous commandions ? », finit-il par proposer.  

Sa femme acquiesça et ils commencèrent à déjeuner dans le calme. La discussion se porta essentiellement sur la bourde de Ryo et Kaori lui expliqua avec précision toutes les difficultés qu’ils allaient rencontrer pour trouver un établissement d’accueil pour Alia.  

Le jeune papa fit la promesse à sa moitié de s’occuper de cette histoire et qu’elle n’avait pas à s’en faire.  

Sur cette affirmation, Kaori lui promit de ne plus remplir son rôle conjugal tant qu’elle n’aurait pas la certitude que sa fille serait acceptée dans une école digne de ce nom.  

-« Quoi ? Mais tu veux ma mort ??? », hurla presque le pervers numéro un du Japon qui était en passe de devenir l’eunuque numéro un du Japon. (NDB : tu trouves pas qu’il exagère un peu là ?)  

Kaori lui balança un gentil coup de chaussure dans le tibia pour le faire taire et sourit à l’assistance qui les regardait.  

-« Tu m’as parfaitement bien entendu Ryo. Pas d’école pour Alia, pas de câlin pour toi ! »  

 

Après un dernier café et un tout petit bisou, le couple se sépara.  

Sur le chemin du retour, Ryo s’arrêta à la mairie pour tenter d’inscrire sa fille en 1ère année.  

 

 


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