Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

» Scrivere una review

 

HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I correct a misplaced chapter?

 

It can happen that an author has several stories in process and that he adds a chapter of a story to another one. In this case, please don't add the chapter again and contact me (hojofancity@yahoo.fr) for modification. Indicate which chapter is misplaced and which is the correct sto ...

Read more ...

 

 

   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 7 :: C’est qui le plus fort ?

Pubblicato: 09-01-06 - Ultimo aggiornamento: 09-01-06

Commenti: Voilà enfin la suite, merci à ceux qui continuent de me lire malgré l'attente entre les chaps. Merci pour les encouragements de Eden, Shan in xyz, Pitite, Camille, Moon, Myriam, merci à ma Nanou pour ses corrections et ses petits mots et bonne lecture.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Sur le chemin du retour :  

 

-« Papa, j’ai mal au ventre. », se plaignit la petite fille, assise au fond de son siège.  

-« N’y pense plus, ça va passer. »  

-« J’arrive pas, c’est lourd là. », dit-elle en pointant du doigt son estomac.  

-« Tu as mangé trop de sucreries et maintenant tu es malade, c’est bien ma veine ça. Reste tranquille, on est bientôt arrivé à la maison. »  

Le nettoyeur fut ravi de voir l’immeuble se présenter au loin mais beaucoup moins en pensant à Kaori qui aurait une nouvelle occasion de lui reprocher son comportement irresponsable.  

« Je sens que la soirée va être longue. », pensa le nettoyeur en pénétrant dans le garage.  

 

 

************************************************************************  

 

 

-« Kaori, on est rentré ! »  

-« Je suis en haut. », se fit entendre une douce voix féminine.  

Ryo déposa la grosse peluche d’Alia sur le canapé et la jeune demoiselle marcha d’un pas fatigué jusqu’au sofa sur lequel elle s’étala.  

Le nettoyeur eut une seconde d’espoir en entendant le ton agréable de Kaori mais il se ravisa aussitôt en jetant un œil sur sa fille peu en forme. « Enfer ! »  

L’instinct paternel fut le plus fort et il appela sa femme.  

 

-« Qu’est-ce qu’il y a Ryo ? »  

-« Eh bien Alia n’a pas l’air en forme. »  

Kaori s’approcha de l’enfant qui somnolait presque et elle passa une main sur son front.  

-« Ma chérie, tu as mal quelque part ? »  

-« Oui, là. »  

-« Ryo, qu’est-ce qu’elle a mangé ? »  

« Aïe, les ennuis commencent ! » - « Ce midi, Miki lui a préparé du poulet et du riz et cet après-midi, on est allé au parc et elle a mangé quelques sucreries. »  

-« Quelques ou beaucoup ? »  

La réponse n’eut pas à être prononcée.  

-« Ryo, tu sais très bien que ta fille est aussi glouton que toi mais c’est encore un bébé, ce n’est pas bon pour elle. »  

-« Je sais Kaori chérie, mais je n’ai pas pu résister à ce joli minois qui me fait penser à toi ! » (NDB : on va y croire Ryô !)  

 

La jeune maman fut touchée par les mots de son époux même si elle le connaissait assez pour savoir qu’il tentait d’échapper à la massue.  

-« Ma puce, tu vas rester sagement allongée là, maman va te chercher un médicament qui va vite te soigner et papa va aller te préparer ton bain. »  

-« D’accord. »  

-« Je reviens tout de suite ma puce. »  

 

Les parents quittèrent le salon pour la cuisine.  

-« Tu connais un remède miracle ? », questionna Ryo.  

-« Oui, Hide me donnait souvent ce médicament magique, Coca-Cola ! », répondit Kaori en présentant fièrement la bouteille comme s’il s’agissait d’un trophée.  

-« Remède miracle hein ? Au fait, tu n’aurais pas oublié quelque chose madame ? »  

-« Non, quoi ? »  

-« Ca ! »  

Il s’approcha et l’embrassa avec douceur et envie. Il n’abusa pas davantage et s’écarta de sa femme. –« Bonsoir. »  

-« Bonsoir. », répondit-elle en lui rendant son baiser. « Allez, file. »  

 

Après un grand verre du remède magique de maman et un bon bain, la petite Alia avait très légèrement mangé (NDB : encore ! Mais c’est un ventre à pattes cette petite !! Remarque elle a de qui tenir !) avant de s’assoupir devant la télé du salon, dans les bras chaleureux de sa mère.  

 

 

-« Tu as passé une bonne journée ? », tenta le nettoyeur.  

-« Oui, ça a été. Beaucoup de travail avec le séminaire qui approche mais dans l’ensemble ça va. Et toi ? »  

-« Difficile ! Mais ne t’en fais pas, je rattraperais ma bêtise et Alia ira bien à l’école à la rentrée. »  

-« Je compte sur toi. Bon, il se fait tard, je vais la mettre dans son lit. »  

-« Attends, laisse-moi t’aider. »  

Ryo se leva et prit son petit ange dans les bras avant de la monter dans sa chambre. Il déposa son petit corps tout chaud sous la couette rose à fleurs, l’embrassa une dernière fois avant de refermer la porte sur le calme de la pièce.  

Il allait redescendre au salon lorsqu’il croisa Kaori.  

-« Tu te couches déjà ? »  

-« Hé oui, certains travaillent demain. Bonne nuit Ryo. » (NDA : in your face ! NDB: c’est qu’il me ferait presque pitié !)  

-« Ok, j’arrive dans une seconde. »  

-« Comment ça, ton lit t’attend en bas. »  

-« Mais Kaori, tu vas pas encore me laisser tout seul dans cette grande pièce froide ?! »  

-« Ryo, on est en juillet, il ne fait pas froid. »  

 

Il prit son air de chien battu avant de répondre :  

-« Tu es méchante avec moi ! »  

-« Pauvre chou. »  

-« Je suis déjà privé de câlins, ce qui est tout à fait injuste et je me fais aussi jeter de mon lit ! S’en est trop ! » (NDB : je vais finir par pleurer !)  

Il fit mine de se fâcher mais son cinéma ne prit pas.  

 

-« Allez Kaori, s’il te plait, s’il te plait, s’il te plait… » (NDA : pathétique !)  

-« C’est bon arrête, tu vas réveiller Alia si tu continues. Mais je te préviens Ryo, tu as intérêt à te tenir tranquille sinon… »  

-« Je sais, mais fais moi un peu confiance. »  

Ils rejoignirent tous les deux leur chambre à coucher et ce qui devait arriver, arriva. Ryo tenta de gagner une « mokkori » partie et il se prit une énorme massue sur le crâne.  

Mais comme tout le monde le sait, il n’est pas l’étalon de Shinjuku pour rien et après plusieurs échecs, il parvint à corrompre sa promise. (NDRyo : Alors, c’est qui le meilleur ? NDB : rira bien qui rira le dernier !)  

 

 

******************************************  

 

 

Les jours suivants, la vie reprit son cours mais les recherches ne s’arrêtèrent pas pour autant pour Ryo. Le week-end passa et le lundi matin, il était de nouveau en route pour quelques adresses d’écoles privées qu’avait bien voulu lui procurer Kaori.  

Au bout de trois refus, il était à deux doigts de rendre son tablier et de courir s’affaler sur son canapé mais la raison fut la plus forte et il prit la direction de sa dernière adresse en poche, une école privée qui regroupait les enfants de « famille » de 3 à 12 ans et qui allait justement ouvrir ses portes à la prochaine rentrée scolaire.  

 

Il arriva devant une grande bâtisse assez chic entourée d’un grand terrain.  

Il se gara à quelques mètres et franchit le portique d’entrée. Un peu plus loin, c’est une porte de couleur brique qui l’attendait. Il sonna et laissa passer quelques secondes, avec Alia qui se cachait derrière les grandes jambes de son papa, priant patiemment pour que quelqu’un vienne lui ouvrir.  

La porte s’entrouvrit sur une vieille femme assez petite et coiffée d’un chignon ou quelques mèches grisent tentaient désespérément de s’échapper.  

De minuscules lunettes posées sur le bout de son nez, elle jeta un rapide coup d’œil au « charmant jeune » homme qui lui faisait face avant de s’exclamer :  

-« Ah, vous voilà enfin, j’ai bien cru que vous n’arriveriez jamais. »  

Elle le tira presque jusque dans son bureau après avoir claqué la porte quand l’homme la stoppa :  

 

-« Une minute ma petite dame, ma fille est là. »  

Il se retourna, ouvrit et aperçut Alia, les yeux exorbités, immobile, se demandant ce qui se passait avec son papounet.  

-« Votre fille ? Vous vous présentez à un entretien d’embauche avec votre enfant ? », questionna, étonnée, la vieille dame.  

-« Euh, je crains qu’il n’y ait un malentendu. En fait, je ne suis pas à la recherche d’un emploi, enfin pas dans l’immédiat, mais plutôt d’une école pour ma petite fille. Donc si vous aviez une petite place pour elle… », finit-il en mettant en avant le bout de chou sage comme une image qui avait parfaitement retenue la leçon de papa : souris et sois mimi.  

-« Ah, ça change tout. Je suis navrée mais mes classes sont complètes, j’ai déjà des listes d’attente et pour des familles très bien placées dans notre société, vous comprenez. »  

 

Le nettoyeur n’aimait pas trop le discours de cette vieille bique et encore moins le regard qu’elle faisait glisser sur lui. (NDB : tu m’étonnes !)  

-« Je crains de comprendre l’allusion, en effet. »  

Le ton qu’il employa et son regard noir ne rassurèrent pas du tout la directrice de l’établissement mais elle n’eut pas le loisir d’approfondir plus en détail cette discussion car deux voitures haut de gamme venaient de se garer devant la bâtisse.  

-« Excusez-moi, mais j’ai du travail. »  

Elle le reconduit sur le palier et Ryo ne fut pas étonné de voir se présenter une troupe d’hommes en noirs accompagnant un vieux râleur du nom de Sanosuke.  

En apercevant le nettoyeur, ses yeux s’écarquillèrent de surprise et il ne put s’empêcher de demander :  

-« Saeba, mais qu’est-ce que vous faîtes ici ? »  

-« Je pourrais vous retourner la question. Je ne pense pas que vous ayez encore l’âge de fréquenter ce genre de lieu. »  

-« Monsieur Sanosuke, je vous souhaite la bienvenue. Votre fils vous accompagne ? »  

-« Bonjour chère madame, non, il est sorti avec sa mère. Je suis juste passé pour régler les derniers détails disons administratifs. »  

« Hum, alors comme ça, ce vieux Sanosuke a inscrit son fils dans cette école, je suis plus vraiment sûre de vouloir y mettre Alia. Une école tenue par des mafieux, très peu pour moi. », pensa le nettoyeur, sur le point de quitter l’établissement.  

 

-« Oh mais je vois que votre fille vous accompagne Saeba, c’est que ça grandit vite ces petits bouts de chou. », fit le vieux mafieux en affichant un large sourire qui en aurait fait fuir plus d’un. Il reprit :  

-« J’imagine que vous souhaitiez l’inscrire dans cette nouvelle école, et je vous comprends, les instituteurs recrutés ici sont parmi les meilleurs du pays. »  

-« C’est Kaori qui serait ravie d’entendre ça, enfin si on passe sur quelques détails. Enfin, de toute façon, il parait que c’est archi complet, ce sera donc ailleurs. »  

-« Comment, mais je suis sûre que madame Tanaka va nous arranger tout ça, n’est-ce pas ? », finit-il à l’attention de la vieille femme qui lui répondit d’un sourire crispé.  

-« Bien sûr, je vais voir ce que je peux faire pour monsieur Saeba. »  

-« Je savais bien qu’on allait s’entendre. En plus, savoir que la fille Saeba sera dans la même école que mon petit Koru me rassure. »  

-« Ah oui, et pourquoi ça ? », s’inquiéta le nettoyeur.  

-« Eh bien personne n’osera jamais s’attaquer à cette école en sachant que ta fille y est inscrite. Aujourd’hui, plus personne n’ose s’attaquer à City Hunter. »  

 

En entendant ce nom, la vieille directrice ainsi que les gardes du corps de Sanosuke furent stupéfaits. Comment un homme à l’apparence si banale pouvait être ce tueur redouté de tous ?  

-« Ah non Sanosuke, si tu crois que je vais faire la nounou pour ton marmot, tu te goures ! »  

-« Mais non, pourquoi tu penses ça ! En plus, cette école sera agréable pour nos enfants, même si les petits diables de ce vieux fou de Tsubasa sont inscrits ici. Ah ces deux là, s’ils embêtent mon bébé, ça va mal finir ! »  

Un corbeau virevolta autour de la tête du nettoyeur en voyant ce vieux débris s’échauffer comme un gamin.  

-« Monsieur Saeba, j’ai peut-être quelque chose à vous proposer, je vous propose de repasser demain matin pour en discuter, qu’en dites vous ? », intervint madame Tanaka.  

Il la fixa un instant, jeta un coup d’œil à Sanosuke et finit par poser son regard sur Alia avant de répondre, vaincu :  

-« Ok, à demain. Allez, nous on rentre. »  

Il prit sa fille dans les bras et regagna sa voiture, tout en marmonnant qu’il n’était pas sûr d’avoir fait le bon choix.  

 

« Enfer, Kaori va me tuer si elle apprend que ton école est pour la grande majorité constituée d’enfants de yakusas et compagnie. Ah, quelle misère ! »  

 

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de