Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

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HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 8 :: Petits moments d’une vie de parents, n°1…

Pubblicato: 14-03-06 - Ultimo aggiornamento: 14-03-06

Commenti: Voici la suite après 2 bons mois d'attente, si qq1 lisent encore cette histoire, j'en serais ravie. Merci pour les reviews toujours très agréable de Pouya, Fan2CH, Grifter, Eden, Pitite, Chibiusa, Chanlyr, Shan In XYZ, Saintoise. Bonne lecture et à bientôt j'espère.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Le retour à l’appartement avait été beaucoup trop rapide au goût du nettoyeur. Il avait certes une belle opportunité de régler son problème avec l’inscription à l’école d’Alia mais à quel prix. Kaori n’allait pas aimer, oh non !  

 

Alia était directement allée se jeter sur le canapé une fois la porte franchie, attendant impatiemment que son paternel allume la télévision et mette la chaîne des dessins animés.  

Une fois chose faite, il se servit une tasse de café et rejoignit sa fille au salon.  

 

 

************************************************************************  

 

 

Immeuble de CH – 18h30  

 

Alia sortait de la salle de bains en courant, elle venait d’entendre la douce voix de sa maman l’appeler.  

-« Alia, ne cours pas comme ça ! », fit Ryo qui la suivait, une serviette mouillée à la main et les manches de sa chemise encore relevées ;  

-« Alia, écoute ton père. »  

La jeune maman venait de rejoindre l’étage et embrassa sa turbulente progéniture.  

-« Bonsoir Ryo, alors, comment s’est passée votre journée ? », demanda-t-elle en déposant ses lèvres rosées sur celle de son époux.  

-« Bonsoir madame. Plutôt bien. On en discutera plus longuement quand la terreur sera couchée !»  

-« Ok, pas de problème, je vais commencer à préparer le dîner alors. »  

Kaori laissa Ryo finir d’habiller la petite brune qui s’amusait à faire tourner son père en bourrique et elle les retrouva un peu plus tard à table.  

 

Le repas se passa dans un calme qu’appréciaient les deux parents et une fois Alia couchée, le couple rejoignit leur chambre à coucher.  

-« Alors, quelles sont les nouvelles ? », questionna Kaori, bien installée sous la couette, avant que Ryo ne prenne place à ses côtés.  

-« Et bien j’ai rendez-vous demain matin dans une école pour Alia. C’est un établissement privé qui va ouvrir ses portes à la rentrée. Le cadre est plus que correct et les échos que j’ai pu avoir étaient tous favorables. », finit-il souriant avec mal à sa moitié.  

Elle le fixa un instant avant de demander :  

-« Où est le piège ? Je te connais Ryo, quand tu prends ton air de débile profond c’est que tu me caches quelque chose ! » (NDB : Aïe, Ryô tu ne sais pas mentir !)  

-« Quoi ? Mais pas du tout, qu’est-ce que tu vas imaginer ! C’est juste que comme c’est une école privée, ça risque de nous faire quelques frais supplémentaires mais rassures-toi, je bosserais un peu plus et tout ira bien, crois-moi ! »  

-« Alors demain, on devrait être fixé. Très bien, je vais te faire confiance Ryo, j’attendrais de voir comment tu vas t’en sortir cette fois encore. », termina Kaori en s’allongeant plus confortablement.  

 

Ryo respira un grand coup après cette dernière phrase. Il l’avait échappé belle et comptait bien en profiter. Il posa une main sur le ventre plat de son épouse et commença à faire glisser ses doigts sur le tissu fin de la tenue de nuit de la jeune femme. Kaori tourna la tête dans sa direction et son regard pétillant croisa celui brûlant de désir du Japonais.  

Il n’en fallut pas davantage à notre étalon pour animer ses sens.  

En un tour de rein, il se retrouva sur Kaori, une main ayant saisi celle de sa femme, l’autre posée à côté de sa tête. Il déposa un premier baiser dans le creux de son cou ce qui fit frémir de plaisir la partenaire de cœur du nettoyeur.  

 

-« Voilà ma méthode en ce qui te concerne. », conclut-il d’une voix sensuelle.  

-« Hum, Ryo, qu’est-ce que tu fais ? »  

-« Je rattrape le temps perdu. », lâcha Ryo dans un murmure tout en continuant sa douce torture.  

 

Kaori se laissa rapidement tenter par son époux et elle le débarrassa rapidement de son t-shirt. Il ne lui restait plus que l’ultime bout de tissu qui couvrait son « compagnon » et là encore, l’effeuillage ne dura pas bien longtemps.  

L’homme continua son exploration du corps toujours aussi parfait de sa femme et fit voler à son tour la petite nuisette couleur prune de Kaori.  

Plus qu’un seul rempart et une nouvelle union de leurs corps allait se créer.  

-« Hum Ryo, tu es un vrai démon. », prononça la voix sensuelle de la jeune maman…  

-« Et si tu savais à quel point j’adore ça ! » (NDB : hum, moi aussi ! Oups, je m’éclipse…)  

 

Un léger bruit se fit entendre dans le couloir mais les deux amants étaient bien trop pris par leur petit tête-à-tête pour s’en inquiéter. Un petit soupir par-ci, une légère caresse par-là… et une petite voix qui se fait entendre dans la pénombre avant que la porte ne s’ouvre :  

-« Maman… » (NDB : le truc qui tue !)  

-« Ryo, arrête ! », ordonna Kaori en poussant un peu violemment son époux qui se retrouva littéralement éjecté du lit, nu comme un ver.  

Kaori tira la couette et alluma la lumière mais lorsqu’elle s’aperçut de la nudité de Ryo qui était encore caché par le lit, elle lui jeta son caleçon au visage, le priant du regard de s’activer à l’enfiler.  

La porte s’ouvrit alors complètement et Alia entra d’un pas mal assuré dans la chambre de ses parents.  

-« Maman, y’a un vilain mons’ sous mon lit… », couina la petite fille. Elle courut de ses petites jambes pour grimper sur le lit. « Papaaaaa, y’a un mons’. », rajouta-t-elle en apercevant Ryo qui se relevait, couvert.  

-« Qu’est-ce qu’il t’arrive Alia, y’a pas de monstre voyons. Allez, retourne dans ton lit pour que papa puisse finir de jouer au docteur avec mam… »  

 

BANG.  

Une énorme massue « Arrête de raconter des bêtises à ma fille !!! » venait d’encastrer le nettoyeur dans le mur.  

Kaori était rouge de colère et était à deux doigts de le suspendre dans l’édredon et de le jeter à la rue.  

Alia, elle, n’avait pas ajouté un mot, ne comprenant pas trop la remarque de son père. Il l’étonnait tout le temps et ses mots paraissaient savants pour la jeune enfant. (NDB : si elle savait !)  

-« Voyons ma puce, il ne faut pas avoir peur, tu as dû faire un mauvais rêve. Allez, viens me faire un gros câlin, ce n’est rien voyons. »  

La petite fille arrêta ses pleurs et Kaori reprit, d’un ton toujours très maternel.  

-« Papa va t’accompagner dans ta chambre et tu verras qu’il n’y a aucun monstre, d’accord ma puce ? Allez, file. », finit Kaori avant de lui donner un dernier bisou.  

Alia acquiesça d’une petite mine.  

Ryo prit son bout de chou dans les bras et c’est tout naturellement que la fillette passa les siens autour de son cou.  

-« Au dodo. »  

 

En pénétrant dans la chambre d’enfant, Ryo alluma la veilleuse et fit bien attention de ne pas se prendre les pieds dans les quelques jouets qui trainaient.  

Il déposa sa fille sur son lit et s’abaissa pour lui montrer qu’il vérifiait consciencieusement qu’aucun monstre ne trainait sous le lit.  

-« Tu vois, il n’y a rien alors maintenant tu as faire un gros dodo. - Ryo lui fit un dernier poutou avant de s’éloigner. – Bonne nuit princesse. »  

Il était sur le pas de la porte lorsqu’Alia le rappela.  

 

-« Papa, j’ai peur du monsssss’. »  

Le nettoyeur fit demi-tour et vint s’asseoir sur le lit. Il n’en fallut pas plus pour qu’Alia vienne se cacher entre ses bras puissants, reniflant ses quelques larmes.  

-« Hé Alia, ce n’est rien ma puce, il ne faut pas avoir peur, tu as juste fait un cauchemar.  

Il essaya de capter son regard pour la rassurer.  

-« Tu sais très bien que ton papa est très fort, il ne va pas laisser un vilain monstre t’embêter ! »  

Elle opina de la tête en signe d’accord.  

-« Alors, ça va mieux ? Tu sais quoi, papa va laisser la lumière allumée et la porte ouverte comme ça je pourrais tout surveiller, d’accord ? » (NDA : Ok, suite d’arguments débiles mais bon, Alia n’a encore que 3 ans.)  

-« Promis ? », osa prononcer la petite voix.  

-« Promis. Allez, allonge-toi. »  

Il la recouvrit une nouvelle fois et quitta la pièce après un dernier regard vers la petite forme allongée.  

 

 

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-« Eh bien, tu en as mis un temps. J’ai failli ne pas t’attendre et me coucher. »  

-« Alia n’était pas très réceptive, mais ce n’est encore qu’un bébé. »  

-« Oui, alors ne l’oublie pas et évite tes blagues idiotes devant elle, veux-tu !  

« Ouh, pas d’humeur la mère Saeba, ça risque d’être dur de reprendre notre petit jeu là où l’on s’était arrêté. », pensa le nettoyeur. (NDB : en tout cas, il ne perd pas le Nord notre Ryô !)  

 

-« Ce n’était pas méchant. », tenta Ryo.  

-« Ce n’est pas le genre de phrase appropriée pour une enfant de 3 ans. Tu voudrais qu’elle dise ce genre de chose à un camarade de classe une fois à l’école ? »  

-« Je tuerais le premier qui osera la toucher ! », grinça Ryo.  

 

Une grosse libellule vint s’écraser sur la tête de la pauvre Kaori. Ryo pouvait perdre totalement la raison quand il s’agissait d’Alia. Et le pire selon elle, c’était qu’il serait capable de mettre sa menace à exécution.  

 

Ryo redevint détendu, limite pervers, en se collant de nouveau à sa femme.  

-« Bon, où en étions-nous ? »  

Kaori lui répondit par un petit sourire et l’obscurité vint reprendre ses droits dans la pièce où une douce chaleur s’instaurait au fil des minutes.  

 

 

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Vers 1 heure du matin, Ryo se détacha des bras chaleureux de sa compagne et sortit de la chambre sans un bruit.  

Il fit les quelques pas qui le séparaient de la pièce où dormait sa fille et éteignit la lumière avant de refermer la porte.  

Une fois de retour dans la sienne, il sortit son magnum du tiroir de la table de chevet et le glissa sous le traversin.  

Son rituel étant terminé, il pouvait à présent s’endormir en toute tranquillité.  

 

 

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Le matin arriva bien vite aux yeux du nettoyeur. Il ne s’était pas encore habitué au rythme du réveil ultra-matinal. (NDA : enfin, 7h30, ce n’est pas ce que l’on peut appeler ultra-matinal ! NDB : tu m’étonnes !)  

Il profita quelques instants de sa femme, avant d’aller réveiller sa fille.  

Kaori lui avait bien rappelé de ne pas être en retard pour son rendez-vous avec madame Tanaka.  

 

 


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