Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

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HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 12 :: Des vacances bien méritées !

Pubblicato: 27-03-07 - Ultimo aggiornamento: 27-03-07

Commenti: salut tous, et oui, vous ne rêvez pas, c'est le retour de Sabi et surtout de la famille SAEBA. Alors tout d'abord, mille excuses pour cette longue absence mais y'avait panne de motiv et d'inspi. Merci à mes dernières revieweuses Nakite, Moon, Eden, Grifter, Shan In XYZ, j'espère que cette suite vous plaiera. Merci à ma Nanou, toujours dispo et super rapide. Bonne lecture et laissez vos coms. ++

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Après quelques heures de route, la famille Saeba arriva à bon port. Kamakura était une petite station balnéaire au sud de Tokyo. Kaori avait réussi à réserver via son entreprise, une petite maison sur pied, non loin de la côte.  

La nuit s’étant déjà installée sur la ville, Ryo se dépêcha de décharger la voiture tandis que Kaori couchait Alia qui s’était endormie, sur le canapé.  

 

-« C’est bon, tout est là. – Il finit de déposer les derniers bagages avant de continuer. – Le coin à l’air calme ça change ! »  

-« Oui, il ne doit pas y avoir beaucoup de tes cabarets dans la région, c’est dommage ! », finit-elle, moqueuse.  

-« Je ne parlais pas spécialement de ce calme là, très chère, mais maintenant que tu m’y fais penser, comment vais-je survivre sans mes petits lapins bleus ? », minauda le nettoyeur, avant de se rendre compte qu’il regrettait déjà ses propos. Sa belle épouse ne semblait pas d’humeur pour ce genre de plaisanterie.  

Mais malin comme tout, il s’en tira par une nouvelle pirouette et fila à l’extérieur, prétextant faire une inspection des lieux.  

-« Ah, mon petit Ryo, t’es pas passé loin cette fois ! », pensa le papa, son faciès tentant de reprendre une pose décontractée.  

 

 

************************************************************************  

 

 

Le lendemain, le réveil fut comme toujours matinal pour Kaori.  

Inutile de préciser que le déboulé de la furie Alia, largement reposée du voyage, y était pour beaucoup. Ryo ne fut donc pas épargné non plus par cette arrivée que sa partie intime qualifierait de brutale, la petite fille l’ayant tout simplement piétiné à son passage. (NDB : MDR !)  

Dans toute la petite ville, on pouvait entendre l’onde du cri du nettoyeur qui hurlait à la mort sur la perte de sa virilité. Ses deux femmes n’eurent pas d’autres solutions que de l’abandonner à son sort pour prendre place sur la terrasse aménagée pour un bon petit déjeuner.  

Ryo s’obligea à sortir du lit pour rejoindre sa famille et tenter de rattraper ce début de journée assez mal commencé.  

 

 

Un peu plus tard, sur la plage…  

 

Badigeonnée de crème solaire, Alia se dandinait sur la plage encore peu fréquentée. Elle s’amusait à construire un château de sable avec deux jumeaux un peu plus âgés qu’elle. Ils étaient accompagnés de leurs grands-parents qui étaient installés non loin de notre jeune couple.  

Kaori profitait de ce moment de répit pour prendre quelques couleurs dans son petit deux-pièces marron tandis que Ryo s’amusait à scruter les alentours, souriant à cet instant paisible que lui offrait la vie. Il était un homme simple, accompagné de sa femme et de sa fille, que l’été rendait heureux. Tout ce qu’il avait toujours voulu avoir mais qu’il n’aurait jamais pensé pouvoir posséder. Kaori le sortit de sa rêverie :  

 

-« Chéri, tu me passes un peu de crème sur le dos, s’il te plait ? »  

-« Bien sûr trésor. Alors, contente de ce premier jour de vacances, tout se passe comme tu le souhaites ? »  

-« Oui, c’est merveilleux, le calme, le soleil, la mer, qui pourrait vouloir plus ? »  

-« Moiiiii, pardi ! Imagine, la nuit calme, une douce lune dansant entre les étoiles scintillantes,… toi, moi, prenant un bain de minuit et s’offrant une folle nuit d’amour… » (NDB : Hum, pourquoi ça ne m’étonne pas ?)  

Kaori eut le feu aux joues en entendant les paroles provocantes de son mari et n’osa pas faire un geste en entendant une femme plutôt rondelette assise à un mètre, faire une scène à son époux sur son manque d’intérêt à son égard.  

-« Regarde ce que tu causes comme dégât Ryo ! », murmura Kaori, avant de se cacher derrière un magazine.  

 

Une fois les paroles épicées de Ryo passées, la petite famille profita tranquillement du reste de la journée. Le soir venu, ils dinèrent dans un petit restaurant de la ville, qui offrait une carte aux spécialités de la mer, ce qui ravit les jeunes parents. Alia, de son côté, fit bien remarquer son mécontentement ; la petite fille se serait parfaitement contenté d’une pizza comme savait si bien les commander son papa.  

 

Ils profitèrent ensuite de la douce température de ce début de soirée pour une petite visite et se laisser ainsi guider au fil des allées par les différents lampions colorés qui illuminaient les maisonnées. La fin de la balade se termina dans les bras de papa pour Alia qui bien fatiguée de sa longue journée avait préféré rejoindre Morphée.  

 

 

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2 jours plus tard, Kamakura.  

 

-« Papa, dépêche toi, allez ! », s’impatientait la fillette, son petit drap de plage posé sur l’épaule et son seau de jouet dans la main.  

-« Alia, du calme, papa est fatigué. Tu ne veux pas remettre ça à plus tard, disons dans 3 ou 4 heures ? »  

-« Nan, t’as promis ! »  

-« Oui, mais dans la vie… »  

-« Dans la vie on tient ses promesses Ryo ! », tonna la voix de Kaori. Un regard suffit pour convaincre le nettoyeur de ne pas objecter et c’est tête baissée qu’il s’empara de sa serviette de plage et lâcha :  

-« Alia, on y va. »  

-« Super, bisous maman. »  

-« Amuse-toi bien ma puce. Maman vous rejoint tout à l’heure. Amuse-toi bien Ryo. »  

-« Oui, bah j’en connais une qui s’amusera pas ce soir ! », ronchonna Ryo, tout fier de lui.  

-« Mais oui chéri, on en reparlera. », se moqua sa femme, sachant pertinemment que sa moitié serait le premier à craquer, ne pouvant résister très longtemps à l’appel de sa libido démesurée.  

 

 

Un peu plus tard, sur la plage…  

 

La chaleur en ce début de matinée n’était pas trop pesante, l’air frais de la mer rafraichissant de quelques degrés la température plutôt élevée de la saison au plus grand plaisir des quelques vacanciers qui avaient déjà pris d’assaut la belle plage de sable fin.  

Le nettoyeur s’était trouvé un coin tranquille, assez isolé, pour pouvoir se reposer à l’ombre de quelques maigres cocotiers.  

 

 

-« Papa, j’arrive pas ! Ça tient pas ! »  

Ryo releva la tête et put constater que la tentative de création de château de sable d’Alia avait échoué.  

Il n’avait pas vraiment envie de passer une heure à essayer d’expliquer à une enfant de 3 ans les différentes règles à respecter pour ce type de projet (NDA : Ryo, c’est qu’un château de sable !). Il se repositionna donc tranquillement avant de répondre un ‘essaye encore ma puce’, peu convainquant.  

Alia ne fut pas dupe et s’apprêtait à brandir une mini massue comme sa mère le lui avait appris mais une jeune femme arriva à ce moment là et demanda, un grand sourire aux lèvres :  

-« Tu veux que je t’aide ma jolie ? »  

 

Alia se retourna pour voir qui lui parlait et elle découvrit une jeune femme, grande, les cheveux longs décolorés, dans un maillot 2 pièces violet qui ne cachait plus grand-chose.  

Elle était ravie, quelqu’un s’intéressait enfin à son problème et elle répondit par l’affirmative. Ryo de son côté n’avait rien raté de l’apparition de cette demoiselle dévouée et c’est d’un œil presque intéressé qu’il détailla la belle.  

Enfin, plus si belle que ça après une minutieuse analyse de l’ensemble.  

L’épaisse couche de maquillage, qui avait soit dite en passant beaucoup de mal à tenir sous cette chaleur, semblait cacher une peau abimée par l’utilisation abusive de ces dits maquillages. Ses cheveux peroxydés aux premiers abords soyeux se révélaient crasseux, leur donnant une brillance démesurée sous les rayons de soleil qui s’y frottaient. (NDB : beurk !)  

Pour finir, ce corps qui paraitrait bien sculpté pour un regard non avisé n’était qu’un décolleté wonderbra faisant passer ce mini popotin pour encore moins bien galbé.  

 

‘Une tromperie sur la marchandise !’, en jugea au final le nettoyeur qui ne s’attarda pas plus sur la donzelle mais surveilla plutôt sa progéniture.  

Après quelques minutes, Ryo comprit que la jeune femme n’avait aucune mauvaise intention et se détendit un peu. Mais à peine avait-il refermé les yeux qu’il sentit la jeune femme se rapprocher.  

 

Il n’en fit rien remarquer et attendit, prêt à agir, que son adversaire attaque, mais rien.  

 

Il tenta alors de visualiser ce qui se passait autour de lui et les différents bruits lui confirmèrent que tout semblait aller pour le mieux.  

Alia s’afférait toujours avec ses jouets et la femme ne bougeait plus.  

Fausse alerte pensa-t-il un instant avant qu’une fine main ne vienne se poser sur son torse découvert.  

Il ne lui fallut pas plus d’une seconde pour s’en saisir et se redresser.  

-« Qu’est-ce que vous voulez ? », lâcha-t-il d’une voix ferme.  

La jeune inconnue se dégagea et bafouilla un désolé avant d’ajouter :  

-« Je… je pensais que vous dormiez, je ne voulais pas vous ennuyer, désolée ! »  

 

Ryo comprit qu’il n’y avait aucun danger et prit un faciès d’idiot et s’excusa à son tour.  

Après cette pluie d’excuses mutuelles, la jeune femme s’expliqua :  

-« Vous ne devriez pas rester allongé ainsi à cette heure, vous risquez de prendre un vilain coup de soleil ou même de tomber malade. »  

-« Ne vous en faîtes pas, je suis très résistant ! – Il détourna un instant le regard de son interlocutrice. – Alia, remets ton chapeau ma puce. »  

La fillette s’exécuta non sans ronchonner sur son énième échec de construction sableuse.  

-« C’est une enfant très investie, dommage que son papa ne l’aide pas un peu plus. »  

-« Ah ah ah !, les enfants se doivent d’apprendre certaines choses par leurs propres moyens. », feinta le papa légèrement pris en faute.  

-« Je suis d’accord mais il faut aussi savoir leur donner un coup de pouce lorsque ça devient nécessaire, et je crois que c’est ce qu’elle attend, non ? », signifia la jeune femme.  

 

Ryo se releva un peu mieux et jeta un coup d’œil sur la fillette. Elle semblait fâchée.  

-« Si vous voulez, je peux vous tenir compagnie à tous les deux, ça nous permettrait de faire connaissance. Je m’appelle Hinako et vous ? »  

-« Euh, Ryo. »  

-« Enchantée Ryo. », fit-elle en lui tendant gracieusement une main pour le saluer. « Venez, on va lui donner un coup de main. », ajouta-t-elle en se levant pour se rapprocher de l’enfant.  

« Je rêve ou elle me drague, hahaha ! », pensa le nettoyeur en s’amusant de la situation mais non sans se laisser faire.  

 

Tout en s’amusant avec Alia, la jeune femme avait commencé à questionner Ryo sur lui. Elle lui apprenait aussi quelques petites choses sur elle sans oublier de se montrer très tactile et très charmeuse à plusieurs reprises.  

Le nettoyeur trouvait cette situation plutôt amusante et laissa faire même si au fond de lui, une petite mais alors toute petite voix, lui soufflait qu’il jouait avec le feu.  

Une bonne demi-heure s’était déjà écoulée depuis l’arrivée d’Hinako lorsque l’atmosphère s’alourdit d’un seul coup.  

Une aura colérique venait de faire son apparition non loin et sans crier garde, venait de se poster maintenant à quelques mètres du « couple ».  

Alia leva la tête en direction de la nouvelle venue et un large sourire vint illuminer son visage, laissant presque penser : ‘ Maman est arrivée, on va bien rigoler !’ (NDB : oh que oui ! lol)  

 

 

 


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