Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

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HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 13 :: Chasse gardée !

Pubblicato: 25-04-07 - Ultimo aggiornamento: 25-04-07

Commenti: Salut tous, voici enfin la suite, pour ceux et celles qui l'attendaient. La fin des vacances de la famille Saeba et donc bientôt la nouvelle vie qui commence (école, boulot), on est pas au bout, mais ça avance, promis. Merci aux fidèles pour leur review :Moon, Shan in xyz, Phineas, Nakite, Fauve, Grifter, My, Zabelle, qui me motivent toujours autant. Merci à ma béta de choc, plus rapide que son ombre, la star intergalactique. Bises et laissez vos impressions. ++

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

-« Alors Mr Saeba, on s’amuse bien ? », questionna la nouvelle venue, dont l’aura meurtrière avait déjà mis en garde l’homme pris en faute malgré lui. (NDB : oups !)  

-« Ah Kaori, je… »  

-« Inutile, je ne veux rien entendre pour l’instant ! »  

Hinako, restée silencieuse à l’arrivée de l’inconnue, se leva, les mains posées sur les hanches et demanda un peu brusquement :  

-« C’est qui celle là ? » (NDB : gonflée la nana !)  

-« Minute papillon. C’est plutôt à moi de poser cette question, mais à vous voir, la réponse saute aux yeux, une coureuse d’hommes ! », lâcha Kaori irritée par sa « rivale ».  

-« Comment, mais pour qui vous vous prenez à la fin ! », s’emporta Hinako, insultée.  

 

Ryo s’était lui aussi relevé sous le regard amusé de sa progéniture et voulut intervenir mais un seul coup d’œil de Kaori lui fit comprendre que son tour viendrait.  

-« Ecoute moi bien minette, avant de t’attaquer à une proie, tu ferais bien de vérifier un ou deux détails, comme le fait que l’homme sur qui tu jettes ton dévolu n’est pas déjà pris et ça pourrait t’éviter quelques galères ! »  

 

Sur ces mots, Kaori fit un pas pour agripper avec une certaine dureté la main de son mari et montrer fièrement à cette fille l’anneau qui trônait à l’annulaire du nettoyeur.  

-« Satisfaite ? », questionna la moitié de City Hunter.  

Un moment bouche bée, Hinako tenta de répliquer :  

-« C’est sa faute à lui, il n’a rien dit ! » ( NDB : et voilà, maintenant c’est la faute à Ryô, elle manque pas de toupet cette p****** !!! autocensure de beta »)  

-« Vous n’est pas très observatrice aussi et encore moins futée ! Vous pensiez quoi, que c’était un gentil père célibataire ? »  

-« Oui, mais il ne s’est pas fait prier non plus ! » (NDB : mais c’est qu’elle insiste en plus !)  

-« Quoi, j’ai rien fait moi ! », intervint Ryo, un peu maladroitement.  

-« Vous êtes sûr Mr l’Infidèle ? » (NDB : MDR , pauvre Ryô…)  

 

Kaori prit sur elle pour ne pas sortir de massue pour aplatir cette midinette et préféra déclarer d’une voix ferme :  

-« Malgré les apparences, je peux faire confiance à mon mari alors évitez de pousser le bouchon trop loin et restons-en là ! »  

Hinako n’appréciait pas le ton de sa vis-à-vis et le fait de se faire ainsi humilier devant les autres vacanciers. Elle tenta une dernière réplique :  

-« Bah si vous ne l’aviez pas laissé tout seul, rien ne serait arrivé ! »  

S’en était trop pour Kaori.  

Une massue se matérialisa dans ses mains, sous les yeux ébahis d’Alia qui n’avait rien raté de la scène. Ryo eut juste le temps de retenir sa moitié alors que cette dernière promettait déjà de l’écrabouiller si elle ne disparaissait pas très vite ! « (NDB : laisse la faire Ryô, ne la retiens pas !lol)  

-« C’est quoi cette furie ! », lâcha Hinako en courant pour sauver sa tête de la femme qui avait juré sa perte.  

 

Une fois Hinako hors de son champ de vision, Kaori se calma un peu, ce qui permit à Ryo de relâcher son emprise et à Alia de venir au contact de sa mère pour lui faire un bisou :  

-« Maman, t’es la plus forte ! ».  

-« Ahahaha, continue donc tes jeux ma puce, maman doit parler à ce qui te sert de paternel. » (NDB : Aïe !)  

Ryo, sentant les problèmes venir, prit les devants :  

 

-« Kao chérie, je t’assure qu’il n’y avait pas de quoi se fâcher. »  

-« Écoute Ryo, c’est à moi d’en décider. Tu vas nier que cette fille te draguait ! »  

-« Oui, mais c’était plutôt marrant non ? Oui enfin, non… », rattrapa-t-il en voyant le regard noir de sa compagne.  

-« Tu sais bien qu’il n’y aura jamais que toi, c’est juste mon égo d’homme qui était flatté d’être encore dragué par une jeune femme à mon âge ! » (NDB : et il s’en vante en plus, il aggrave son cas …)  

-« Ton âge, quel âge ? En plus, ce n’est pas vraiment ça qui t’empêcherait de draguer ! » (NDB : un point pour Kaori !)  

-« Ahahaha, tu me connais bien mais là, ce n’est pas moi qui draguait ! »  

-« Tu veux vraiment que je te massacre aujourd’hui chéri ? – Elle prit place sur la serviette de plage, suivi par Ryo. – Tu aurais dû l’envoyer promener un point c’est tout. Si j’avais été dans ton cas, moi, je l’aurais fait ! »  

 

Là, Kaori marquait un point, et il savait pertinemment que dans ce cas là, lui aurait piqué une colère monstre.  

-« Tu as raison, je suis désolé. »  

Il prit une petite moue et les yeux brillants tel un chaton fragile, fixa la jeune femme.  

Kaori était sur le point d’accepter ses excuses lorsqu’elle sentit les doigts de son mari remonter sur sa cuisse dénudée pour tenter de s’immiscer sous le paréo coloré. ( NDB : ben oui chassez le naturel…)  

Ni une ni deux, Kaori se releva et une gigantesque massue vint se matérialiser dans ses mains.  

En position de joueuse de baseball, elle frappa sa cible qui n’eut pas le temps de réagir et qui finit plusieurs mètres plus loin, la tête dans l’eau.  

-« Home run ! » s’écria Alia, amusée, qui n’avait pas oublié l’expression de son paternel regardant une séquence similaire à la télévision. (NDB : MDR !)  

-« Viens, ma chérie, on va déjeuner tranquillement. Ramasse tes jouets ! »  

-« Ok. Alia a super faim en plus ! » (NDB : digne héritière de son père, hum…)  

La fillette se retourna quand même pour faire un dernier petit coucou de compassion au nettoyeur qui s’extirpait tant bien que mal de l’eau.  

-« Arf, la vie est vraiment trop injuste ! », finit-il par dire, dépité. (NDB : à qui le dis-tu…)  

 

 

*************************************************************************  

 

 

Quelques jours plus tard…  

 

La fin des vacances approchait à grand pas pour la famille Saeba. Le séjour avait été plutôt mouvementé entre les facéties de chacun, et pourtant, les surprises n’étaient pas finies pour maman Saeba, qui avait été une fois de plus, mise dans l’embarras par les deux amours de sa vie, quelques jours avant leur retour à Tokyo.  

 

 

Port de Kamakura, deux jours avant le départ…  

 

C’est toujours sous le soleil généreux de la petite station balnéaire que la famille Saeba avait décidé d’une balade près du vieux port de pêche. On trouvait encore quelques anciens de ce qui fut le village autrefois, s’afférer sur leurs bicoques avec de simples morceaux de bambous au bout desquels un hameçon bien vivant était accroché à une pique.  

 

Plusieurs marchands proposaient aux quelques touristes divers souvenirs de la région ou encore des spécialités culinaires à grignoter sous le coude.  

Ryo s’en était donné à cœur joie, goûtant tout ce qu’il était possible de trouver, quelque soit l’heure de la journée. (NDB : il me fait un peu penser à Grosse Bouffe…)  

Kaori avait bien cru qu’il en tomberait malade mais rien, comme à chaque fois. (NDB : et ça t’étonne Kaori ?)  

 

Plusieurs enfants se pressaient autour d’un vendeur de glace à l’italienne et naturellement, Alia en demanda elle aussi une à ses parents.  

Ils acceptèrent de bon cœur, s’offrant par la même occasion un cornet chacun. C’était les vacances, il faisait chaud, ça ne pouvait que leur faire du bien.  

Ryo opta donc pour un double chocolat-vanille, Kaori pour un double vanille-fraise et Alia pour un simple vanille.  

 

-« Merci messieurs dames et bonne après-midi. »  

-« Au revoir. », salua Kaori en surveillant Alia, pour être sûre de ne pas retrouver la moitié de la glace sur son t-shirt.  

-« Maman, on va voir les bateaux ? »  

-« Oui, ma puce, mais ne cours pas avec ta glace d’accord ? »  

-« Oui pas d’problème. », fit l’enfant en accélérant un peu le pas pour tenter d’arriver plus vite.  

-« Ryo, surveille Alia s’il te plait, je m’arrête un moment pour acheter un souvenir à Miki, je vous rejoins. »  

-« Ok, à tout de suite. », fit-il en sifflotant gaiement, tout en rejoignant l’enfant qui l’avait déjà distancé de plusieurs mètres.  

 

Kaori s’était arrêtée à un stand sur le port tenu par un couple de la ville. Ils proposaient différents objets de décoration et quelques bijoux et babioles artisanaux. Elle s’arrêta sur une paire de boucles d’oreilles ornées de pierres vertes qui irait très bien à son amie. Elle s’apprêtait à demander le prix de la paire lorsque son attention fut attirée par un brouhaha qui se formait à une cinquantaine de mètres plus loin.  

Elle se mit sur la pointe des pieds pour prendre un peu de hauteur et piqua immédiatement un sprint dans cette direction en découvrant ce qui s’y tramait, lâchant précipitamment tout ce qu’elle avait dans les mains, devant le regard ébahi de la vendeuse.  

 

 

Quelques minutes plus tôt…  

 

Alia était enfin arrivé au bout de la jetée, pouvant ainsi apprécier pleinement le spectacle des différentes bicoques qui naviguaient. Plusieurs enfants jouaient à quelques pas au ballon, surtout des garçonnets d’environ 7 ans.  

Ryo était non loin, dégustant tranquillement sa glace, profitant de l’air frais de la mer qui rafraîchissait son visage de la chaleur de l’été.  

Sans crier gare, un des enfants bouscula Alia en voulant attraper le ballon, ce qui fit perdre l’équilibre à la fillette mais surtout fit entrer sa frimousse en contact direct avec son goûter glacé.  

-« Scuse. », bredouilla le gamin avant de retourner voir ses copains.  

Alia garda la tête baissée, sans pleurer, une colère l’enveloppant. (NDB : on croirait la cosmo énergie des chevaliers du Zodiaque ! lol)  

Ryo, voyant ça, se précipita à ses côtés, tentant de lui expliquer que ce n’était rien et cherchant désespérément un mouchoir pour lui essuyer le visage :  

-« Ca va ma chérie, c’est rien, papa va enlever tout ça. », fit-il en se relevant et en scrutant les alentours pour trouver Kaori, qui elle, avait tout le nécessaire dans son sac. (NDB : que ferait-il sans sa petite femme…)  

 

Ni une ni deux, la petite fille s’essuya négligemment avec son t-shirt avant de courir après le chenapan qui l’avait bousculé.  

-« Eh, ma glace est tombée ! C’est ta faute ! »  

Le fautif se retourna surpris :  

-« Quoi, bah je m’en fiche de ta glace ! »  

-« C’est ma maman qui me l’a acheté ! »  

-« Dégage, bébé ! »  

Alia ne se démonta pas devant celui qui avait une bonne tête de plus qu’elle et c’est avec toute sa force qu’elle lui mit un coup de pied dans le tibia.  

-« Aieeeeee !!! », hurla le gamin, pris de surprise. « Je vais te… », mais il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Ryo arriva et prit sa fille dans ses bras.  

-« Alia, mais qu’est-ce que tu as fait ! », gronda le nettoyeur.  

-« Elle m’a donné un coup de pied alors que j’ai rien fait ! », pleura le petit, rejoint par ses amis, intrigués par ce qu’il se passait.  

-« C’est lui qu’a commencé ! »  

-« Stop, Alia, il ne faut pas taper les autres, c’est mal. »  

-« Je veux mamannnn. », commença à pleurer la fillette.  

 

Les quelques enfants qui étaient là se moquèrent un peu d’Alia qui pleura de plus belle.  

Une mamie vint à la rencontre du nettoyeur pour comprendre ce qu’il se passait mais le jeune papa la remercia poliment, lui expliquant que ce n’était que des querelles d’enfants.  

-« Alia, calme-toi s’il te plait. »  

-« Y sont méchants !!! »  

-« Qu’est-ce qui se passe ma jolie ? », insista la grand-mère.  

-« Y arrêtent pas de se moquer de moi et pis il a fait tomber ma glace, lui ! », fit-elle en désignant le gamin du doigt.  

-« C’est vrai ? Ce n’est pas très gentil ça ! », fit-elle en se tournant vers l’accusé.  

-« Ce n’est rien madame, c’était un accident. », intervint le nettoyeur.  

-« J’ai pas fait exprèeeees, et pis elle m’a tapé ! »  

 

Deux autres parents rejoignirent le groupe, intrigués par cet attroupement.  

-« Voyons, c’est encore un bébé, et toi un jeune garçon, tu devrais montrer l’exemple. », continua la vieille dame au garçon.  

-« Chuis pas un bébé ! », cria Alia.  

-« Alia ! » tonna la voix de Ryo. « Excusez-la madame. Je pense qu’on devrait s’arrêter là. »  

-« J’veux qu’elle s’excuse ! », ordonna l’enfant de 7 ans, les bras croisés sur sa frêle poitrine, sûr d’être dans son bon droit.  

« Sale morveux, pousse pas le bouchon trop loin. », pensa pour lui-même le nettoyeur, s’efforçant d’offrir un sourire crispé à l’assistance.  

-« Voyons jeune homme, inutile d’aller jusque là. »  

-« Cette dame à raison. I… », commença le papa, interrompu par sa propre descendance.  

-« Si tu continues à m’embêter, mon père va te tuer avec son « magnum typhon » d’abord ! »  

 

-« Aliaaaaaaaa !!! »  

Kaori venait d’arriver, à bout de souffle, elle ne pouvait laisser sa fille en dire plus.  

L’attroupement causé par Alia la gênait déjà beaucoup mais à l’entente des mots de sa fille, le rouge colora ses joues.  

Ryo venait quant à lui, de mettre sa main sur la bouche de la petite, affichant un rictus débile pour seule explication.  

-« Ah, les enfants, ahahaha. »  

Alia ouvrit de grands yeux au son de la voix mélodieusement agacée de sa chère maman. Elle comprit aussitôt qu’elle était fâchée et qu’il serait dur cette fois-ci de faire passer la bêtise avec quelques câlins.  

-« Excusez ma fille, il lui arrive parfois de répéter bêtement ce qu’elle entend à la télé. », intervint, plus calme, Kaori à l’attention de l’assistance.  

-« Ne vous en faîtes pas ma petite dame, mes petits enfants sont aussi intenables. Et puis cette petite mignonne n’a pas tous les torts, n’est ce pas jeune homme ? », insista la grand-mère auprès du garçon.  

-« Je propose d’arrêter là ce malentendu et que chacun retourne à ses occupations. Allez les enfants, retournez jouer au ballon. », finit le nettoyeur, prenant la main de son épouse et saluant de la tête les adultes qui s’étaient pressés autour des bambins.  

-« Vous avez raison, allez, ouste garnements ! Et bonne fin de vacances à vous ! », termina la vieille dame, tout sourire.  

 

 

Kaori tira sans délicatesse son mari, qui tenait encore dans ses bras leur fille, un peu à l’écart pour lui passer un savon dont il se souviendrait jusqu’à Noël.  

-« Ryo, comment as-tu pu laisser une telle chose se produire ?!! »  

-« Mais j’ai rien fait moi ! », s’insurgea le nettoyeur. « C’est ton petit monstre là, qui ne sait pas se tenir tranquille ! »  

-« Quoi ? Et quel est ton rôle à toi, si ce n’est pas de veiller à éviter ce genre d’incident ? »  

-« Le gamin l’a bousculé sans le vouloir, j’allais quand même pas le pendre par les pieds ! »  

-« Idiot, je parle pas de ça, mais de l’intervention de ta fille sur la façon dont tu pourrais tuer ce gamin ! »  

Alia, toujours silencieuse, fixait d’un coup son père puis de l’autre sa mère. Elle savait pertinemment qu’elle était la cause de leur dispute et attendait, résignée, le moment où ils s’allieraient contre la trouble-fête.  

 

Là, Kaori marquait un point, Alia n’avait pas été très fine sur ce coup.  

-« Je te promets que ça n’arrivera plus. » Tournant l’enfant dans sa direction, il ajouta : « Toi, ne t’avises plus de dire pareilles bêtises, compris ? »  

-«… »  

-« Alia, je ne rigole pas ! »  

-« … désolée. », lâcha-t-elle timidement.  

-« Bon, nous trancherons sur vos punitions plus tard, pour le moment, rentrons. »  

-« Mais, les bateaux… »  

-« Il fallait y penser avant de taper ce garçon. Allez, en route ! », finit Kaori, fatiguée de ces deux monstres.  

Ryo, une main dans la poche, l’autre tenant Alia, suivit sa moitié, le pas traînant, pensant une fois de plus subir injustement les foudres de la maman qui remettait toujours toutes les bêtises de leur fille sur son dos. (NDA : pauvre biquette ! NDB : oui mon pov’ chou, on va te plaindre !)  

 

 

Retour au présent, jour du départ…  

 

Après ces différentes péripéties, la famille Saeba était réunie autour de la mini rouge, chargée à bloc de bagages, jouets et souvenirs en tout genre.  

Kaori finissait d’installer Alia dans son siège auto tandis que Ryo était parti rendre les clés du chalet de location.  

Les provisions avaient été faites pour le voyage et les points d’arrêts préalablement choisis par la copilote.  

Une dernière photo souvenir pour l’album des vacances et le quotidien allait reprendre place pour cette famille hors norme.  

 

 


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