Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: sabi

Beta-reader(s): Saiyuki_02, Nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 12-08-05

Ultimo aggiornamento: 10-08-07

 

Commenti: 110 reviews

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HumourAction

 

Riassunto: Défi de Ramal : Et si pour une raison ou une autre, Ryo changeait de métier. Une suite de ma 1ère fic 'La grossesse de Kaori'. La suite des aventures de la petite famille Saeba...

 

Disclaimer: Les personnages de "A life more ordinary" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A life more ordinary

 

Capitolo 14 :: Bientôt la rentrée.

Pubblicato: 06-07-07 - Ultimo aggiornamento: 06-07-07

Commenti: Salut, tous, je sais, j'avais promis maje plus régulière mais vous savez ce que c'est. Bon, pour m'excuser, un chapitre avant de filer rapidos à la Japan expo. Merci à ma nanou pour ses corrections express, toujours aussi efficace; Merci à mes reviewers de choc Nakite, Shan In XYZ, Fauve, Moon, Grifter, Phineas qui par leur encouragement me poussent toujours à continuer. Le prochain chap est presque fini, alors patience; Bisous et laissez vos coms.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Fin Août, Quartier de Shinjuku, Tokyo…  

 

Le temps était encore très chaud sur la ville, même humide ces derniers jours, tout ce que Ryo détestait.  

Il était loin le temps des vacances, des baignades à la mer et des glaces rafraichissantes.  

Aujourd’hui, il avait rendez-vous à l’école, pour faire un point avec sa future patronne, la directrice Tanaka, déjà surnommée la vieille bique par le nettoyeur, vu le plan qu’elle lui avait fait. (NDA : joli surnom ! lol)  

Il avait pour l’occasion passé une chemise blanche sous sa veste noire mais déjà, il le regrettait. Le tissu semblait vouloir faire corps avec sa peau, à son plus grand désarroi. (NDA : miam !)  

-« Ah, la poisse, j’aurais du rester habillé décontract ! »  

Il sonna à la porte principale de l’édifice et celle-ci s’ouvrit sur Tanaka.  

 

-« Ah Saeba, vous voilà ! »  

Elle avait déjà mis de côté le monsieur, montrant par la même occasion leur différence de statut, elle était la chef, lui, l’exécutant. « Je vous attendais. Suivez-moi ! »  

Elle le conduisit à un bureau, simple de par sa décoration, qui donnait de par sa grande porte fenêtre, une vue dégagée sur le jardin.  

-« Voilà votre lieu principal de travail. Vous pourrez y installer votre nécessaire et c’est ici que vous passerez la plus grande partie de votre temps à partir de maintenant. »  

« Super. », souffla le nettoyeur, pour lui-même, pas très motivé par ses perspectives d’avenir.  

-« D’ici, vous pourrez régler les différents problèmes d’intendance et avoir un œil sur les enfants lors des pauses. Venez, je vais vous faire visiter l’école. », finit-elle avant de quitter la petite pièce.  

 

Ryo resta quasi silencieux durant la petite visite guidée et il avait par habitude, déjà repéré toutes les failles de sécurité d’un tel site.  

 

Au bout d’une demi-heure, ils retournèrent au bureau de Tanaka qui eut un certain plaisir à « offrir » à son employé sa nouvelle tenue de travail : un pantalon noir assorti à une veste sur laquelle l’écusson rouge de l’école trônait fièrement à gauche, au niveau de la poitrine.  

Pour accompagner l’ensemble, il y avait aussi une chemise blanche et une cravate assortie à la couleur de l’écusson.  

-« C’est quoi ça ? », interrogea Ryo.  

-« Votre uniforme voyons, vous ne pensiez pas pouvoir en être dispensé ? »  

 

A cette remarque, Ryo scruta son hôte et remarqua la tenue similaire, version femme. Il se souvint alors que Tanaka portait déjà cette tenue lors de leurs précédentes rencontres et ne put que se résigner.  

-« Ok, sinon, vous avez d’autres surprises de ce genre ? »  

Elle lui tendit pour réponse un trousseau de clé avant d’ajouter :  

-« Je vous donnerai les autres exemplaires le jour de la rentrée, ils sont en commande. Pour finir, un jeu de clés de l’école. Comme convenu, vous commencerez une semaine avant la rentrée des classes pour que tout soit prêt le jour J. »  

Elle s’apprêtait à libérer le nettoyeur quand elle ajouta :  

-« Oh, Saeba, avant que j’oublie, voici l’uniforme pour votre fille. Je suis persuadée qu’il lui ira à merveille. »  

-« Merci madame Tanaka, elle sera ravie. Bon, sur ce, je vous laisse. »  

-« Oui, faites donc. Et surtout, ne soyez pas en retard ! », siffla-t-elle tandis que Ryo quittait déjà son champ de vision.  

 

De retour à la Mini, le nettoyeur jeta plus qu’il ne posa les uniformes sur la banquette arrière avant de retirer sa veste et de retrousser les manches de sa chemise.  

-« Tu parles d’un look de pingouin ! J’aurais l’air fin comme ça ! », cracha-t-il tout en se mettant en route pour l’appartement. (NDB : moi je ne trouve pas…enfin opinion personnelle) (NDA : je pense que d’autres apprécieront aussi !)  

 

 

*************************************************************************  

 

 

Parc de Shinjuku, 15h45.  

 

Le parc avait une fois de plus été pris d’assaut par les habitants du quartier par cet après-midi ensoleillé. Plusieurs campements de fortune étaient disséminés aux abords de coins d’ombres tandis que les enfants avaient de leur côté, réquisitionné la fontaine à eau pour y patauger tout habillé.  

 

Kaori, bien installée sur une couverture, surveillait du coin de l’œil Alia et Kenzo entrain de jouer au ballon. Elle profitait pleinement de ses derniers jours de congés. Elle jeta un regard rapide sur son portable mais toujours rien.  

-« Ah Ryo, où es-tu encore parti traîner ta veille carcasse ? » (NDA : ça y est, Kaori a presque enterré Ryô ! lol)  

Fatiguée d’attendre, elle sortit son bouquin et commença sa lecture.  

 

 

Rue de l’appartement, 15h55.  

 

-« Alors, maintenant que tu l’as examiné sous toutes les coutures, qu’en dis-tu ? »  

-« Bah, y’a rien à dire mon frère, c’est un vrai petit bijou que tu as là ! », constata le nettoyeur.  

-« Oui, une affaire en plus de ça. »  

-« Et qu’en pense Kazue ? Elle est d’accord pour que tu t’offres cette petite Allemande ? Pas trop jalouse ? »  

-« Tu rigoles, enfin, elle doit bien se douter que je risque de faire encore plus craquer les jolies filles mais bon, j’ai pas pu résister. »  

-« Ben voyons, comme si une voiture pouvait changer quelque chose à ton manque de charme. Non, tu n’as jamais su y faire avec les femmes, tout juste avec les midinettes et encore ! »  

-« Répètes un peu pour voir ! », menaça l’Américain, armé d’un chiffon à poussière.  

-« Tu es un vrai repoussoir, ça te va ? »  

-« Tu parles pour toi, vieux rabougri. Tu as de la chance, je dois aller chercher ma belle infirmière aujourd’hui, sinon, je t’aurais montré, moi môssieur, l’étendue de mon charme ! »  

-« Kazue finit super tôt aujourd’hui, le doc a du prévoir une sortie à Kabuki-cho. » (NDA : quoi ? Même le Doc ? Décidemment…)  

-« Tu rigoles, il va être 16h00 ! »  

Le visage du japonais se décomposa en une seconde.  

-« Quoiiiiiiiiiiii ???? Vite, dépose-moi au parc ou je suis un homme mort !!! », hurla Ryo en poussant l’Américain au volant de son cabriolet.  

 

Mick avait suivi les instructions de son ami et l’avait déposé au parc de Shinjuku avant de reprendre sa route, riant intérieurement de voir le nettoyeur courir à toutes jambes pour rejoindre sa femme, qui serait à coup sûr, très fâchée de cet oubli.  

 

 

************************************************************************  

 

 

Parc de Shinjuku, 16h10  

 

-« J’en ai marre Ryo, quand apprendras-tu à être ponctuel ? Alia, Kenzo, on ne va plus tarder. »  

-« Encore un peu maman s’te plait. », demanda la fillette.  

-« 10 minutes, pas plus, maman doit préparer le dîner. Et elle a surtout envie de mettre la main sur ton père et de l’éliminer de la surface de la Terre ! », finit, pour elle-même, Kaori, plus qu’exaspérée par l’attitude de son mari. (NDA : Oups, Ryô a intérêt à numéroter ses abattis !)  

Elle commença à rassembler ses affaires quand elle entendit le pas lourd et le souffle court de quelqu’un venir vers elle. (NDA : c’est quoi ? Un pachyderme ?)  

Elle n’eut nullement besoin de se retourner pour reconnaître ce nouveau venu.  

 

-« Tu es plus qu’en retard Saeba ! », lâcha d’un ton sec Kaori.  

« Aie, c’est mal parti ! » - « Je suis désolée ma chérie, j’ai été retenu par… »  

-« Stop, je n’ai rien demandé. Tu aurais dû appeler. Fin de la discussion ! », finit-elle, sans même jeter un regard au nettoyeur.  

-« Les enfants, on rentre. »  

-« Super, ze vé voir ma maman. », s’écria le petit garçon. –« Bonjour tonton. »  

-« Coucou bonhomme. Bonjour ma puce. »  

-« Bonjour. »  

Alia vint prendre la main de sa maman, l’air renfrogné, ayant compris que son papa avait une nouvelle fois fait une bêtise, ce qui expliquait l’aura colérique de sa mère.  

 

Kaori se saisit de son sac et Ryo tenta de le prendre pour l’en décharger mais un regard suffit à lui faire oublier cette idée.  

-« Où as-tu garé la voiture ? »  

-« La voiture, hahaha ! Eh bien c’est Mick qui m’a déposé en vitesse alors y’a pas de voiture ! », sourit Ryo, sûr que la correction ne tarderait plus maintenant.  

-« Super, c’est le pompon, t’en rates pas une ! Comment je fais moi avec les petits, ils vont être fatigués de marcher jusqu’au café ! »  

-« Mais non, il fait beau, faut en profiter, hein les enfants ? »  

-« Bien sûr ! On en reparlera au bout de 10 minutes ! Bon, vous n’avez rien oublié, on y va ? »  

Les deux bambins répondirent par l’affirmatif et la petite bande se mit en route.  

 

Quelques mètres plus loin, Kenzo ne tenait déjà plus. Il s’était bien défoulé toute l’après-midi avec Alia et du haut de ses 2 ans et demi, c’était comme s’il avait veillé depuis des jours.  

-« Tata, chuis fatigué. »  

-« Attends mon chéri, tonton va se faire un plaisir de te porter, n’est-ce pas Ryo ! »  

-« Pas de problème. »  

Le nettoyeur prit l’enfant dans ses bras et ce qui devait arriver arriva, Alia voulut elle aussi être portée par son papa.  

-« Moi aussi je veux comme Ken papa ! »  

-« Alia, fais un effort, tu es une grande fille, Kenzo est encore un bébé. »  

-« Chuis pas un bébé ! », se plaint le petit garçon, vexé de la remarque de l’adulte.  

-« Mais non mon trésor, tu n’es plus un bébé, tu es juste plus jeune qu’Alia, c’est ce que voulait dire tonton Ryo. »  

-« Maman, j’ai mal au pied. », réitéra la petite Saeba en tirant sur la main de sa mère.  

-« Ryo, fais quelque chose. »  

-« Ok. – Il s’abaissa et tapota sur ses épaules pour que Kaori y installe leur fille. – Voilà, tout le monde est content, on peut s’y remettre ? »  

-« Voui. »  

-« Chuis super haute, c’est super ! »  

-« Moi ‘si veux être super haute. »  

-« Ah, y’a pas de place pour deux les enfants alors on reste bien sage, et puis nous sommes presque arrivés. », tenta le nettoyeur qui voyait déjà la dispute entre les bambins venir.  

 

Kaori était ravie du spectacle. Ryo comprenait maintenant ce que voulait dire s’occuper seul de deux enfants en bas âge. Si la colère avait pris le dessus à cet instant, elle aurait voulu que le trajet soit encore plus long mais elle pensait aussi aux enfants, qui ne méritaient pas d’être baladé comme de vulgaires sacs de riz.  

 

-« Nous voilà ! », déclara, après encore quelques minutes de marche, la jeune maman en pénétrant dans l’établissement.  

-« Alors, tout s’est bien passé ? Kenzo a été sage ? »  

-« Oui, ne t’en fais pas. »  

-« Tu n’aurais pas un grand verre d’eau bien fraîche pour un pauvre homme déshydraté. »  

-« Qui ? », se moqua Miki.  

-« L’idiot du village, voyons Miki ! », se permit de signaler Kaori.  

L’ex mercenaire ne se cacha pas pour se moquer du nettoyeur, mais n’en oublia pas pour autant de répondre à sa supplique.  

-« Je suis vraiment un incompris ! »  

-« Arrête un peu d’essayer de te faire passer pour un pauvre malheureux. Tu n’as que ce que tu mérites ! »  

Miki voyait bien que Kaori tenait une certaine rancœur envers le nettoyeur et l’arrivée de Mick lui confirma ses doutes.  

 

-« Mick, explique à Kaori que je suis arrivé en retard par ta faute ! », menaça le nettoyeur à l’encontre de son homologue américain.  

-« Quoi, mais j’ai rien fait moi ! » (NDA : oh le Mick, quel lâcheur !)  

-« Ryo, arrête de t’inventer des excuses. », ajouta Miki, amusée.  

-« Mais j’vous jure. Mick, fini de rigoler ! »  

-« Ok, j’avoue que je l’ai un peu retardé mais c’était pour lui présenter ma petite chérie. »  

-« Ta quoi ? demanda Kazue qui venait de les rejoindre.  

-« Ah mon amour, non euh, je voulais dire ma petite voiture. »  

-« Oui, c’est ça ! »  

-« Bref, Kaori, crois-moi, si Ryo est arrivé en retard c’est un peu de ma faute, même si grâce à mon nouveau bolide, on a pu limiter la casse. »  

-« Laisse tomber Mick. Ryo doit prendre ses responsabilités. Il n’avait qu’à appeler. Fin de la discussion. » (NDA : hum, on entendrait une mouche voler…)  

Elle laissa les deux hommes à leurs chamailleries et s’installa plutôt à une table avec ses amies. Le reste de la soirée se passa dans la bonne humeur et vers 20 heures, chacun regagna son domicile.  

 

 


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