Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Kaori28

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 20-11-05

Ultimo aggiornamento: 24-09-06

 

Commenti: 62 reviews

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General

 

Riassunto: City Hunter est à la croisée des chemins... Nos deux héros sauront-ils faire le bon choix quant au déroulement de leur destin ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Le bon choix" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le bon choix

 

Capitolo 10 :: Le cauchemar commence... (part 1)

Pubblicato: 25-05-06 - Ultimo aggiornamento: 25-05-06

Commenti: Hello à vous tous, fan de Hojo ^^ Nouvelle maj de ma fic qui, j'espère, vous plaira et vous donnera l'envie de me laisser plein plein de rewiews! J'en profite d'ailleurs pour remercier ceux qui ont pris le temps de me donner leur avis. Cela m'a fait énormément plaisir ^^ Comme vous avez pu le deviner, j'ai débuté une histoire d'amour avec le beau Mick Angel. Pour les plus curieux, sachez que tout se déroule à merveille... D'ailleurs, peut-être que notre histoire fera l'objet d'une fic... qui sait ? J'ai l'imagination très fertile en ce moment ^^ Pour en revenir à mon histoire, voici un chapitre plus sombre, et plus noir que les précédents. Notre petit groupe d'amis va entamer sa descente aux enfers...

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Immeuble de Ryô Saeba  

16h37  

 

Après de tendres échanges, Ryô et Kaori finirent par se retrouver "innocemment" sur le canapé (nda: c'est tout sauf innocent, surtout connaissant Ryô...^^). Leurs ébats auraient pu dériver dangereusement si l'ouie du nettoyeur n'avait pas perçue du remue-ménage à l'étage. Il stoppa de suite son baiser, laissant une Kaori des plus contrariée. Elle essaye de le distraire en lui mordillant le lobe de l'oreille. Ryô émit un soupir rauque, montrant ainsi qu'il était réceptif, mais ne détourna pas pour autant son regard de l'étage.  

Contre sa volonté, la jeune femme s'étala de tout son long, sur son corps. Ses yeux, animés d'une lueur de désir, scrutaient la moindre parcelle de la peau de son homme.  

Lentement, elle posa son menton sur le torse du nettoyeur et lui demanda, avec une moue dubitative:  

 

"Je ne te suffit plus comme distraction ???  

Ryô soupira, amusé. Comment pouvait-elle penser ça ?  

-Oh que si crois-moi, lui répondit-il avec un sourire aguicheur, tu es un spectacle inlassable...  

Kaori rougit à cette remarque. Elle ne s'attendait pas à une telle réponse de sa part. Elle regretta aussitôt d'avoir été aussi audacieuse !  

Voyant l'embarras de sa partenaire, Ryô décida d'abréger ses souffrances.  

- Je vais voir ce qu'il se passe là-haut, je reviens, dit-il alors à l'encontre de la jeune femme.  

- Ok, répondit celle-ci, je vais en profiter pour aller faire quelques courses. On a presque plus rien dans nos placards.  

- D'accord, dit le nettoyeur, je te dis donc à tout à l'heure.  

- Ben c'est tout ?! s'exclama Kaori, quelque peu déçue.  

- Si tu m'avais laissé finir... maintenant tu l'as coupé dans mon élan, fit un Ryô, apparemment agacé.  

- Oh..., désolée, dit une Kaori toute confuse."  

 

Ryô adorait la voir prendre cette couleur. C'était tellement mignon ! La tête baissée, Kaori ne vit pas le nettoyeur s'approcher d'elle. Il lui releva le menton, et lui donna un doux baiser (nda: Oh que j'aimerais être à sa place ^^ ; Mick: Parce que maintenant, je ne te suffit plus ! Kaori28: Serais-tu jaloux par le plus grand des hasards ?; Mick, un peu bougon: Pas du tout ! Alors là, je ne vois pas de quoi tu veux parler !!!; Kaori28: Ne fais pas cette tête, tu sais bien que tu es le seul homme de ma vie ^^; Mick: Je préfère ça... allez viens par là ! Kaori28, toute heureuse: J'arrive....).  

La jeune femme se sentit toute grisée et afficha un sourire des plus radieux. Elle lui rendit son baiser avec toute la tendresse dont elle était capable. C'est en étant toute joyeuse qu'elle quitta l'appartement.  

 

Soudain, notre nettoyeur ressentit un grand froid. Il était vraiment incroyable de voir à quel point cette femme lui était essentielle. Il se dirigea vers la fenêtre et la vit tourner au coin de la rue, arrêtant quelques passants, muets d'admiration. C'est vrai qu'elle resplendissait de plus en plus. Surtout depuis qu'il avait enfin était honnête avec lui-même. Il afficha un sourire au coin des lèvres: il était heureux de voir qu'il avait au moins fait quelque chose de bien dans sa vie.  

Après ce constat, il se dirigea enfin vers l'étage. Plus précisément vers la chambre de leur hôte. Discrètement, il toqua à la porte et attendit qu'on lui donne l'autorisation d'entrer. Sayuri apparut sur le seuil, l'air passablement préoccupé vu la mine qu'elle affichait. Elle n'avait pas du trouver le sommeil vu les cernes qui creusaient son visage, malgré la lourde fatigue. C'est avec une pointe d'énervement qu'elle demanda à Ryô:  

 

"Vous désirez ?  

ça commence bien, pensa le nettoyeur  

- Je voulais savoir à quoi était du tout ce boucan d'il y a quelques minutes, répondit Ryô, l'air autoritaire.  

En entendant le ton de Ryô, la jeune femme prit sur elle, afin de se calmer.  

- Je m'excuse d'avoir fait autant de bruit, lui dit-elle, je n'ai pas réussi à fermer l'oeil. Je ne cessais de faire les cent pas dans ma chambre. J'ignorais que ça pouvait résonner autant.  

- Ne vous inquiétez pas pour le résonnement, dit alors Ryô, coupant presque la parole à la jeune femme, dîtes-moi plutôt que faisiez-vous exactement dans cette chambre.  

Quel culot ! Mais de quoi je me mêle ?  

- Je peux savoir en quoi cela vous concerne-t-il ? demanda t-elle au nettoyeur, plutôt contrariée.  

Elle ne me facilite pas du tout la tâche... me prendrait-elle pour un idiot ?  

- Ecoutez, vociféra t-il, vous semblez oublier qui je suis. Vous avez peut-être réussi à berner tout le monde (nda:  

: sauf Falcon peut-être, et mon Mick d'amour bien entendu ^^) mais avec moi ça ne marche pas ! Au lieu d'éluder ma question, répondez-y franchement !!!  

La voix de Ryô monta légèrement et sa colère augmenta d'un cran. Il se contenait mais à l'intérieur, c'était un véritable volcan en éruption. Tout ce qu'il voulait, c'était connaître la raison de toutes ces cachotteries. Car il le savait, ça ne présageait sûrement rien de bon. Il pourrait peut-être l'aider et au lieu de ça, elle s'amusait à jouer les impertinentes ! Non mais vraiment !!!  

Sayuri écarquilla les yeux de surprise: jamais auparavant, elle n'avait vu Ryô sortir de ses gonds. Peut-être pensait-il qu'elle venait lui prendre Kaori. Si c'était cela, elle se devait de le rassurer.  

- Ne vous inquiétez pas, répondit-elle d'une voix ferme mais douce à la fois, je ne suis pas là pour Kaori.  

Automatiquement, elle sentit la tension diminuer autour de Ryô. Même s'il semblait encore contrarié, elle avait réussi à le calmer un peu.  

Ryô ressentit un soulagement sans pareil à l'entente de cette nouvelle. Même si ce n'est pas réellement la réponse qu'il attendait, il n'en était pas moins serein. Progressivement, il reprit son calme et réitéra sa question:  

- Que se passe t-il Sayuri ? lui demanda t-il, je peux peut-être vous venir en aide. Il ferma les yeux et soupira. Vous savez très bien que vous pourrez toujours compter sur moi."  

 

Lentement, des larmes vinrent se fondre sur le visage de la jeune femme. Elle était tellement à bout de nerfs ces temps-ci, qu'elle était rassurée de voir qu'elle pouvait encore donner toute sa confiance à quelqu'un, se décharger un peu du poids qu'elle portait sur ses épaules. En effet, la tension accumulée ces derniers jours l'avait amenée à se méfier de tout le monde. Même depuis son arrivée à Tokyo, qui était pourtant son pays natal, elle n'avait pas réussi à retrouver la paix et la sérénité. Et voilà que Ryô se proposait d'être à ses côtés pour la soutenir...  

Bientôt, ce fut un véritable torrent qui s’échappa de ses yeux clairs. Elle se jeta dans les bras de Ryô et pleura tout son soul. Le nettoyeur fut quelque peu déstabilisé sur le moment, mais se reprit bien vite. La pauvre jeune femme semblait complètement déstabilisée et effrayée. Ryô avait noté le fait qu'elle était toujours aux aguets depuis leur sortie du Cat's Eye. Il la berça jusqu'à ce qu'elle finisse par se calmer, ce qui se fit tout de même au bout d'un certain temps.  

Après avoir séché ses yeux, gonflés d'avoir autant pleuré, elle finit par prendre la parole:  

 

"Tout a commencé il y a deux mois. Comme vous le savez, j'ai été sollicitée près du grand patron à New York. Connaissant déjà le travail que j'effectuais ici, il m'a proposé une affaire d'une grande envergure. En effet, je devais enquêter sur le trafic d'un gros cartel de drogue, qui commençait à sévir dans le sud des Etats-Unis, près de la frontière mexicaine. C'était là une magnifique occasion de démontrer mes compétences de journaliste d'investigation et de me faire un véritable nom dans le métier. Pour cette affaire, on me confia un collègue japonais du nom de Yuki Manabe. Dans notre milieu, il était très populaire et demeurait, sans conteste, un des grands journalistes de notre époque. Des mois passèrent et, au fur et à mesure, une solide complicité se construisit entre nous. Une solide complicité qui donna lieu à un amour sincère. Cependant, plus le temps passait, et plus notre enquête piétinait. Du moins c'était le cas jusqu'à il y a deux jours. Nous reçurent des lettres de menaces nous ordonnant de cesser toute investigation, sous peine d'être traqué et exécuté. Malheureusement, nous ne prîmes pas cet avertissement au sérieux et décidâmes de revenir au Japon, où l'un des collaborateurs de Yuki avait réussi à se procurer des informations qui pourraient nous intéresser. A notre arrivée à l'aéroport, nous fûmes arrêtés par des agents douaniers, sous prétexte que des substances illicites se trouvaient dans nos bagages.  

Ils nous amenèrent dans un couloir désert, et assommèrent mon compagnon. J'ai essayé de me débattre mais je n'ai rien pu faire. Ils m'ont ensuite plaquée contre le mur et ont menacé de tuer Yuki si je ne leur fournissait pas toutes les informations que nous avions récolté sur eux, jusqu'à lors. J'ai alors juré de leur donné tout ce qu'il voulait en échange de la vie de Yuki. Ils m'ont accordé un délai de 48h pour leur fournir les documents. M'abandonnant ensuite dans une ruelle déserte, je pris mon courage à deux mains et décida de demander de l'aide. Appeler la police aurait provoqué beaucoup trop de complications, c'est alors que j'ai pensé à vous."  

 

Ryô, qui avait écouté le récit de Sayuri d'une oreille attentive, ne fut pas réellement étonné des aventures qui étaient arrivé à la jeune femme. S'attaquer à plus grand que soi entraînait toujours des conséquences très fâcheuses. C'est avec un ton pragmatique qu'il lui demanda:  

 

"Je suppose que c'est à vous que je dois le XYZ ?  

- En effet, répondit la jeune, pas étonnée le moins du monde par la perspicacité du nettoyeur.  

- Pourquoi ne pas m'avoir parlé de votre affaire lors de votre passage au Cat's Eye ? Nous avions bien rendez-vous non ?  

- Eh bien, c'était ce que je comptais faire mais j'avais oublié que Kaori discutait des contrats, et que donc elle serait présente. Et lorsque je l'ai aperçu à travers la vitre, j'ai décidé de faire l'impasse sur le rendez-vous et de prétendre une visite amicale.  

- Pourtant, il aurait bien fallu que Kaori soit au courant de l'affaire, si vous vouliez que je vous protège. Vous n'êtes pas sans savoir que Kaori a horreur d'être mise à l'écart. Elle aurait interprété votre comportement comme un manque de confiance.  

- Vous croyez ? Pourtant, ça n'aurait pas été mon intention.  

- Vous me pouvez me faire confiance, je sais de quoi je parle, dit alors Ryô, d'un air songeur.  

- Toujours est-il que ce qui devait être un simple échange, semble s'être compliqué, dit Sayuri, paniquée  

- Que voulez-vous dire par là ? demanda Ryô  

- Eh bien, juste avant notre rendez-vous, il était convenu que je porte les documents dans une boîte aux lettres de la gare de Shinjuku. Bien que j’aie respecté ce qui m'avait été demandé, les ravisseurs n'ont pas fait de même. J'étais sensée recevoir un coup de téléphone de leur part, m'indiquant que le colis avait bien été réceptionné et que je reverrais Yuki selon les horaires qu'ils auraient fixé. Au lieu de ça, ils me prévinrent que les conditions avaient été modifiées et que je verrai ce qu'il en retourne très prochainement. Ces bandits ne m'ont pas donné plus d'explication et je suis morte de peur à l'idée de ce qu'ils pourraient faire à Yuki."  

 

Ryô aurait bien aimé réconforter la jeune femme en la rassurant sur l'état éventuel de son ami, mais il était fort probable que celui-ci ne les ait quitté. Lui passant le bras autour de ses épaules, il lui intima l'ordre d'aller se reposer. La jeune femme ne se fit pas prier et prit congé du nettoyeur.  

Après avoir veillé à ce qu'elle trouve le sommeil, il descendit au salon, et s'affala sur le canapé. A peine s'était-il assis, que la sonnette se fit entendre. Tout en se massant la nuque, il alla ouvrir la porte et tomba sur un Mick des plus stressés. De suite, il reprit son air sérieux et lui permit d'entrer. Le nettoyeur n'avait jamais vu son homologue américain dans cet état. Il arborait une mine des plus grave.  

 

"Ryô, commença-t-il, je ne vais pas y aller par quatre chemins. Tu sais aussi bien que moi que l'Union Teope a refait surface depuis quelques mois déjà.  

- En effet, répondit l'intéressé. Que s'est-il passé ?  

- Elle a fait une première victime, dans le centre...  

Ryô écarquilla les yeux de stupeur. Comment cela avait-il pu se produire sous leurs yeux, sans qu'ils ne soient au courant ? Le plus étrange était que l'organisation était plutôt discrète sur ses règlements de compte, en général...  

- Ce sont tes indics qui t'ont mis au courant ? lui demanda-t-il alors.  

- Je n'ai pas eu besoin d'indics pour cela... Je l'ai vu de mes yeux, répondit Mick, le visage triste.  

Ryô comprenait maintenant pourquoi son ami affichait une telle tête depuis son arrivée. Cela n'avait pas du être facile de voir ce spectacle. Même s'ils demeuraient des nettoyeurs dans l'âme, il était toujours difficile de voir mourir un innocent.  

- Ryô, ce n'est pas tant le spectacle qui m'a émeut, c'est la façon dont cette personne est morte. Elle s'est défénestrée, du 25ème étage.  

- Et ? demanda Ryô, redoutant la suite.  

- Elle était droguée... au PCP."  

 

Ryô afficha un air des plus effrayé. Il connaissait les effets du PCP dans l'organisme pour en avoir lui-même subit ses ravages. Cependant, une seule personne connaissait la formule chimique de ce poison... mais il l'avait éliminé depuis longtemps... du moins c'est ce qu'il croyait...  

Après avoir pris sur le canapé, il se prit la tête entre les mains. Il en était à se demander le pourquoi du comment, quand une intuition assombrit son esprit.  

Il releva la tête et demanda à Mick, qui avait pris place à ses côtés:  

 

"Comment s'appelait la victime ?  

- Yuki Manabe..."  

 

 


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