Capitolo 14 :: Chapitre 14

Pubblicato: 05-04-06 - Ultimo aggiornamento: 06-04-06

Commenti: merci à tous pour vos coms, et déolé pour les je m'était un peu trompé(merci sabi), merci à milene ma béta qui fait un 'boulot" super, jusqu'a maintenant j'ai bien placé l'histoire maintenant on va passer aux choses serieuses alors accroché vous, gros bisous et à très bientot

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

Ryô et Kaori étaient dans le salon, la télé allumée. Malgré qu'un silence pesant régnait dans la pièce, Ryô décida de le rompre :  

R : Dites-moi Kaori, que diriez-vous d'aller au Cat's Eye, aujourd'hui ? Ca nous ferait prendre l'air.  

K : Oui, ce serait avec plaisir comme ça j'en profiterai pour remercier vos amis de leur gentillesse.  

R : OK. Alors, allons-y.  

K : QUOI ? Tout de suite ? Mais voyons, je ne suis pas préparée, je dois être dans un état lamentable, et en plus...  

Ryô qui la voyait s'affoler, prit la tête de Kaori entre ses mains et la regarda droit dans les yeux,- le coeur de Kaori était sur le point d'exploser, ses joues prirent une jolie teinte carmin et elle se calma tout de suite. Ryô, qui avait compris pourquoi l'attitude de Kaori changea du tout au tout, sut immédiatement d'où venait son malaise, car son coeur à lui aussi s'affolait. Il la lâcha et reprit, tout en gardant toujours ses yeux ancrés dans ceux de la jeune femme :  

-Vous êtes très bien comme vous êtes, ne changez rien. Allez venez.  

Il prit Kaori par poignet et la traîna jusque dans le garage, mais au moment où il voulut ouvrir le porte côté passager (Nda : Un peu de galanterie n'a jamais tué personne), il remarqua que le siège passager était un peu enfoncé, or personne ne s'est assis ici depuis au moins deux semaines.  

R : Comment faire pour lui proposer d'y aller à pied sans trop lui en dire ?!  

K : Monsieur Saeba, est ce que ce serait possible d'y aller à pied, s'il vous plaît ? Ca fait longtemps que je ne suis pas sortie et j'aimerai bien visiter la ville.  

R : Ouf ! On l'a échappé belle.  

R : Oui bien sûr, je n'y vois aucun inconvénient par contre j'aimerai que vous me rendiez un petit service avant...  

K : Oui bien sûr, tout ce que vous voudrez.  

R : Très bien alors voilà ; une amie m'avait demandé de lui acheter un vêtement dans un magasin, car ce sera bientôt son anniversaire et étant donné que je n'ai aucun goût d'après elle, cela vous dérangerait de m'aider à le choisir ?  

K : Non bien sur. Comment s'appelle votre amie ?  

R : Reika.  

K : Bon, bah, allons-y.  

Sûr ce, ils allèrent ensemble vers le centre ville.  

K : (le rouge au joue) : Pourriez-vous me lâchez le poignet, s'il vous plait ?  

R : Oui, désolé, j'avais oublié que je le tenais encore, dit-il en se grattant la tête et en rigolant comme un idiot.  

Du côté de Nikky :  

-Voilà, patron on a rien trouvé sur City Hunter, parce que tous les indics qu'on a interrogés, ont eu plus peur de lui que de nous. Par contre, il y en un qui à oser au moins nous dire le nom de l'un de ses amis et je crois que vous le connaissez, il s'appelle Mick Angel.  

N : Mick ?! ...C'est le nom que criait Kaori, lorsque que je la regardais le soir.  

H : J'ai aussi appris que c'est un ami de Kaori, c'est un jeune homme qui venait souvent pour lui demander sa main.  

N : A part ça, vous n'avez rien trouvé d'autre ?  

H : Si encore une chose...  

N : Et bien allez-y, vous attendez quoi ?! Une invitation à me dire ce que vous savez ?!  

H : Voilà; j'ai envoyé un homme placer une bombe, dans la voiture de City Hunter, donc dans peu de temps normalement...  

N : ESPECE D'IDIOT, que voulez vous que je fasse du cadavre de Kaori ?! Que je l'empaille peut-être, pour le contempler tous les soirs, ça ira ?  

H : Je suis désolé, mais je pensais...  

N : Je ne vous paie pas pour pensez mais pour agir ! Faites quelque chose de bien une fois dans votre satanée vie et allez m'enlever cette bombe !  

H : C'est impossible, on a eu un mal fou...  

BAM !!!  

N : SAM !  

Un homme arriva en courant ; il était brun, avait les yeux verts et la peau mate.  

S ; Oui patron.  

N : Ramasse-moi cette chose, et trouve-moi un autre homme tout de suite.  

S : Très bien, chef.  

S : Oh et la prochaine fois, ne prend pas un homme qui pense comme une âne, mais essaye plutôt un être humain.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22