Capitolo 17 :: Jalousie

Pubblicato: 10-05-06 - Ultimo aggiornamento: 21-05-06

Commenti: Voilà, mon 17 ème chapitre est arrivé, un grand merci à toutes pour vos reviews, j'espère que ce chapitre vous plaira, merci à ma superbe béta milene pour m'avoir corriger ce chapitre aussi vite, bonne lecture et n'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez

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Cela faisait à peu près une heure que Ryô et Kaori faisaient les courses. Ils étaient en train de marcher dans le couloir d'un centre commercial de Shinjuku.  

K : Bon je crois qu'on a tout ce qu'il nous faut, pour faire un festin, ce soir.  

R : Ah bon vous croyez ? Pourtant, nous avons juste dévalisés trois magasins. Vous êtes sûre que ça suffit ?  

K : Je suis vraiment désolée, monsieur Saeba.  

Le visage de Kaori était de la même couleur que le nez d'un clown.  

R : Je rigole Kaori. Maintenant que vous avez tout acheté question nourriture, allons dans une boutique de vêtements.  

K : Ah vous devez vous acheter des vêtements ?  

R : Pas pour moi, pour vous.  

K : Quoi, mais non, non, non ! Je vous ai déjà pris beaucoup votre temps et de votre argent !  

R : Kaori !!! Si à chaque fois que je veux vous faire plaisir, vous refusez comme ça, je vais finir par me vexer.  

K (d'une tout petite voix) : Bon d'accord.  

Ryô fixa Kaori avec un regard qu'il n'avait jamais eu avant, son cœur était en train de danser la samba dans sa poitrine.  

R : Cette femme est réellement un ange tombée du ciel ! Mon dieu qu'est ce que j'ai fait pour que vous mettiez cet ange devant moi ?  

Il fut tiré de ses pensées par un petit 'CLICK' que lui seul pouvait entendre.  

K : Monsieur Saeba, quelque chose ne va pas ?  

R : Kaori ! Couchez-vous !!  

A peine a-t-il eu le temps de finir sa phrase, que des balles tombaient du ciel.  

Ryô plongea sur Kaori et sortit son arme en même temps ; il tira deux balles, la première alla sur le fusil que tenait le tireur et la deuxième atterrit dans la main de celui-ci.  

La foule était paniquée. Dans celle-ci, se cachait Sam : il empoigna le bras de Kaori et l'attira à lui.  

K : Monsieur Saeba ! A l'aide !!  

Ryô s'élança vers elle mais avec la foule qui courait dans tous les sens, il ne parvint pas à l'attraper.  

Sam crut avoir gagné.  

Il l'emmena dans une impasse où il n'y avait personne et la colla au mur, avec un regard froid.  

S : Alors ma petite Kaori, tu croyais que tu pouvais échapper à Nikky encore longtemps ?!  

Tout à coup, une arme se colla au crâne de Sam.  

?: Je te laisse trente secondes pour la lâcher.  

S : Sinon quoi ?!  

L'homme derrière lui arma son arme et d'une voix rauque ajouta :  

?: Tu es sûr de vouloir le savoir ?  

Sam lâcha Kaori, sortit une arme et se retourna dans l'intention de bien faire comprendre à son agresseur qu'il ne l'impressionnait pas du tout.  

Mais c'était sans compter sur la rapidité de l' « agresseur », qui lui assena un coup de poing en plein dans l'estomac et un coup sur la tête, ce qui le fit s'évanouir.  

L'homme alla au chevet de la jeune et femme et lui demanda :  

-Kaori, ça va ?  

K : Oui, Mick je te remercie. Il y a eu plus de peur que de mal.  

Ryô arriva à ce moment là.  

R : Kaori, vous allez bien ?  

K : Très bien monsieur Saeba, grâce à Mick.  

A ce moment là, il ne sut pourquoi mais au lieu de ressentir de la gratitude envers son homologue américain d'avoir sauver la jeune femme, Ryô ressentit une très grande jalousie.  

R : C'est à moi de la sauver, pas lui ! Pourquoi je n'ai pas pu la rattraper ?!  

Sans même laisser le temps à Kaori de reprendre son souffle, il la prit par le poignet et l'emmena en direction de son appartement.  

R : Allez venez, si vous ne voulez pas servir à votre oncle des boites de conserves, nous ferions mieux de rentrer.  

K : Oui vous avez raison, Monsieur Saeba.  

R : Kaori, que faut-il que je fasse pour que vous vous décidiez à m'appeler Ryô ?  

K : Si ça vous fait plaisir, à partir de maintenant, je vous appellerai Ryô.  

R : Merci. Au fait, avec toute cette agitation, nous n'avons pas eu le temps de vous acheter une robe...  

K : Ce n'est pas grave, Mons... Ryô, de toute façon, j'aurai été très gênée de vous faire perdre votre argent.  

R : Vous ne m'avez pas laissé finir, donc pour ce soir, vous n'avez qu'à mettre la robe que nous avons achetée ce matin pour Reika. De toute façon, cette robe vous ira mieux, j'en suis sûr.  

K : Quoi !! Mais non je ne peux pas accepter  

R : Kaori, vous voulez vraiment me vexer.  

K : Bon d'accord, mais c'est bien la dernière fois que vous me faites un cadeau d'accord ;  

R : Mais oui. Enfin, ça, seul le temps nous le dira.  

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