Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: somomo

Beta-reader(s): Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 26-12-06

Ultimo aggiornamento: 02-11-09

 

Commenti: 134 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Un jour Ryo tomba malade. Le seul moyen de sauver sa vie et celle de Kaori est d'accepté de partir. à son retour, il découvre quelques surprises... c'est nul mais il ne faut pas préjuger ...

 

Disclaimer: Les personnages de "ma vie loin de toi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ma vie loin de toi

 

Capitolo 18 :: Dévier de trajectoire

Pubblicato: 16-10-07 - Ultimo aggiornamento: 16-10-07

Commenti: Coucou tout le monde, je sas je suis incorrigible mais les études ont commencé et j'avais quelques problèmes avec mon ordinateur. Bref, voici un nouveau chapitre je relève un peu le rideau sur le mystère pour découvrir la vrai Kaori. Après son retour à la maison et la décision de Ryo de l'éloigner, notre chère Kaori décida de rendre son espoir entre les mains d'un homme mystérieux. Je vous remercie de votre patience, malgré le temps que je prends pour majer vous m'êtes fidèles et je suis heureuse. Je vous promets quoi qu'il arrive je terminerai cette fic. Tenez Bon. Un gros bisou à ma bêta Grifter, je suis heureuse de t'avoir comme Bêta très heureuse. Bonne lecture :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Un silence de mort régnait entre les deux partenaires alors que le véhicule se dirigeait vers l’aéroport.  

Kaori n’avait aucune envie de partir. Elle avait eu beau supplier Ryo du regard lorsqu’ils étaient montés en voiture, rien n’y fit. Le nettoyeur avait démarré et refusé de croiser son regard perdu.  

Un frisson s’empara d’elle tandis que le vent fouettait ses cheveux sur son visage trempé de larmes. La jeune femme ne voulait pas que Ryo voie ses pleurs alors elle les étouffa de ses mains. Malgré cela, il les perçut distinctement et cela lui broya le cœur.  

 

Il n’arriverait plus à supporter de jouer l’indifférent longtemps ! C’était au-dessus de ses forces ! Pourtant, il fallait tenir, plus que quelques Kilomètres et tout serait fini. Jusque là, il ne devait à aucun prix craquer !  

 

-Je veux rentrer, murmura Kaori en effaçant ses larmes du revers de sa manche.  

-Non, tu ne peux pas, répondit Ryo sans quitter la route du regard. Tu verras, tu m’oublieras vite….  

-Je ne crois pas que je puisse un jour t’oublier.  

-Déteste-moi et tout sera plus facile, lâcha-t-il dans un souffle, ses paroles le brulant comme l’acide au fur et à mesure qu’il les prononçait.  

 

Un sourire triste se dessina sur les lèvres de la jeune femme.  

 

-Plus facile à dire qu’à faire.  

-Je le sais mais tôt où tard tu le devras pour avancer dans la vie.  

-Ma vie n’a aucun sens maintenant.  

-Tu le dis parce que tu es triste, dit-il en jetant un coup d’œil dans le rétroviseur.  

-Je le suis et je le serai pour le reste de ma vie.  

-Non Kaori …Il ne faut pas raisonner ainsi. Tu finiras par trouver l’homme de ta vie et tu me rayeras de tes souvenirs à jamais.  

-Que tu dis ! Mon cœur est déjà pris et il n’y a de place pour personne d’autre.  

 

Quoi qu’elle dise, elle ne pourrait jamais le persuader de la garder prés de lui. Le temps pressait ! D’un geste désespéré, elle s’agrippa à son bras et lui dit :  

 

-Ryo, je t’en prie …Rentrons à la maison. Pas aujourd’hui …Je t’en supplie ! Accorde-moi cette faveur.  

-Kaori il est trop tard …  

-Non, il n’est pas trop tard, tu n’as qu’à changer la direction.  

-La discussion est close : Je te conduis à l’aéroport, un point c’est tout.  

 

Kaori se tut et contempla par la fenêtre le paysage qui défilait. Les minutes s’écoulèrent dans un silence de plomb lorsque Ryo soupira d’un air mécontent.  

 

-Qu’est-ce qu’il y a ? Questionna la jeune femme.  

-Une voiture nous a prit en filature.  

-Que vas-tu faire ? Rétorqua-t-elle en se retournant pour voir qu’il disait vrai.  

-J’essaie de les semer mais je n’y arrive pas ! Accroche-toi !  

 

La jeune femme ne répondit pas, le regard vide d’expression. Ryo bifurqua sans crier gare et emprunta une route déserte, la voiture noire toujours à leur trousse.  

La Mini prit la route vers la forêt afin de les semer mais manque de chance, une autre voiture les attendait, leur barrant le chemin.  

Ryo voulut reculer mais impossible ! La Mini se retrouva prise en sandwich et la seconde suivante, leurs occupants respectifs ouvraient le feu sur City Hunter.  

Vif comme l’éclair, Ryo saisit la main de sa partenaire et l’entraina à sa suite dans la forêt afin de semer leurs assaillants. Les balles fusaient autour d’eux ils parvinrent à atteindre la lisière des arbres sans être touchés. Ils se dissimulèrent derrière un grand arbre, attendant que les tirs cessent.  

 

-Ils vont nous tuer ? Demanda la jeune femme inquiète.  

-Je ne crois pas. S’ils cherchaient à nous éliminer ils l’auraient fait depuis bien longtemps.  

-Que veux-tu dire ?  

-Qu’ils ne nous visaient pas exactement. Ils veulent nous capturer vivants.  

-…Mais…Tu vas…  

-Il va falloir que je les affronte, la coupa-t-il le regard dur en se redressant.  

-Mais tu n’es meme pas armé ! C’est de la folie !  

-Un vrai professionnel sait toujours se battre même sans armes. Quoi qu’il arrive, ne bouge pas d’ici sous aucun prétexte tu m’as compris ?  

 

Elle opina de la tête et la seconde suivante, il disparut entre les arbres. Plusieurs minutes passèrent dans un silence oppressant. Puis, tout un coup un cri déchira le calme de la forêt et Ryo reconnut immédiatement la voix de sa partenaire.  

 

« C’est pas vrai ! » Se fustigea le nettoyeur en son fort intérieur. Il n’aurait jamais du la laisser seule ! Ryo se précipita dans la direction d’où le cri semblait provenir et arriva sur les lieux alors que des hommes vêtus de noir s’éloignaient, emportant avec eux le corps inanimé de la jeune femme.  

Ils montèrent dans leurs véhicules et démarrèrent.  

A la hâte, Ryo les suivit en prenant bien soin de maintenir une distance raisonnable mais sans les perdre de vue. Ils le conduisirent au port.  

Là, il se gara un peu en retrait et progressa à couvert, se rapprochant de l’entrée de l’entrepôt où ces hommes se trouvaient. Il inspecta les lieux du regard. Tout semblait calme. Ne percevant aucune présence hostile alentour, il se faufila à l’intérieur.  

Dés son entrée, il remarqua la jeune femme allongée à meme le sol. Cela sentait le piège à plein nez mais il ne pouvait décemment pas la laisser là livrée en pâture à ces types !  

La seconde suivante, il l’avait rejointe et prise dans ses bras. Ouf ! Elle ne portait aucune trace de coups ou de blessure !  

-Kaori …Réveille-toi…Kaori…  

 

Apres quelques tentatives, celle-ci ouvra enfin les yeux.  

 

-Ryo, tu es là ?  

-Tu vas bien ?  

-Oui, ca peut aller.  

-Et merde !  

 

A peine eut-il le temps de saisir sa belle par la taille et de l'entraîner à l’abri derrière une épaisse caisse qu’une pluie de balles s’abattit sur eux. Par malchance, trop préoccupé du sort de Kaori, Ryo avait omis de prendre son arme de secours dans la boite à gants de la Mini. Réfléchissant à toute vitesse pour trouver un moyen de se tirer de ce mauvais pas, il sentit soudain le corps tremblant de son ange contre le sien. Elle s’agrippait à lui, son regard perdu et visiblement terrifiée.  

 

-Ne t’en fais pas ! On va s’en sortir, lui promit-il avec un clin d’œil complice.  

 

Il resserra son étreinte analysant la situation. Rien n’aurait pu le préparer au geste de sa partenaire qui se dressa et captura ses lèvres. Totalement désarçonné par son attitude, il se surprit à lui rendre son baiser.  

Un calme annonçant la tempête s’installa alors qu’ils se séparèrent.  

 

Kaori s’était calmée et restait silencieuse accrochée au bras du nettoyeur, son visage posé contre son torse. Une voix d’homme les sortit de leur mutisme.  

 

-Sortez, je déteste attendre !  

 

Il prit une pause ajouta :  

 

-C’était juste une fête de bienvenue. Je n’ai pas l’attention de vous tuer. Pas encore.  

 

Ryo sortit de sa cachette, Kaori toujours blottie contre lui.  

 

-Vous voilà. Je suis heureux de vous revoir.  

-Je n’ai pas l’impression qu’on ne se soit jamais vu ? Fit le nettoyeur en posant une main réconfortante sur l’épaule.  

 

Au grand étonnement de Ryo, elle se libéra de ses bras et s’éloigna de lui.  

 

-Kaori ?  

-Je ne m’adressais pas à vous mon cher, répliqua l’homme en allumant une cigarette.  

- Il parlait de moi, prononça Kaori en baissant la tête.  

-Je suis venu te chercher Kaori, ajouta l’homme en tirant une bouffée de sa cigarette.  

-Je suis prête, répliqua-t-elle en s’avançant à sa rencontre.  

 

Ryo n’y comprenait rien mais il devait l’empêcher Kaori de suivre ce type !  

 

-Kaori … Attend ! S’écria-t-il en attrapant le bras de la jeune femme.  

 

Elle ne répondit pas.  

 

-Explique-moi ce qui arrive !  

-Laissez-la me rejoindre ! Allez ma belle, ne traîne pas !  

-Accorde-moi juste quelques secondes.  

 

Elle se tourna de nouveau vers le visage inquiet de Ryo et déclara :  

 

-Tu n’as qu’à faire comme si j’avais pris l’avion et que je m’étais envolé vers New York.  

-Je refuse ! Que se passe-t-il nom d’un chien ? Qui est ce type ?  

-Tu as tout fait pour se débarrasser de moi. N’est-ce pas ce que tu souhaitais ?  

-Je ne veux que ton bonheur Kaori, m’assurer que tout va bien.  

-Ca va aller, tu peux me lâcher.  

-Pas question !  

-Il ne te lâchera pas, intervient l’homme jetant sa cigarette au loin.  

-Il ne va pas avoir le choix, répliqua Kaori d’une voix neutre.  

 

Le regard qu’elle posa sur Ryo lui glaça le sang ! Jamais, il ne lui avait vu cet air aussi distant qu’elle arborait ! On aurait dit une autre personne !  

Il sentit tout un coup les muscles de son corps se raidir et se retrouva paralysé sur place.  

 

-J’ai utilisé un peu de Halothane avec quelques mélanges supplémentaires, expliqua L’homme  

-Kaori ? Que m’as-tu fait ?  

 

La jeune femme sortit un mouchoir de sa poche et effaça son rouge à lèvre.  

 

-C’est grâce au rouge à lèvre. J’aurais pu te tuer mais je n’avais pas envie alors j’ai décidé qu’une petite heure tout seul t’aiderait à mieux réfléchir. Nous pouvons partir tranquillement maintenant, fit-elle en se tournant vers l’homme.  

-Attends, je veux me présenter d’abord, dit-il en s’approchant de Ryo  

 

Il s’approcha du nettoyeur et lui dit en gardant son sourire charmeur :  

 

-Je me présente …Tochiyama. J’ai beaucoup entendu parler de vous Saeba mais je n’ai jamais cru que vous tomberiez dans ce piège aussi facilement.  

-C’est parce que j’avais confiance en ma partenaire, ragea Ryo entre ses dents.  

-C’est vrai. Moi je l’ai fait aussi à une époque mais sachez bien que les gens changent et c’est le cas de ma petite Kaori. Les effets du produit s’estomperont dans quelques temps, à bientôt mon cher !  

 

Puis il glissa son bras autour de la taille de la jeune femme et l’entraina à sa suite. Ils disparurent suivis par les mercenaires, laissant Ryo seul à son triste sort.  

 

****************************************  

Le lendemain matin, Miki était au téléphone, essayant de nouveau de joindre le couple de nettoyeurs. Toute la bande les avaient tous attendus le couple à l’aéroport, en vain. Le couple n’était jamais arrivé.  

-Alors Miki? Demanda Umibozu occupé à nettoyer le bar.  

-Pas de réponse, ils ne sont pourtant pas volatilisés !  

-Personne n'est à la maison, ajouta Mick en pénétrant dans le café. Je ne comprends rien.  

-Moi non plus. Qu’est-ce qui a bien pu leur arriver ?  

-Salut les amis ! S’écria Ryo à la cantonade en poussant la porte du café.  

-Où étais-tu hier ? On était tous morts d’inquiétude !  

-J'ai eu quelques problèmes, commença Ryo en prenant place sur un tabouret derrière le comptoir.  

-Quel genre de problème? Où est Kaori?  

-Partie, répondit-il calmement en prenant la tasse de café brulante qu’Umibozu lui tendait. Merci.  

-Comment ca ?  

-Je ne sais pas.  

-Tu ne sais pas? Rugit Miki de plus belle.  

-Arrête Miki ! Intervient son mari en essayant de la calmer.  

-Comment veux-tu que je me calme ?  

-C'est le souhait de Kaori, elle préfère avoir une autre vie …Loin de moi en tout cas.  

-Quoi?  

-Je t'expliquerai plus tard. Vous pouvez me servir à manger ? Je n’ai rien avalé depuis hier.  

-Ecoute Ryo, l'un de mes indices a trouvé quelque chose.  

-De quoi s’agit-il ?  

-Pendant ces cinq dernières années, il y a eu deux personnes à utiliser un python 357 magnum.  

-Je t’écoute.  

-Tout ce que je sais c’est que la seconde personne à avoir utilisé ce type d’armes était une femme très belle aux cheveux longs qu’on surnommait Lady Killer.  

-Lady Killer?  

-Oui, parce que d’après ce que j’ai entendu, tous ceux qui la rencontraient finissaient par mourir.  

-Tu ignores son véritable nom ?  

-Hélas oui mais en ce qui concerne l’autre personne, il s’agissait d’un homme toujours flanqué d’une belle brune aux cheveux long au regard vert mystérieux.  

-On ne connait pas non plus sa véritable identité ainsi que celle de cette femme je présume ?  

 

-Si elle se nomme Sakura... Sakura Konisawa.  

 

A suivre…  

 

Halothane Hydrocarbure halogéné non inflammable, un anesthésique à induction relativement rapide avec peu ou sans excitation. L'analgésie peut être inadéquate. Souvent administré avec le PROTOXYDE D'AZOTE. Parce que l'halothane ne produit pas un relâchement musculaire suffisant, d'autres substances de blocage neuromusculaire peuvent être nécessaires.  

 

 


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