Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Shamane

Beta-reader(s): Grifter

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 27-03-07

Ultimo aggiornamento: 15-08-07

 

Commenti: 52 reviews

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Romance

 

Riassunto: bah une fete foraine deux ames soeurs qui se rapprochent.. cliquez vous verrez^^

 

Disclaimer: Les personnages de "Fete foraine" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Fete foraine

 

Capitolo 6 :: chap 6

Pubblicato: 08-08-07 - Ultimo aggiornamento: 08-08-07

Commenti: hello tout le monde me revoici avec la suite de ma fic^^ il etait temps!! tout d'abord je tiens a remercier ma beta qui a fait un boulot d'enfer merci ma belle pour tes suggestions et ta correction eclair et puis Phineas qui a pas arreter de me harceler et faut dire que ce fut producif a mes revieweuses et enfin a vous tous pour prendre le temps de me lire ^^ enjoy

 


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Très doucement, Kaori se détacha de son partenaire. Maintenant que les choses étaient résolues entre eux, elle ne savait plus quelle attitude adopter. Elle qui avait pendant si longtemps rêvé du moment où elle se retrouvait tendrement blottie dans les bras de Ryo, se sentait tout à coup bien gauche. Sans y prendre garde, une teinte rougeâtre vint illuminer ses belles joues. Face à la gêne de sa douce moitié, Ryo esquissa un sourire attendri : Décidemment, Kaori ne changerait jamais. Mais qu’importe, c’était ainsi qu’il l’aimait : Douce et colérique, timide et entreprenante, prude et pourtant si innocemment sensuelle.  

Prenant délicatement le doux visage féminin en coupe dans ses larges paumes, il plongea son regard dans le sien, la forçant ainsi à le soutenir avant de chuchoter :  

 

- Kaori ma douce, sache qu’il ne passera rien entre nous que tu ne désires pas.  

 

Ces mots furent prononcés avec tant d’amour que la jeune femme sentit son cœur fondre devant tant de sollicitude et de patience de sa part, elle ne l’en adora que davantage. Encore une fois le redoutable nettoyeur venait de lui donner une preuve de son amour en lui laissant le temps de s’accoutumer à leur nouveau statut. En vérité elle redoutait quelque peu de partager l’intimité du célèbre Etalon de Shinjuku et malgré ses efforts, le souvenir de toutes ces sublimes femmes qui avaient traversé la vie du nettoyeur vint la narguer, jetant un voile d’ombre dans ses yeux couleur noisette.  

Sans mal Ryo perçut le tourment de sa partenaire. Et une fois de plus il maudit sa vie de luxure. Il ne pouvait laisser cet épisode sordide de sa vie entacher, voire gâcher ce bonheur qui lui tendait les bras.  

 

- Non mon amour, ce passé est dorénavant révolu. Tu es la seule femme de ma vie. L’Unique. Et ce depuis notre toute première rencontre.  

 

Et comme pour donner plus de poids à ses paroles, il posa ses lèvres sur celles purpurines de la jeune femme en un doux baiser dans lequel il mit toute la tendresse, la passion et le désir qu’elle faisait naître en lui, scellant ainsi leur promesse d’un avenir commun. L’échange buccal se fit plus profond Ryo approfondit l’échange, jouant avec la langue de sa partenaire, fouillant délicieusement chaque recoin de sa bouche et tira un gémissement ravi à la jeune femme qui se lova davantage contre lui.  

Seul le besoin de respirer les contraignit à se détacher l’un de l’autre et chacun put lire dans le regard de l’autre le reflet de son propre désir. Ce baiser les avait laissé pantelants et à bout de souffle, emplis d’une faim qui ne demandait qu’à être rassasiée.  

Du bout du doigt, le nettoyeur retraça l’arête du nez de sa belle. Il devait la laisser s’éloigner avant de perdre le peu de contrôle qu’il s’efforçait de garder.  

 

- Je crois que tu devrais rejoindre ta chambre avant que je ne change d’avis, lâcha Ryo d’une voix rauque.  

 

Ouvrant la bouche pour protester, Kaori la referma aussitôt. Ryo ne la croyait pas prête. Peut- être devrait elle le convaincre du contraire. Un sourire resplendissant vint fleurir sur ses lèvres charnues avant de murmurer d’une voix mutine :  

 

- Dans ce cas je file me coucher. Bonne nuit amour.  

Et dans un mouvement languide, elle se hissa sur la pointe des pieds puis déposa un léger baiser sur le menton de celui-ci avant de grimper les escaliers tout en roulant de hanches.  

Les yeux rivés sur la silhouette féminine, Ryo se mordit les lèvres. Pourquoi la laissait-il partir ? Certes il voulait lui laisser le temps de s’habituer à leur nouvelle situation. Mais inconsciemment il s’était attendu à ce qu’elle lui tienne tête. Poussant un soupir à fendre l’âme, il alla se servir un verre de whisky afin de noyer sa frustration.  

 

Debout devant la psyché, Kaori s’observa d’un œil critique avant de hocher la tête satisfaite du résultat que lui renvoyait son reflet. Elle avait patiemment attendue que Ryo rejoigne sa chambre pour se glisser dans la salle de bain. Elle avait tenu à profiter de ce long bain parfumé pour mettre au point son plan d’attaque.  

Une fois qu’elle eut regagné sa chambre, elle s’appliqua amoureusement une délicate crème corporelle avant de s’envelopper d’un léger nuage de ce parfum aux effluves si sensuels offert par Miki. Machinalement, elle lissa un pli invisible sur la soyeuse nuisette bleue nuit qu’elle avait revêtue (NDeBéta : J’imagine la scène, elle va le dévorer tout cru) et regarda à nouveau l’image que lui renvoyait le miroir. Le vêtement cintrait à merveille sa taille fine, moulant comme une seconde peau ses courbes sensuelles.  

Ses yeux se fermèrent au souvenir du fougueux baiser échangé avec Ryo et lentement ses doigts vinrent effleurer sa bouche alors qu’elle tentait de réprimer un gémissement sourd. Le nettoyeur avait réussit en quelques caresses à réveiller la femme qui se terrait en elle et dont elle avait pendant si longtemps ignoré les désirs. Des désirs qui demandaient à présent à être assouvis, contentés. La perspective d’être rejetée l’avait jusque là comme anesthésiée à toute envie mais savoir que Ryo voyait en elle une femme belle et désirable l’avait libéré de toutes ses craintes.  

Imperceptiblement sa main glissa sur sa poitrine épanouie la frôlant en une caresse aérienne et vint se crisper sur son ventre où sourdait un désir pressant.  

Brusquement elle ouvrit les yeux et y décela à travers leur éclat sombre les prémices d’un désir qui menaçait d’éclater.  

Inspirant profondément elle se décida enfin à sortir de son antre.  

 

 


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