Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: grifter

Beta-reader(s): Tsunata972

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 01-07-07

Ultimo aggiornamento: 03-09-07

 

Commenti: 105 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Défi de Miss Tsunata mais qui sera ici en version plus grand public. Je ferai une version pour adultes par la suite. Suite à uen délicate mission, Ryo et Kaori sont conforntés à leurs sentiments respectifs et se pourrait-il qu'un petit massage parvienne à débloquer la situation ?

 

Disclaimer: Les personnages de "1 Petit Massage " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: 1 Petit Massage

 

Capitolo 5 :: Massage et conséquences

Pubblicato: 29-07-07 - Ultimo aggiornamento: 29-07-07

Commenti: Merci beaucoup à Miss Tsunata pour sa correction et son avis :) Merci aussi pour leurs reviews dans le désordre à : Shamane, Zaza, Tennad, Lauraw, Saintoise, Tamia, Ouititi, Jimbo, Melinda, Rkever, Cristina, Kithawke, Nanou, Nakite, Dididnebis, Amelds, Sheena et Ouititi. J'espère n'oublier personne. On se dirige doucement vers la fin, il ne me restera plus que deux chapitres à poster après celui et ce sera bon. Bonne lecture et biz :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7


 

Ryo s’allongea sur le dos et tacha de se détendre. Plus facile à dire qu’à faire ! Il faisait appel à tout son self-control pour se maîtriser.  

 

-Détends-toi, lui dit Kaori d’une voix douce en versant une généreuse noisette de gel au creux de ses paumes de main pour ensuite les frictionner l’une contre l’autre tandis que son partenaire s’efforçait de demeurer stoïquement immobile.  

 

Le contact du liquide froid avec le corps en fusion de ce dernier lui fit l’effet d’une décharge électrique qui le traversa de part en part. Et lorsque les doigts longs et fins de son ange commencèrent à faire pénétrer le produit par de petits mouvements circulaires en démarrant par ses épaules carrées puis en descendant tout le long de sa colonne vertébrale, n’épargnant pas un centimètre carré de peau exposée, il serra les dents malgré lui.  

Totalement inconsciente de l’état dans lequel elle le mettait, Kaori s’appliqua à dénouer les tensions accumulées par d’habiles massages et bientôt une agréable et réconfortante chaleur gagnait ses muscles endoloris.  

Pas de doute, Kaori était vraiment douée !  

Elle fit remonter ses doigts le long de sa nuque et lui prodigua un massage sensuel qui lui tira un gémissement étouffé. Elle allait le tuer si elle continuait de la sorte !  

Ryo endura tant qu’il pu ce qu’elle lui faisait mais à chaque minute qui passait son corps le trahissait de plus en plus.Ses mains le démangeaient, sa respiration se fit plus difficile et des images pernicieuses où il donnait libre cours à sa libido avec sa belle se mirent à danser dans son esprit saturé par le désir.  

Dans un état second, Ryo se surprit à se demander si elle serrait aussi efficace avec d’autres parties de son anatomie mais chassa aussitôt cette idée d’un mouvement de tête rageur.  

 

« Bon sang ! Elle veut juste te remercier de lui avoir sauvé la vie Ryo ! Maîtrise-toi ! Et puis, n’oublie pas que tu dois l’éloigner de toi ! Pas l’enchaîner à ta vie et à tes nuits ! »  

 

Un silence gêné s’installa entre eux que la jeune femme finit par rompre :  

 

-Ca va ? Demanda-t-elle en le sentant se raidir sous ses doigts alors qu’elle lui massait le bas du dos, s’arrêtant à la frontière que lui imposait la serviette de bains positionnée autour des hanches du nettoyeur. Elle essayait pourtant d’être le plus douce possible avec lui, contournant les bleus qui parsemaient son corps, s’efforçant d’apaiser ce corps meurtri de son mieux, mais peut être qu’elle appuyait trop fort ?  

 

Ce que redoutait Ryo venait de se produire.Un picotement caractéristique s’était fait jour au creux de ses reins en feu traduisant son besoin impérieux de la faire sienne. Mais de nouveau son mental reprit le control et il se fustigea de sa réaction si prévisible qu’il ne parvenait pourtant pas à museler.  

« Pitié ! » S’entendit-il murmurer au supplice d’une voix à peine audible contre le drap. Elle était trop douée, il fallait qu’elle stoppe ce massage et tout de suite !  

 

N’obtenant toujours pas de réponse de son partenaire Kaori s’interrompit et redemanda :  

 

-Ryo ? Je te fais mal ? Dis-moi et…  

 

-Non, répondit-il d’une voix étrangement rauque et hachée. Ca va. Merci pour le massage Kaori dit-il en se redressant soudain, entraînant sa serviette dans son sillage.  

 

La mine fermée qu’il afficha à cet instant déboussola la jeune femme. Pourquoi cette froideur dans sa voix tout à coup ? Elle ne comprenait pas ce qu’elle avait fait ou dire qui puisse l’expliquer. Et soudain, elle le réalisa :  

 

« Bien sur ! Ca ne peut être que ça ! » Songea-t-elle en son fort intérieur.  

 

-Ecoute Kaori…Commença Ryo le regard vide d’expression en évitant soigneusement de croiser son regard.  

 

-Pardonne-moi, le coupa-t-elle en baissant la tête.  

 

- ?  

 

-Pardonne-moi, réitéra Kaori le regard toujours fuyant.  

 

-Te pardonner ? Mais de quoi ? Rétorqua-t-il déconcerté par ses propos.  

 

C’était lui qui avait merdé, pas elle. Alors pourquoi diable lui présentait-elle des excuses ?  

 

-Si tu souffres autant ce soir c’est entièrement de ma faute, j’aurais du me montrer à la hauteur de toi, de notre partenariat et…  

 

-Non, justement. C’est bien là le problème Kaori.  

 

-Comment cela ? Répliqua-t-elle perdue en se relevant.  

 

-Tu n’aurais jamais du avoir à te « montrer à la hauteur » comme tu le dis. J’aurais du faire ça il y a bien longtemps mais la vérité c’est que je ne suis qu’un lâche, un égoïste qui n’ai pensé qu’à moi au cours de ces dernières années. Pardonne-moi mon ange.  

 

Kaori encaissait les paroles de Ryo, désarçonnée par le tour que prenait leur discussion. De quoi parlait-il donc ? Il n’avait strictement rien à se faire pardonner. Il était venu à sa rescousse comme à chaque fois qu’elle se trouvait en danger, risquant sa peau pour elle. Alors pourquoi ?  

 

-J’ai fait la promesse solennelle à ton frère de toujours veiller sur toi et j’ai manqué à ma parole.  

 

-Bien sur que non ! Tu m’as sauvé la vie Ryo. Sans toi…  

 

-Sans moi, tu mènerais cette vie normale à laquelle tu as droit et dont je te prive depuis que tu es devenue ma partenaire. Belle connerie que j’ai faite ce jour là d’accepter ! Ajouta-t-il en serrant les poings.  

 

-Ryo…Balbutia la jeune femme mortifiée.  

 

-J’aurais mieux fait de refuser et aujourd’hui tu ne serais pas à te demander chaque matin si cette nouvelle journée qui démarre sera la dernière pour toi, enchaîna-t-il sur un ton dur, plus dur qu’il ne le souhaitait mais qui trahissait son tourment intérieur.  

 

Il chassait de son existence le seul être qui donnait un sens à sa vie, balayant de quelques mots la chance de pouvoir passer le reste de sa vie aux cotés de la seule personne qu’il ait jamais vraiment aimée mais il le fallait. Il devait se montrer intransigeant envers elle. Peu importe qu’il en crève à petits feux de la voir disparaître de son univers. Elle serait plus heureuse loin de lui mais par-dessus tout, en vie.  

 

-Tu me demandes de partir ? Parvint-elle à balbutier en refoulant ses sanglots de son mieux.  

 

Elle n’osait y croire, l’idée même qu’il puisse suggérer qu’elle sorte de sa vie lui paraissant inconcevable et pourtant c’était bien ce qu’il venait de dire.  

 

- Oui.  

 

Elle devait rêver, il n’y avait pas d’autre explication : Oui c’était ça ! Rien de tout ceci n’était réel, elle allait se réveiller et ce cauchemar prendrait fin !  

Ryo vit que l’esprit de sa partenaire luttait pour assimiler l’information. L’expression de son visage trahissait une incompréhension totale et il devina aisément la tempête intérieure qui grondait en elle et dont il était la cause.  

 

-Je refuse, lâcha-t-elle dans un souffle.  

 

-Kaori…  

 

-Non ! Tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement Ryo Saeba. Je n’ai nullement l’intention de te quitter et rien de ce que tu pourras me servir comme argument acceptable à tes yeux justifiant mon départ et ne me fera changer d’avis, tu m’entends ? Répliqua-t-elle déterminée à ne pas se laisser faire sans combattre.  

 

Elle s’était levée et l’affrontait du regard, les traits de son visage ne laissant aucun doute à son interlocuteur. Elle n’allait pas lui faciliter la tache. Oh que non ! Loin de là !  

 

-La discussion n’est pas ouverte et ma décision est prise.  

 

-C’est TA décision, pas la mienne ! Tu ne peux pas ainsi décider de mon avenir, moi seule le peux. La vérité est que tu refuses que je reste à tes cotés parce que tu as peur. Car c’est bien de ça qu’il s’agit, reconnais-le ! Ne sois pas lâche pour une fois !  

 

-Je…  

 

-Tu as peur de me perdre Ryo, voilà la vraie raison pour laquelle tu me rejettes. Tu es terrifié d’arriver trop tard et de ne pouvoir me sauver. C’est pour cela que dans cet entrepôt, tu as abaissé tes barrières et que tu m’as embrassé. Tu as cru notre dernière heure arrivée et tu n’avais plus rien à perdre.  

 

-Kaori...  

 

-Laisse-moi finir Ryo. Que tu m’éloignes de toi ne changera rien. Personne n’est immortel, la vie fait ce qu’elle veut. Je peux très bien mourir dans un crash aérien en me rendant chez ma sœur ou encore simplement en traversant la rue sous les roues d’un chauffard ou encore…  

 

-Ca suffit Kaori ! Tu crois que j’ai envie de t’entendre m’énumérer les manières dont tu peux mourir ? Aboya-t-il en posant ses mains sur ses épaules pour qu’elle se taise.  

Cette fois-ci j’étais là, mais ce ne sera pas toujours le cas et je refuse, tu m’entends, je refuse de serrer contre moi ton corps sans vie, à aucun prix !  

 

-Je t’aime, souffla alors la jeune femme à court d’arguments en plantant son regard dans le sien.  

 

Le cœur du nettoyeur manqua un battement en entendant sa belle mettre ainsi son cœur à nu pour lui. Surtout ne pas lui répondre « moi aussi » sinon il n’aurait jamais la force de la laisser sortir de sa vie. Aussi se mordit-il la langue pour répliquer :  

 

-Je regrette Kaori.  

 

-Bien, dit-elle sur un ton bien trop calme soudain et se retourna lentement.  

 

A suivre... 

 


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