Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: grifter

Beta-reader(s): Rivière

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 17-09-07

Ultimo aggiornamento: 17-09-07

 

Commenti: 36 reviews

» Scrivere una review

 

RomanceHumour

 

Riassunto: Ryo et Kaori prennent le métro....

 

Disclaimer: Les personnages de "Metro" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Metro

 

Capitolo 1 :: Prochain arret : Shinjuku !

Pubblicato: 17-09-07 - Ultimo aggiornamento: 17-09-07

Commenti: Bon c'est une petite one shot donc vous attendez pas à de l'action ou à une histoire très éllaborée je me suis amusée en prenant le métro tous les jours à voir ce qui pourrait se passer dans le cas où notre couple de nettoyeurs en faisait autant....Gros bisous et je dédicace cette histoire aux filles qui m'ont gentiment laissé une review sur Panne de voiture c'était très sympa :) Gros bisous à ma petite béta Rivièrre pour sa correction :)

 


Capitolo: 1


 

Ryo saisit la main de Kaori pour lui faire hâter le pas. Ils eurent tout juste le temps de s'engouffrer entre les portes du métro que le signal sonore retentit et ces dernières se refermèrent derrière eux.  

 

-Poussez pas derrière ! Maugréa un vieillard en lançant un regard assassin à Ryo qui l'ignora superbement et tourna la tête dans la direction opposée.  

 

Soudain alors qu’elle venait de redémarrer, la rame stoppa brusquement et Kaori se retrouva projetée en avant perdant en partie son équilibre. Sans le bras puissant de Ryo qui vint stopper sa chute en avant et l'empoigna pour la ramener contre lui, elle aurait heurté la vitre de plein fouet. Tout se passa en un éclair, la seconde suivante elle se retrouvait lovée contre le torse chaud du nettoyeur qui resserra doucement son étreinte.  

 

-Reste là, fit-il dans un souffle au creux de son oreille avant de s'adosser à la porte, lui faisant ainsi rempart de son corps.  

 

Elle le remercia d'un faible sourire tandis que la rame s’ébranlait de nouveau.  

 

Le wagon dans lequel ils étaient montés était bondé. Les grands magasins venaient juste de fermer leurs portes après une journée frénétique de soldes et les usagers armés de leur nombreux paquets rentraient chez eux, se mêlant ainsi aux salariés en costume cravate plongés dans la lecture de leurs quotidien financiers et agrippant solidement la barre de maintien métallique placée au-dessus de leur tête. La climatisation rendait presque supportable le voyage alors qu’au-dehors on se serait cru dans un four. L’écran de télévision positionné en face de la jeune femme indiquait une température extérieure de 38 degrés à l’ombre !  

Elle leva la tête et croisa le regard amusé de Ryo posé sur elle.  

 

-Finalement, tu ne regrettes pas de m’avoir suivie, n’est ce pas ? Demanda-t-elle avec un sourire espiègle et un clin d’œil complice à son intention.  

 

Le sourire du nettoyeur se fit plus large encore et une lueur amusée dansa dans ses prunelles de jais lorsqu’il répondit :  

 

-Ma foi, j’avoue que la prochaine fois je ne me ferai pas tirer l’oreille pour t’accompagner, ca c’est certain ! La taquina-t-il en faisant allusion à la manière dont il l’avait conseillé sur le choix de ses tenues.  

 

Flash back………………………………………………………………………………………  

 

Kaori se remémora comment, profitant du manque de caméras à cet endroit stratégique et de l’inattention de la vendeuse bien trop occupée à ranger les vêtements en solde abandonnés un peu partout dans le magasin, Ryo s’était faufilé dans la cabine d’essayage pour rejoindre sa belle.  

 

D’abord surprise d’entendre le rideau s’ouvrir, Kaori avait aussitôt prestement plaquée contre elle la petite jupe qu’elle comptait essayer, s’en servant pour se dissimuler en pensant voir surgir une cliente croyant la cabine inoccupée. Mais ce fut son partenaire qui apparut et sans lui laisser le temps de réagir, la fit se retourner et la plaqua contre son torse pour venir nicher son visage au creux de son cou et respirer les effluves vanille qui habillait d’un rien la jeune femme.  

Cette dernière sourit de voir l’audace dont il savait faire preuve lorsqu’il était déterminé à obtenir quelque chose. Faisant glisser sans un bruit le tissu à terre, Ryo positionna une autre jupe qu’il avait sélectionné devant la taille de la jeune femme tout en la dévorant d’un regard carnassier, laissant ses mains chaudes venir remonter le long des jambes fuselées, effleurant autant de peau nue exposée que possible et laissant un sillon brulant sur son passage qui enflamma sa belle.  

Cela n’échappa pas au nettoyeur qui sourit davantage et finit par encercler sa taille fine en contemplant le tombé de la jupe sculptant ses hanches et fesses à merveille ! Et dire qu’il ne restait que cet exemplaire qui lui avait fait de l’œil alors qu’il regardait d’un air absent les rayonnages en attendant que Kaori procède à ses essayages. Ni une ni deux, il s’était emparé du précieux modèle et avait foncé direction les cabines pour le présenter à sa douce.  

 

-Alors ? Que penses-tu de mon choix ? Elle te va parfaitement !  

 

Kaori s’admira un instant et approuva :  

 

-C’est vrai qu’elle est très jolie mais où diable l’as-tu déniché ? Je ne l’ai pas vu tout à l’heure.  

 

-Elle a du être reposée là à la va-vite et je t’ai imaginé immédiatement la portant.  

 

-Mh, dis plutôt que tu t’es visualisé me la retirant, non ? Le taquina Kaori en se retournant et se dressant sur la pointe des pieds, elle encadra son visage en coupe et fondit sur ses lèvres gourmandes.  

 

Depuis qu’il l’avait plaqué contre lui et posé ses mains sur elle, elle brulait de le toucher, de gouter à ses baisers enflammés. Ryo avait aussitôt répondu à sa manière c'est-à-dire en passant sa main derrière sa nuque pour la ramener à lui tout en approfondissant le baiser.  

Bien sur ils n’étaient pas allés plus loin, le lieu ne s’y prêtant guère mais Kaori était ressortie de la cabine avec un visage radieux où pointait une légère rougeur. Ryo, quant à lui, lui avait emboité le pas, ne se lassant pas d’admirer le déhanchement lancinant de sa douce alors qu’elle se dirigeait vers la caisse régler son achat.  

 

Fin du flash back………………………………………………………………………...  

 

L'arrêt suivant permit de désengorger un peu le wagon mais le répit ne fut que de courte durée. De nombreux jeunes loubards envahirent le quai et se lancèrent à l'assaut de leur rame à peine les portes entrouvertes, ne tenant pas compte des gens qui voulaient en descendre, bousculant sans ménagement au passage ces derniers et provoquant un concert de protestations parmi les personnes âgées ainsi que des regards désapprobateurs.  

Debout à coté de Kaori, une mamie bougonna que la jeunesse de maintenant ne savait vraiment plus se tenir, ce qui ne manqua pas de faire ricaner les loubards déjà bien éméchés.  

 

-Qu'est-ce que tu as dit la vieille ? Renchérit l'un deux la cigarette au bec et un splendide rat hirsute pelotonné sur son épaule en se tournant dans sa direction.  

 

Son haleine chargée fit grimacer la vieille femme qui porta sa main à son nez.  

Le malotru lui lança un regard mauvais sensé bien faire comprendre à son interlocutrice qu’elle n’avait pas affaire à un enfant de cœur. Mais la vieille dame ne s’en laissa pas compter pour autant et répliqua de plus belle :  

 

-Voyous ! De mon temps, les jeunes avaient bien plus de respect à l'égard de leurs aînés commença-t-elle et …  

 

-Ta gueule ! Rétorqua-t-il en lui jetant la fin de sa canette au visage, arrosant au passage la partenaire de City Hunter qui réagit au quart de tour.  

 

Une gifle retentissante cloua le bec du voyou qui en resta bouche bée un moment avant de se masser la joue en feu qui portait encore les traces de doigts de la jeune femme. Un silence de plomb s’installa, les autres usagers guettant la réaction du chef des loubards.  

 

-Vous allez faire des excuses à cette dame et sur le champ ! S'exclama Kaori outrée en s’avançant d’un pas pour bien signifier à son interlocuteur qu’il ne lui faisait pas du tout peur.  

 

-T’as osé me toucher ! Tu vas me le payer sale garce !  

 

-Je tremble comme une feuille devant des minables comme vous tout juste courageux pour malmener en bande de pauvre gens, le toisa-t-elle froidement.  

 

-Les gars ! Vous avez entendu ? « Mademoiselle » voudrait qu’on cesse d’importuner ces braves gens ! Balança-t-il avec un rire tonitruant à la cantonade sans quitter des yeux Kaori, aussitôt imité par ses congénères.  

 

Un de ses acolytes s’en mêla et grogna sèchement :  

 

-Pour qui tu te prends poufiasse ? Tu ignores à qui tu as affaire ! Dans tout Tokyo on tremble rien à qu’à l’évocation de notre nom !  

 

-« Poufiasse » ? Grommela Kaori dont une fumée incandescente commençait à s’échapper de son crane, présage pour Ryo que ces sales types allaient passer un sale quart d’heure, oh combien mérité !  

 

Le punk malingre impudent qui venait de prendre la parole portait un vieux jean troué et un blouson déchiré qui tombait en lambeaux. Il arborait une crête hirsute flamboyante mais ce qui attira l’attention de la jeune femme ce fut le cran d'arrêt qu’il sortit prestement de sa poche de blouson et le brandit menaçant. Kaori ne cilla pas, ce n'était pas ce minable qui allait l'effrayer tout de même !  

 

-Kaori…Intervint son partenaire qui souhaitait régler cette affaire rapidement mais Kaori ne l’entendait pas de cette oreille et semblait vouloir en découdre seule.  

 

-Ne t’en mêle pas Ryo, je peux me débrouiller comme une grande, ces idiots ne me font pas peur, lui répliqua-t-elle comprenant qu’il lui proposait de régler cela à sa manière.  

 

-Crève ! Hurla le punk en s’élançant la lame en avant, Kaori prête à esquiver pour le désarmer.  

 

Elle n'eut pas le loisir de réagir que déjà Ryo l'avait fait pour elle. D'une main ferme et rapide il empoigna le poignet du jeune punk et le lui tordit habilement, lui faisant lâcher son joujou. Avec un hurlement de douleur, l'homme tomba à genou en serrant son membre endolori contre lui et proférant tous les noms d'oiseaux qu'il connaissait à l'encontre de ce couple qui se mettait entre lui et la vieille dame qu'il comptait tabasser.  

 

-Tu vas finir par te faire mal avec ton cure-dent, lui dit le nettoyeur en s’interposant entre Kaori et son agresseur.  

 

-Tu….Tu …Bredouilla le chef ivre de colère et contenant mal sa rage.  

 

Cet homme et cette femme venaient tous deux de l’humilier publiquement devant ses hommes, hors de question qu’il laisse passer ca ou sa crédibilité de chef ne vaudrait plus un clou !  

 

Le silence se fit dans tout le wagon. Voyant que ca tournait au vinaigre les passagers se pressèrent contre les portes, essayant de mettre le plus de distance possible entre eux et le combat qui se profilait à l'horizon. La station suivante était en vue et Ryo passa à l’action.  

Tout se déroula bien trop vite pour les passagers qui virent le nettoyeur se frayer un chemin au milieu de la bande à force de coups de poings bien sentis et de coups de genoux bien placés, ne leur laissant aucune chance de riposter. Le combat était par trop inégal. Comment ces loubards auraient-ils seulement pu se douter qu’ils avaient affaire au plus grand nettoyeur du Japon ? Ryo esquiva toutes leurs attaques avec une facilité déconcertante et ses adversaires tombèrent tous comme des mouches, leurs couteaux roulant aux pieds de Kaori qui s’empressa de les récupérer et de les confisquer séance tenante.  

 

La minute suivante la rame ralentissait et atteignait Shinjuku. Lorsque les portes s’ouvrirent, les voyageurs à quai qui attendaient pour monter s’immobilisèrent devant le spectacle qui s’offrait à eux : Pleurant à chaudes larmes les uns dans les bras des autres et appelant pitoyablement leur maman à la rescousse, une bande de jeunes se dépêchèrent de sortir sous les applaudissements des passagers restés dans le wagon. Et quand Ryo apparut dans l’embrasure de la porte et fit mine de venir les rejoindre sur le quai, le chef se mit sur le champ à genoux et implora le nettoyeur de ne pas le malmener davantage. Réprimant à grand-peine un fou-rire, Ryo acquiesça finalement à leur supplique et la bande fila sans demander son reste.  

 

City Hunter descendit à son tour et alors qu’ils regagnaient la surface en empruntant les escalators, Kaori se rapprocha de son homme et glissa ses doigts dans les siens qu’il entrelaça.  

 

-Je pouvais me charger de ca mais merci d’être intervenu. Après tout, c’est bien toi qui m’enseigné ces rudiments d’auto-défense pour désarmer un adversaire, cela aurait été l’occasion d’un petit exercice pratique.  

 

-Il n’y a pas de quoi. Et puis…Si tu tiens tant que ca à me montrer ta gratitude…Et que tu veux des l’exercice physique…  

 

-Oui ? Reprit-elle suspendue à ses lèvres, guettant la chute de sa phrase qu’elle avait aisément deviné, ne connaissant que trop bien son homme et décelant cette petite lueur coquine qui dansait maintenant au fond de ses prunelles.  

 

-Je crois que je vais te regarder de plus près essayer cette jupe sexy que tu viens d’acheter, poursuivit-il le regard caressant.  

 

-Je me doutais bien que tu proposerais un truc dans ce genre là… Seulement la jupe ?  

 

Et en le voyant soulever un sourcil étonné, Kaori expliqua d’une vois innocente :  

 

-Parce que Miki m’a offert un ensemble de lingerie la semaine dernière et que je n’ai pas encore eu l’occasion de le passer…Aussi je me demandais si tu …  

 

Un large sourire dévora le visage du nettoyeur qui lui attrapa la main et pressa subitement le pas. Puis il déclara avec entrain :  

 

-Et comment ! Ne trainons pas alors !  

 

FIN  

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de