Capitolo 6 :: J'avoue tout !!!!

Pubblicato: 16-05-08 - Ultimo aggiornamento: 16-05-08

Commenti: et oui je suis pa morte!! mai entre les cdd et mon auto apprentissage du ukulélé jai pa trop eu le temps de fair les suite U.U

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Mais une question resta en suspend, pourquoi ils n’avaient rien dit ?  

Miki ne lâcha pas le morceau et reposa la question à la jeune femme, mais ce fut Ryô qui répondit cette fois-ci.  

_Ecoutes Miki, tu connais bien les dangers du milieu et on ne voulait pas courir un risque supplémentaire en criant sur les toits qu’on était marié. Kaori est une cible directe pour mes ennemis même en l’ayant entraîner depuis des mois elles n’a pas les même réflexes que nous. Alors pardonnes nous de n’avoir rien dit à ce sujet.  

_Je comprend pourquoi vous n’aviez rien dit, mais je suis comme même un peu déçue.  

Kaori pris son amie dans ses bras et lui demanda pardon, et c’est ainsi que tout le monde se serra dans les bras pour se pardonner. Mais Miki n’était pas satisfaite, elle voulait savoir pourquoi ils avaient officialisé leur couple, elle le serai bien un jour.  

Maintenant au tour de Tetsu d’avoir son interrogatoire, c’est d’un bloc que tout le monde se tourna sur le pauvre homme ligoté à l’une des chaises de la cuisine. Ryô voulait bien savoir comment il avait eu cette lettre et aussi éclaircir certains points.  

Tetsu observait le bloc de professionnel, il allait passer un mauvais moment et donc décidé de tout avouer.  

_Oui j’avoue tout, je suis le plus grand pickpocket qu’est connu le japon et c’est quand je rentrait d’une journée de travail dans le centre économique que j’ai vu la scène, c’est pour ça que j’avais un appareil photo sur moi. Je suis réellement en danger mais je ne voulais pas créer de problèmes, mais quand j’ai vu le tiroir à moitié fermé avec quelques bouts de papiers qui en sortaient je n’ai pas pu résister, puis j’ai du la mettre dans ma poches par réflexes.  

_C’est donc toi qui m’a glisser le vêtement de Kaori dans la poche ce matin-là, et aussi tous les autres objets. D’un coter, j’avoue que tu es plutôt fort je n’ai pas senti quand tu faisais ton art. Mais bon plus jamais tu ne recommences, et ceux jusqu’à le fin du contrat sinon mon python va trouver une nouvelle cible.  

_Et moi je comprends mieux ta définition que tu as donné pour définir ton travail, commerçant pour quand tu revends ce que tu as dérobé et magicien car tu es habilles de tes mains et donc peux faire disparaître tout ce qu’il y a dans des poches. Bref nous finissons la mission et tu pourras retourner à ton travail.  

Tetsu souffla de soulagement, il avait cru ne pas s’en sortir. Il fallait dire qu’il ne savait faire que ça comme travail depuis qu’il avait six ans, donc il avait certains mauvais réflexes. Il devait donc se contrôler jusqu’à la fin du contrat, qu’il espérait bientôt fini.  

Ryô vit le client soupiré, il profita de la présence de tout le monde pour dire les infos qu’il avait eu le temps de regrouper, Tetsu était étonné il n’était là que depuis quelques jours et Ryô n’avait pas vraiment bougé, comment il avait réussi a regrouper des informations sur les gens qui lui en voulaient ?  

_Les hommes de mains ont été identifié comme des sous-fifres d’un homme d’affaire corrompu qui propose aux yakuzas de blanchir l’argent de la drogue en le plaçant dans des entreprises fantômes. Le pauvre Charly avait tout découvert en fouillant les poubelles des bureaux d’investissement, il ne fallut pas longtemps avant que l’homme le découvre.  

_Il faut donc prouver que cet homme d’affaire est complice de blanchiment d’argent et le faire plongé pour ça. Mais le plus dur c’est que l’on ignore son nom.  

_Kaori a essayé de se faire engager comme secrétaire et malgré son long entretien n’a pas réussi à savoir el nom, donc les prochains jours seront de la filature sur tous les employés de la boîte, j’aurais aussi besoin d’une couverture pour demander de l’aide pour dissimuler de l’argent sale.  

Miki se proposa pour la couverture, elle connaissait quelques personnes plutôt bien placées qui pouvaient lui trouver un profil pour lui, Mick lui proposa ses services pour filer les grosses pontes et Umibozu lui fut nommé fournisseur officiel en café et en matériel pour le groupe. Le plan fut vite mis en place pour quand le poisson serait repéré et si il y aurait des complications.  

Tetsu observa tout le petit monde s’afféré à leur tâches, il vit alors l’esprit professionnels et comprit qu’il avait bien choisit ses gardes du corps et qu’il ne lui arriverai rien de fâcheux. Il se sentit alors bête d’avoir ennuyé le couple avec l’histoire de la lettre et chercha à se faire pardonner pour cela, il monta dans la chambre en quête d’un objet qui pourra leur faire plaisir.  

Kaori sentait que Miki rêvait de lui poser une question, elle se doutait même de la question. La mercenaire en effet n’arrêtait pas de lever les yeux vers la jeune femme, elle la fixait puis retournait à sa liste de contacts pour recommencer le même manège quelques minutes plus tard.  

_Miki pose la moi ta question, même si je ne répondrais pas.  

_J’osais pas, je voulais savoir pourquoi vous l’avez fait, c’est pas anodin un mariage.  

_Je voudrais bien te répondre mais avec Ryô on s’est promis de garder la raison secrète. Mais bon te connaissant tu réussira par trouver la raison, tu ne serais pas Miki sinon !!  

La mercenaire rigola à la remarque de son amie, c’est vrai qu’elle ne laissera pas tomber, qu’elle cherchera la réponse par tous les moyens possibles.  

La journée passa vite, trop vite pour certains. Miki avait créer un profil pour Ryô afin qu’il puisse mettre un pied dans la bergerie, tandis que Mick revint de sa filature avec quelques clichés intéressants et Umibozu lui amena une caisse remplis de munition et d’appareil de pointe pour le moment où Ryô serai dans le bureau. Kaori arriva avec des cafés bien chauds pour tout le monde, tandis que Ryô finissait son nouveau visage.  

Tetsu pointa le bout de son nez qu’au repas où il présenta un cadeau pour ses gardes du corps afin de se faire pardonner pour son comportement, et c’est avec surprise que Kaori découvrit un écrin renfermant une sculpture en verre bleuté, qui représentait deux oiseaux qui s’entrelaçaient tenant chacun un bout de la branche d’olivier. Kaori remercia Tetsu et posa la statue de verre avec quelques souvenirs. Ryô lui demanda discrètement à qui il l’avait voler mais Tetsu lui répondit qu’il l’avait eu d’un ami qui faisait des statue de verre pour vivre.  

Kaori demanda un coup de main à Ryô pour tout rangé dans le salon pour le lendemain, jour du début des opérations. Elle profita que Tetsu ne soit pas dans la pièce pour parler à Ryô de leur situation. Mais une oreille insdicrète rodait.  

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