Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: grifter

Beta-reader(s): MY

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 30-09-07

Ultimo aggiornamento: 30-07-08

 

Commenti: 125 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Petite fic qui devrait comporter environ 5 à 7 chapitres et où on retrouve la petite famille Saeba mais au vert cette fois-ci et à la montagne.

 

Disclaimer: Les personnages de "Escapade dans le Kiso" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Escapade dans le Kiso

 

Capitolo 6 :: Matsuri et Museau

Pubblicato: 31-03-08 - Ultimo aggiornamento: 31-03-08

Commenti: Coucou et désolée si je n'ai rien majé sur mes fics en cours depuis un bon moment, je fais passer les corrections avant mes écrits et puis question boulot, je suis ultra-débordée mais promis je ratrappe toutes mes lectures et mes reviews au fur et à mesure. Bisous et bonne lecture en espérant que ce chapitre vous plaise ;) A + et un gros merci à toutes les revieweuses pour leur soutien et énorme bisous à My pour son aide et sa correction. Ps: Petite information pour les puristes, je n'ai pas vraiment respecté le matsuri de Tsumago mais ai choisi de mélanger différents matsuris auquels j'ai assisté au japon.

 


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Au même moment, totalement inconscients de ce qui se tramait à l'auberge des Miso, toute la petite troupe guettait le début des festivités avec une impatience grandissante pour les enfants.  

 

-Ca commence quand maman ? Interrogea Tsunéo en se repositionnant mieux sur les genoux de sa mère.  

 

-Bientôt mon chéri, bientôt, encore un peu de patience, sourit Kaori en lui caressant gentiment le dos.  

 

Comme pour donner raison à la jeune femme, la minute suivante, un fort roulement de tambour se fit entendre signalant le début des festivités. Une procession de figurants représentant les habitants du bourg vêtus de costumes chatoyants et chamarrés s'avança par petits groupes sous les flashs de la foule. Chacun des touristes présents voulant capturer dans son objectif un peu de la magie du moment.  

Les yeux brillants et tout excité de voir sa première parade, Tsunéo se redressa pour mieux jouir du spectacle tandis que Zaza, sagement assise sur les genoux de Mme Miso, pivotait légèrement et s'inclinait vers l'avant, écoutant les explications que la vieille dame lui dispensait.  

 

Les petites filles venaient en tête du cortège, escortées par un immense char de bois orné d’une multitude de papiers mâchés brillants aux formes diverses qu’une bonne dizaine d’hommes de tout âge arborant un bandeau bleu marine dans les cheveux et bandant leurs muscles tiraient à la force de leurs bras. Puis, un second char censé lui représenter un démon terrifiant les griffes acérées ouvertes vers la foule précéda le groupe de garçons.  

A la vue du démon de papier semblant flotter dans les airs, Tsunéo prit peur et se cacha le visage dans le haut de sa mère.  

 

-N’aie pas peur bonhomme, le rassura Mr Miso avec un petit sourire. Il ne va pas te manger !  

 

-Mr Miso a raison, regarde, il est déjà passé, le réconforta la jeune femme. Ces structures sont très impressionnantes, déclara-t-elle à sa voisin come Tsunéo s’enhardissait et reprenait son poste d’observation, moyennement rassuré.  

 

Puis un nouveau groupe dont la tenue intrigua Zaza s’avança toujours sous le rythme lancinant des tambours.  

 

-Est-ce que c'est un guerrier ? Demanda la fillette en désignant du menton un cavalier au costume sobre et à l'allure digne alors qui se rapprochait.  

 

Les cheveux noués vers l'arrière en un chignon et des pattes retombant sur ses joues, l'homme arborait un petit couvre-chef haut sur le crâne qui lui conférait un air grave. Les couleurs vert pale et beige de son uniforme contrastaient gaiement avec le rouge flamboyant de son sabre porté en bandoulière et assorti à la couleur de l'harnachement de sa monture. Celle-ci, une élégante jument à la robe caramel, parut immense aux yeux de Tsunéo qui se recula machinalement comme le duo passait à sa hauteur.  

 

-Oui ma chérie, c'est bien un guerrier.  

 

-Et le personnage représenté sur le char, c’est un kappa, un lutin farceur, c’est ca ?  

 

-Exact, tu sais beaucoup de choses dis-moi, la félicita le vieillard avec un sourire.  

 

La fillette rougit sous le compliment et expliqua que sa maîtresse leur avait fait lire un livre où l'action se situait dans la région de Tono, dans une région montagneuse du nord de Honshu. L’histoire y narrait les aventures des villageois aux prises avec les tours pendables que leur jouaient parfois ces êtres surnaturels.  

 

-Mais, ils n’étaient pas tous méchants et l’un d’eux a même aidé les habitants de la vallée une fois en éteignant le feu qui ravageait le village à l’aide de l’au de la rivière, poursuivit la fillette comme le char s’éloignait.  

 

-Zaza dévore les livres et raffole des légendes, expliqua sa mère à la question muette posée par son ancien professeur.  

 

La parade se poursuivit de plus belle avec son lot de petits métiers comme le forgeron ou encore le facteur et s’acheva sur un ultime char représentant les récoltes où tout en haut duquel se tenaient des petites marionnettes articulées qui plurent beaucoup aux enfants.  

Sous les applaudissements du public, un feu d’artifice signa la fin de la parade et tous se préparèrent pour le grand final qui aurait lieu d’ici une dizaine de minutes : L’embrasement tant attendu sur une partie de la montagne qui leur faisait face de centaines de torches géantes et dont le dessin allait former un immense kanji de feu visible pendant une bonne trentaine de minutes d’un bout de la vallée.  

 

L’excitation se fit plus grande pour Tsunéo qui piaffait d’impatience :  

 

-C’était joli ! Tu as vu les marionnettes maman ?  

 

-Oui, j’ai beaucoup aimé aussi. Dommage que papa ait tout raté, déclara soudain Kaori en jetant un œil à sa montre-bracelet.  

 

Totalement absorbée par ce qui se passait devant ses yeux, Kaori n’avait pas vu le temps passer si vite ! Que diable pouvait bien fabriquer le nettoyeur ? Il semblait pourtant d’accord pour assister au matsuri et il n’y avait à ce qu’elle sache pas d’élection de Miss Univers prévue à la télévision qui justifierait son absence…Faire l’aller-retour pour récupérer l’appareil-photo n’aurait du lui prendre que quoi ? Trente minutes au grand maximum, alors quoi ?  

 

-C’est vrai ça ! Il en met du temps ! Répliqua Zaza en se tournant vers sa mère.  

 

-Peut-être que Mokorette a encore fait des siennes et qu’ils sont en train de se chamailler, plaisanta la jeune mère. Le mieux est que j’aille à sa rencontre, dit-elle en se levant. Mme Miso, je peux vous confier les enfants ?  

 

-Bien sur ! Viens-là mon grand, dit-elle avec un large sourire en se poussant pour faire une place au petit garçon à ses cotés. Ne tardez pas trop, cela va bientôt commencer.  

 

-Si je ne suis pas revenue dans les temps, ne m’attendez pas, déclara la jeune femme. Soyez sages les enfants.  

 

-Ne vous inquiétez pas, ce sont des amours, l’assura Mme Miso avec un petit clin d’œil.  

 

Kaori lui adressa un sourire de remerciement et partit en direction de l'auberge.  

 

***************************************************************  

Pendant ce temps, Ryô avait atteint de la grange et un nouveau hurlement retentit à l'intérieur du bâtiment comme il en ouvrait la porte.  

 

-Au secours ! Cria une voix d'homme essoufflé.  

 

-A l'aide ! Hurla un second terrorisé.  

 

La main du nettoyeur tâtonna sur le coté à la recherche d'un interrupteur qu'il finit par trouver et la lumière se fit soudain, éclairant à ses yeux une scène plutôt comique : deux hommes à la mine patibulaire et aux vêtements en lambeaux courraient comme des dératés pour essayer d'échapper au sanglier de compagnie des Miso. Museau le bien nommé semblait visiblement s'en donner à cœur joie, donnant de violents coups de groin dans les postérieurs des sbires de Myoga, ce faisant arrachant des bouts de tissu de leur pantalon, les pourchassant à tour de rôle, leur laissant à peine le temps de retrouver leur souffle sur un abri de fortune comme ces ballots de paille avant de venir les en déloger comme un bulldozer, les deux infortunés reprenant de plus belle leur course à la recherche d'un nouvel abri.  

 

Les propos de ses hôtes lui revinrent tout à coup en mémoire : "Museau aime bien faire courir les hommes de Myoga qui s'aventurent de trop près !". Cela se vérifiait sous ses yeux amusés.  

 

-Aidez-nous ! Supplia Satsuma en panique.  

 

-Ce foutu sanglier veut nous bouffer ! S'écria Negi à son tour. (NDB Bien fait pour vous !!!! nananana….)  

 

Les deux hommes tentèrent de rejoindre Ryô, espérant qu'il leur viendrait en aide et neutraliserait l'animal en furie. Mais Shitake et Mokorette ne l'entendirent pas de cette oreille et vinrent se poster devant le nettoyeur, obligeant les deux hommes à bifurquer de leurs crocs menaçants.  

Nullement apitoyé par les jérémiades des deux comparses, Ryô, qui riait sous cape, décida de leur jouer un bon tour et de profiter de la situation. Il se borna à leur répondre en refermant la porte de la grange derrière lui, bloquant ainsi le seul passage vers la sortie :  

 

-Vous voulez vraiment que je vous aide ?  

 

-Oui ! Pitié ! Rétorquèrent-ils en chœur.  

 

-Ok, dites-moi d'abord ce que deux idiots comme vous sont venus faire ici et je calmerai Museau.  

 

-Pitié ! Dites-lui d'arrêter !  

 

-C'est à prendre ou à laisser....D'un autre coté, ce pauvre animal a aussi besoin de faire un peu d'exercice et je m'en voudrais de l'en priver, ajouta-t-il sur un ton ironique qui fit froid dans le dos des deux infortunés.  

 

-...  

 

-Et puis, il semble tellement s'amuser en votre compagnie. Ah tiens ! Les chiens ont l'air de vouloir se joindre à vous, poursuivit-il comme ces derniers se rapprochaient dangereusement.  

 

-Ah non ! Ah non ! Pas les chiens !  

 

-Ne me dites pas que deux grands gaillards tels que vous ont une peur bleue de deux malheureux teckels tout de même ! Mokorette, tu veux bien aider Museau s'il te plait ? Je suis persuadé que ces Messieurs peuvent courir encore plus vite !  

 

-Non, surtout pas elle ! Pleurnicha Negi dont le restant de pantalon venait de finir englouti par Museau et qui se retrouvait maintenant arborant un splendide caleçon aux cœurs rose fluo d'un certain chic.  

 

-Alors parlez ! Aboya le nettoyeur qui commençait à perdre patience.  

 

-Ok, ok… moi je vais vous le dire ! Couina Satsuma les poumons en feu.  

 

-La ferme, crétin ! Aboya Negi à son encontre.  

 

-Sage décision ! Mokorette et Shitake, du calme les chiens !  

 

Les deux teckels s'immobilisèrent mais gardèrent leur position d'attaque.  

 

-Museau, déclara Ryô d'une voix tranchante et autoritaire en brandissant la fourche dont Mr Miso se servait parfois pour pousser Museau hors d'un champ de légumes où le coquin aimait retourner la terre et chaparder les légumes les rares fois où il parvenait à échapper à la vigilance de ses maîtres. Stop !  

 

Le sanglier sembla comprendre l'ordre et ralentit sa course effrénée pour piler net devant le petit groupe. Après avoir jeté un regard à Ryô et sans plus se préoccuper des deux hommes, il retourna sur sa paillasse où il s'affala pour mâchonner tranquillement son trophée.  

 

- Tu sais ce qu'on... risque idiot ? Parvint à articuler Negi le visage rougeaud et la respiration sifflante à son acolyte.  

 

-Tu crois...vraiment qu'on...A le choix ? Répliqua Satsuma en se laissant glisser à terre, épuisé.  

 

-Alors ? J'attends !  

 

-Voilà...Cela faisait un petit moment qu'on avait repéré la ferme des Misos. On guettait le moment propice pour les délester de deux ou trois objets de valeur. Lorsqu'on vous a tous vus partir pour assister au matsuri, on s'est dit qu'on tenait là une occasion en or, mentit Negi furibond intérieurement d'avoir ses sous-vêtements ainsi exposés. Mais on n'avait pas prévu que ces sales clébards nous mettraient des bâtons dans les roues, dit-il en lançant une œillade à Mokorette. Sans eux…  

 

-Je crois qu'on s'est mal compris, j'ai horreur qu'on se paie ma tête et j'ai la désagréable impression que c'est ce qui se passe, dit Ryô le regard sombre. Cette charmante auberge est dépourvue du moindre objet de valeur et vous le savez tout autant que moi, expliqua-t-il comme Negi ravalait difficilement sa salive.  

 

-Je dis la vérité ! Je...  

 

-Pour la dernière fois, je veux savoir la vraie raison de votre présence ici et qui vous envoie ! A moins que vous ne vouliez que j'ordonne à Museau de vous refaire faire un petit jogging de santé ? Suggéra Ryô en désignant du regard l'animal.  

 

-Je vais tout vous dire ! Intervint Satsuma. On nous a ordonné de trouver un document et de le ramener à notre commanditaire : c'est la vérité, je le jure !  

 

-Le titre de propriété je parie… et votre commanditaire n'est autre que ce cher Myoga, n'est-ce pas ?  

 

Les deux hommes échangèrent un regard et blêmirent en réalisant le sort que Myoga leur réserverait lorsqu'ils avoueraient qu'ils avaient échoué dans leur entreprise.  

 

-.... Oui, répondit Satsuma d'une tout petite voix. Mais on ne sait rien de plus sur ses intentions. C'est la stricte vérité !  

 

-En cas d'échec de votre part, quelle alternative votre parton a-t-il prévu pour faire pression sur les Misos ?  

 

-On n'en sait rien ! Il ne nous a pas mis dans la confidence : Tout ce qu'on devait faire, c'est trouver ce fichu document et le lui ramener. S'il vous plait, laissez-nous partir…S'il apprend qu'on vous a révélé qu'il nous a envoyé et qu'en plus on a échoué, il va...  

 

-Fichez-moi le camp et dites bien à votre boss que s'il retente quoi que ce soit, je lui ferais passer l'envie de s'en prendre à plus faible que lui ! Mokorette, escorte donc ces messieurs vers la sortie !  

 

Les deux hommes ne se le firent pas répéter deux fois et prirent les jambes à leur cou. Ryô les regarda décamper dans la nuit, la teckel grognant derrière eux, menaçante, escortée par son comparse à quatre pattes.  

 

 

Resté seul, Ryô tourna le regard vers l'objet de la convoitise du promoteur véreux et songea à ce qui ce serait passé si les animaux ne s'étaient pas unis et mis en travers des sbires de ce dernier. Il pesta contre lui-même et serra les poings devant sa propre négligence pour n'avoir pas su déceler la présence de ces hommes qui avaient pourtant du se tenir en planque un petit moment autour de la propriété, guettant le moment propice pour passer à l'action.  

Au bout du chemin de terre, Mokorette réapparut. Elle trottina jusqu'à lui puis s'assit sagement à ses cotés. Ryô esquissa un petit sourire puis s'accroupit à sa hauteur et posant sa main sur la tête de celle-ci, il se mit à la caresser gentiment sous le menton, tirant à la petite femelle un jappement joyeux. (Ndebéta : Si ce n’est pas mignon…Deux « ennemis » qui font alliance au bon moment !!)  

 

-Brave Mokorette ! La félicita le nettoyeur. Tu es bien digne de la famille, dit-il avec un petit sourire. Oui, bravo à toi aussi Shitake, ajouta-t-il en faisant subir le même traitement au vieux chien venu soulever de son museau son autre main. Vous faites la paire tous les deux !  

 

Au loin, le tir des feux d'artifice l'avertit que la procession était sur la fin et que l'embrasement des gigantesques torches sur l'autre coté du versant de la montagne dessinant un kanji, clou de la soirée, allait bientôt avoir lieu.  

Tout à coup, la raison de sa présence ici lui revint en mémoire : L'appareil photo ! (Ndebéta : Oups !!! Kaori va-t-elle lui poser un savon pour son retard ???) Dans toute cette agitation, il l'avait complètement oublié et le matsuri allait toucher à sa fin dans peu de temps…Que faire ? Il ne pouvait décemment pas laisser l'auberge sans protection. Certes, il avait fort à parier que Negi et Satsuma ne repointeraient pas leur vilaine bobine dans les parages de sitôt. Toutefois, rien ne lui garantissait que dès que les deux malfrats auraient fait leur rapport, Myoga n'enverrait pas d'autres hommes et en plus grand nombre cette fois-ci.  

Il fallait qu'il prévienne Kaori de ce qui venait de se jouer mais sans bouger de son poste. Comment faire ? La jeune femme n'avait pas emporté son portable car il l'avait clairement vu trôner sur leur table de chevet avant leur départ plus tôt dans la soirée. (Ndebéta : On se demande bien qui va pouvoir l’aider dans cette mission ardue)  

 

Mokorette se dressa sur ses pattes et se mit à lui lécher la main pour quémander un peu plus d'affection. Ryô eut soudain une idée : Un messager ! Voilà ce qu’il fallait ! Il croisa le regard de la chienne qui le fixait étrangement, comme si elle avait deviné ses pensées. Serait-elle capable de retrouver Kaori au milieu de la foule, se demanda-t-il perplexe. Après tout, elle avait bien tenu tête et aidé à piéger ces deux zigotos tantôt…Se relevant soudain, il lui intima de s'asseoir et de ne pas bouger, ce qu'elle fit à sa grande surprise. (Ndebéta : Ca fait tout drôle de voir Mokorette si obéissante…Surtout aux ordres de Ryô !!!) Puis, le nettoyeur fonça vers l’auberge. Il en revint peu après muni d'un bout de papier qu'il enroula autour du collier de la chienne sous son regard intrigué. Certain que son message ne bougerait pas en cours de route, il se mit à sa hauteur et lui fit renifler un des mouchoirs de la jeune femme. L’attention de l’animal captée, Ryo se redressa et pointant du doigt en direction du chemin, il lui ordonna :  

 

-Mokorette, va trouver Kaori, va !  

 

La petite teckel partit à fond de train, les oreilles au vent, suivant la trace olfactive laissée derrière elle par sa maîtresse.  

 

A suivre...  

 

 


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