Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Beta-reader(s): Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 18-10-07

Ultimo aggiornamento: 10-04-08

 

Commenti: 98 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: En l'absence de Ryo une nouvelle affaire se présente à Kaori : infiltrer une secte pour retrouver et libérer la nièce d'un ministre. Cependant tout n'est pas aussi simple que cela ! Et, ce qu'elle va découvrir derrière ces portes dépassera l'imaginable !Elle devra faire face à l'ignominie humaine. En resortira t'elle indemne ?

 

Disclaimer: Les personnages de "' In Sanguis Veritea Es '" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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Some pieces of advices to authors

 

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   Fanfiction :: ' In Sanguis Veritea Es '

 

Capitolo 8 :: L’habit ne fait pas le moine…Mais il y contribue.

Pubblicato: 10-04-08 - Ultimo aggiornamento: 10-04-08

Commenti: Un grand merçi à vous toutes pour vos reviews qui me font toujours plaisir ; elles sont plus que motivantes !! Allez maintenant je vous laisse lire, et dites moi ce que vous en avez pensés ...... Bisous ^_^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

Chapitre VIII : L’habit ne fait pas le moine…Mais il y contribue.  

 

 

 

« Relève le menton et bombe le torse. Si tu regardes l’avenir avec espoir, alors l’avenir te sourira. »  

 

Ce leitmotiv, Kaori ne cessait de se le répéter encore et encore au fur et à mesure que ses pas la conduisaient devant les deux épaisses portes de bois constituant l’entrée du manoir. Elle était parfaitement consciente qu’au moment même où elle aurait franchit ces portes, il n’y aurait plus de retour en arrière possible. Pour la première fois depuis bien longtemps elle serait seule et n’aurait personne sur qui compter.  

 

Ryo n’était pas là. À vrai dire, il ne savait même pas où elle se trouvait. Elle n’avait pas daigné l’en informer et tout cela à cause de sa fierté mal placée. Son seul réconfort était de savoir que Saeko et son équipe la surveillaient, même de loin.  

 

 

Cependant, ce que Kaori était à mille lieux de s’imaginer, c’était qu’à l’autre bout de la ville, dans l’immeuble de la préfecture de police, l’inspectrice Nagomi se trouvait dans tous ses états.  

 

 

 

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- Qu’est-ce qu’il se passe bon sang ? Pourquoi il n’y a plus rien tout à coup ? Demanda l’inspectrice à ses officiers qui s’affairaient en tous sens afin de trouver le problème.  

 

- Je ne sais pas Inspecteur. Je ne comprends pas d’où peut provenir la panne.  

 

- Mais ce n’est pas possible ! Qui est-ce qui m’a fichu une bande d’incapables pareils ? Je ne veux pas savoir pourquoi ! Je ne veux pas savoir comment mais vous allez vous débrouiller pour réparer fissa ! Est-ce que je me suis montrée suffisamment claire ? Vociféra Saeko hors d’elle.  

 

- Inspecteur, nous avons tout tenté, mais rien n’a l’air de marcher. Nous ne parvenons pas à déceler d’où provient le problème, tenta de lui expliquer un des officiers présents dans la salle.  

 

- Vous ne « parvenez pas » ? Vous rendez vous compte de ce que cela implique ? Vous êtes conscient que c’était le seul moyen dont nous disposions pour savoir où elle était !  

 

- Je suis désolé Inspecteur mais ce système était censé être le top du top, la dernière trouvaille technologique. C’est le chef du labo en personne qui nous l’a apporté, de plus il marchait parfaitement quand elle est partie.  

 

- Triple andouille ! Je sais parfaitement qu’il marchait à ce moment-là, sinon crois-tu un seul instant que je l’aurais laissée y aller ? Allez donc me chercher cet imbécile de rat de laboratoire afin qu’il arrange tout ça !  

 

Puis haussant la voix pour que toutes les personnes dans la pièce l’entendent bien, Saeko ajouta :  

 

- Vous savez tous très bien dans quel guêpier on l’a envoyé et il est hors de question, je répète, hors de question de la laisser seule sans le moindre renfort possible ! Dites-vous bien que si Melle Makimura ne revient pas saine et sauve de cette mission nous le payerons cher, très cher et par là j’entends de nos vies ! (Ndebéta : Ca si Ryo l’apprend, ça va saigner !)  

 

 

Cette dernière déclaration instaura un froid glacial dans la pièce. Plus aucun bruit ne se fit entendre. Tous avaient la tête penchée au-dessus de leur bureau en train de chercher en vain la solution miracle.  

 

Seule Saeko faisait les cent pas dans la pièce, se triturant les méninges afin de résoudre cet épineux dilemme. C’était à ne rien n’y comprendre : L’émetteur qu’ils avaient placé dans le talon de la chaussure de Kaori avait fonctionné normalement pendant vingt minutes et puis tout à coup, plus rien. Le petit point rouge qui désignait la jeune femme sur l’écran de l’ordinateur s’était éteint soudainement alors que cette dernière était en mouvement, se trouvant vraisemblablement dans une voiture car le signal lumineux avançait de façon plutôt rapide.  

 

Cette situation était tout bonnement inacceptable ! L’émetteur était leur seul lien qu’ils avaient avec elle, surtout qu’ils ne savaient pas précisément où se trouvait le QG de l’I.S.V.E. Les seules informations dont ils disposaient, vu que les dirigeants de la secte étaient constamment sur leurs gardes et changeaient très souvent de lieu, étaient que « L’antre du diable » comme l’avait rebaptisé certains membres de la police se situait quelque part à l’extérieur de la ville.  

Bref, autant dire franchement qu’à l’heure actuelle ils ne savaient absolument pas où se trouvait Kaori et où elle allait être conduite…  

 

 

Saeko ne pouvait s’empêcher de se sentir coupable, bien qu’elle n’ait eut d’autre choix que de se soumettre aux demandes conjointes de son père le Préfet et du Ministre. En effet, c’était elle qui était allée trouver Kaori et qui lui avait fait part de l’affaire. C’était encore elle qui lui avait demandé de les aider. La policière se sentait responsable et savait pertinemment qu’aux yeux de Ryo elle seule serait à blâmer dans cette histoire et à encourir ses foudres si par malheur il venait à arriver la moindre chose à sa partenaire.  

Saeko l’acceptait mais en son fort intérieur elle priait afin que tout s’arrange au plus vite, que rien de grave n’arrive à celle qui, sans le savoir, avait ravi le cœur du grand City Hunter. (Ndebéta : Moi aussi)  

 

 

 

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L’homme qui l’avait conduite jusqu’ici lui fit signe de gravir les quelques marches du perron et de le suivre à l’intérieur. Kaori prit donc une grande inspiration, lança un dernier regard en direction des bois qui entouraient la demeure et tout en pensant très fort à Ryo, pénétra à l’intérieur.  

 

Au moment où ses pieds franchirent le seuil de la demeure, elle se remémora la célèbre phrase qui ornait la porte de l’Enfer dans le livre « La Divine Comédie » de Dante, porte que ne franchit aucune âme vertueuse :  

 

« Par moi, on entre dans le domaine des douleurs…
 

Vous qui entrez ici, perdez toute espérance. »
 

 

 

L’Enfer.  

 

C’était bien ce à quoi elle s’attendait.  

 

Or là, elle se trouvait plutôt devant le luxe et la richesse. Jamais n’avait elle vu de plus belle décoration.  

 

De riches draperies de couleurs sombres pendaient de chaque coté des portes-fenêtres, les murs étaient constitués de fausses pierres apparentes sur lesquels reposaient de-ci de-là, de somptueux tableaux représentant ce qui semblait être, selon elle, des scènes de la mythologie gréco-romaine. Le sol était en marbre d’un blanc éclatant, ce qui contrastait fortement avec les autres teintes plutôt sombres de la pièce.  

En face de la porte d’entrée se trouvait un magnifique escalier et au pied de celui-ci reposait un gigantesque tapis sur lequel était inscrit en langue latine « Dignus Est Intrare ». Kaori ne parlait nullement le latin mais les vagues connaissances qu’elle avait en Français lui permirent tout de même de comprendre que cela signifiait plus ou moins : « Celui qui est digne d’entrer ».  

 

Tout en contemplant cet étalage de richesses, la jeune femme n’en perdait néanmoins pas pour autant ses réflexes de partenaire du célèbre City Hunter. Une des premières leçons que lui avait indirectement inculquée Ryo était de toujours, peu importe les circonstances, être maître de son environnement. De ce fait, elle savait déjà que ce hall comptait en tout six grandes portes-fenêtres, trois situées de chaque coté de la porte d’entrée et qui donnaient sur le balcon. Trois portes en bois, deux à gauche de l’escalier et une à sa droite.  

Enfin, elle avait remarqué qu’il y avait au moins le double de portes à l’étage.  

 

Après avoir fini son inspection des lieux, elle reporta son attention sur les personnes présentent en face d’elle. Se trouvait là une vingtaine d’hommes et de femmes mais on pouvait très facilement scinder ce petit groupe en deux. Parmi eux, neuf étaient clairement des adeptes de L’I.S.V.E.  

 

En effet, contrairement aux autres, ceux-ci étaient vêtus d’habits de couleur noir accompagnés de divers bijoux qui rappelèrent à la jeune femme ceux que portaient les pharaons au temps de l’Egypte antique. Ces hommes exhibaient également fièrement le signe de leur appartenance à leur prétendue élite : Un S. et un V. en caractères gothiques entrelacés.  

 

 

Soudain, un jeune homme qui ne devait pas avoir bien plus de la trentaine s’avança aux-devants de leur invitée. Il la salua très poliment et inclina légèrement la tête.  

 

 

- Mademoiselle, si vous voulez bien me suivre, je vais vous conduire à votre chambre.  

 

 

Cette dernière s’avait pertinemment qu’ils allaient tout faire pour la faire rester. Après tout n’était-elle pas leur « nouvelle proie » ? La brebis égarée sur laquelle ils avaient jeté leur dévolu ?  

Elle devait tenir son rôle. Aucune jeune femme, même particulièrement naïve n’accepterait de se voir offrir une chambre dans un endroit où elle était venue simplement pour suivre une conférence. Elle se devait donc d’objecter un peu.  

 

 

- Une chambre ? Mais pourquoi ? Je suis tout simplement venue suivre la conférence « Être soi-même », je n’ai donc pas besoin de chambre voyons.  

 

- Ne vous inquiétez pas Mademoiselle, nous offrons une chambre à tous nos participants. Tout d’abord c’est pour que vous puissiez vous changer en toute intimité.  

 

- Me changer ? Mais pour quoi faire ? Ne suis-je pas bien ainsi ? Demanda-t-elle d’une voix fluette tout en faisant mine de s’inspecter sous toutes les coutures.  

 

- Non, non bien au contraire vous êtes très belle et ces vêtements vous vont parfaitement. Là n’est pas le problème. Comme vous me l’avez justement fait remarquer, vous souhaitez suivre une séance sur le thème de ce que signifie « Être soi-même » or comme il vous le sera exposé plus tard, nous commençons à nous comprendre et à nous accepter à travers le regard des autres. Il est toujours plus facile pour autrui d’accepter quelqu’un qui lui ressemble et en qui il peut se retrouver, c’est pourquoi Maître Aion souhaite que tous les participants portent les mêmes vêtements.  

 

- Oui en effet je comprends pourquoi cela peut être important mais vous avez dit, il me semble, « tout d’abord ». Quelle est donc l’autre raison pour laquelle vous nous donnez une chambre ?  

 

- Et bien Mademoiselle, je vois que vous faites attention au moindre détail, ce qui est d’ailleurs une grande qualité. Cela démontre un esprit saint et prompt. Pour vous répondre donc, la deuxième raison et plus de l’ordre de l’optionnel. Nous faisons plusieurs séminaires durant la semaine et si jamais vous souhaitez assister à un autre et bien la chambre est à votre disposition.  

 

- C’est vraiment très gentil, mais je n’aurai pas les moyens pour assister à un autre séminaire. Voyez-vous, si j’avais été raisonnable, je n’aurais pas du m’offrir cette conférence. Mes finances ne me le permettent pas vraiment à l’heure actuelle.  

 

- Ah …L’argent…L’éternel problème de notre société mercantile ! Mais ne vous en faites pas, aucun frais ne vous sera rajouté. Nous vous offrons le gîte et le couvert car nous pensons que chaque être doit aider son prochain. Le cadeau véritable c’est le don de soi au profit des autres.  

 

- C’est très généreux de votre part et je partage tout à fait votre point de vue.  

 

- Je savais que nous étions fais pour nous entendre ! Suivez-moi, dit-il d’un ton enjoué.  

 

 

Lui emboîtant le pas, Kaori le vit se diriger vers les escaliers.  

 

Ils montèrent un premier étage arrivant au niveau où Kaori avait pu voir six portes de bois. Son interlocuteur lui expliqua que les pièces de cet étage étaient des chambres occupées par les personnes résidant ici. Ils montèrent au second étage, là où se trouvaient les chambres des invités. Ils passèrent en tout et pour tout devant huit chambres pour finalement s’arrêter devant la neuvième.  

 

Le jeune homme fit lentement tourner la poigné afin d’ouvrir la porte, puis se décala sur le coté, permettant ainsi à Kaori d’entrer. Cette dernière fit un pas à l’intérieur puis s’arrêta, son regard allant frénétiquement d’un coin à un autre de la pièce.  

 

Tout comme le hall en bas, cette chambre était somptueuse. Sa décoration restait dans les mêmes teintes et les mêmes matériaux. Un grand lit en bois de cerisier était placé au centre tandis que d’un coté se trouvait une magnifique coiffeuse. De l’autre un sofa qui semblait être des plus confortables, de lourds rideaux pourpres ornaient les fenêtres.  

Enfin, pour finir son inspection, Kaori remarqua une porte dans le fond gauche menant sans nul doute à la salle de bain.  

 

 

- Voilà vos quartiers Mademoiselle. Je vais vous laisser vous changer. Je vous demanderai simplement d’ôter toutes vos affaires et de passer celles se trouvant sur votre lit. Une corbeille à linge est dans la salle de bain pour que vous y déposiez vos vêtements ainsi que vos chaussures et votre sac à main. La conférence commence dans une heure. Je vous retrouve donc dans trois quart d’heure dans le hall de l’entrée. Si vous voulez bien m’excuser à présent…  

 

 

Sur ces derniers mots, il s’éclipsa, refermant la porte derrière lui.  

 

 

Contrairement à ce qu’avait pensé le jeune adepte, la stupeur de la jeune femme n’était pas due à la magnificence de la pièce mais plutôt à l’aura qu’elle avait ressentie en y entrant.  

Au moment même où la porte s’était ouverte, Kaori avait perçu quelque chose mais n’était pas parvenu à mette le doigt dessus. Une sensation bizarre s’était emparée d’elle, comme si quelqu’un ou quelque chose, elle n’aurait su le dire, était là, dans cette chambre avec eux. Pourtant elle eu beau décortiquer la pièce sous toutes les coutures, il n’y avait rien. Ce ressentit avait été bref, durant tout au plus quelques secondes mais Kaori l’avait bel et bien perçut.  

 

Se rendant compte qu’elle n’allait pas demeurer plantée là indéfiniment, elle se résigna donc à se changer et de demanda quelle tenue on lui avait choisie. Posées sur le lit, elle découvrit deux boites de longueur et de largeur différentes, rangées en ordre décroissant.  

 

D’une main légèrement fébrile, elle ouvrit la première. Dans celle-ci, se trouvait un tanga en dentelles blanches ce qui fit comprendre à Kaori qu’elle devait également enlever ses sous-vêtements. Ce dernier reposait sur une splendide robe en soie de couleur vert d’eau dont la coupe semblait être assez près du corps et dont la longueur devait certainement retomber au niveau de ses chevilles.  

Sans plus s’attarder sur ses premières découvertes, la jeune femme ouvrit de manière encore plus réticente la dernière boite, se demandant bien ce qu’il lui était encore réservé. Dans celle-ci, elle aperçut une paire d’escarpins de la même couleur que la robe et dont les lacets en cuirs se laçaient autour du mollet.  

 

L’horloge accrochée au mur indiquait qu’il ne lui restait plus qu’une demi-heure avant qu’elle ne rejoindre les autres, il fallait mieux ne pas de faire attendre.  

 

Elle prit le tanga ainsi que la robe et se dirigea vers la salle de bain. Elle obéit et se dévêtit donc, puis passa le tanga et la robe sans prendre la peine de jeter un coup d’œil à son reflet dans le miroir. Ensuite, elle plia consciencieusement ses affaires et les déposa dans la corbeille en osier prévu à cet effet. Cependant avant d’y déposer ses escarpins, elle prit soin de récupérer les deux micros qui avaient été sciemment dissimulés dans le nœud se trouvant sur le dessus de chaque chaussure et en fixa un derrière le miroir.  

 

 

- Saeko, je suis en place. Pour le moment je suis dans la pièce qui me servira de chambre. J’ai placé le micro derrière le miroir de la salle de bain, ainsi tout en faisant couler l’eau comme pour prendre une douche personne n’entendra quoique ce soit de ce que je te dirai. Le seul hic à présent est qu’ils m’ont demandé d’ôter tous mes vêtements et de revêtir une de leur robe donc ne t’étonne pas si tu ne vois plus le signal bouger. Bon, je dois y aller. Leur stupide conférence ne va pas tarder à commencer. Au fait, je placerai le deuxième micro dès que j’aurai trouvé le bureau du gourou. Souhaite-moi bonne chance…Même si je ne t’entends pas.  

 

 

Kaori enfila ses escarpins, dissimula le deuxième micro sur l’arrête supérieure de la porte de la salle d’eau, jeta un dernier coup d’œil sur cette chambre qui lui semblait si particulière et tout en jouant machinalement avec la bague que son frère Hideyuki aurait dû lui offrir lors de son vingtième anniversaire, elle descendit les escaliers afin de se rendre dans le hall de la demeure.  

 

 

À peine avait-elle fermé la porte de la chambre numéro vingt deux, que la présence était revenue. En effet, tapi dans l’ombre du conduit d’aération qui se trouvait à coté du lit, quelque chose était bien là.  

 

 

À suivre…  

 

 

 


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