Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Sayaka1537, Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 31-10-07

Ultimo aggiornamento: 16-10-08

 

Commenti: 59 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Attention, Fic alternative !! :) Kaori travaille dans une maison d’éditions et Ryô est… un escroc !! Tout semble indiquer qu’ils ne se rencontreront jamais...Et pourtant… ^^ Qu’est ce qu’il pourrait ce passer s’ils se rencontraient …? A vous de lire ! :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Une raison de vivre...Et de mourir" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une raison de vivre... Et de mourir.

 

Capitolo 2 :: Le porte clef

Pubblicato: 10-04-08 - Ultimo aggiornamento: 10-04-08

Commenti: Bonjour à tous!!!! Je sais, ça fait énormément de temps que je n'ai rien posté, et j'ai un peu "déserté" le site... >_< Pourtant, je n'étais pas super occupée!! Maleureusement, je me rend compte que ce deuxième chapitre vient près de 5 mois après le premier, donc je m'excuse vraiment de l'échéance!!!! J'ai été super heureuse de voir vos commentaires sur le 1er chap, et je ne voulais pas vous décévoir pour la suite!! L'ensemble de l'histoire est "dans ma tête", il me faut juste du temps pour mettre en forme les chapitres... Il y a aussi autre chose qui ne m'a pas permi de majer plus tôt, c'est le "départ" de Sayaka...Vous le savez surement, elle est très occupée à cause de ces études et m'a très gentillement dit qu'elle ne pouvait être ma bêta...Je la remercie tout de même pour ce qu'elle a fait pour moi!! Donc peut-être que pendant un moment, mes chapitres seront plein de fautes mais je redoublerai de prudence pour éviter ça!!! ^__^ En tout cas, j'espère que vous continuerez à me soutenir (s'il vous plait!!!!>_<), je ferais un effort pour majer au plus vite (mon chapitre 3 est à terminer et à taper sur l'ordi depuis longtemps!!^^")!!! Pour vous remettre dans le bain un peu, Ryô (un escro) doit s'en prendre à la maison d'édition où travaille Kaori...Vont-ils enfin ce rencontrer dans ce chapitre...? A vous de lire!! ^__^ (pardon j'crois que mon résumé est un peu pourri...). Ps: oubliez pas les review... et bonne lecture!!! (ah et aussi pardon pour le titre du chap' mais je savais pas quoi mettre =_=")

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

 

Une pluie fine commençait à tomber sur les rues de Ginza. Kaori, qui marchait déjà le plus vite possible, se rendit soudain compte que la plupart des passants l’entourant l’avaient imitée. Mais elle ne se pressait pas parce que des petites gouttes qui mouillaient ses cheveux au fur et à mesure qu’elle marchait ; elle souhaitait se rendre au plus vite à l’hôpital pour y retrouver un ami très important à ses yeux…  

 

Profitant du fait qu’un autobus passait et qu’elle se trouvait près d’une station, elle y entra trempée et valida son ticket.  

Kaori n’avait jamais possédé de voiture. Bien que pour des raisons professionnelles elle avait dû il y a quelques années passer son permis de conduire, elle s’était promis de conduire une voiture uniquement en cas d’extrême nécessité.  

 

A l’intérieur du bus, Kaori ne cessait de regarder sa montre. Elle savait que si elle perdait trop de temps, elle serait bien évidement en retard, ce qui déclencherait pour la énième fois la colère de son frère de cœur. (NB de bêta : J’adore la logique cause conséquence de notre Kaori … ^^)  

Heureusement pour elle, le trajet fut rapide ; elle descendit du véhicule qui s’était arrêté en face de l’établissement hospitalier (juste une précision, je ne pense pas qu’il y ait d’hôpital près du quartier de Ginza donc pardon si j’ai inventé…)  

 

Sans attendre une seconde de plus, elle s’empressa de rejoindre le vaste hall d’entrée où on pouvait voir les patients attendant leur tour d’un côté et le va-et-vient des infirmières et médecins d’un autre côté. Étant familière de l’endroit, Kaori se dirigea machinalement vers l’accueil où une secrétaire lisait tranquillement un livre. Elle paraissait très absorbée par sa lecture et ne sembla même pas remarquer Kaori qui se tenait debout devant le comptoir, un sourire se formant sur ses lèvres.  

 

- Ce roman à l’air captivant Shizuka, dit-elle en réprimant son envie de rire.  

 

Elle avait penché sa tête sur le côté, faisant mine de vouloir connaître le titre du livre en question. Au même moment, l’hôtesse d’accueil faillit tomber de sa chaise au son de la voix de son amie. Repositionnant correctement ses lunettes rectangulaires, elle rendit son sourire à Kaori.  

 

« Tu m’as fait peur ! J’ai cru que c’était mon patron ! » Dit-elle mi-amusée, mi-paniquée.  

 

Elles discutèrent pendant quelques secondes pendant lesquelles elles prenaient rapidement de leurs nouvelles respectives, puis Kaori s’excusa d’être aussi pressée. Elle se dirigea ainsi vers l’ascenseur qui menait au quatrième étage, celui des maladies cardiaques. Connaissant parfaitement le chemin, elle se trouva rapidement devant une porte bleue où il était possible de lire le numéro « 410 ». Elle entra après avoir légèrement frappé.  

 

La pièce était celle d’une chambre d’hôpital comme les autres, mis à part les nombreux jouets et décorations qui s’y trouvaient. En voyant toutes ces couleurs, personne n’aurait pu se douter qu’un enfant malade y vivait.  

A première vue, personne ne se trouvait dans la pièce. Mais Kaori aperçut soudain quelque chose ou plutôt quelqu’un bouger en-dessous des couvertures. Doucement, elle s’approcha du lit rempli de peluches et retira la couverture.  

- Je veux pas faire de piqûre !  

 

Le petit garçon allongé ne devait pas avoir plus de onze ans. Il tentait en vain de remettre la couverture sur lui, décidé à ne pas recevoir la fameuse piqûre qu’il craignait tant… Kaori sourit devant cette attitude et décida de le rassurer.  

 

- Je l’aurais su si j’étais devenue tout à coup une infirmière, Shuuji… !  

- Kaori !! Répondit le garçon qui, ayant reconnu la voix de son amie, avait repoussé d’un coup la couverture.  

- Alors tu avais oublié que je venais aujourd’hui ?  

-Non pas du tout ! Même que je t’attendais !! Je veux la suite de mon histoire !!  

- Aha ! s’exclama Kaori, les mains à présent posées sur ses hanches. Et je suppose que tu te souviens de ce que je t’ai raconté la semaine dernière ?  

 

Shuuji, devenu sérieux, attrapa son guépard-peluche et résuma l’histoire, comme s’il s’agissait de sa leçon qu’il avait apprise par cœur.  

 

- Oui ! C’est l’histoire du guépard, Léo, qui a été exclu de sa famille parce qu’il ne pouvait pas courir aussi vite que les autres.  

 

- Exact. Il se sentait triste et seul, reprit Kaori. Il ne savait plus trop où aller. Il s’est donc dirigé vers la forêt. Malheureusement pour lui, il ne savait pas encore comment se débrouiller tout seul et donc sans même l’avoir vu, il tomba dans une petite falaise !  

Quand il se réveilla, il ne savait pas du tout où il était, et commença à pleurer. Il ne s’était même pas aperçu que quelqu’un lui avait soigné sa patte qui avait été blessée à cause de sa chute.  

C’est alors qu’il entendit une voix. Il avait très peur et ne pouvait se cacher. Il n’eut pas à attendre pour savoir qui était son visiteur.  

 

Kaori prit une peluche et la donna à Shuuji qui était avide de connaître la fin de l’histoire.  

 

«Un lion à la carrure imposante apparut derrière les fougères et sourit à Léo, toujours terrifié. Il lui expliqua doucement qu’il…  

 

Mais Kaori ne put terminer son récit, l’infirmière venait pour la piqûre. Déçu, Shuuji fit la moue. Il voulait entendre la fin de l’histoire et surtout ne pas « recevoir » ce qu’il considérait comme étant une punition. Toutefois, Kaori parvint comme à chaque fois qu’elle lui rendait visite à le faire changer d’avis.  

 

- Tu restes avec moi dis ! s’exclama-t-il en tirant sur le manteau encore humide de Kaori.  

- Mais bien sûr comme toujours ! Le rassura-t-elle.  

 

Aussi terrorisé que le jeune guépard Léo, Shuuji ferma les yeux, comme si cela pouvait inhiber la douleur qu’il ressenta lorsque l’aiguille entra en contact avec sa peau. Après quelques secondes, le « cauchemar » était terminé.  

Malheureusement, Kaori, en regardant sa montre, s’aperçut qu’elle était restée plus longtemps que prévu au chevet de son protégé. Elle dû s’excuser auprès de lui, mais de toute façon, il le savait bien, l’emploi du temps de Kaori ne lui permettait pas de venir rendre visite souvent à Shuuji.  

 

- Tu reviendras me voir… ? Hésita-t-il.  

 

Kaori, qui s’était dirigée vers la porte, se retourna et son regard se fit plus doux. Elle revint sur ses pas, s’approcha de lui et l’embrassa sur le front.  

 

-Bien sûr que je reviendrai te voir… Dès que j’aurai du temps j’irai te rendre visite. Ne t’inquiète pas…  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

 

 

A la périphérie de Tokyo, dans un immeuble insalubre, se tenait une réunion plus que douteuse. Plusieurs hommes, dont un qui paraissait contrarié, discutaient à propos d’un projet.  

 

- C’est donc ici qu’on va monter la supercherie ? Demanda Ryô à Shin.  

- Exact, approuva ce dernier. Parmi nos relations, j’ai pu trouver des éditeurs peu scrupuleux qui ont gentiment accepté de travailler pour nous pendant quelques temps. Mais bien sûr Ryô, tu auras un rôle important dans cette « mission ».  

 

- Et en quoi, puis-je savoir ? demanda-t-il presque indifféremment. Tu sais très bien que je n’y connais rien en bouquins !  

 

Il ne voyait toujours pas l’intérêt de s’en prendre à une maison d’édition. Cette perspective l’ennuyait déjà.  

 

- Tout ce que tu dois faire, c’est t’amuser à trouver des clients pour nous, en leur faisant croire qu’on va leur payer cher l’acquisition de leur droit d’édition et surtout de répandre des rumeurs sur Sho’han éditions. Tu vois ? Tu n’as même pas besoin de connaître l’identité de ceux que tu vas « détruire ». Simple, non ?  

 

- Un peu trop facile je dirais. Mais dis-moi, pourquoi donc t’intéresses-tu à quelque chose qui ne te rapportera pas une fortune ?  

 

Le visage de Shin s’assombrit tout d’un coup. Le souvenir de ce qu’il avait vécu lui était insupportable. Si au moins il avait réussi à l’époque à « le » détruire, il n’en serait pas arrivé là maintenant. Absorbé par ses pensées, il revint à la réalité.  

 

- Cela ne te regarde pas ! répliqua-t-il sèchement à l’égard de Ryô qui attendait une réponse.  

 

Shin s’éloigna pour ne pas qu’on le surprenne à réfléchir sur son passé. Cependant, il avait oublié que Ryô avait par nature de très bonnes oreilles. Ce dernier, qui le regardait toujours du coin de l’œil, perçut quelques mots tels « venger », « il était temps »…  

 

Étant en quelque sorte devenu le manager de l’opération, Ryô dû attendre pendant quelques minutes des camions qui devaient apporter le matériel nécessaire à l’installation de la maison d’édition fictive. De plus, il dû également parler en détails de ce qu’il devait faire avec ses subordonnés. Pour pouvoir intervenir, Ryô devait avoir un minimum de connaissances concernant l’édition en général pour éviter de se faire reconnaître comme escroc. Pour cela, il discuta un moment avec un certain Tetsuya, un collaborateur de longue date, qui s’y connaissait.  

 

C’est ainsi qu’après quelques réglages de dernière minute Ryô quitta les locaux pour retourner à la capitale. Il se disait que plus vite il obtiendrait des informations, plus vite il pourrait se débarrasser de cette affaire.  

 

Arrivé à la capitale, il décida de se promener dans les rues de Ginza, près de la maison d’édition qu’il devait « détruire ». Pendant quelques minutes, il s’arrêta devant l’imposant bâtiment qui devait être composé d’une dizaine d’étages. Puis, ne souhaitant pas qu’on remarque sa présence, il repartit dans la direction opposée. Il marcha le long du trottoir à la recherche d’éventuels informateurs.  

 

Perdu dans ses pensés, il ne s’est même pas aperçut qu’une jeune femme aux cheveux courts courait en sa direction, préoccupée par son travail qui l’attendait.  

 

Toutefois, il s’arrêta net quand il trouva par terre un petit porte clé-peluche représentant un chat. Il le ramassa, et se retourna pour voir s’il pouvait trouver le propriétaire de l’objet mais en vain. Tout ce qu’il vit fut une jeune femme qui courait avant de tourner à l’angle de la rue. Il haussa les épaules, indifférent de savoir ce que pourrait ressentir la personne qui avait perdu l’objet. Mettant le porte-clé dans sa poche, il continua son chemin comme si de rien n’était.  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

 

 

Kaori était arrivée à bout de souffle à destination. Dans le hall d’entrée, elle s’arrêta quelques instants pour le reprendre. Sans attendre d’avantage, elle prit l’ascenseur qui menait au bureau du directeur de la maison d’édition. Arrivée à l’étage, elle croisa rapidement le regard de la secrétaire qui semblait lui dire « il vous attends, bon courage ! », comme si elle allait être condamnée pour quelque chose qu’elle n’avait pas fait.  

 

Sûre d’elle, elle frappa à la porte et entra. Elle vit alors son frère derrière son bureau noyé sous une paperasse qui n’en finissait pas. Sans même lui adresser un regard, Hideyuki lui adressa la parole.  

 

- Heureusement que j’avais dit que ce n’était pas urgent !  

- Ravie de te voir pendant un jour de congé, grand-frère, répliqua Kaori du tac au tac.  

 

Ce dernier, abandonna le stylo qu’il tenait entre les mains, leva les yeux vers sa sœur en retirant ses lunettes.  

 

- Ok tu as gagné, répliqua-t-il doucement. Je sais que j’aurais pas dû t’appeler comme ça mais tu sais c’est vraiment…  

 

-…une bonne occasion pour montrer combien notre maison d’édition est prestigieuse. Termina Kaori qui connaissait la réplique par cœur. Oui je sais tu me le répètes sans arrêt. Mais aujourd’hui, je doute que je puisse négocier quoique ce soit… Je connais bien les œuvres de Hirumu Shizuoka mais tu sais bien que j’ai besoin de connaître son dossier…(note :je ne sais pas du tout comment fonctionne les maisons d’éditions donc je suis désolée pour mes erreurs, inventions… !!)  

 

- Oui je sais ça aussi ! L’interrompit-il. Si je t’ai demandé de venir aujourd’hui, c’est uniquement pour te le donner ! Depuis que tu habites seule je ne peux plus vraiment te surveiller… Et puis comme ça, tu auras tout le week-end pour l’étudier, tu as le temps et dès lundi, tu te mets à l’attaque !  

 

- Décidément tu prévois tout ! Mais tu sais quoi ? Tu aurais besoin de quelques jours de vacances !  

 

En ajoutant un « au revoir » évasif, Kaori prit le dossier et se précipita vers la sortie. Hideyuki ne put ajouter quoique ce soit, sa sœur était déjà partie. En remettant ses lunettes, il sourit en pensant à sa sœur qu’il trouvait merveilleuse.  

 

Heureuse que son frère ne l’ait pas obligée à travailler réellement aujourd’hui, elle se rendit compte qu’elle avait un peu de temps avant de retrouver son appartement. Elle décida donc de rejoindre son amie Miki dans son café. Mais cette fois, elle ne se presserait pas, elle avait du temps.  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

 

Au même moment, Ryô, qui se lassait de faire des recherches sans succès, s’arrêta devant un café qui, à cette heure, était rempli de monde. Considérant qu’il avait le droit à une pause, il entra dans l’établissement et s’installa à un coin de la pièce, en attendant que quelqu’un vienne le servir.  

 

 

 


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