Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Sayaka1537, Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 31-10-07

Ultimo aggiornamento: 16-10-08

 

Commenti: 59 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Attention, Fic alternative !! :) Kaori travaille dans une maison d’éditions et Ryô est… un escroc !! Tout semble indiquer qu’ils ne se rencontreront jamais...Et pourtant… ^^ Qu’est ce qu’il pourrait ce passer s’ils se rencontraient …? A vous de lire ! :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Une raison de vivre...Et de mourir" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Une raison de vivre... Et de mourir.

 

Capitolo 4 :: Premier Rendez-vous

Pubblicato: 09-07-08 - Ultimo aggiornamento: 09-07-08

Commenti: Bonjour!! Je suis ravie de poster un nouveau chapitre!!!^___^ Le dernier datait de longtemps! Désolée!!! Je voulais le poster il y a environ une semaine, mais j’ai eu quelques soucis!=_= J’essaie toujours de réduire les échéances, mais je manque souvent d’inspiration!! Des fois, quand j’écris, j’ai l’impression que c’est mal écrit! ~_~ Mais heureusement que Grifter est là pour me mettre sur le “droit chemin”!! Tous les événements sont dans ma tête, mais quand je me retrouve devant le clavier, on dirait que je n’ai plus rien!! Enfin~ Merci encore à tous ceux qui me lisent, ça me fait super plaisir de lire toutes vos review!!!!!!!! Je vous souhaite une bonne lecture!! :) (en fait, je parts en Août, j’espère pouvoir encore poster un chapitre (normalement oui^^) sinon, il faudra patienter jusqu’à septembre!! D’ici là, je pourrais m’avancer!hihi) Bises à tous!! :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

 

Le nuage carbonique qui était parvenu à attiser la colère des flammes laissait à présent apparaître le triste sinistre. Les parties qui soutenaient le bâtiment s’étaient complètement effondrées sous le poids des flammes qui les consumaient. Seul son squelette carbonisé tentait tant bien que mal à rester debout au milieu de la fumée.  

 

Plusieurs ambulances s’étaient chargées déjà d’amener les quelques blessés légers à l’hôpital. Les autres, ceux qui avaient peu à peu retrouvé leurs esprits, répondaient aux questions des policiers dépêchés sur place.  

 

Kaori ne savait plus quoi répondre. Miki était sauvée quoiqu’un peu blessée et la tension était retombée. A peine s’était-elle aperçue qu’elle avait perdu l’équilibre qu’elle se vit entre les bras d’un quasi inconnu, une personne qu’elle avait rencontré par hasard à peine quelques heures plus tôt Une question lui vint instinctivement à l’esprit mais elle en posa une autre d’abord :  

 

- Que voulez-vous dire… ? Demanda-t-elle sans réfléchir.  

- Que si vous aviez accepté mon invitation avec votre amie, vous ne seriez certainement pas ici à attendre le diagnostic d’un docteur, rétorqua Ryo.  

 

Elle ne sut pourquoi mais Kaori n’appréciait guère l’attitude de ce Ryô Saeba ni son ironie. Piquée au vif, elle reprit ses esprits et se dégagea vivement de son étreinte en fronçant les sourcils. Décidément, elle n’aimait vraiment pas cet homme qui avait le don de dire des phrases au mauvais moment !  

 

- Et vous ? Que faites-vous là ? Interrogea-t-elle en retour sur un ton cassant.  

- Moi ? Répondit-il en mettant les mains dans ses poches. On va dire que je passais dans le coin et j’ai vu au loin un feu qui se propageait. Et donc comme tout curieux qui se respecte, j’ai voulu voir ce qu’il se passait…  

- De toute façon, cela ne me regarde pas, excusez-moi, répliqua-t-elle en se rendant compte que sa question avait été inutile.  

 

Pourquoi voulait-elle savoir la raison de sa présence d’abord ? Elle s’en fichait au fond d’elle, tout ce qu’elle voulait c’était s’assurer que Miki allait bien et remercier son sauveur. Au loin, elle aperçut ce dernier s’en aller vers son 4x4. Elle ne voulait absolument pas perdre sa trace ! Elle n’avait même pas eu l’occasion de lui exprimer sa gratitude.  

 

- Monsieur Falcon !!  

 

Ce dernier se retourna. Il avait eu uniquement le temps de mettre la clé de la voiture dans la serrure de la portière. Kaori le rattrapa.  

 

- Excusez-moi Monsieur Falcon, je ne sais encore comment vous remercier ! Je vais accompagner mon amie à l’hôpital mais pourriez-vous me laisser vos coordonnées ? J’aimerais vraiment trouver un moyen de vous remercier pour ce que vous avez fait.  

 

Relativement surpris par la demande de la jeune femme, Falcon mis un moment à répondre. Il ne savait pas pourquoi cette « demoiselle » lui demandait son adresse, lui qui avait fait un geste sans attendre quoique ce soit en retour.  

 

- Vraiment, j’y tiens, insista Kaori avec son plus beau sourire.  

 

Le géant, embarrassé, accéda finalement à sa requête. Il ouvrit la porte de son véhicule farfouilla dans la boite à gants et en sortit un stylo ainsi qu’un calepin sur lequel il griffonna à la hâte ses coordonnées avant de tendre la feuille à son interlocutrice qui le prit en le remerciant à nouveau). Puis il démarra et disparut bientôt à l’horizon.  

 

Il était temps à présent de rejoindre Miki qui se trouvait toujours dans l’ambulance, inconsciente.  

 

- Nous allons la conduire à l’hôpital, déclara le médecin. Son état est maintenant stable, rien de grave mais comme je vous l’ai dit, nous allons faire quelques examens supplémentaires et nous lui plâtrerons la jambe.  

- Est-ce que je peux l’accompagner ? Se risqua Kaori.  

- J’ai bien peur que non mademoiselle, répliqua l’ambulancier. Excusez-moi, raison de sécurité.  

 

L’expression de Kaori changea. Elle se demanda comment elle allait faire pour rester auprès de son amie.  

 

- Vous avez besoin d’aide peut-être ?  

 

Kaori sursauta. Encore cette voix ! Décidément, cet homme avait également le don d’intervenir à l’improviste et d’écouter aux portes ! Elle se retourna et vit Ryô les bras croisés et adossé contre l’ambulance, toujours l’air décontracté.  

 

Elle regarda sa montre. Le cadran était cassé et les aiguilles s’étaient arrêtées sur le nombre douze. Maintenant, il ne devait pas être moins de minuit et demi. Où allait-elle trouver à cette heure-ci un taxi qui l’emmènerait à l’hôpital ?! Elle se maudit presque de ne pas être venue au restaurant en voiture. Mais de toute façon, vu son état, aurait-elle été capable de conduire ?  

 

Après quelques secondes d’hésitation, c’est presque à contrecœur qu’elle accepta l’aide de « Monsieur Saeba ».  

 

- Ca ne vous ennuierait pas de me déposer à l’hôpital ? S’enquit la jeune femme avec un petit sourire contrit pour son attitude de tantôt.  

- Pas du tout. Allons-y. Ma voiture n’est pas loin. (Ndbéta : Sympa de sa part ;))  

 

L’idée de se faire conduire par quelqu’un qu’elle connaissait à peine ne lui plaisait pas beaucoup mais même si cet homme avait un caractère qu’elle avait du mal à cerner, ce n’était pas le moment de penser à de telles choses. Son amie allait avoir besoin d’aide.  

 

Pourtant, malgré la fatigue qui s’accentuait, Kaori ne pu s’empêcher de penser à nouveau à sa rencontre avec Ryô. Ce qu’elle avait pu lire dans son regard était en totale opposition avec l’attitude qu’il montrait depuis leur seconde rencontre. De ce fait, l’idée qu’il puisse être quelqu’un de confiance ne lui quittait pas l’esprit. Et pourtant, une autre sensation la forçait à rester méfiante.  

Une sorte de tension flottait dans l’air de la Mini rouge. Il faut dire que Kaori ne pensait pas à engager la conversation et il sembla que Ryô l’avait compris. Depuis qu’il était arrivé devant le sinistre, il n’avait pas dit grand-chose. Il ne s’attendait absolument pas à la rencontrer si tôt, mais ce n’était pas pour le déplaire. Il eut l’impression pendant une fraction de secondes que c’était le destin qui les avaient réunis de nouveau et il en était en quelque sorte heureux.  

 

Mais ce bonheur, il ne pouvait le qualifier. Pour lui, c’était uniquement un sentiment de légèreté qui lui permettait d’oublier ses soucis et sa vraie vie.  

D’ailleurs, ses pensées furent rapidement rattrapées par la réalité, sa réalité. Un travail l’attendait : Celui de mettre en faillite une maison d’édition qui pour lui n’avait aucun intérêt.  

 

Revenant sur terre, il jeta un coup d’œil à la dérobée à sa passagère. Cette dernière avait la tête tournée du côté de la route, le front posé contre la vitre froide de la fenêtre. Elle semblait pensive et triste à la fois. Par le passé, Ryo avait dû endurer des choses inimaginables pour une personne normale et il ne s’émouvait pas facilement. Cependant, cette vision le mit relativement mal à l’aise.  

 

« Pourquoi afficher un tel visage ? D’accord, son amie a couru un grand danger mais on dirait qu’il y a plus que ca… » Se dit-il en son fort intérieur.  

 

Soudain, il se rendit compte d’une chose qui l’effraya presque. Pourquoi l’accompagnait-elle ? Par gentillesse ? Il savait très bien qu’il aurait très bien pu faire une telle chose mais uniquement dans le cadre de son « Travail ». Par exemple dans le but soutirer des informations à un tiers ou encore afin de jouer un rôle parfaitement bâti par lui-même uniquement pour parvenir à ses fins. En réalité, il ignorait cette petite voix qui lui disait qu’il appréciait Kaori, qu’il voulait à tout prix la connaître mieux.  

 

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour atteindre le parking de l’hôpital et le bâtiment blanc apparut bientôt, se détachant des autres immeubles.  

 

Kaori n’attendit pas que Ryô se gare correctement pour sortir précipitamment de la voiture et rejoindre l’entrée des visiteurs. Cet hôpital lui sembla soudain si fantomatique. Les couloirs sombres étaient allumés par de faibles lumières bleues. A cette heure avancée de la nuit, le service des urgences s’était relativement calmé. Les médecins de nuit effectuaient tranquillement leur ronde, visitant les patients qui étaient en état critique.  

 

Kaori s’approcha maladroitement du bureau d’accueil où elle trouva une secrétaire à moitié endormie, signe que ce soir, l’hôpital ne faisait face à aucune urgence.  

La jeune femme qui fut rejointe par Ryô quelques minutes après son entrée dans l’établissement se renseigna rapidement sur l’état de Miki.  

 

- Votre amie est en ce moment en train de faire des contrôles, afin de vérifier que tout va bien, commença la secrétaire qui consultait la feuille que l’ambulancier lui avait remis quelques minutes auparavant. Puis, on lui fera un plâtre  

- Est-il possible de la voir… ? Demanda Kaori.  

- J’en doute, mais je pense que vous pourrez toujours parler au médecin et vous verrez avec lui.  

 

Kaori se dirigeait vers l’ascenseur quand la voix de la secrétaire l’arrêta.  

 

- Attendez Madame!  

 

Kaori ainsi que Ryô sursautèrent face à cette appellation. Il est vrai qu’ils étaient entrés pratiquement en même temps et que Ryô, silencieux, était resté auprès de Kaori. Mais au point de les confondre pour des mariés !  

 

Kaori, gênée par la situation, expliqua rapidement que Ryô ne faisait que l’accompagner.  

 

-Excusez-moi. Mais j’aurais tout de même besoin que vous remplissiez le formulaire de l’hôpital…Vous êtes de la famille ?  

-Non mais c’est tout comme ! Je suis une amie très proche de Miki ! Répondit Kaori qui prenait possession de la feuille en question.  

 

Elle le remplit du mieux qu’elle put et se tourna de nouveau vers l’ascenseur, après avoir retenu les instructions de la secrétaire. Cette dernière lui indiqua le chemin à suivre, chemin qui menait à une sorte de salle d’attente dans le couloir où se trouvait Miki.  

 

La conversation n’avait pas repris entre les deux individus depuis qu’ils étaient entrés dans la voiture. Ils se trouvaient maintenant assis face à face, attendant la venue du médecin.) Au bout de quelques minutes, Ryô décida de briser le silence qui devenait insoutenable.  

 

-Vous pensez qu'elle va s'en sortir ? (Ndbéta: Pf, quel tact Ryo )  

 

Evidemment, il avait posé cette question uniquement pour faire réagir Kaori. Cette dernière se trourna brusquement et lui jeta un regard noir. Ryô se rendit aussitot compte de son erreur et s’empressa de clarifier la situation.  

 

- Je ne disais pas ça pour vous énerver Mademoiselle, se reprit-il. J'aurais voulu vous faire sourire, ça vous va tellement mieux...  

-C'est raté, répondit-elle sèchement.  

 

Kaori se leva et se dirigea vers un distributeur de boissons situé au fond du couloir. Elle pris une pièce et demanda à Ryô, qui était resté assis, s’il voulait quelque chose.  

 

-Non merci je ne bois pas.  

-Moi non plus, répliqua à son tour Kaori qui retourna s'asseoir.  

 

Elle se sentait si lasse et si fatiguée. Elle aspirait tant à se réveiller, se sortir de ce cauchemar éveillé mais c’était la triste vérité, hélàs.  

 

- Je crois que nous avons mal commencé, dit subitement Ryô.  

- Nous n'avons rien commencé Monsieur, rectifia-t-elle.  

- Saeba. Mais vous pourvez m'appeller Ryô."  

- Monsieur Ryô, pourquoi êtes-vous ici?"  

 

La question pouvait paraître étrange, directe, mais vu le contexte Kaori avait des raisons de se poser des questions. En effet, pourquoi un inconnu tenait tant à rester avec elle dans un hôpital à une heure du matin?  

 

- Mais voyons, faut-il vraiment avoir des raisons pour s'inquiéter de quelqu'un ?  

- Non, pas spécialement, répondit Kaori qui ne trouva rien d'autre à objecter.  

- Vous connaissez Miki depuis longtemps? Demanda Ryô qui voulait relancer la conversation.  

- Depuis l'adolescence, répondit Kaori, qui, d'une certaine manière, éprouvait le besoin de parler de tout et de rien.  

 

Mais elle n’eut le loisir de continuer son récit. Un médecin venait de sortir d’une pièce et refermait doucement la porte coulisante. Sans réfléchir Kaori se leva brutalement et se dirigea vers ce dernier.  

 

- Vous êtes des connaissances de Mademoiselle Miki? Commença le médecin en regardant tour à tour Kaori et Ryô.  

- C’est exact.  

- Elle s’est réveillée normalement après la phase de réanimation et j’ai posé le plâtre pour sa fracture du tibiat. Elle se repose à présent.  

- Je ne peux donc pas la voir, tenta Kaori.  

 

Le médecin regretta et lui dit que cela n’était pas possible. Il l’invita cependant à venir le lendemain dès la première heure. Il s’excusa puis s’en alla.  

 

Kaori demeura pensive quelques instants. Un nouveau silence s’installait entre les deux personnages. De nouveau, ce fut Ryô qui parla en premier.  

 

-Je vous invite à boire un verre?  

 

Cette question encore une fois parut hors propos à Kaori qui en tomba presque à la renverse. Moitié irrité, moitié amusée, elle répondit à sa question par une autre interrogation.  

 

- Pourquoi tenez-vous tant à m'inviter Ryô?  

- Vous posez trop de questions Kaori, répondit-il le sourire aux lèvres. On va dire que j'ai été muté en ville il y a quelques jours et je suis encore inconnu de cette grande métropole. Une des plus grandes et denses au monde vous savez ?  

- Et donc vous avez besoin de moi pour...Vous retrouver dans la capitale ? Répliqua Kaori sarcastiquement.  

- Bon d'accord. Vous seriez d'accord si je vous disais la vérité?  

 

Kaori haussa les épaules. Cependant au fond d’elle, la jeune femme sentait sa curiosité prendre le dessus).  

 

- Okay. Je n'ai pas de justification précise, ou même valide à vous inviter. j’aimerais simplement vous connaitre mieux. Votre amie est entre de bonnes mains et le médecin vous a bien dit que vous ne pourriez pas la voir ce soir. Vous n'allez tout de même pas rester ici toute la nuit en attendant l'heure des visites ! Vous allez vous ennuyer pendant huit heures! Ajouta-t-il d'un air amusé en faisant mine de regarder sa montre.  

 

- Excusez-moi Ryô mais je ne peux pas accepter votre invitation. Il se fait tard et...  

- Alors acceptez une invitation à dîner,l’interrompit-il.  

- Je...  

- Demain soir.  

- ...  

- Pour ce soir, vous avez eu plus que votre lot d’émotions mais demain soir... Qu’en dites vous ? (Ndbéta: Bigre, il insiste)  

 

Kaori parut réfléchir pendant quelques secondes. Il est vrai que mis à part l’étude de son dossier, elle n’avait rien de prévu à faire. Sa raison lui disait de refuser mais quelque chose d’autre, au fond de son coeur, lui demandait d’accepter. Elle hésita mais sans vraiment s’en rendre compte, finit par accepter son invitation.  

 

A suivre...  

 

 


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