Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Indiana

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 11-04-08

Ultimo aggiornamento: 06-11-08

 

Commenti: 51 reviews

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General

 

Riassunto: Kaori ne pensait pas que ce bout de chou reviendrait dans sa vie... et pourtant les voilà à nouveau liées...

 

Disclaimer: Les personnages de "Mon petit bout d'espoir" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Mon petit bout d'espoir

 

Capitolo 1 :: Esperanza

Pubblicato: 11-04-08 - Ultimo aggiornamento: 03-05-08

Commenti: Bonjour! Eh bien me voilà partie avec une nouvelle idée : j'ai un peu hésité ,encore une fois, parce que j'avais peur d'avoir trop de fictions en cours mais bon cette idée me plaisait réellement et j'avais vaiment envie de vous la soumettre! Je verrais bien ! Voilà, en espèrant qu'elle vous plaise autant que les autre, je vous laisse lire ma nouvelle fic et vous fais de gros bisous.

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

- Tu pourrais essayer de manger avec plus de délicatesse, non ?!  

Kaori venait de lancer cette phrase avec une expression de dégout non dissimulée devant le spectacle que lui offrait son partenaire. Ryô avalait..non...plutôt gobait son déjeuner avec violence et rapidité. La pauvre jeune femme, assise sur le rebord d'un meuble, assistait malgré elle à l'assassinat des petits plats qu'elle avaient confectionnés. Son partenaire, quant à lui, ne se souciait aucunement de la présence féminine, tellement il se concentrait sur son assiette.  

Kaori allait lui faire une autre remarque quand le téléphone se mit à sonner. Elle délaissa sa tasse et accessoirement son ogre de colocataire, pour aller répondre.  

- Allô ?  

- Oui, bonjour. Pourrais-je parler à Kaori Makimura, s'il vous plaît ?  

- C'est moi.  

- Ah Kao! C'est Max! Tu me remets ?  

- Idiot! Bien sûr que je me souviens de toi...mais je me souviens aussi que quand tu m'appelais, ce n'était pas juste pour prendre de mes nouvelles. Alors que puis-je pour toi ?  

- T'as toujours réussi à me cerner, soupira le jeune homme, écoutes j'ai un gros problème...c'est au sujet d'Esperanza... . Je peux te voir ?  

- T'es au Japon ?!!! s'exclama Kaori attirant de par ce fait l'attention de son partenaire. Okay, dis-moi où et quand ?  

- Même lieu que d'habitude dans un quart d'heure ?  

- Ca marche.  

 

La nettoyeuse raccrocha le combiné fébrilement : que son ami soit au Japon était en soit une drôle de surprise mais qu'il ait en plus un gros problème et que cela concerne Esperanza, finissait d'achever la jeune femme. Elle ne se rendit même pas compte que Ryô s'était levé de table et venait de se placer à ses côtés. Il avait beau lui parler, elle semblait sourde à ses mots, il dut donc la secouer avec douceur pour qu'elle lui accorde son attention :  

- Qui c'était au téléphone ?  

Kaori se sentit alors prise au piège : elle pouvait soit mentir à son partenaire pour éviter des questions embarrassantes, soit elle lui disait franchement ce qui se passait. D'un côté, elle n'avait aucune envie de mettre Ryô au courant, elle le connaissait il allait partir en déduction hâtives et cela n'allait que nuire à leur relation. Mais d'un autre côté, si ce fameux problème concernait Esperanza, elle aurait certainement besoin du soutien de son partenaire. Que faire ?  

- Oh, juste un vieil ami du lycée qui est de passage au Japon. Il voulait juste que l'on se voit pour parler du bon vieux temps.  

 

Ryô regarda sa partenaire avec un air suspicieux : il savait que quand elle prenait cette pose décontractée, que quand son front se barrait de ce petit pli soucieux, c'est qu'elle était en train de lui mentir. Il sentit poindre en lui cette jalousie empoisonnée qui le rongeait dès que Kaori regardait un autre homme que lui. Pourtant il savait qu'elle n'avait d'yeux que pour lui mais il n'arrivait pas à faire taire cette voix moqueuse qui lui soufflait qu'elle en voyait un autre. Comme à son habitude, il ne pouvait décemment pas laisser transparaître ce sentiment impérieux alors il se décida à hausser les épaules avec lassitude et retourna finir son repas.  

Kaori fut légèrement blessée par ce manque total d'intéressement mais en même temps cela la rassura, elle savait que mentir n'était pas son fort et c'était alors le pire moment pour éveiller la curiosité de Ryô.  

Elle remonta en quatrième vitesse dans sa chambre, se changea et tout en mettant ses chaussures, redescendit et se dandina vers la cuisine. Elle capta le regard de son partenaire et lâcha:  

- Ecoutes moi bien, espèce de pervers dégénéré, ce matin je ne vais pas avoir le temps de m'occuper de toi et de te surveiller, alors tu vas être bien sage jusqu'à mon retour, compris ?  

- C'est bon, arrête de me parler comme ça, je suis pas ton gosse! grogna Ryô  

- Alors comportes-toi en adulte et je te traiterais en adulte, bon maintenant j'y vais! Je te rejoindrais au Cat's !  

 

Sans attendre la réponse de Ryô, la jeune femme quitta l'appartement en quatrième vitesse. Dès que la porte se referma, Ryô plaça son regard sur le panneau de bois : mais qu'est ce qui se passait ? Il suffit qu'elle reçoive un coup de téléphone pour qu'elle parte plus rapidement que son ombre. Mais qui était donc cet ami pour qui elle l'avait laissé ? Il se gratta la tête, partagé entre incrédulité et jalousie, puis se décida de sortir à son tour. Elle lui avait demandé de l'attendre au Cat's et bien pour une fois il ferait ce qu'elle voulait.  

Kaori, pour sa part, courrait à perdre haleine dans les rues nippones, slalomant entre les passants et évitant de justesse certaines voitures. Elle traversa les quartiers chauds, les quartiers commerçants et se dirigea vers le vieux quartier. A deux ou trois coin de rue, elle se fit aborder par des petites frappes mais après quelques massues bien envoyées, elle parvint enfin à destination. Un élégant parc lui faisait face : bordé de grands arbres, composé de vertes pelouses et de parterres fleuris. Le gardien lui adressa un salut poli à son entrée, auquel elle répondit avec conviction puis elle se dirigea vers la place centrale où elle s'affala sur un banc. Soudain, alors qu'elle scrutait les alentours tout en essayant de calmer sa respiration, deux mains virent se placer sur ses yeux.  

- Qui c'est ?  

Kaori sourit en se saisissant des mains de l'inconnu.  

- Tu ne crois pas que nous avons passer l'âge de ces enfantillages ?!  

- Que veux-tu je suis resté un enfant devant l'éternel!  

- Mais bien sûr !  

 

Kaori regarda son ami avec avidité : Max Harrison , trente-quatre ans, physique plus qu'agréable :des yeux noirs profonds, une touffe de cheveux brune qui ne devait pas souvent croiser le chemin du peigne, un sourire irrésistible et une carrure de rugbymen. Son coté intellectuel n'avait rien à envier au physique : diplômé de Harvard, il avait le sens de l'humour et de la répartie, savait se montrer charmeur mais surtout était doté d'une douceur de caractère étonnante. Dès leur première rencontre, Kaori avait senti qu'elle pourrait avoir une entière confiance en cet homme comme lui avait senti que cette femme pouvait lui apporter la stabilité qu'il recherchait. Ils avaient rapidement sympathisé, devenant à une époque les meilleurs amis du monde puis essayant à une autre d'entreprendre une relation amoureuse mais finalement se rendant à l'évidence qu'entre eux, il n'y aurait à jamais que des sentiments amicaux. Kaori aimait Max comme elle aimait Hide mais pas comme elle aimait Ryô.  

De plus, un concours de circonstances fâcheuses avaient voulu, qu'ils soient tous deux les gardiens d'un lourd secret. Qui s'il venait à être révélé pourrait entraîner de graves conséquences.  

Sauf que le temps des retrouvailles longues et émouvantes n'était pas encore venu, d'un regard Max indiqua à Kaori l'aire de jeu.  

 

Kaori tourna la tête dans cette direction et regarda avec tendresse l'objet de sa venue : une petite fille de huit ans était à la poursuite d'un de ses camarades. Ses longs cheveux châtain clairs voletant au gré du vent et ses grand yeux marrons pétillants de malice. Elle riait à gorge déployée et son bonheur réchauffa quelque peu le cœur de Kaori. A chaque fois, qu'elle voyait ce bout de chou son cœur s'emplissait d'une douce euphorie, d'une paix inégalable et elle trouvait vraiment cruel le sort qu'il était réservé à cette petite. Max saisit le regard changeant de son amie et interpella la petite fille :  

- Esperanza, viens ici !  

 

La petite tourna la tête vers son père et vit la personne à ses côté, elle se fendit d'un grand sourire puis délaissant ses amis, elle s'élança en leur direction en criant :  

- Kaooooooorriiiiiiiiiiiiiiiii !  

 

La jeune femme se releva du banc et s'accroupissant s'apprêta à recevoir la petite fusée. Esperanza se précipita dans l'abri offert, se serrant de toutes ses forces dans ses bras réconfortants, les seuls qui purent lui faire oublier sa peine.  

Elle s'agrippa au cou de Kaori et son petit corps fut rapidement secoué de sanglots : la nettoyeuse sentant le chagrin du petit monstre lui claqua un gros bisou sur sa joue potelée et la serra, à son tour, avec fermeté.  

Max fut navré de troubler cet instant mais ils ne devaient pas rester à découvert trop longtemps. D'une pression sur l'épaule de Kaori, il les firent se relever et ils entreprirent de quitter le parc. Mais alors que Kaori remettait ses vêtements en place, elle sentit une décharge lui parcourir l'épine dorsale. Elle vit Max réprimait le même pressentiment : l'homme se jeta sur Esperanza, la saisit contre lui et la calant dans ses bras, se mit à courir vers un abri. Kaori lui emboîta le pas avec rapidité.  

Ils n'eurent que le temps de se cacher derrière une muret que déjà une salve de balle cribler leur ancienne position. Esperanza se mit à crier de peur, Max la relâcha et la mit dans les bras de Kaori. Il sortit ensuite son arme de son holster et tenta, tant bien que mal, de trouver une ouverture pour riposter. Les balles fusaient au-dessus de leur tête : Kaori serra plus fort son précieux paquet pour essayer d'apaiser l'enfant mais Esperanza se débattait et hurlait encore plus fort.  

Ne supportant plus d'entendre les cris de la fillette, Kaori la repoussa doucement contre le mur et sortit à son tour son arme de son sac. Elle savait que Ryô l'avait trafiqué et qu'elle n'atteindrait certainement pas sa cible mais si cela permettait à Max de tirer, elle prendrait ce risque. Elle se releva et tira sans aucune direction : ses balles atteignirent divers endroits mais elle ne toucha aucun de leurs adversaires. Max voulut d'abord engueuler sérieusement son amie mais il comprit vite le but de la manœuvre. En voyant une de leurs cibles bougeait, l'un des tireurs se trahit et Max put voir le reflet du soleil sur le canon de l'arme. Il tira et atteignit l'homme à l'épaule mais il ne vit pas qu'en tombant l'arme de cet assaillant venait de tirer une balle perdue. Balle qui vint se loger directement dans le bras de Kaori.  

Le jeune femme en lâcha son arme et en tomba sur les genoux, tenant de sa seconde main son bras ensanglanté. Max vint rapidement à ses côtés, lui fit un garrot de fortune et lui ordonna de quitter les lieux au plus vite avec Esperanza.  

- Ecoutes Kao, s'il a bien quelqu'un sur cette planète en qui j'ai une confiance aveugle, c'est toi. Alors promets-moi de veiller sur Esperanza : elle est la seule à pouvoir agir, protèges-la du mieux que tu le pourras. Surtout ne t'inquiètes pas pour moi, je saurais me débrouiller, je veux juste que vous vous mettiez le plus vite possible à l'abri.  

- Mais...  

- Kao, s'il te plaît, pour une fois dans ta vie, fais ce que je te dis sans rechigner! Je t'en prie!  

 

Kaori ne savait plus quoi faire, elle se retrouvée partagée entre la survie d'Esperanza et celle de Max. Il était évident qu'elle ne lui serait pas d'un grand secours en restant ici, c'est pourquoi elle saisit la petite dans ses bras, vint déposer un baiser aérien sur les lèvres de Max et couru en direction de la sortit. Elle traversa les rues aussi vite qu'à l'aller, et quand elle fut certaine qu'elles ne couraient plus aucun danger, elle déposa la fillette à terre. Esperanza serra la taille de Kaori en sanglota et la jeune femme tenta de la calmer une ultime fois. Elle y parvint finalement mais alors qu'elle retenta de marcher, fut prise d'un vertige. Elle se laissa glisser le long d'un mur et tomba avec force sur le bitume froid. En examinant son bras ensanglanté, elle poussa un soupir las tandis que sa protégée venait la secouer avec vigueur :  

- Réponds-moi !  

- Esperanza ... je suis fatiguée, laisses-moi dormir un peu...  

- Non, Max il dit touzours que faut pas dormir quand on est blessé! Allez Kaori, debout!  

 

La petite essaya encore et encore de réveiller son amie mais Kaori venait de sombrer. Esperanza ne savait plus quoi faire, elle avait peur, elle avait envie de pleurer mais il fallait qu'elle aide Kaori. Elle remarqua alors le sac que la jeune femme portait en bandoulière, elle l'ouvrit et jeta tout ce qui ne pourrait pas l'aider. Enfin, elle trouva ce qu'elle cherchait : le portable de Kao! La petite se mit à pianoter, sans vraiment comprendre, sur les touches de l'appareil et le collant sur son oreille entendit la ligne sonné.  

- Saeba, j'écoute!  

- Zaeba! Z'est un drôle de nom!  

- Tu te trouves hilarante ? grogna le nettoyeur. Pourquoi tu m'appelles ?  

- Ze sais pas!  

- Bon Kaori, soit tu te fous de moi soit t'es cuitée ?! Quoique à dix heures du mat', tu t'y prends peut-être un peu tôt!  

- Ze suis pas Kaori! cria la petite.  

A l'autre bout du fil, Ryô comprit que ce n'était pas Kaori et que pour que ce soit une gamine qui ait son portable, c'était que la situation devait être grave. Il reprit plus doucement :  

- D'accord tu n'es pas Kaori, alors qui es tu ?  

- Ze m'appelles Esperanza.  

- Esperanza ?! Okay, dis-moi ma grande où-est Kaori ?  

- A côté de moi mais elle blessée...elle zaigne beaucoup et moi z'ai peur.  

 

A l'annonce des mots : "blessée " et "saigne beaucoup", le cœur de Ryô rata un battement et il se mit à serrer plus fort son portable. Mais il se calma, il ne fallait pas qu'il effraye encore plus cette petite-fille. Il lui demanda avec calme:  

- Très bien, Kaori est blessée, c'est ça ?  

- Voui.  

- Mais où êtes-vous ?  

- Ze sais pas Môsieur Zaeba!  

- Tu es dans un petite rue ou une grande ?  

- Une pitite.  

- Bien est-ce que tu vois une grande rue au bout de la petite ?  

- Voui.  

- Alors vas-voir ce qu'il y a dans cette grande rue.  

Esperanza délaissa un instant Kaori et parcouru la ruelle jusqu'à ce qu'elle débouche sur une plus grande rue. Elle regarda partout et lâcha :  

- Z'est vazement grand!  

- Ok, alors dis-moi ce que tu vois ?  

- Ze vois personne....ah zi, ze vois une dame déguisée en lapin qui emmène un môsieur dans une maison.  

- Très bien, retournes avec Kaori, je viens vous chercher.  

 

Ryô raccrocha rapidement et avertissant ses amis, partit en direction des quartiers chauds avec Mick. Car d'après la description de l'enfant, les dames déguisées en lapin ça ne pouvait pas se trouver ailleurs. Ils arrivèrent rapidement dans leur lieu de détente favori et commencèrent l'inspection des ruelles adjacentes. Bien sûr, il se firent accoster par des rares entraîneuses mais ne prêtèrent pas attention à leurs avances. Soudain, alors qu'ils arrivaient au bout de la rue, Mick repère deux formes au fond d'une impasse. Il appela Ryô et tous deux vinrent à la rencontre de la petite fille. Ryô se précipita immédiatement sur Kaori et tâta son pouls, heureusement elle n'était qu'évanouie et cela à cause de sa grande perte de sang. Il enleva sa veste et la plaça sur son ange pour qu'elle ne prenne pas froid. Mick qui s'était baissé à la hauteur d'Esperanza, tentait tant bien que mal d'établir le contact. Mais la petite était bornée et ne voulait parler qu'à "Môsieur Zaeba". Ryô confia Kaori à son ami et s'accroupi devant la petite:  

- Bonjour Esperanza, je suis monsieur Saeba.  

- Ah ze suis rassurée! Z'es bien cru que nous n'arriveriez zamais!  

Le nettoyeur esquissa un sourire devant la répartie de l'enfant et lui demanda:  

- Mais dis-moi, pourquoi es-tu avec Kao ? Et que c'est il passé ?  

- Eh ben, z'étais au parc avec Max et Kaori, et alors qu'on zouait et ben des méchants môsieurs, ils nous ont tiré dessus. Max il m'a protézé, et puis Kaori elle a été blessé, et puis Max il a dit qu'il fallait qu'on z'en aille. Et puis quand on est arrivé, ben Kaori elle est tombé, et puis ze vous z'est eut.  

Ryô souris une seconde fois devant cette avalanche de "et puis" et de "et ben", mais poursuivis :  

- Mais qui-es Max ?  

- Max z'est mon papa, il me protèze des méchants môsieurs qui veulent me tuer.  

- Pourquoi ces hommes veulent te tuer ?  

- Za ze peut pas le dire, z'est un secret entre Max, Kaori et moi.  

- Bien...et alors comment connais-tu Kaori ?  

- Ben, zoyez pas stupide, Kaori ze suis obligée de la connaître depuis touzours!  

 

La gamine pouffa comme si Ryô venait de sortir la plus grosse bêtise de la planète sauf que là le pauvre homme ne comprenait plus rien à cette histoire. Mick , qui s'était approché aux côtés de son ami, non plus.  

- Ce que je veux dire c'est que Kaori est pour toi ? Ton amie ? Ta tante ? Ton garde du corps ?  

- Ben non, plus zimple que tout za...  

- C'est.... attendit le nettoyeur  

- Ben z'est ma maman!  

- Quoi ? s'écrièrent en même temps les deux hommes  

 

 

 

 


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