Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autori: saintoise , gwada

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 7 capitoli

Pubblicato: 29-05-08

Ultimo aggiornamento: 01-10-21

 

Commenti: 72 reviews

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Sci-FiDrame

 

Riassunto: Notre couple de nettoyeur va pénétrer dans un monde dont ils ignoraient jusqu'alors l'existence, un univers plutôt terrifiant où l'existence du diable n'est plus à démontrer.

 

Disclaimer: Les personnages de "Eternity" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Eternity

 

Capitolo 5 :: Dangereuse rencontre

Pubblicato: 27-04-10 - Ultimo aggiornamento: 28-04-10

Commenti: hello tout le monde. suite à l'agression d'une adorable harceleuse, je mets en ligne la suite de la fic Eternity, co écrite avec saintoise qui n'est autre que moi-même (lol). mon compte était inacessible. bon, pour en revenir à la fic, voici un rapide résumé : de terribles meurtres ont lieu à shinjuku et il semblerait qu'une créature inhumaine en soit la cause. kaori rencontre un homme étrange comme venu d'une autre dimension et elle pense beaucoup à lui. parallèlement, city hunter est également engagé pour retrouver un meurtrier.... mais, au dernier chapitre, ryo se retrouvait seul dans l'appartement, ne sachant où est partie Kaori. Un grand merci à Emilie (Grifter), qui a corrigé d'une main de maître mon chapitre et qui m'incite à majer depuis une décennie aussi. Saoria, j'espère que tu vas aimer. bonne lecture.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7


 

Le nettoyeur resta prostré encore plusieurs minutes à la fenêtre puis pensa à sa partenaire. Où diantre était-elle ? Pourquoi s’entêtait-elle à ne pas tenir compte de ses recommandations ? Quelle tête de mule ! Il enfila sa veste et partit à sa recherche. Heureusement qu’il avait des indics partout dans la ville. L’un d’eux l’avait forcément vu passer !  

 

Flash back  

 

Alors que Ryo était parti rejoindre Saeko, Kaori, seule sur le toit n’avait pas porté la moindre attention à son départ.  

 

Quelque chose dans l’air la faisait se sentir extrêmement bien. Dès qu’elle se retrouvait seule, toutes ses pensées étaient occultées par la vision de cet homme : celui qu’elle avait rencontré il y a de cela quelques jours et qui au fil des jours devenait une obsession. Il était indéniable qu’il l’attirait et ses joues s’empourprèrent en se remémorant leur rencontre. Il respirait la magie, l’infini et la beauté. Elle avait voyagé à travers ses yeux. Qu’est-ce qu’elle aurait aimé le revoir ! Sa vie lui avait paru si fade et terne à son contact. Mais qui pouvait-il bien être ? Elle tenta de se souvenir de son nom, en vain. Zut, comment allait-elle faire pour le revoir si elle ne savait même pas comment il s’appelait ? Et alors qu’elle se creusait la cervelle pour dénouer chaque mot échangé lors de leur entrevue, elle perçut tout autour d’elle une voix harmonieuse qui l’appelait, encore plus légère qu’un murmure :  

 

- Venez vers moi ma douce.  

 

Elle se retourna, mais il n’y avait personne d’autre avec elle. Kaori lâcha la rambarde du toit et tourna sur elle-même, cherchant à localiser la provenance du chuchotement.  

 

-Je n’attends que vous.  

 

Elle n’avait donc pas rêvé. Quelqu’un l’appelait. Et si c’était lui ? Elle avança de plusieurs pas, guidée par sa voix comme un mantra dont elle finit par localiser la source. Ses pas la menèrent dans l’appartement. Puis elle descendit les escaliers et sortit de l’immeuble. Elle ne réfléchissait pas et tel un automate, marcha dans les quartiers de la ville, souhaitant à chaque détour de rue rencontrer celui qui l’appelait. Son cœur battait la chamade dès qu’elle l’entendait à nouveau. Parfois elle s’arrêtait, ne sachant plus de quel côté se rendre, mais le murmure refaisait surface et la guidait à travers Tokyo. Au plus profond d’elle-même, une petite voix l’incitait à poursuivre sa ballade, lui disant qu’il voulait la revoir.  

 

Fin du flash back  

 

C’est ainsi qu’elle se retrouva en-dehors de la cité. Elle marchait depuis longtemps maintenant mais ne sentait pas la fatigue. Envoûtée par les derniers mots prononcés et qui lui donnaient la force nécessaire pour continuer, elle ne sentit pas les ampoules qui blessaient ses pieds.  

 

-Venez à moi  

 

Elle se hâtait vers sa destination inconnue au mépris du danger. En effet, suite à la tempête, plusieurs arbres étaient tombés et d’autres menaçaient à tout moment de s’abattre. Des rivières étaient sorties de leur lit et avaient inondé les rizières. Peu à peu, le soleil baissa et l'air se rafraichit. Elle enleva ses escarpins qu’elle jeta aux abords d’un chemin et continua pieds-nus son périple. Coupant à travers champs, elle franchit des cours d’eau et un parterre de ronces. Les obstacles se succédaient sur son parcours mais elle n’en était pas consciente, son esprit esclave de celui qui l’appelait et qu’elle voulait retrouver à tout prix.  

 

C’est aux abords d’une magnifique forêt de sapins qu’elle s’arrêta enfin, n’entendant plus le moindre son. A plein poumon, elle respira les senteurs des bois, mélange de sève et de baies sauvages. Le susurrement de son guide avait cessé et les mots de ce dernier l’avaient finalement aimantée jusqu’ici. Le calme se fit soudain autour de la jeune femme et elle recouvrit peu à peu ses esprits. L’effet hypnotique perdant de son effet, elle fut tout d’abord inquiète de se retrouver dans un lieu qui lui était complètement étranger, puis, la panique prit le dessus car la nuit était proche. Des ecchymoses couvraient ses jambes meurtries par son expédition et elle ressentit une vive douleur provenant de ses pieds couverts d’échardes. Exténuée et souffrant de ses maintes blessures, elle fut prise d’un malaise et s’évanouit sur le massif mousseux.  

Son état comateux dura un très court instant. Elle fut réveillée par des bruits étranges, comme s’ils provenaient d’animaux tapis derrière les buissons. Lourdement, ses paupières s’ouvrirent et elle réalisa qu’il faisait sombre autour d’elle. Soudain, son regard accrocha une paire d’yeux phosphorescents qui s’avançaient vers elle. Elle poussa un cri et se releva subitement : une meute de loups l’entourait et ces derniers se rapprochaient dangereusement. Certains grognaient, d’autres retroussaient leurs babines, montrant leurs crocs aiguisés. Tremblante, elle recula de plusieurs pas et s’appuya contre un arbre. Tout se bousculait dans sa tête : comment en était-elle arrivée là ?  

 

Alors qu’une des bêtes, sûrement le chef de la meute, s’apprêtait à bondir sur Kaori, une ombre majestueuse apparut du plus profond de la forêt. Les loups gémirent soudainement comme des enfants pris en faute et s’inclinèrent, soumis. Interloquée par ce revirement de situation, la jeune femme regarda cette forme noire qui s’avançait vers elle et la reconnut aussitôt. C’était lui, son bel étranger !  

Ces animaux qui étaient prêts à l’attaquer semblaient maintenant aussi doux que des agneaux et se laissaient docilement caresser par cet homme. Les jambes flageolantes, elle le vit s’avancer et il lui caressa le visage doucement d’une main si glacée qu’elle frissonna malgré elle. Pourtant, elle aima ce contact qu’elle avait désiré durant tout l’après-midi et ferma les yeux pour mieux savourer l’instant.  

 

-Vous n’avez plus rien à craindre d’eux, fit-il d’une voix étrange qu’elle identifia comme celle qui l’avait guidée jusqu’ici. Ils savent que vous êtes précieuse pour moi et ils ne tenteront rien contre vous. Venez.  

 

Il la prit par la main et l’emmena jusqu’à la meute. Kaori, encore un peu effrayée, finit par surmonter sa peur, encouragée par le sourire charmeur que son bel inconnu lui offrait et s’agenouilla doucement, posant ses doigts dans l’épais pelage d’un loup blanc, elle comprit qu’elle pouvait le caresser à sa guise. Elle se releva et planta ses yeux dans celui de l’inconnu, esquissant un timide sourire.  

 

-Vous êtes le Duc Lamie, n’est-ce pas ?  

 

Ce titre qu’elle avait cherché toute la journée venait de lui revenir en mémoire, comme une flèche plantée en plein cœur. Il prit son visage entre ses mains et s’apprêtait à y déposer un baiser lorsqu’un cri se fit entendre :  

 

-Kaori ! Réponds-moi Kaori !  

 

Ryo n’était plus très loin. Il avait été plus que facile pour lui de la retrouver. Presqu’à chaque coin de rue, ses indics avaient reconnu sa partenaire et lui avaient confirmé la route prise par la jeune femme. Ryo avait donc emprunté un sentier qui se dirigeait vers la forêt. Là, il avait découvert ses chaussures abandonnées aux abords d’un champ. Il avait donc laissé sa Mini sur le chemin et avait remonté sans peine les traces fraîches de l’herbe courbée par son passage, trouvant ça et là des morceaux de tissus provenant de ses vêtements… Son inquiétude ne faisait que grandir au fur et à mesure de sa progression.  

 

La voix du nettoyeur la fit brusquement revenir à la réalité et elle recula instinctivement, le charme rompu. Désappointé par le changement de comportement de sa protégée à l’arrivée inopportune de cet homme, le Duc Lamie comprit alors que celui qui la cherchait était important à ses yeux. Triste mais aussi énervé de la tournure des événements, il replia sa grande cape sur lui et s’évapora dans les airs.  

 

-Kaori ? Où es-tu ?  

 

Le ton du nettoyeur était méfiant mais dur, persuadé qu’il se tramait quelque chose de malsain dans lequel avait été mêlée sa partenaire.  

Encore hébétée, cette dernière ne pouvait lui répondre. Elle cherchait le Duc Lamie du regard mais il avait disparu en même temps que les loups.  

 

-Ryo… Bredouilla-t-elle alors, je suis là.  

 

Trois secondes plus tard et l’ouïe aiguisée de celui-ci l’avait localisée. Il vit sa frêle silhouette et se précipita vers elle.  

 

-Kaori, qu’est-ce qui se passe ? Mais bon sang ! Rugit-il, que fais-tu ici ?  

 

-Je… Je suis désolée.  

 

Son timbre de voix si fragile et tremblotant lui fit penser qu’elle pleurait. Il se radoucit instantanément et rajouta :  

 

-Allez viens, rentrons. Tu me raconteras tout ça quand nous serons à la maison.  

 

Il remarqua qu’elle était frigorifiée aussi, il retira sa propre veste et la posa sur ses épaules. Dans la semi obscurité, il ne pouvait voir ses blessures mais lorsqu’elle s’effondra dans ses bras, il comprit qu’elle était à bout de forces. Il la porta et refit tout le chemin en sens inverse. Parvenu à la voiture, il la déposa sur le siège passager et démarra en trombe.  

 

Ce n’est que lorsqu’il s’arrêta au pied de leur immeuble et grâce aux lumières des réverbères, qu’il découvrit l’état de sa partenaire : ses pieds avaient doublé de volume, ses habits n’étaient plus que des bouts de tissus déchirés et ses jambes étaient couvertes d’hématomes. Kaori dans ses bras, il monta les escaliers et arrivés chez eux, la conduisit à sa chambre. Prenant bien garde à ne pas la réveiller, il entreprit de la déshabiller. Kaori dormait toujours mais, alors qu’il lui soulevait légèrement le bassin pour lui enlever son pantalon, elle remua légèrement tout en se plaignant. Il finit sa tâche au plus vite et lui laissa uniquement ses sous-vêtements. Elle était à sa merci, si fragile sans ses massues et terriblement innocente. Conscient de ce sublime corps qu’il côtoyait pourtant tous les jours, il ferma les yeux un instant et se demanda combien de temps il pourrait encore tenir sans la toucher ou juste l’embrasser.  

 

Il soupira et la soigna, enlevant une à une les épines de ses pieds. Puis, délicatement, la revêtit d’un de ses tee-shirt et la recouvrit d’un duvet. A pas de loup, il s’éloigna et ferma la porte de la chambre.  

Que diable avait-il bien pu se passer ? Pourquoi s’était-elle mise dans cet état ? Toutes ces questions se bousculaient dans son esprit tandis qu’il prenait une bonne douche. Il se coucha à son tour. Hors de question de courir les bars ce soir. Ryo était bien trop tracassé par l’attitude de sa partenaire. Les paroles échangées avec Saeko raisonnaient inlassablement dans sa tête. Soucieux, il ne pouvait pas dormir loin de Kaori et c’est accoudé sur le dossier d’une chaise et au chevet de la belle endormie, qu’il finit sa nuit. Malgré lui, il épiait le moindre bruit qui émanait de l’appartement.  

 

Les ténèbres sont des instants propices à certains êtres pas comme les autres. Ils ne dorment pas et profitent de ces moments pour se nourrir et déambuler à la recherche de sang frais. Cette nuit-là fit encore plus de victimes que les précédentes. Le Duc Lamie était fou de rage et son instinct bestial avait pris le dessus. Il avait compris que le cœur de sa douce était déjà pris et c’est sous sa forme de chauve-souris suspendue sous une branche de sapin qu’il avait vu cet homme intrépide la ramener chez eux. Non, il ne pouvait pas s’être ainsi trompé encore une fois. Il était persuadé qu’elle finirait par réellement tomber amoureuse de lui.  

 

C’était elle et pas une autre. Il comptait bien prendre des mesures radicales pour qu’elle oublie cet homme définitivement. Ce soir, il ne contrôlait plus rien et c’est sauvagement qu’il se jeta sur ses proies. Quelques minutes avant l’aube, repus, il retourna dans son caveau.  

Le Duc Lamie n’avait alors plus rien à voir avec le gentleman que Kaori avait rencontré. Son teint blafard, ses longues dents aiguisées et sa bouche encore remplie du fluide vital humain contrastaient avec la belle apparence qu’il se donnait chaque fois qu’il la voyait. Rassasié, ses organes étaient régénérés et il pouvait enfin se reposer.  

 

A des kilomètres de là, Ryo ouvrait les paupières. Le soleil rentrait à flot dans la chambre de sa partenaire et l’avait réveillé. D’ailleurs, les cils de Kaori clignèrent également et elle fut surprise de rencontrer son doux regard.  

 

-Mais… Pourquoi es-tu dans ma chambre ?  

 

-Tu ne te rappelles de rien ?  

 

-De quoi parles-tu ?  

 

-Hier soir…commença Ryo, essayant de lui donner la puce à l’oreille.  

 

Elle s’assit dans son lit et vit qu’elle portait son tee-shirt :  

 

-Mais c’est quoi ça ? C’est à toi !  

 

Incrédule et ne se souvenant strictement de rien, elle réfléchit à tout ce qui avait bien pu se passer sans y parvenir. Alors qu’il s’attendait à voir surgir une massue de dessous la couette, il la vit se prendre le visage entre ses mains et rougir :  

 

-C’est toi qui m’a enfilé ce tee-shirt ? J’ai trop bu à une soirée ? J’ai été malade et tu as pris soin de moi ?  

 

Notre nettoyeur n’en croyait pas ses oreilles : il avait attendu qu’elle lui fournisse des explications et au final, il en savait plus qu’elle ! Le regard sombre et plus qu’inquiet sur les événements de la veille, il se leva et médita sur le moyen de tout lui expliquer. Il la regarda et vit combien elle était heureuse rien qu’à l’idée de l’imaginer aux petits soins pour elle sans se préoccuper du danger qu’elle avait couru. Devait-il le lui dire ? Oui, il fallait qu’elle se souvienne. Il devait avoir tous les éléments en main afin de mieux la protéger si une telle chose se reproduisait.  

 

-En effet, lâcha-t-il enfin, j’ai pris soin de toi. Regarde donc tes jambes !  

 

-Quoi mes jambes ?  

 

Le sérieux de son partenaire l’effrayait tout de même un peu. Elle souleva le duvet et vit ses légères blessures. Maintenant qu’elle y réfléchissait bien, elle ressentait une certaine douleur à ses pieds. Elle abaissa lentement la couverture de plumes et son enthousiasme s’évanouit pour faire place à une mine renfrognée. Elle le dévisagea, attendant qu’il éclaire sa lanterne. Ryo poursuivit d’une voix grave où perçait l’incompréhension :  

 

-Hier soir je t’ai cherchée dans toute la ville. Je t’ai retrouvée dans une forêt à plusieurs kilomètres d’ici. Tu t’es évanouie et je t’ai ramenée à la maison. En effet, je t’ai déshabillée, toussota gêné Ryo avant de poursuivre. J’ai soigné tes plaies et si tu cherches tes escarpins, ils sont inutilisables. D’ailleurs, tu les as jetés avant de poursuivre ta quête. Explique-moi ce que tu cherchais.  

 

-Ce que je cherchais ?  

 

-Oui. Apparemment, tu étais seule. Mes indics sont formels. Tu te dirigeais du côté des rizières.  

 

Les yeux ronds comme des billes, il était clair que le cerveau de la jeune femme ne captait pas grand chose à l’histoire qu’il lui racontait.  

 

-J’ai fait tout ça ? S’étonna-t-elle. C’est tout de même fou que je ne m’en souvienne pas.  

 

-Fais un petit effort, insista Ryo. Te rappelles-tu de la tempête ? De notre visite au Cats, de notre nouvelle cliente et de ce que tu as fait après…  

 

-Oui oui, je revois bien toutes les scènes que tu me décris, mais après c’est le vide complet.  

 

-Qu’as tu fais lorsque je me suis rendu au commissariat ?  

 

-Tu es allé voir Saeko ? S’écria alors Kaori des éclairs dans les yeux.  

 

-Euh...Hahah, oui et elle m’a fourni des informations pour notre nouveau contrat. Mais revenons-en à hier soir veux-tu ?  

 

Mais c’était peine perdue. Il vit bien qu’elle se concentrait sur cette maudite journée : ses sourcils froncés et ses traits tendus témoignaient de son intense réflexion. Elle eut néanmoins un changement d’attitude lorsque son regard prit une toute autre dimension, comme si tout à coup un détail lui était revenu. Ses yeux s’écarquillèrent de stupeur… Oui, elle se rappelait bien maintenant…  

Au changement d’expression qui se lisait sur le visage de la jeune femme, Ryo devina instantanément qu’elle avait retrouvé la mémoire.  

 

-Maintenant, raconte-moi tout, fit-il pendu à ses lèvres.  

 

A suivre…  

 

 


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