Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Rosy

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-09-08

Ultimo aggiornamento: 03-09-09

 

Commenti: 60 reviews

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General

 

Riassunto: Ryo est contacté par un de ses vieux amis américains pour l'aider sur une affaire. En effet, celui-ci enquête sur un homme dont le nom circule partout dans le monde mais que personne ne semble reconnaître physiquement. Cet Ervins, un homme, sans foi ni loi, trempe dans toutes sortes de trafics: drogues, armes, vols informatiques et industriels, trafics humains. Bref un bon méchant. Sully Danes, en menant son enquête sur lui s'est fait repéré aux USA. Ayant des tueurs à ses trousses, et sachant de sources sûres qu'Ervins serait au japon pendant un certain temps, Sully a envoyé tous les infos qu'il avait à Ryo plus une lettre lui demandant de le récupérer à l'aéroport à son arrivée au japon. Mais voilà il n'est jamais arrivée car son avion s'est craché en pleine mer. Alors Ryo s'est juré de venger son ami et de finir ce qu'il avait commencé.

 

Disclaimer: Les personnages de "Ça sera toujours TOI et MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ca sera toujours TOI et MOI !

 

Capitolo 3 :: Voilà le nouveau plan!

Pubblicato: 22-09-08 - Ultimo aggiornamento: 22-09-08

Commenti: Hello, voilà un autre chapitre j'espère qu'il répondra à quelques unes de vos attentes.

 


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Toutes les personnes présentes en sont restées figées tant la froideur, la détermination et l’aura destructrice, que le Nettoyeur dégageait, étaient sentencieuses. Ils savent très bien que Ryo n’a qu’une parole. L’Ange de La Mort ne disparaitra que lorsque sa mission sera accomplie et sa soif de sang assouvie. Kaori, qui était encore dans ses bras, se recule pour lui faire face et capté son attention. Connaissant cette facette, la plus sombre chez lui pour l’avoir vu plus d’une fois, lui pose une main affectueuse sur la joue et :  

- Patience, Ryo. Commence celle-ci d’une voix douce afin de le calmer. Chaque chose en son heure. Nous devons agir intelligemment et surtout garder la tête froide, suggère-t-elle quand elle sent la tension qui émanait de lui retomber. C’est une équipe soudée et impitoyable qu’ils vont devoir affronter. Regarde les tous, ils sont ici pour dans ce but.  

- Oui, tu as raison, on doit les pousser à la faute et non en commettre, nous.  

Ils se regardent droits dans les yeux, puisant dans le regard de l’autre, toute la force et tout le réconfort rechercher. Puis Ryo semble tout de même émettre une objection :  

- Mais, …  

Mais, il est interrompu par son portable qui a sonné. Il décroche :  

- Saeba, j’écoute… Ah Sam tu tombes bien je … quoi ? Hurle-t-il faisant presque sursauter toute l’assemblée. Bouges pas, j’arrive tout de suite ! termine-t-il en raccrochant, en disant aux autres, qu’il y a peut-être du nouveau.  

- Mais que t’as encore dit, ce clochard ! s’exclame Reika dédaigneuse.  

- Et comment va-t-il ce bon vieux Sam, la coupe Kaori avant d’ajouter, depuis la dernière fois que je l’ai vu ? en souriant pour le dérouter de la question de Reika surtout la manière.  

- Toujours fou de toi mon ange ! Il n’a pas changé sur ce point là, sourit-il en ce grattant la tête. D’ailleurs, sur aucun autre point en y réfléchissant qui le définisse.  

- Bien, tu lui passeras mon bonjour puisqu’il t’attend. Aller file ! Ajoute Kaori en le poussant gentiment vers la sortie.  

- Je vous rejoints tous à la maison ?  

- Non. D’abord, je pense que chacun va vouloir prendre quelques affaires chez lui pour les jours prochains et en suite on a un prisonnier qui a des infos pour nous je te rappelle !  

- Oui c’est vrai mais ne va pas seule, s’il te plait.  

- Je suis son partenaire donc elle n’est pas seule, intervient Torrens pas ravi d’être oublier par elle en lui passant un bras autour de la taille.  

- Oui, il a raison, Terrence. Commence Reika, tentant de profiter de la situation.  

- Non, c’est Torrens, la corrige-t-il.  

- Oui peu importe. C’est lui son partenaire, donc tu n’as pas t’inquiété pour la frêle,… oh pardon ! La grande Kaori, insiste Reika en s’approchant de Ryo de façon aguichante. Tu veux que je vienne avec toi, mon chérie ? Ca te fera de la compagnie. Et …  

- Non, merci ! Je préfère le voir seul, dit ferment Ryo, je préfère de loin aller avec Kaori.  

En ouvrant la porte près à partir, il se retourne, ouvre la bouche pour parler quand :  

- On sera tous regroupé à l’appartement quand tu reviendras près pour le départ. La coupe Kaori en lui souriant. Et je serai sage comme une image, parole de scoute ! Ajoute-t-elle en joignant le geste à la parole, pour le rassuré.  

- A plus tard alors, finit Ryo en souriant et refermant la porte derrière lui. «Décidemment elle me connait beaucoup trop bien ! C’est effrayant ! Pense Ryo en disparaissant dans le flot de la foule. »  

Au sous-sol, après son départ :  

- Alors qu’allons-nous faire, puisque Ryo t’as chargé de peaufiner le plan à sa place, demande Mick en la serrant dans ses bras. En tout cas, malgré les circonstances, je suis très heureux de te revoir. Je crois qu’on aura des choses à nous raconter la haut, ma douce !  

- Mick, ce n’est pas le moment, l’interrompt Falcon.  

- Quoi t’es jaloux ? Se moque-t-il  

- Non. Dit-il Sérieux. Kaori, Ryo parlait de la maison que je connais ?  

- Oui, celle-là même. Où d’autre sinon ? Mais avant de s’y rendre, on doit faire beaucoup de courses, car tel que je connais ce goinfre, il a sans doute déjà vidé tous les placards sans les remplir. Tout pour me dire qu’il est passé. Du plus, je me trouve légère en ce moment, donc…  

- Tu m’étonne ! Ricane Reika qui est coupé dans son élan.  

- Tu aurais besoin de tes joujoux, de ravitaillements pour nous tous et de quoi d’autre ? Le questionne la reprenant dans ses bras Mick, souriant tout en fusionnant Reika des yeux bleus assombris par la colère.  

- En fait j’ai fait des listes, mais j’avoue que je n’ai pas eu le temps de m’en occuper sourit Kaori gênée en se dégageant.  

- Tu disais que tu …humphr ! Commence Steven quand une main se pose sur ça bouche.  

- Pas le temps un point c’est tout. Répète-t-elle en lui l lançant un regard noir. Donc, si vous le voulez bien, on va faire des équipes pour que ça nous prenne le moins de temps possible.  

- Et pourquoi c’est toi qui décide ? Pour qui tu te prends au juste ?  

- Reika, parles lui encore une fois de cette manière, contrairement à Ryo, je ne dois rien à ta sœur qui me comprendra surement, le met en garde Mick.  

- Ah, j’ai peur ! Bouh… BRRR ! mime-t-elle en se frottant les bras.  

- Et c’est valable pour moi aussi, ajoute une voix grave.  

- Quoi Falcon toi aussi, tu l’as défend. Kaori, tu ne peux décidément pas te défendre seule. Tu as peur de moi ? c’est bien ça, hein ? La provoque Reika, déçue de ne pas être le centre d’intérêt et de toutes les attentions. A croire que vous êtes tous sous son charme.  

- Oui, mais contrairement à toi, elle est…  

- STOP ! Stop, basta ! Hurle Kaori. C’est une discussion qui ne mènera à rien. Mais Reika a raison. Alors, nous allons l’écouter. Aller, on t’écoute.  

Cette dernière d’abord désarçonnée par le cri de la jeune femme se ressaisit en se raclant la gorge :  

- Oui… euh… Je propose qu’on aille chez nous, je parle de Ryo et moi, ensuite on attend patiemment son retour comme ça, s’il a de nouveau, il nous dira quoi faire.  

- Mais, c’est … Tente Mick de dire.  

- Ca me va parfaitement. Alors, toi tu rentres préparer quelques affaires et attend Ryo. C’est bien ça ? Pendant ce temps là, Mick, Falcon, Steven et moi, on fera les courses qu’il faut faire.  

- Moi, je vais nous préparer quelques repas d’avance car je pense qu’on aura une longue route avant d’arriver là où je pense, déclare Miki.  

- Je vais appeler Doc, pour le prévenir, et pourquoi pas l’embarquer avec nous au cas où. J’aiderai Miki pour les repas. Ensuite je passerai chez nous, faire un sac pour nous, Mick, donc si tu veux quelque chose de spécifique appel-moi. Présente Kazue qui était, jusque là restée silencieuse.  

- Moi, ça me va, prenez votre temps, jubile Reika en se faisant déjà des films.  

- Bon, puisque tout le monde est d’accord alors au travail. On se retrouve à l’appartement dès qu’on a fini nos tâches respectives, conclut Kaori en donnant ses listes à Falcon et Mick.  

Suite à ça, Ils se séparent chacun à son occupation. Plus loin alors que Mick faisant un chemin avec Kaori et Steven se posent des questions :  

- Dis-moi Kaori ?  

- Oui ? Je t’écoute.  

- Pourquoi tu laisses Reika te parler comme ça ? Et surtout, pourquoi tu lui fais croire que c’est son plan ?  

- D’une part, elle aime se sentir importante, mais parce qu’elle est aussi aveuglée par la jalousie pour le moment donc quoi que je dise, pour elle je ne suis qu’une ennemie.  

- Mais, tout de même !  

- C’est gentil à Falcon, Ryo et toi de prendre ma défense mais c’est un coup d’épée dans l’eau. Merci quand même, lui sourit-elle.  

- Toi, tu n’as pas changé, toujours aussi compatissante avec les autres, lui sourit-il en retour. C’est pour ça qu’on t’aime ! Ajoute Mick en lui bisant la joue avant de bifurquer dans une des grandes artères de Shinjuku, avec signe de la main. Kaori le regarde un moment quand une voix se rappelle à elle :  

- Ben dis donc tu en connais du beau monde. Mais je suppose que les explications doivent encore attendre, n’est pas partenaire, le questionne-t-il avec une voix pleines de reproches et de sous-entendus.  

- Et tu supposes bien. Mais merci quand même de ta patience, pour quelqu’un qui dit ne pas en avoir, sourit Kaori en l’embrassent sur la joue. Aller viens on beaucoup à faire.  

Ils s’en vont à l’opposé de la direction qu’avait prise Mick.  

Du côté des méchants, les choses sont moins légères :  

- Patron, Monsieur veut vous parler, dit un homme gassouillé et mal fagoté en tendant un portable.  

- Oui, j’écoute, répond un autre au physique plus athlétique, plus tôt bel homme, portant un costume très classe sans doute d’une grande marque, donc cher. Il est brun, le teint mat, typé latino avec un voile sur le bas du visage. Mais ses yeux noirs et froids, sans aucune émotion, démontrait bien, que derrière ce voile se cachait un homme redoutable.  

Puis il écoute son interlocuteur au bout du fil avant de reprendre :  

- Oui, tout est presque près. Il sera à l’heure et tout se passera sans encombre. Ce n’est qu’une broutille… Oui je sais qui va nous rapporter beaucoup d’argent. Mes hommes savent ce qu’ils ont à faire.  

Il écoute encore :  

- Je rentre dans une demi-heure. On pourra ensuite nous rendre à cette maudite soirée de gala. Je ne comprends pas pourquoi je dois être présent, mais bon j’ai déjà dit oui soupire-t-il en raccrochant. Vous autres ! Beugle-t-il d’une voix dure. Je dois partir, alors restez bien vigilent ou il vous en coûtera, c’est compris ?  

- Oui, Boss, répondent les hommes presque « aux gardes à vous, chef, à vos ordres », et la prière que tout se déroulera sans accros.  

Ceux-ci avaient pour mission de réceptionner une importante cargaison qui arrive cette nuit, d’où la mise en garde. Le Boss s’en va sans un regard de plus pour eux. Il monte dans ça limousine noire en direction de la ville. La limousine circule ainsi remontant vers les beaux quartiers et s’arrête devant un salon de coiffure haut standing. Le Boss ressort du véhicule, pour disparaitre dans l’établissement :  

- Monsieur K, bienvenue dans notre établissement ! L’accueille respectueusement le patron en personne.  

- Je n’ai pas le temps pour ce genre d’amabilité et d’ailleurs je n’aime pas les lèches bottes dans votre genre. Le coupe Monsieur K, un poil agacé. Je vous paie un service, alors où est-il ? Grince le Boss, impatient et hautain.  

- Monsieur, vous n’allez pas le regretter. C’est le meilleur choix. Tenez, admiré par vous-même. Lui suggère le patron qui s’est immédiatement mis en retrait. « Au revoir, Monsieur K, je suis sûr que vous passerez une excellente soirée ! Se pense-t-il en les voyants faire connaissance avant de retourner à la réception. »  

Une jeune femme blonde aux yeux verts, de type européenne, au teint laiteux et assez grande de taille, s’avance vers eux. Le Boss la regarde, … non il l’a dévore littéralement des yeux qui se sont allumés d’une étincelle de désir. Pendant qu’elle s’avance, il détaille la tenue : Elle porte une longue robe vert pomme assortie d’une paire de talons haut mettant en valeur ses courbes gracieuse digne d’une déesse. Elle portait un maquillage léger par le choix des couleurs pastels mais accompagnants son habillage.  

- Vous êtes envoûtante et magnifiquement belle ! Je vais en faire des jaloux ce soir. Comment vous nommez vous belle ange !  

- Me llamo, Rosaria Ponses, Señor.  

- Oh, hablas ustedes español !  

- Si, Señor, répond-elle avec assurance d’une voix douce et sensuelle.  

- Bien de mieux en mieux ! Je sens que je vais passer une très agréable soirée. Venez, nous sommes attendu, sourit Le Boss en lui offrant son bras avant de quitter le salon avant de remonter dans la limousine qui se perd ensuite dans la circulation en route pour le gala.  

 

Il est 17h50. A l’appartement de City Hunter, tout le monde est pratiquement là, même Saeko que Ryo avait contacté entre temps et pour changer Ryo râle :  

- Mais où est qu’ils sont ? Mick m’a dit qu’il n’en avait pas pour longtemps et Kaori aussi. J’ai faim moi ! S’écrit le nettoyeur en ce tenant le ventre. Avec tous ses plats, faits par ma Miki d’amour, qui vont refroidir ! C’est triste !  

- Oh, Ryo c’est lassant change de disque un peu. Ça fait une heure que tu nous tannes tous les oreilles avec la même rengaine. Ils ne vont pas tarder. Et puis si tu ne te calmes pas, je te rappelle que ta Kaori m’a gentiment prêtée une de ses massues ! la menace Miki, avec l’objet en question en main bien visible.  

- Ca va merci, je me calme. Et puisque c’est comme ça et que je ne peux rien dire même chez, je monte prendre une douche et tout seul compris, Reika ? Il la voyait se lever le sourire aux lèvres. Quand les 3 autres arriveront racontez-leur ce que l’on va faire cette nuit avant de nous mettre au vert quelques temps, finit Ryo qui était déjà en haut de l’escalier.  

Il est seulement 18h30 quand Mick, Steven font leur entrée les bras surchargés de paquets, Kaori sur leurs talons refermant la porte derrière eux.  

- Ouf ! soupire Mick en s’écroulant sur le canapé, aussitôt imité par Steven. Tu veux notre mort ma parole ?  

- Non, loin de là. Mais merci du coup de main. Vous verrez, vous ne le regretterez pas. Salut tout le monde ! lance-t-elle aux autres avant de s’éclipser à l’étage.  

- Hey ! Mais où est-ce qu’elle va comme ça, elle. Elle se croit chez elle en plus ! dit Reika en se relevant pour la deuxième fois.  

- Elle est seulement monter se changer car elle a déchiré le haut qui lui allait si magnifiquement bien ! Quel dommage ! La défend Mick en bavant sur des pensées pas très catholiques en se frottant les mains.  

- Calmes-toi, Reika. Tente Saeko fatiguée. A ce propos, oui Kaori est bien chez elle ici !  

- Quoi !hurle-t-elle hystérique.  

- Oui, elle vivait ici, il y a quelques temps et…  

- Saeko. L’arrête Falcon. Ryo n’aimerait surement pas que…  

- Qu’est-ce que je n’aimerai pas ? Demande ce dernier une serviette sur la tête, Revêtu, seulement d’un jean, les pieds nus.  

- Rien, je disais que tu n’aimes pas qu’on se mêle de tes affaires, c’est tout.  

Umibozo se contente de cette courte réponse dont Ryo devra se satisfaire ainsi que Reika.  

- Tout le monde est là, tu peux expliquer le plan. … Ryo ? Ryo, tu m’écoutes ?  

Celui-ci complètement dans la lune, réagit qu’en sentant la main de Reika sur son bras.  

-Euh… oui j’ai entendu. Mais tu as une plus jolie voie que moi alors à toi, l’honneur. Moi, je reviens, le temps de bien me sécher les cheveux, dit-il en souriant tout en courant à l’étage.  

Il laisse derrière lui que des pieds levés et des corbeaux dans tout le salon.  

- C’est quoi cette excuse bidon ! dit Mick se grattant la tête. Tout ça pour ne pas exposer lui-même … attendez Kaori est là haut aussi ? Sourit Mick. Je crois….  

BOUM !  

- … Ouille ! Ca fait mal, ça ! Pauvre vieux, en compatissent pour son ami.  

- Qu’est-ce qu’il lui a fait ce malade, s’écrit Steven en courant vers les escaliers inquiet.  

- T’es vraiment pas possible, Ryo ! A ton âge tout de même ! Râle Kaori, passant devant, en redescendant rouge de colère.  

- Mais, attends laisse-moi au moins…  

- Mais que lui avez-vous fait ? demande Steven énervé à son tour, en agrippant le bras de Ryo qui le regarde froidement. Mais Kaori intervient trop rapidement à son goût :  

- Rien, Steven, lâches le. Dit-elle pour le calmer. Quand à toi, Saeba, je n’en ai pas fini avec toi, on terminera ça, ce soir à la maison. Compris ? Lui annonce-t-elle ferme en lui jetant son tee-shirt qu’elle avait dans la main ainsi que la serviette. Mets ça et sèches-toi les cheveux.  

- Oui, Kao. Comme tu voudras, murmure Ryo la tête et les épaules basses. Mais, avant d’aller à la maison, il y a un petit travail qui nous attend.  

- Quoi encore ? Soupire Kaori fatiguée en prenant place près de Miki sur le canapé.  

- Voilà le nouveau plan ! Commence Ryo redevenue sérieux et plus décent. Mettons nous à table et je le raconterai aux 3 retardataires, propose-t-il en ne laissant pas le choix aux autres, que de le suivre car il s’était déjà installé une serviette autour du cou et une autre sur la tête et les couverts dans les mains.  

C’est en se posant des questions sur la santé mentale de leur ami, qu’ils le rejoignent à table.  

 

 


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