Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Rosy

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-09-08

Ultimo aggiornamento: 03-09-09

 

Commenti: 60 reviews

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General

 

Riassunto: Ryo est contacté par un de ses vieux amis américains pour l'aider sur une affaire. En effet, celui-ci enquête sur un homme dont le nom circule partout dans le monde mais que personne ne semble reconnaître physiquement. Cet Ervins, un homme, sans foi ni loi, trempe dans toutes sortes de trafics: drogues, armes, vols informatiques et industriels, trafics humains. Bref un bon méchant. Sully Danes, en menant son enquête sur lui s'est fait repéré aux USA. Ayant des tueurs à ses trousses, et sachant de sources sûres qu'Ervins serait au japon pendant un certain temps, Sully a envoyé tous les infos qu'il avait à Ryo plus une lettre lui demandant de le récupérer à l'aéroport à son arrivée au japon. Mais voilà il n'est jamais arrivée car son avion s'est craché en pleine mer. Alors Ryo s'est juré de venger son ami et de finir ce qu'il avait commencé.

 

Disclaimer: Les personnages de "Ça sera toujours TOI et MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ca sera toujours TOI et MOI !

 

Capitolo 5 :: Quelques jours de répits!

Pubblicato: 27-09-08 - Ultimo aggiornamento: 25-10-08

Commenti: A vous de découvrir. Et vous pouvez toujours laisser des reviews! A bientôt

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Partie 1  

 

Un homme, vêtu d’un simple boxer noir, d’un tee-shirt rouge et les pieds nus, s’affaire dans la cuisine à préparer un petit déjeuner digne de ce nom pour toute la maisonnée.  

Cette cuisine, très fonctionnelle avec en son centre une grande table de travail et entourée de placards de rangement boisés en forme de U ; un côté pour le point chaud (un grill et des plaques au gaz) ; elle est surplombée par une hôte à l’ancienne en alternance entre le bois et la pierre ; et des casseroles suspendues en cuivre et autres ustensiles de cuisine. Face aux plaques de gaz se trouvait l’évier rendant la pièce très chaleureuse et conviviale. Elle est très spacieuse pouvant réunir aisément plusieurs personnes à la fois. A l’opposé du coin chaud, il y a six sièges de part et d’autre de la table permettant ainsi de manger dans la cuisine nombreux ; donc douze personnes assises au total.  

 

L’homme fait cuir dans deux grandes poêles deux douzaines d’œufs brouillés ; la cafetière, en marche d’où coulait le breuvage noir, emplissait de sa bonne odeur toute la cuisine en plus de celle des plats qui y mijotaient. Il avait déjà fini toute une montagne de crêpes pour tout un régiment, le riz cantonais et les œufs brouillés étaient fins prêts.  

- Tout est prêt. Il faut juste dresser la table, dit-il tout haut fier de son travail en se frottant les mains. Voyons, on est environ 12 personnes, non moins deux. Donc, il faut dix tasses, assiettes, couverts et bols sur la table.  

Il ouvre les placards et commence le dressage des couverts pour tous les invités. Il prépare son plateau avec deux tasses, bols, assiettes et couverts. Il compte monter son petit déjeuner à sa compagne qui dort encore paisiblement, du moins ce qu’il espère sachant que c’est une lève tôt. A cette pensée, il sourit les yeux brillants. Avant monter, il fait une dernière vérification de sa table ainsi que du plateau. Il sort de la maison un instant pour revenir avec un petit bouquet de fleurs qu’il met dans un vase au centre de son plateau surprise pour sa douce. Tout content de lui, il remonte à l’étage vers la chambre qu’il avait quitté une heure plus tôt. Il ouvre doucement la porte, pose son fardeau sur le chevet, et retourne refermer avant de se rallonger dans le grand lit où un corps se mouvait pour changer de position en laissant échapper un soupir de satisfaction. Il saisit une des roses de son bouquet au passage, pour entreprendre de réveiller à sa manière la dormeuse. Il se réinstalle tout contre elle et la regarde tendrement. Il repense alors à l’opération de la nuit dernière.  

 

Flashback :  

 

00h30. Tous avaient mis une dernière mise au point leur plan d’action. Ils s’étaient équipés de microémetteurs que Mick a réussi à rapporter sur la demande de Kaori.  

 

« Bon, tout le monde sait ce qu’il a à faire ? Demande Ryo sérieux pour une fois. Il faut absolument s’en tenir au plan, pour que l’on reparte d’ici le plus rapidement possible avant le levé du jour. A la moindre anomalie, il faut le signaler.  

- C’est bon, mon vieux on a compris ! Grogne Mick.  

- Et pourquoi je suis avec celui-là au lieu d’être avec toi, mon chou, demande Reika en se collant au nettoyeur, pressant sa poitrine voluptueuse sur son bras ?  

- Hey ! Celui-là comme tu dis, il a un nom connu par toutes les femmes du Japon : Mick Angel, se vente-t-il le point levé et le torse bombé fièrement.  

- Parce que c’est comme ça. Tonne fermement la voix de Ryo. Et puis lâches-moi le bras, se dégage-t-il mal à l’aise et coupant ainsi court à une éventuelle dispute entre celle-ci et son jumeau américain. Les équipes sont très bien comme ça de plus avec Mick et Saeko, tu seras plus attentive et plus concentrée. Bon, on y va. achève-t-il en ce dirigeant vers la porte suivit par les autres et une Reika et un Mick boudeurs.  

 

Ils arrivent au port près de l’entrepôt où ils garent les deux voitures et le camion. Ils en sortent pour observer, à l’aide de jumelles, les hommes qui déchargeaient le camion devant l’entrée du hangar :  

- C’est bon, la marchandise est là comme prévu, dit Saeko. En plus, les hommes sont trop occupés pour s’intéresser à nous.  

- Alors, on y va où on se contente de les regarder de loin ? Demande Kaori dont la fatigue commençait à la rendre irritable.  

- Mon ange, patience. Je sais que tu es fatiguée, on l’est tous d’ailleurs, mais dans peu de temps tu va pouvoir te reposer autant que tu voudras et t’alanguir dans le grand lit bien douillet qui t’attends, lui sourit tendrement Ryo en lui caressant la joue. Mais avant cela, tu vas faire ton super numéro de charme digne de City Hunter aux hommes faisant le guet.  

- Et après ça, tu dis que je n’ai aucun charme utile ! En tout cas tu sais motiver tes troupes, soupire Kaori … Bref, j’y vais. Bonne chance à tous et soyez prudent !  

 

Elle s’en va sous les yeux protecteurs et inquiets des autres. Ryo la dévore des yeux, tandis que Mick et Steven en bavaient carrément. Elle s’approche en se déhanchant des vigils, elle déboutonne le haut de son chemisier et écarte les pans pour mieux dévoiler sa généreuse poitrine avant de leur faire face. Ce qui fait mouche puisque ces derniers l’ayant vu venir vers eux, se sont approchés eux aussi, arme aux points. Une fois devant elle, ils louchent immédiatement sur son décolletée, oubliant même de lui demander la raison de sa présence en ces lieux réputés mal famés, à une heure aussi tardive :  

 

- Bonsoir, messieurs ! J’ai crevé un pneu pas loin d’ici, je ne sais pas le changer. J’ai vu de la lumière par ici... Je me suis dit que vous pouvez m’aider ? Leur sourit-elle avec un visage angélique.  

- Ah, … Euh… Hum, commence l’un d’eux rouge en se raclant la gorge après avoir sursauté en l’entendant parler. Désolé Mademoiselle, mais c’est impossible mais nous ne pouvons pas quitter notre poste. « Les paroles de Monsieur K raisonnant encore dans les oreilles. »  

- Mais, pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ici ? le questionne Kaori innocemment en tentant de regarder à l’intérieur par-dessus leurs épaules.  

- Rien qui ne vous regarde. Aller demander ailleurs de l’aide et ne trainez pas, car le coin n’est pas sûr pour une aussi jolie femme que vous lui suggère l’autre revenu à lui-même.  

- Bon, dans ce cas là vous ne me laissez pas le choix, sourit Kaori malicieusement.  

- Pourquoi… Disent les deux hommes en même temps avant de sentir les coups de cette dernière qui les plongent dans l’inconscient.  

Pendant qu’elle s’occupait d’eux, les autres neutralisaient la trentaine d’hommes postés à l’extérieur de l’entrepôt.  

- C’est bon la voie est dégagée, annonce-t-elle à son micro tout en mettant les deux guetteurs à l’abri des regards.  

- Nous aussi on a fini, pendant que tu t’amusais, se moque Ryo en arrivant dans son dos.  

- Ryo ! Passons à l’étape suivante au lieu de dire des bêtises, lui sourit-elle les mains sur les hanches.  

- Tu es très sexy dans cette pose, Sugar. Je te suis volontiers, partenaire et où tu voudras même ! Sourit Ryo en retour les yeux pétillants. Falcon, tu ramènes le camion ? Dit-il plus sérieux.  

- Je me suis déjà en route pendant que Monsieur roucoulait, réplique celui-ci en grognant.  

- Bien, puisque tout le monde est prêt. Allons cueillir ce maudit engin avant de filer. Lance Ryo.  

 

Ils pénètrent discrètement dans le hangar, chaque équipe par son côté. Mick, Saeko et Reika par le nord du bâtiment, Ryo et Kaori par l’entrée principale à l’ouest et Torrens et Miki par l’est. Quelques échanges de coups de feu et de petites luttes au corps à corps plus tard, ils se retrouvent seuls devant la dite caisse contenant le satellite. C’est Torrens qui était désigné de faire une rapide vérification avant son chargement dans leur camion. Ils font ensuite le transvasement et quittent l’endroit comme ils sont venus. Ils quittent la ville et ses milles lumières pour s’éloigner vers la campagne plus sombres, juste au moment où l’obscurité est repoussée par les premiers rayons de soleil. La voiture de Ryo ouvre la marche, avec à son bord Kaori qui s’est endormie la ceinture de sécurité à peine bouclée sur le siège passager, et à l’arrière Saeko, Miki et Reika ; Mick, Steven et Falcon dans le camion la refermant.  

 

 

Il était à peine 3 heures du matin quand les moteurs sont coupés à l’intérieur d’une très grande salle spacieuse, blanche et lumineuse avec sur une estrade toute une installation informatique et de grands écrans de contrôle, dont les images provenaient des caméras de surveillance placés stratégiquement à l’extérieur.  

- Ouah ! Du nouveau matos ! C’est encore bien mieux équipé ici, je vois ça ! S’exclame Mick admiratif.  

- Ouais, mais ne touche à rien avec tes sales pattes, l’arrête Ryo qui portait Kaori endormie dans ses bras. Venez suivez-moi, ajoute-t-il en se dirigeant vers un ascenseur. Une fois, tous dedans, Ryo appuie sur le 3ème étage au moment où les portes se referment.  

- C’est chez qui, ici ? demande Reika éblouie par tout ce qu’elle a vu depuis l’entrée dans ce tunnel sur le flan de la montagne au milieu de la nationale. Cet endroit est digne de la demeure de Batman !  

- C’est chez nous, se contente de répondre Ryo alors que Kaori cale sa tête plus confortablement sur son épaule, lui entourant le cou de ses bras. Elle soupire ensuite d’aise sous le regard attendri de Mick et de Steven, mais meurtrier de Reika :  

- Pourquoi tu ne la réveilles pas, celle-là ? Elle peut marcher, non?  

- Reika. C’est la dernière fois que je te préviens, dit Ryo le regard noir et le silence retombe dans la cabine.  

 

L’ascenseur s’ouvre dans un sasse. Les portes de l’ascenseur se referment d’abord, avant que d’autres s’ouvrent sur un grand salon. Une petite voix joyeuse les accueille :  

- Salut tout le monde ! Bienvenue à la maison !  

- Mais qu’est-ce que tu fais ici toi ! S’étonne d’abord Ryo, puis le fusillant des yeux par la suite une fois la surprise passée, avant de se reprendre et dire aux autres. Les amis, installez-vous où vous voulez, je reviens tout de suite. Et toi, petit monstre, tu viens avec moi, ordonne Ryo en montant vers un étage supérieur.  

- Bon, d’accord, soupire la petite voix, en le suivant à l’étage. Mais j’chui pas un monstre, marmonne-t-il pour sa défense.  

- Attendez, où emmenez-vous ma Kaori, Saeba ? demande Steven inquiet en s’avançant vers lui.  

- Mais papa, ce n’est pas sa Kaori, hein ? Demande le petit, les sourcils froncés.  

- Papa? Ryo, depuis quand? S'écrient en coeur Miki et Steven surpris, mais pas pour les mêmes raisons. Miki se demandait pourquoi il n'avait rien dit au sujet de sa paternité; Steven lui se demandais comment un homme comme lui pouvait avoir une femme assez folle, soit capable de lui donner un enfant.  

- Ne vous inquiétez pas, Torrens, je vais juste la coucher dans sa chambre à l’étage. Ici, on est tous en sécurité. Dit-il en se retournant. Doc se trouve dans la cuisine avec Kazue. Hey, vieux débris sort de ta cachette ! Hurle Ryo avant de se mettre à courir dans les escaliers.  

- Baby Face, je t’ai dit de… ! s’écrit ce dernier en se montrant dans le salon mais Ryo avait déjà disparu à l’étage. »  

 

Fin du flashback.  

 

En y repensant puis aussi pour toute la soirée qui s’en est suivie, Ryo sourit, quand une voix le ramène à la réalité :  

- Un sous pour tes pensées !  

- Bonjour, toi, sourit-il en l’embrassant affectueusement tout en se positionnant au dessus d’elle.  

- Hum, tu m’as manqué, mon chéri !  

- Toi aussi mon ange ! Tu en as mis du temps pour me revenir, lui reproche-t-il en parcourant son cou de petits baisers alors qu’elle le ramenait à elle à l’aide de ses bras. Bien dormi, au moins ?  

- Oui, pas assez à mon goût, soupire Kaori d’une voix encore endormie.  

- Suis désolé, mais tu m’as manqué terriblement. Il fallait que je te le prouve. Avoue-t-il avant de changer de sujet remettant à plus tard "La grande discussion". En parlant de goût, tu as faim ? demande Ryo en se relevant sur le coude, dégageant au passage une mèche barrant le front de sa belle.  

- Oui, une faim de loup même, avoue-t-elle au moment où son estomac confirme ses dires par un grondement bien sonore.  

- Et après c’est moi le goinfre ? Rit Ryo en lui déposant un petit baiser sur le bout du nez. Au fait, tiens c’est pour la plus belle des femmes, sourit-il en lui effleurant les lèvres avec sa rose rouge avant de leurs fondre dessus en un baiser d’abord tendre qui devient vite plus passionnée. Kaori rompt le baiser, attrape la rose et :  

- Stop, je te vois venir avec tes grosses pattes bien baladeuses ! Le repousse-t-elle gentiment afin de s’assoir. Merci Ryo, elle est très belle, dit Kaori en sentant l’odeur. Hum, ça sent drôlement bon c’est pour moi, ce beau plateau que je vois bien garni ? en salive Kaori en voyant le plateau.  

- Oui, je savais que tu mourrais de faim à ton réveille, alors j’espère que ça te plaira ! Dit-il en le lui posant sur les jambes.  

- Oh, merci sourit Kaori enchantée qui s’attaquait à son assiette d’œufs brouillés. Hum ch’est très bon! Ch’est toi qui as fait tout çha ?  

- Oui et pour tout le monde aussi ! Je pensais qu’il te fallait un peu de repos ce matin, alors je me suis occupé de nos invités avant de monter déjeuner avec toi. Et puis il fallait bien tester les cours de cuisine reçus avec le meilleur des professeurs, dit-il en souriant.  

Kaori acquiesce en s'essuyant la bouche pendant que Ryo se contente de la regarder tendrement un moment jusqu’à ce qu’elle lui demande pourquoi lui ne mangeait pas. Il l’embrasse sur le front, heureux de la retrouver, avant de l’imiter.  

 

Pendant qu’ils mangeaient tranquillement en tête à tête, Miki qui ayant entendu Ryo remonter s’est levé à son tour ; et en sortant de la chambre elle le voit refermer la porte. Elle sourit en arrivant dans la cuisine, car en plus d'avoir préparer un plateau à sa dulcinée, il leur avait préparé le p'tit déjeuner à eux aussi. Quelques minutes à peine, elle est rejointe par Saeko, Kazue, Doc et Steven. Ils déjeunent dans la bonne humeur quand une petite voix, les interrompt :  

 

- B’jour, maman, baragouine un petit garçon d’environ 5 ans, tout en se frottant les yeux et le ventre. Il descendait les escaliers d’un pas lourd. J’ai faim, moi !  

- Désolée p’tit mais ta maman n’est pas ici. Et d’abord qui tu es, toi ? Dit Reika descendant dans son dos.  

- D’abord, chuis pas petit mais en train de grandir … Et après…Toi, t’es méchante. Je ne t’aime pas ! S’écrit le petit les yeux marron assombris par la colère tout en la pointant du doigt.  

- Tiens, je connais ce regard-là et cette moue aussi, s’étonne cette dernière, en posant un doigt sur le menton. Où est-ce que je l’ai déjà vu ?  

- Et puis d’abord ma maman est plus miss mokkori que toi, na ! ajoute le petit bout en lui tirant la langue.  

Ce qui fait tomber tout le monde à la renverse ; Reika se relevant tant bien que mal :  

- Ah ouais et qui t’as dit ça ? Se moque-t-elle.  

- C’est mon papa qui dit toujours ça à ma maman, et puis ce n’est pas toi que je veux voir. Ah je sais ! Là où y a papa, je peux trouver maman ! Dit-il le doigt levé, les yeux illuminés et fier de son raisonnement avant de remonter en courant. Reika curieuse le suit rapidement.  

Les autres secouent la tête sachant que la veille Reika s'était endormi avant le retour du nettoyeur, donc avant la présentation du petit garçon à eux tous du moins pour ceux qui ne le connaissaient pas encore.  

- Il va y avoir du sport ce matin. Elle va avoir le choc et la punition de sa vie, sourit Mick.  

- Mick ! C’est tout de même ma sœur, la défend Saeko.  

- Je suis désolée, mais tu m’avoueras que toi aussi, elle t’énervait quand elle parlait mal à Kaori.  

- Oui je sais. Mais, ….  

- Oh, non, les stoppent Miki en se tapant le front. Il faut arrêter le petit. Il ne faut pas qu’il rentre… Ryo a monté un plateau à Kaori ce matin, et il risque de les trouver... mais elle est coupée par un cri.  

 

- OHH mon dieu ! Ryo, comment t’as pu me faire ça ! Avec elle en plus ! Moi, qui…, tente de dire Reika écœurée par l’horrible vision dont elle venait d’être témoin. Ryo au lit avec Kaori en petite tenue, un plateau, pour deux, vidé au pied du lit ce qui témoigne d’un petit déjeuné au lit.  

- Bonjour à toi aussi Reika ! se moque Ryo en se remettant sur le dos alors que Kaori finissait de nouer son peignoir précipitamment.  

Reika tout en pestant dans sa barbe redescend dans la cuisine d’où les autres avaient suivi « la conversation ». Car c’est ses petits cris hystériques qui leur parvenaient plus que tout.  

 

- La curiosité est un vilain défaut ! Ajoute Mick en ricanant.  

- Oh, toi ça va !  

- Qu’est-ce qui s’est passé là haut, demande Miki qui se retient de ne pas rire tout comme les autres, face à la tête que faisait Reika. Reika se tenant la tête raconte tellement elle n’en est toujours pas revenue.  

 

Flashback  

 

Reika suit le petit garçon qui allait ouvrir une porte. Derrière celle-ci, le couple qui avait reconnu les petit pas de leur chérubin, se fait plus présentable alors qu’il était sur le point de aux choses sérieuses pour un câlin matinal très osé. Elle le voit entré dans la chambre et observe discrètement dans l'entrebâillement.  

 

Dans la chambre, quand la porte s’est ouverte et une ombre atterrit sur le lit en criant :  

- B’jour maman, b’jour papa ! Vous m’avez manqué !  

- Tu sais que tu es lourd, et je t’ai déjà dit de ne pas sauter dans notre lit comme ça ! Lui rappelle Ryo en dégageant son genou mal placé. Hey, Junior ! Tu m’écoute ?  

- Oh maman ! je t’aime de tout mon cœur, déclare Junior tout contre sa maman.  

- Hey, je te parle là, p’tit monstre ! se manifeste le papa renfrogné  

- Mais moi aussi je t’aime mon cœur. Tu as bien dormi et fais…commence Kaori avant d'être coupée par Reika.  

 

Elle, qui avait suivi hallucinée leur discussion, pousse la porte brusquement hors d'elle. Ce qui les arrêtent les faisant sursautés tous les trois, Ryo arme au point. »  

 

Fin de flashback  

 

- En plus, il m’a menti en me disant où se trouvait sa chambre qui s’est révélé être un placard à balaie. Termine-t-elle en s’écroulant sur son bras en tapant du point la table. Ça en était trop pour les autres qui explosent littéralement de rire.  

 

C’est dans cette ambiance que le couple et leur fils les rejoignent. Kaori dépose son plateau près de l'évier et Ryo son fils dans les bras s'arrête près de leurs amis morts de rire :  

 

- Je vois que tout le monde s’amuse ici, dit Ryo en reposant son fils à terre qui monte tout de suite après sur les genoux de sa tata Saeko.  

 

 


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