Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Rosy

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-09-08

Ultimo aggiornamento: 03-09-09

 

Commenti: 60 reviews

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General

 

Riassunto: Ryo est contacté par un de ses vieux amis américains pour l'aider sur une affaire. En effet, celui-ci enquête sur un homme dont le nom circule partout dans le monde mais que personne ne semble reconnaître physiquement. Cet Ervins, un homme, sans foi ni loi, trempe dans toutes sortes de trafics: drogues, armes, vols informatiques et industriels, trafics humains. Bref un bon méchant. Sully Danes, en menant son enquête sur lui s'est fait repéré aux USA. Ayant des tueurs à ses trousses, et sachant de sources sûres qu'Ervins serait au japon pendant un certain temps, Sully a envoyé tous les infos qu'il avait à Ryo plus une lettre lui demandant de le récupérer à l'aéroport à son arrivée au japon. Mais voilà il n'est jamais arrivée car son avion s'est craché en pleine mer. Alors Ryo s'est juré de venger son ami et de finir ce qu'il avait commencé.

 

Disclaimer: Les personnages de "Ça sera toujours TOI et MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ca sera toujours TOI et MOI !

 

Capitolo 7 :: Douces retrouvailles et confessions!

Pubblicato: 03-10-08 - Ultimo aggiornamento: 27-10-08

Commenti: J'ai pris quelques libertés au niveau de.... Mais voilà, faut pas m'en vouloir! A bientôt!

 


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- Disons que te faire languir est une bonne idée puisque tu es très en forme je vois ça ! Le taquine Kaori en regardant vers le membre fièrement dressé, avant de se collant à lui.  

- Tu vas voir ce qu’il en coûte de se moquer d’un Saeba en manque, la menace-t-il en la soulevant tout en s’emparant de ses lèvres.  

- Brrr ! J’ai peur, réplique sa compagne en entourant la taille musclée de son homme, de ses jambes fuselées.  

Sous la douche, les époux Saeba s’aiment tendrement et passionnément, avant de s’écouler sur le lit épuisés le sourire aux lèvres, provisoirement comblés de l’autre. Les deux corps allongés restent immobiles quelques minutes dans le silence ; Kaori sur le dos et Ryo sur le ventre.  

- Tu m’as manqué, mon amour, lance Ryo en se relevant sur le coude près d’elle qui lui offrait son dos nu. Il en caresse, explore de doux baisers chaque parcelle, avant d’entamer un massage qui ravivera sans aucun doute le désir de sa femme. Et il le sait par expériences que celle-ci très sensible, ne résiste pas longtemps avant de succomber. Il en sourit d’avance.  

- Toi aussi, tu sais ces derniers moi passés loin de toi et Junior n’ont pas été de tout repos non plus. Avant cette histoire, on ne se voyait que lorsque tout été calme en ville de ton côté… Je ne te reproche rien tu sais, mais il me fallait bouger sinon je serais devenue folle. Alors, tu m’as demandé de rester ou je perdais tout.  

- Je suis désolé. Dit-il allant se poster devant la fenêtre. Mais je ne voulais pas te perdre sachant que…  

- J’ai préféré travailler, la coupe Kaori en le suivant et se colle à son dos. Leurs deux corps nus s’épousaient à merveille. Mais Ryo je suis quand même revenue et toutes les fois suivantes aussi.  

- Je sais, mais tu étais trop loin, et en cas de danger, …  

- Tu es, avec Junior, la raison qui m’a fait toujours revenir chez nous et pousser à l’extrême ma prudence. Je sais et je comprends ton choix aujourd’hui, je t’en ai voulu. Mais 13 mois, Kaori sans donner de nouvelles. J’étais mort d’inquiétude. On n’a jamais été séparé aussi longtemps depuis la première fois où tu nous avais déjà fait le coup avant de revenir la bouche en cœur l’air de rien. Et le pire c’est Junior, qui non seulement ne t’avais plus près de lui ce dont il n’avait pas l’habitude, mais j’avais du mal à m’en sortir tout seul entre mon boulot et son besoin de ma présence ainsi que ses nombreuses questions sur ton absence.  

- Même Hide en est devenue soupçonneux, dit-elle, en ce remémorant la première fois qu’elle avait disparue sans donner de nouvelle.  

- Tu aurais vu dans quel état, il était ? sourit Ryo en passant une main dans son épaisse chevelure d’ébène.  

- Oui, je regrette seulement de ne lui avoir dit la vérité sur nous avant sa mort.  

- C’est là que tu te trompes, ma chérie, lui avoue Ryo. Je lui ai tout dit le jour de tes 19 ans.  

- C’est donc ce que vous faisiez sur le toit, ce soir-là ?  

- Oui. Hide me disait qu’il était heureux de te voir devenir femme et resplendissante de vie. Il était encore plus ravi car on s’entendait plus tôt bien donc si un jour il venait à disparaitre, il pouvait compter sur moi pour le remplacer. J’allais protester, quand il m’a fait promettre de tout faire pour rester en vie, pour lui et pour toi. Ca m’a étonné moi aussi c’était la première fois qu’on me demandait de rester en vie alors que souvent c’est après ma mort que beaucoup courraient. Alors il s’est expliqué en me disant qu’entre toi et moi, il sentait une certaine tension, mais pas inamicale au contraire. Une complicité, qu’il m’enviait parfois d’entretenir avec toi, était des plus visibles. Et surtout il sentait que j’avais changé à ton contact, et que rien ni personne ne pourrait se mettre entre toi et moi. Et, en me connaissant, je ne laisserais jamais personne le moyen de le faire.  

Elle l’embrasse de tout son être ce qui satisfait pleinement notre homme, avant de stopper cet échange en poursuivant :  

- C’est après son aveu, que je lui ai tout raconté notre véritable rencontre aux USA, toutes les affaires que j’ai résolu avec toi dans son dos. Tout ce que je t’ai appris du métier ou que tu m’as forcé à t’apprendre et surtout que toi et moi on était plus que de simples amis, qu’on était ensemble depuis près de 2ans.  

- Mais t’es devenue fou ou quoi ? s’écrit Kaori le tournant vers elle.  

Ryo l’embrasse pour la calmer.  

- C’est ce que je me disais quand je m’entendais parler. Je n’en pouvais plus de cacher à mon frère que sa propre sœur me rendais terriblement heureux. Et qu’elle m’avait réconciliée avec la vie, moi l’ange de la mort, en m’aimant tout simplement. En plus de m’offrir son cœur pur, elle m’a fait découvrir le véritable sens de l’amour en m’offrant son innocence. Mais, contrairement à ce que je pensais, Hide a bien réagi. Il m’a avoué qu’il nous avait vus plusieurs fois enlacé. Il en était heureux.  

- Pourquoi il ne m’en a jamais parlé ?  

- Il attendait que ça vienne de toi. Après ma confession, il m’a demandé de ne pas te dire qu’il savait. Et qu’entre vous deux c’est comme ça que fonctionnez. Je vous jure la complication chez les Makimura, c’est quelque chose ! Moi qui pensais me soulager de tout secret, je me retrouve avec un autre à garder. Et je t’assure que, je vous aime vraiment tous les deux mais tu disais de moi, que je mettais du temps à réagir côté sentiments, mais mon amour tu me bats largement car quand il faut te décider à parler à ton frère, c’est autre chose.  

- Oh, ça va ! Quand j’y pense, je ne me rappelle pas qu’il est essayé un jour de m’en parler.  

- Cette année là est passée sans que tu te sois décidé, et je t’avais promis de ne pas te mettre la pression ; puis une autre à mon grand regret. Et alors que j’avais réussi à convaincre Hide de te parler et aussi qu’on te dise ensemble que j’avais vendu la mèche depuis pas mal de temps, il s’était décidé à t’en parlé lui-même le jour de tes 21 et seul. Mais voilà, il est mort dans mes bras ce soir là, en me demandant de veiller sur toi pour lui et de faire en sorte que tu sois heureuse.  

- Il le savait, constate alors Kaori toute retournée. Mais, je comprends maintenant pourquoi tu voulais que je parte loin de toi quand je suis tombé enceinte quelques mois après son décès. Tu avais peur de me perdre aussi, réalise-t-elle en pleurant à chaudes larmes.  

Ryo l’enlace, lui montrant tout son amour pour elle dans cette étreinte pour la calmer. Ils restent dans cette même position pendant un bon quart d’heure :  

- On devrait s’habiller pour aller voir les progrès de notre prodige, suggère Ryo rompant le silence. Ou je ne réponds plus de rien et crois moi tu ne risque pas quitter notre chambre de si tôt ! Je suis en super forme !  

- Toi alors et ton mokkori ! rit Kaori ouvertement de son rire cristallin ce qui gonfle d’amour le cœur de son mari qui continuait de faire le pitre pour la détendre complètement. Ce n’est pas le romantisme qui te tuera.  

- Je sais, mais je t’ai prouvé plusieurs ce dont je suis capable, réfléchi tout haut Ryo, as-tu besoin que je te rafraichisse la mémoire d’accord ! …Alors il y a eu la fois où…  

- Stop, tiens mets ça au lieu de palabrer pour rien, la coupe Kaori en lui lançant son jean et un caleçon, qu’il reçoit en pleine tête. Il ronchonne juste pour la forme avant de s’exécuter tout comme elle.  

Pendant qu’ils s’habillent, Junior revenait avec un large sourire vers Falcon avec son trophée. Il a réussi le parcours en un temps record bien que Ryo est fait plusieurs modifications en arrivant hier et Falcon aussi dans la matinée.  

- Bravo, Junior tu es de plus en plus fort et rapide. Le félicite ce dernier.  

- Merci, répond timidement Ryo junior les joues teintées de rose tout comme sa mère après un compliment.  

- Tu as réussi à éviter nos pièges sans trop de mal. Cependant quelques petites parties de ta stratégie sont à revoir.  

Falcon lui explique ses erreurs jusqu’à l’arrivée du couple se tenant bras dessus, bras dessous le sourire aux lèvres.  

- Comment s’est débrouillé mon fils, Umi-chou ?  

- Grrr ! Grogne Umibozo en rajoutant. Il s’est bien débrouillé. Je vais tester maintenant où en sont ses progrès au corps à corps, d’accord Junior ?  

- Maintenant ? Râle celui-ci.  

- Pourquoi pas au moins tu es échauffé donc prêt pour la suite.  

- Oui, … mais j’ai faim après tous ces efforts ! Explique Ryo Junior faisant tomber à la renverse les adultes.  

- Un vrai estomac sur pattes, comme son père, dit Kaori en se relevant. Je me demande où vous arrivez à mettre tout ça ?  

- Je suis un homme. Et un homme se doit de se nourrir correctement sinon il n’est bon à rien, justifie le petit en regardant son père. Pas vrai papa ?  

- Ryo, quand arrêteras-tu de mettre des inepties pareils dans sa tête ! Lui reproche sa femme en le fusillant du regard.  

- Mais Kao chérie il a raison ; on doit bien se nourrir pour être au meilleur de sa forme ! Soutient Ryo alors qu’un corbeau passait en croassant au dessus d’eux.  

- Bon, je l’emmène manger avant de l’entrainer.  

- Ouais super ton Umi-chou, t’es le meilleur… après mon papa bien sur ! S’exclame Junior en lui grimpant au cou.  

- Décidément, il n’arrêtera jamais de te grimper dessus. Désolé, il est entêté comme son père.  

- Oui je sais mais ça ne me dérange pas du tout. D’ailleurs il fait ça depuis tout petit alors un jour il cessera de lui-même, affirme Falcon, gêné.  

- Tu feras un bon père. Allez-y. Ryo ne vous écoute plus, mon bébé va me faire un bisou, dit Kaori en s’approchant d’eux.  

Elle lui claque un gros bisou, avant de les regarder s’éloigner quand elle sent d’eux bras musclés entourer sa taille et une voix murmurer à son oreille :  

 

- Alors on dirait qu’on se retrouve seuls, si on allait faire une petite promenade !  

- Tu ne perds jamais le nord toi ! 9a tombe bien que tu me proposes ça j’ai un travail pour toi, jusqu’à l’heure du déjeuner, dit Kaori en se dégageant de ses bras.  

- Je doute que ça soit la même chose que ce que j’avais à l’idée ! le soupçonne Ryo. Je refuse ! Tranche net Ryo en lui tournant le dos les bras croisés.  

- Dommage, répond-elle en haussant les épaules indifférentes.  

- Quoi ? se retourne Ryo, et c’est là qu’il la voit s’éloigner… Kaori, reviens ici tout de suite ! Beugle Ryo en lui courant après, mais celle-ci n’était pas de cet avis s’est mise à courir.  

Ils se courent après comme des enfants pendant un moment un peu partout dans la grande propriété jusqu’à qu’il réussisse à la rattraper près d’un petit lac artificiel. Ryo en profite pour l’emprisonner dans ses bras.  

- Alors Madame Saeba, on voulait fuir ?  

- Pas du tout ce n’est pas mon genre ! Mais, j’ai du travail qui m’attend, alors ayez l’obligeance Monsieur Saeba, de vouloir me lâcher, sourit-elle en parlant d’une voix sensuelle et volontairement provocatrice.  

- Un baiser, comme vous n’en avez jamais donné, et je vous relâche  

- Monsieur est exigeant ! S’étonne faussement Kaori.  

- Alors ?  

- Alors quoi ?  

- J’attends votre réponse.  

- J’ai d’autre moyen de me libérer, vous savez ?  

- Je sais, mais j’espère sincèrement que vous accepterez ma proposition. J’ai très envie de goûter à vos lèvres si tentatrices. Alors aurai-je droit à un oui ou devrai-je faire ceci…  

- Ryo ! s’écrit-t-elle alors que Ryo venait de la coucher sur le dos et lui au dessus d’elle. C’est de la triche !  

- Oui peut-être ! Mais je veux que tu m’embrasses, …  

- A une condition !  

- Laquelle ?  

- Tu accepte ce petit travail dont je viens de t’en parler.  

- D’accord !  

- Tu es près à tout toi, même à te vendre, ce n’est pas croyable !  

- Non je suis près à tout pour toi et toi seulement ! avoue-t-il en frottant son nez au sien.  

- Très bien marché conclu, déclare Kaori en inversant leur position. Bien, Monsieur Saeba préparez vous à être embrasser comme jamais vous ne l’avez été.  

Au moment où Ryo, sentant le souffle de sa femme se rapprocher de ses lèvres, ferme les yeux pour mieux savourer, une voix les interrompt, le faisant enrager intérieurement, alors qu’ils tournent tous deux leur tête vers l’origine de la voix avant de se figer avec de gros yeux :  

- Suis-je si insignifiante que ça à tes yeux, pour que tu m’imposes ton bonheur en plus ?  

 

 


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