Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Rosy

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-09-08

Ultimo aggiornamento: 03-09-09

 

Commenti: 60 reviews

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General

 

Riassunto: Ryo est contacté par un de ses vieux amis américains pour l'aider sur une affaire. En effet, celui-ci enquête sur un homme dont le nom circule partout dans le monde mais que personne ne semble reconnaître physiquement. Cet Ervins, un homme, sans foi ni loi, trempe dans toutes sortes de trafics: drogues, armes, vols informatiques et industriels, trafics humains. Bref un bon méchant. Sully Danes, en menant son enquête sur lui s'est fait repéré aux USA. Ayant des tueurs à ses trousses, et sachant de sources sûres qu'Ervins serait au japon pendant un certain temps, Sully a envoyé tous les infos qu'il avait à Ryo plus une lettre lui demandant de le récupérer à l'aéroport à son arrivée au japon. Mais voilà il n'est jamais arrivée car son avion s'est craché en pleine mer. Alors Ryo s'est juré de venger son ami et de finir ce qu'il avait commencé.

 

Disclaimer: Les personnages de "Ça sera toujours TOI et MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I change my username?

 

I do not allow people to change their username on their own yet. Maybe later. So if you want to change your username, contact me and give me your old and new username with your pas ...

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   Fanfiction :: Ca sera toujours TOI et MOI !

 

Capitolo 8 :: Mauvaise surprise!

Pubblicato: 28-10-08 - Ultimo aggiornamento: 29-10-08

Commenti: Je sais ce chapitre est court, mais je viens d'avoir une autre idée qui nécessite une chapitre entier. Pensez svp aux reviews. Elles m'aident beaucoup, merci. A très bientôt !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Quelque part dans les quartiers chics de Tokyo, au sein d’une luxueuse propriété…  

 

Un homme, rejoignant son épouse pour le petit déjeuner, consulte son répondeur car sa femme lui avait dit, que son portable n’avait pas arrêté de sonner depuis qu’elle s’était levée et que ça pouvait être urgent.  

 

- Je vais au bureau pour passer quelques coups de fils, la prévient-il après avoir écouté le premier message.  

- Chéri, déjeune avec moi au moins avant de t’enfermer dans ton satané bureau pour toute la journée à coup sûr, lui suggère sa femme un poil agacée.  

- Je reviens, promis ! L’embrasse-t-il sur la joue avant de s’éclipser sans lui laisser le temps de répliquer.  

 

Consciente de s’être faite avoir encore une fois, Naoko Tojiama soupire se disant qu’elle ferait mieux d’appeler ses amies pour occuper sa matinée en attendant que son époux montre le bon de son nez.  

 

Pendant ce temps au bureau, son mari était dans tous ses états car il apprenait que leur petite affaire était mal partie puisque la cargaison a été réceptionnée par d’autres que leurs hommes. Il tente de comprendre ce qui s’est passé :  

 

- Comment ce fait-il que nos hommes se soient fait avoir aussi facilement ? Hurle-t-il en postillonnant.  

- Calmez-vous d’abord pour que je vous explique, lui demande un homme à l’autre bout du fil.  

- Que je me calme !  

- Monsieur Tojiama, si vous continuez je raccroche, le menace son interlocuteur.  

- Dite-moi où vous êtes et je vous rejoints.  

- C’est inutile de vous déplacer, voyons ! Je vais m’occuper de tout et surtout retrouver notre bébé qui va faire notre richesse ! Tente-t-il avec une once d’humour.  

- Hors de question, Tonne la voix du Ministre intransigeante. Je vous ai écouté jusqu’à maintenant et voyez vous-même le résultat, alors cette fois on va agir ensemble. Alors ?  

- …  

- Monsieur K, vous m’entendez ?  

- Oui, je suis toujours là, lui répond-il passablement irrité lui aussi. Nous sommes à l’endroit habituel.  

- Bien dans cas, je suis là dans une petite demi-heure, c’est compris ?  

- Comme vous le voulez, se morfond Monsieur K, face à l’insistance de ce dernier.  

- Et j’amène avec moi mes hommes de confiance beaucoup plus expérimentés que les vôtres. En attendant, retrouvez qui sont ces gêneurs qui nous ont volés.  

- On ne vous pas attendu pour ça ! Rouspète-t-il. D’ailleurs vous le verrez par vous-même quand vous serez là.  

- Bien. Et surveillez vos paroles, vous savez qui je suis. Je me mets en route, termine le Ministre en raccrochant.  

 

Furieux, il jette son portable contre le mur, qui finit bien évidement en pièce sur la moquette blanc cassée. Il était de très mauvaise humeur, et ce pressentiment qui l’avait empêché de bien dormir cette nuit, surtout après une très agréable soirée au Gala, ne le quittait plus. Alors, retourne à sa chambre en râlant de ce mauvais tours que l’on venait de leur faire. Devant le miroir, alors qu’il se rasait, il se jure de faire payer très cher aux responsables de cet affront. A l'instant précis où il le pensait, une trainée de sang s’écoule sur sa joue, ce qui le met encore plus de mauvaise humeur. Peut-être est-ce un signe du destin pour le mettre en garde ? Mais homme cupide qu’il est, il est incapable de s’attarder sur ce genre de manifestation, préférant de loin courir à sa perte. Tout comme ses complices, qui l’attendait à l’entrepôt pillé cette nuit.  

 

Monsieur K, remettant son portable dans sa veste, se tourne vers un autre homme assis non loin de lui en jurant :  

- Mais quelle plaie celui-là ! Se plaint-il en balançant au sol le contenu du bureau où il était assis.  

- Ressaisis-toi voyons on a besoin de lui pour le moment, le résonne un bel homme calme en apparence.  

- Ervins, tu bien entendu comment il m’a parlé ?  

- Oui et alors, répond Ervins d’un calme olympien. – Du moment qu’il fait ce que l’on lui demande de faire, il peut bien te parler comme il veut tant que ça n’entrave pas mes plans !  

- Et moi, aussi, tu me tolères du moment que je ne te gêne pas ?  

- Mais non, on est associé sur ce coup là non, lui demande Ervins en le donnant une tape sur l’épaule pour le calmer ? Je te demande juste de serrer les dents quand il sera là, ensuite quand il ne nous servira plus, je te laisse tout le loisir de lui montrer quel homme fort tu peux être quand on t’a manqué de respect.  

- Mais…  

- Y a pas de mais, dit fermement Ervins. Je te l’ordonne pour que ça soit plus clair. Tu sais comment je réagis quand on me contrarie, même toi mon meilleur… comment dire… euh…  

- Ami ? Ose proposer Monsieur K à tout hasard.  

- Tu me connais mieux que ça voyons, se moque ouvertement Ervins. Tu sais bien que mon seul et meilleur ami est mort et enterré depuis bien longtemps maintenant, continue-t-il en riant aux larmes.  

- Et comment ! Tout ça à cause de cette pétasse, sourit Monsieur K. D’ailleurs, tu ne m’as toujours pas dit comment en est-elle la responsable ? Le questionne Monsieur K sentant le changement qui s’opérait chez son associé. Tu m’avais promis qu’en arrivant ici, au Japon, tu me révèlerais tout, insiste K en le fixant.  

 

Et là, les rires d’Ervins s’arrêtent net. Son visage, jusqu’à cet instant détendu, se ferme pour se durcir d’un coup, une lueur de haine dansant dans ses yeux :  

- Je sais et je tiens toujours mes promesses, sourit sournoisement Ervins, entouré par une aura meurtrière, qui déstabilise un cours moment le soldat. Même cette maudite Makimura va s’en rendre compte quand l’heure aura sonnée.Un silence de plomb retombe dans pièce. Chacun des deux hommes étaient perdus dans de douloureux souvenirs, figés comme des statuts, les points serrés. Et alors qu’ils se faisaient face, Ervins sur le point de parler, de l’autre côté loin des tumultes de la ville, il se jouait une autre scène.  

 

Au moment où Ryo, sentant le souffle de sa femme se rapprocher de ses lèvres, ferme les yeux pour mieux savourer aussitôt imitée par sa femme, quand une voix les interrompt, le faisant enrager intérieurement tous les deux; ils tournent tous deux en même leur tête vers l’origine de la voix, avant de se figer avec de gros yeux :  

 

- Suis-je si insignifiante que ça à tes yeux, pour que tu m’imposes ton bonheur en plus ?  

- Toi, ici ? S’écrit ensemble le couple Saeba totalement halluciné.  

- Encore heureux ! Se défend la voix outrée. Sinon je n’aurais jamais su que tu me trompais dès que j’ai le dos tourné, réplique-t-elle en croisant les bras et en tournant de côté pour bien leur signifier qu’elle n’était pas contente du tout.  

Ryo et Kaori, s’ils n’étaient pas déjà allongés à même le sol, en seraient surement tombés à la renverse. C’est Kaori la première qui se ressaisit, lui abat une massue sur le crâne pour lui remettre les idées en place. Énervée par les rires de son mari, elle lui assène la même punition avant d'éternuer par deux fois quand les deux autres s’extirpaient de dessous la massue.  

 

 


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