Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Rosy

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 18-09-08

Ultimo aggiornamento: 03-09-09

 

Commenti: 60 reviews

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General

 

Riassunto: Ryo est contacté par un de ses vieux amis américains pour l'aider sur une affaire. En effet, celui-ci enquête sur un homme dont le nom circule partout dans le monde mais que personne ne semble reconnaître physiquement. Cet Ervins, un homme, sans foi ni loi, trempe dans toutes sortes de trafics: drogues, armes, vols informatiques et industriels, trafics humains. Bref un bon méchant. Sully Danes, en menant son enquête sur lui s'est fait repéré aux USA. Ayant des tueurs à ses trousses, et sachant de sources sûres qu'Ervins serait au japon pendant un certain temps, Sully a envoyé tous les infos qu'il avait à Ryo plus une lettre lui demandant de le récupérer à l'aéroport à son arrivée au japon. Mais voilà il n'est jamais arrivée car son avion s'est craché en pleine mer. Alors Ryo s'est juré de venger son ami et de finir ce qu'il avait commencé.

 

Disclaimer: Les personnages de "Ça sera toujours TOI et MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ca sera toujours TOI et MOI !

 

Capitolo 16 :: Vendetta

Pubblicato: 29-01-09 - Ultimo aggiornamento: 29-01-09

Commenti: C'est la guerre, et tous les coups sont permis.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Il est 3H du matin, un téléphone portable vibre sur la table de chevet. Il s’éteint, pour se remettre encore à vibrer, ce qui fini de réveiller son propriétaire qui décroche rageusement :  

 

- Allo ! J’espère que vous avez une très bonne raison de me réveiller…, beugle-t-il en se redressant, il s’arrête pour écouter l’énoncé de la raison. Stop, j’arrive tout de suite dit-il en raccrochant.  

 

 

Il s’habille en vitesse, appelle son chauffeur et descend l’attendre dans le hall. Il se place devant l’énorme miroir pour se servir un whisky. Il se contemple en avalant trois verre cul sec, mais la rage l’envahit quand l’appel et surtout la raison lui revienne à l’esprit, il en explose le miroir avec son verre, au moment où son chauffeur sonne à sa porte. Il ouvre et quitte son appartement pour rejoindre ses hommes qui l’attendent les nerfs à vif.  

 

Au bout d’une vingtaine de minutes, il arrive devant une maison où l’un deux l’attendait. Tout de suite il lui demande des explications tout en se dirigeant vers la maisonnette puis au sous-sol. Il lui explique qu’après avoir reçu ses ordres à l’hôtel, il est rentré directement les transmettre aux hommes avant d’aller donner à manger à la prisonnière. Mais en entrant dans la cellule, il la trouvait vide, la prisonnière disparue. En arrivant dans la cellule, les autres en le voyant se mettent aux gardes à vous la tête basse.  

 

 

- Qu’est-ce qui s’est passé ?  

 

- Monsieur,… on a… tente l’un d’entre eux quand il reçoit une balle entre les deux yeux.  

 

 

- Je vous considère tous comme coupable. Vous étiez supérieur en nombre pour surveiller une seule femme, alors comment a-t-elle pu se libérer et sortir du périmètre sans qu’aucun d’entre vous ne s’en rende compte ? S’emporte le patron, hors de lui. Répondez !  

Aucun ne se tente à essayer de lui expliquer car l’homme au sol, leur rappelle ce qui les attend.  

 

 

- Monsieur K, il y a un message pour vous et c’est de la part de City Hunter, dit celui qui l’a attendu devant la maisonnette.  

 

- Je m’en doutais, grogne-t-il en ouvrant l’enveloppe.  

 

« J’ai récupéré votre seul moyen de pression sur moi. Maintenant, je vais faire le ménage intégral. Je vais débarrasser notre pays des crapules comme vous, Hernandez et Adam Stanton. Il vous faudra passer à la caisse pour tous les méfaits que vous avez commis à commencer par la mort de mon ami et l’enlèvement de Saiyuri. A très bientôt pour rendre votre dernier souffle.  

City Hunter, l’ange de la mort. »  

 

Hernandez, alias Monsieur K, froisse la feuille. Il sort son arme et tire plusieurs coups de feux sur ses hommes, abattant tous ses hommes qui sur le coup de la surprise n’avaient pas eu le temps de fuir ni de dégainer assez vite avant de recevoir la balle fatale. Hernandez avait passé ses nerfs sur ses homme tous morts sauf ce qui par chance avait échappé à la folie ravageuse de leur patron. Il les avait mis en garde et il l’a fait.  

- Maintenant, je dois mettre au courant mon cher associé, de l’incompétence de ces abrutis, murmure Hernandez en décrochant son portable.  

 

 

Pendant ce temps, Falcon avait fait son dépôt devant la maison du Ministre et il était en chemin pour retrouver ses amis. En arrivant au sous-sol, il retrouve le petit groupe autour des deux sœurs qui se serraient mutuellement.  

 

- Je vois que tout le monde est là et en bonne santé, se signale-t-il quand sa femme lui saute au cou.  

 

- Mon chéri, tu as vu qui est là, se réjouit-t-elle les larmes aux yeux.  

 

- Oui, je sens son aura, répond-il rouge comme une tomate avec de la fumée sortant de son crâne.  

 

- Kaori, je comprends que tu sois heureuse de retrouver ta sœur, mais, il faut que je l’examine, déclare Doc mettant un terme provisoirement les retrouvailles.  

 

- Je sais Doc, grande sœur, bienvenue à la maison, lui souhaite Kaori en séchant ses larmes, imitée par celle-ci. Elle sépare leur étreinte, en se souriant.  

 

Falcon la soulève dans ses bras et pour la porter dans la petite pièce qui sert d’infirmerie dans la maison. Le reste de la bande se dirige vers le grand salon sauf Ryo qui monte son fils à l’étage. Il reste une bonne heure à le regarder dormir avant de redescendre se joindre au groupe.  

 

 

- Tu en as mis du temps, papa-poule, se moque Mick en riant.  

 

- On verra quand tu auras un enfant si tu ne réagirais pas pareil, réplique Ryo en lui donnant une tape sur la tête en passant près de lui. Bon, c’est à nous de jouer maintenant que le petit a rempli son travail, ajoute-il en sortant son magnum rangé d’une cache murale, ce qui étonne tout le monde sauf bien entendu sa femme.  

 

- Mais avant tout un bon dîner s’impose, suggère Riu-Han en se caressant la tête gêné.  

 

- Le vieillard a raison, on doit manger avant de passer à l’action…, le soutient Ryo quand un grondement sourd le coupe au milieu de sa phrase.  

 

 

Ce qui fait exploser de rire tout le monde. Kaori se calmant la première se rend à la cuisine suivie par Claudia Et Miki. Les hommes restent entre eux, en compagnie des sœurs Nogami.  

 

 

- Alors, vieux débris, comment il s’en est sorti ?  

 

- Arrêtes de m’appeler comme ça, se répète Riu-Han en lançant un coussin à Ryo qui le bloque et le pose sur ses puissantes cuisses en s’asseyant sur un repose pied. Fiston, ta progéniture est un vrai phénomène. Il avait bien préparé son coup apparemment avant de partir. Dans son sac à dos, il y avait rangé : des grenades fumigènes, du gaz hilarant, du gaz lacrymogène, des petits sacs explosifs, un pistolet à eau modifié à sa sauce comme il avait précisé. Et d’autres bric à brac, dont je ne suis pas sûr d’avoir compris leur utilité. Bref, avec le Doc et la jolie infirmière, on n’en pas cru nos yeux. Et pendant un court instant en le regardant nous expliqué c’est tas de truc avec panache, fierté et détermination, je voyais ta femme. Bref, il s’est exécuté comme on avait prévu, il a installé des pièges tout au long de sa progression vers la maison. Et le tout discrètement et rapidement. J’ai chronométré le temps qu’il avait mis pour arriver à la maison. Il a mis beaucoup moins que ce qu’on avait prévu. C’est une vraie fusée. Tiens-toi bien il a mis 8Min45 au lieu du quart d’heure prévu.  

 

- C’est normal, je l’ai entrainé, fanfaronne Ryo le torse bombé.  

 

- Oh, ça va ! Tu n’as pas été le seul, je te le rappelle, on y est pour quelque chose nous aussi, le casse Mick.  

 

- Peut-être oui, mais c’est mon fils donc il a de qui tenir génétiquement. Bref, combien de temps il a mis pour la sortir.  

 

- De là où nous étions, avec une Kazue hystérique, morte d’angoisse pour ton fils, Doc, on a rien entendu pendant près de 30min. C’est à la 31ème qu’une petite voix nous ait parvenu. Ce petit malin avait laissé un talkie-walkie dans la poche de Doc. Il était à mis chemin et disait que Saiyuri peinée à marcher. Alors il nous demandait de venir discrètement à leur rencontre, et on la fait tout de suite. Ensuite après avoir vérifié si elle ne portait pas d’émetteur, on est rentré en faisant beaucoup de détours, voir des ronds points plusieurs fois avant de venir ici directement. Et nos deux passagers dormaient paisiblement à l’arrière, Junior dans les bras de sa tante, le sourire aux lèvres. C’était un beau spectacle, on airait dit Kaori avec lui, j’en pleurerais presque, renifle Riu-Han en séchant de sa manche, ses larmes de crocodile.  

 

- Il est vraiment étonnant vu son jeune âge, hallucine Saeko en sifflant d’admiration.  

 

- Je sais, parfois j’ai l’impression qu’il grandi trop vite. Les enfants du village en bas le surnomme, le « Cerveau », révèle Ryo en souriant quand sa femme revient de la cuisine et l’enlace amoureusement en lui disant que c’est parce qu’il a un père exemplaire. Puis elle les invite à rejoindre la table.  

 

Ils dînent dans la bonne humeur entre les fous rires, les coups de massues avant de passer aux choses sérieuses. Ryo fait un court discours, sur le fait que s’il devait y avoir des morts, il veut que ça soit chez les méchants. Ensuite il s’est éclipsé pour rejoindre sa femme qui, de sa belle robe orange, avait enfilé sa tenue de camouflage. Il la retrouve dans la chambre de leur fils.  

 

- Il dort comme un ange. Il vient d’accomplir une mission au nez et à la barbe de vrais pros, et s’en est sortie sans dommage. Je suis la mère la plus comblée avec deux hommes exceptionnels comme vous deux, murmure Kaori, sentant la présence de son époux dans l’entrebâillement de la porte.  

 

- Oui, je suis heureux moi aussi qu’il soit revenue sauf, avec sa tante en plus. D’après, le vieux, Junior en plus d’être précis, rapide et d’un sang froid exemplaire, il redouble également d’inventivité sur le terrain, ça je me demande qui le lui appris ça.  

 

 

- Est-ce qu’on a eu tort de lui apprendre tout ça ? doute Kaori, inquiète qu’en agissant ainsi avec lui, ils avaient retiré son enfance.  

 

- Oui, car je vous veux à Shinjuku avec moi quand tout sera réglé, et pour cela, comme tu me l’as dit plus tôt le risque zéro n’existe pas, Junior doit être capable de se débrouiller s’il venait à se faire enlever, en notre absence, affirme Ryo en la tournant vers lui. Il l’embrasse langoureusement quand il se sent épier. Il sourit contre les lèvres de sa femme.  

 

 

- Pourquoi souris-tu ? s’étonne celle-ci en reculant sa tête.  

 

- Parce que le petit machin s’est réveillé, déclare-t-il en se penchant au dessus de son fils. Alors, bien dormi ?  

 

 

 

- Moui, tatie … grommelle Junior en se frottant les yeux.  

 

- Elle va bien, papy Doc l’a soigné et maintenant elle dort pour récupérer, la rassure Kaori lui faisant un bisou sur le front. Tu n’as rien à craindre ici, tes papys et tes tatas Kazue et Saiyuri vont rester avec toi, car on a du travail en ville. Tu me promets de dormir sagement en attendant ?  

 

- …  

 

- Ryo ?  

 

- Oui, répondent les deux ensembles.  

 

- Non pas toi, idiot, Junior je t’ai demandé quelque chose, lui dit-elle.  

 

- D’accord, maman. Je vais être sage, de toute façon c’est pas rigolo de faire des bêtises que vous êtes pas là pour vous énerver, se trahie Junior avant de mettre ses mains sur sa bouche.  

 

- Trop tard on a entendu, maman et moi, on en reparlera quand on reviendra après demain.  

 

- Alors c’est promis ?  

 

- Oui, on va revenir et tu sais pourquoi ? La questionne Kaori, en souriant.  

 

- … Junior se contente de secouer négativement la tête de gauche à droite.  

 

- Parce que nous t’aimons et pour rien au monde on t’abandonnerait, nous tes parents.  

 

- Ah ! Soupire d’aise le petit qui après un câlin à ses parents se recouche rassuré qu’à son réveil demain, ses parents seront là.  

 

 

Le couple redescend bras dessus, bras dessous, en arrivant au sous-sol tous les attendaient. Et c’est sous les encouragements des gardiens provisoires de la maison, qu’ils quittent leur refuge, le visage tendu et l’esprit tourné vers la bataille. Les routes étaient désertes, seuls un 4X4, une fourgonnette et un camion y circulaient en fil indienne. Ils quittaient le havre de paix qu’est la vie en campagne, recouvert d’un drap noir depuis le coucher du soleil, parsemé de ci et de là, par de petits brins de lumières isolés sous le regard éclairé de la lune pleine ; pour se jeter dans la fourmilière de lumières artificielles, qui représente la vie nocturne avec toutes ses nuisances.  

 

 

Ils se rendent tout d’abord dans l’une des planques de Falcon à l’abri des regards pour tâter le pouls de leur ville sans signaler leur retour. Il se situe dans la cave du restaurant d’une vieille dame, prénommée Sakura, qui est sous la protection depuis que Falcon avait aidé le clan Tadoshi, un petit clan de la mafia, à se reconvertir en serveurs, cuistots, etc. … en plus d’être les gardes du corps attitrés de Sakura. En échange, ils restaient tous en vie, ce qu’ils ont tous accepté, d’ailleurs certains d’entre eux se sont mariés et fondés une famille. Depuis ils sont les yeux et les oreilles de Falcon, lorsqu’il en a besoin et même quand ce n’est pas le cas, ils le tiennent simplement informés sur tout ce qui se passe dans le milieu.  

 

Cette dame, lorsqu’elle entend du remue-ménage dans sa cave, avait tout de suite préparé des encas avec deux de ses cuistots, puis Ils les avaient descendus, suivie par la dame âgée, pour leur souhaiter la bienvenue chez elle. Ensuite, ces deux derniers en disposant les plats et les boissons, leur ont fait part, qu’en ce moment un Monsieur K retourné toute la ville pour trouver une prisonnière qui lui a échappé. Mais aussi, qu’une grosse affaire allait se déroulé demain soir, mais que le lieu était tenu secret jusqu’au dernier moment. Ils les saluent chaleureusement en leur souhaitant bonne chance et merci. Car la vie était devenue ces derniers temps, un véritable enfer pour les pauvres gens comme eux.  

 

 

 

- On devrait les garder ici avec nous, ils savent qu’on est là …, s’inquiète Steven, quand l’aura meurtrière de grand balaise le traverse de part en part lorsqu’il croise son regard, caché par ses lunettes noires.  

 

- Du calme nounours, intervient Ryo. Euh, Torrens, vous devez savoir maintenant que nous ne faisons rien au hasard,  

 

- Steven, la coupe Kaori en se place entre les deux hommes sentant la tension que dégageaient les deux hommes. Il faut que tu calmes ta déformation professionnelle qui te pousse à soupçonner tout le monde sans arrêt. Tu m’as dit que tu avais confiance en moi. Ces derniers jours, tu as pu te rendre compte qu’ici, on est en famille. Pour un aussi grand coup, on ne fait confiance qu’à la famille. On est ici parce que c’est l’endroit le plus sûr qu’on ait. Je te signale que l’on vient rarement tous ensembles ici, vu l’âge de mamie Sakura, on ne veut pas que le milieu se serve d’elle contre nous. C’est grâce Umi, si on l’a rencontré et adopté aussitôt. On peut lui faire confiance ainsi qu’à ses hommes.  

 

- Dit plus tôt que c’est elle qui nous a adopté sans nous demander notre avis, se renfrogne Ryo, qui est aussitôt aplati par un boulet estampé :  

 

« Même un cas désespéré comme toi, peut trouver une âme assez charitable pour en vouloir dans sa vie. Signée Sakura qui vous aime tous, même toi Ryo ! Revenez-moi entier, mes petits »  

 

 

- Tu l’as bien cherché mon chéri, dit-elle en le relevant.  

 

 

- Vous allez finir par me tuer toutes les deux avec vos massue et vos boulets, rouspète Ryo en s’empoussiérant.  

 

- Tu n’as qu’à te tenir tranquille, lui reproche Saeko, en se passant une main dans les cheveux, ce qui fait réagir les trois pervers : Ryo, Mick et Cal qui lui bondissent dessus les mains devant.  

 

Trois boulets sortis de nulle part leur atterrissent sur le crâne. Les autres d’abord hébétés, regarde le corbeau traversant la pièce avec une banderole qu’ils lisent, avant qu’il ne disparaisse dans le mur : « Après deux pervers en voilà un troisième discret jusque là ». Ensuite, concentrent leurs regards se tournent vers les pervers les six fers en l’air tremblotant nerveusement, et surtout sur Cal qui avait caché son jeu jusque là.  

 

Au bout d’une heure, ils se séparent chacun à son objectif. Ils commencent par les différents entrepôts d’Ervins, les différents commerces sous sa protection et par informatique, Ethan pille tous ses comptes en piratant son ordinateur que Claudia avait eu le temps d’approché lors du gala.  

Ervins et Hernandez n’auront pas d’autres choix que de faire la vente comme c’était prévu. Après avoir bien mis la pression sur eux, ils rentrent éreintés à l’aube, au restaurant en ayant pris leurs précaution. Sakura les accueille chaleureusement avec un grand petit déjeuner et leur annonce qu’elle n’ouvrait pas aujourd’hui à cause d’une fuite d’eau. Ils se reposent chacun vaquant à son occupation. Torrens, Cal et Mick faisaient une partie de poker, partie très animée. Saeko, Ryo, Ethan et Falcon, étudiaient les renseignements et les preuves trouvés dans le PC d’Ervins, Sakura, Miki, Claudia et Kaori discutaient entre filles autours de boissons chaudes. Reika avait préféré s’isoler dans un coin du restaurant où elle finit par s’endormir. Tout comme Kaori, se sentant fatiguée, accepte de faire une sieste dans l’appartement de mamie Sakura au dessus. Ryo bien sûr la rejoint et constate qu’elle dormait profondément, alors il s’allonge à ses côtés sur le lit une place de la chambre d’amis, l’enserrant dans ses bras doucement pour ne pas la réveiller. Il la contemple un moment avant de s’endormir lui aussi, car par respect, Kaori n’a pas pu accepter de dormir sur le large lit de son ôte.  

 

La soirée et la nuit va être longue car l’assaut final aura lieu comme prévu le soir même. Ils allaient récolter le résultat de leur vendetta lancée la veille.  

 

 

Adam Stanton était devenu fou, jamais il avait essuyé une telle déroute. Personne ne l’avait poussé ans ses derniers retranchements comme aujourd’hui. Non seulement ses entrepôts ont été pillé pour être par la suite envahit par les forces spéciales, mais tout son bizness est tombé à l’eau. Pour ne rien ajouter, à tout cela, Hernandez avait perdu la fille donc aucun moyen de pression sur City Hunter, pour au moins réaliser sa vente en toute tranquillité. Le Ministre est sur le point de le laisser tomber sentant le vent tourner :  

 

- Ne croyez pas, que je suis à l’agonie. Que vous êtes en position de force, car c’est parfaitement faux. J’ai existé avant vous, je peux encore le faire sans vous. Et surtout si je nous débarrasse de City Hunter et toute sa bande ce soir. Vous ne pouvez plus vous retirez, encore moins maintenant que nous touchons au but, dit Adam le point serré. On va réaliser ce marché et seulement après on se quittera pour toujours je vous le garantie.  

 

- Ce sont des menaces ? se relève Zhao Tojiama, le fier ministre le défie ouvertement. Il se dit que finalement c’est lui maintenant qui avait besoin de lui.  

 

- Vous pensez être vous aussi à l’abri, lance Ervins en le fusillant du regard, ce qui lui ôte son sourire mesquin. City Hunter m’a certes frappé et durement je le reconnais, mais pensez-vous qu’il va laisser à un poste aussi important un crapule comme vous. Le chef du gouvernement qui joue sur les deux tableaux, hein ?  

 

- Il ne sait rien de mon implication…  

 

- Que vous dîtes ! J’espère que ça vous aide à dormir. Car un pro tel que lui, ne doit pas mettre longtemps à comprendre que si j’ai pu m’implanter aussi rapidement sans que la police ne m’arrête au Japon, c’est qu’un haut placé corrompu doit m’aider. Et selon, mes sources il a, à plusieurs reprises, failli vous coincé, Monsieur Le Ministre Zhao Tojiama. Vous êtes très célèbre, alors pour vous faire tomber il faut des preuves, et je pense qu’il veut vous voir toucher les abysses avec la manière, du moins c’est que je ferais si j’étais lui. Alors vous allez sagement vous tenir aux accorts déjà conclus. Une longue soirée nous attend, Hernandez est sur place et il s’occupe de la sécurité et de ce pas, nous y allons ensemble. On est inséparable maintenant. J’espère que la réussite de cette vente, pour que nos chemins se séparent juste après.  

 

 

 

 

La messe est dite. Ce soir, une rude bataille aura lieu et une vengeance sera accomplie. Mais pour qui ?  

 

 


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