Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: kelele

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 2 capitoli

Pubblicato: 03-11-08

Ultimo aggiornamento: 24-12-08

 

Commenti: 19 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Suite de la fic "Dangers,rivalités et...Amours".On retrouve notre bande de nettoyeurs et leur famille beaucoup plus tard.

 

Disclaimer: Les personnages de "La vie continue" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La vie continue

 

Capitolo 2 :: Chapitre 2

Pubblicato: 24-12-08 - Ultimo aggiornamento: 25-01-09

Commenti: Coucou!!Désolé d'avoir mis autant de temps pour poster la suite(petite panne d'ordi^^).Vu que c'est noël,où plutôt le réveillon,j'ai tout fait pour pouvoir vous poster ce chapitre qui excusez-moi, n'a pas de titre.Donc merci à Yunalescaminnie,Sgue1,Cristina,Kaori62,Tartare,Saoria,RKever,Tokra,Indiana,Milkaly et Nanou pour leur reviews.Peut-être la suite de de cette fic ou de ma fic "mariage,mariage" avant la nouvelle année.Mais je ne peux rien vous promettre.Continuez surtout à poster la suite de vos fics que j'adore tant.Même si je ne met pas de reviews sur certaines fics je les lis quand même.Un merci particulier à RKever pour son gentille message.A bientôt.Joyeux noël à tous et à toutes.Kelele,BSX!! !!

 


Capitolo: 1 2


 

Soupirant une énième fois, Ryoko se leva et se posta devant la fenêtre. Qu’est-ce que Kaori pouvait bien faire ? Voilà la question qu’elle se posait. Sa mère lui avait demandé d’attendre cinq minutes et trois quarts d’heure étaient passées depuis. Elle n’en pouvait plus de cette attente. Elle détestait qu’on la fasse attendre, tout comme son père. Son père. Rien que d’y penser, ça la rendait folle de rage. Elle commença à marcher de long en large dans sa chambre afin de se calmer mais tout cela ne servit à rien. Le visage de son père restait imprimé dans sa tête.  

Elle aurait du savoir que son père allait draguer aujourd’hui. Il faisait beau et en plus, il y avait de plus en plus de mini-jupes dans les rues. Elle se tira les cheveux en se laissant tomber sur son lit. Cette fois, elle allait retenir la leçon.  

 

 

 

 

Ryoko et Hiromi poussèrent la porte d’entrée de leur magasin préféré et ouvrirent de grands yeux en voyant toutes les nouveautés. Comme d’habitude elles savaient, ou plutôt Ryoko savait qu’elle allait repartir avec quelque chose.  

Mais tout ça n’était rien comparé à ce qu’elle avait dans les mains à peine une heure après.  

C’est le sourire aux lèvres que Ryoko sortit suivie de près par Hiromi qui n’avait qu’un paquet dans les mains. Hiromi voulu payé mais comme souvent, Eriko leur avait tout offert.  

 

-Ryoko, comment vas-tu expliquer tout ça à tes parents ? lui demanda Hiromi. Tu as vu tout ce que tu as pris ?  

 

-T’inquiètes, je les range dans l’armoire avec mes autres vêtements et ni vu ni connu.  

 

-Ok ton père ne connait pas ta garde-robe par cœur mais tu ne peux pas dire que ta mère n’y verra que du feu.  

 

- Hum, je n’y avais pas pensé. Pourquoi les mères connaissent tout de leurs enfants ? Ryoko réfléchit un instant. Ce n’est pas grave, je trouverais bien une solution. Tant que j’arrive à emmener tout ça dans ma chambre, le reste n’est pas bien grave.  

 

-A ta place je ne sourirai pas trop vite, dit Hiromi. Regarde de l’autre côté de la rue.  

 

Ryoko tourna légèrement la tête comme si ça ne l’intéressait pas et finit par ouvrir de grands yeux quand elle aperçut la personne qui était sur le trottoir d’en face. Elle se retourna brusquement.  

 

-Hiromi, appela-t-elle. Tourne-toi.  

 

-C’est trop tard, répondit celle-ci les dents serrées tout en souriant.  

 

-Et pourquoi ?insista Ryoko.  

 

-Tonton Mick et ton père m’ont déjà repéré.  

 

-Ils arrivent ?demanda Ryoko.  

 

-Non. Tonton Mick nous fixe et ton père s’est tourné pour téléphoner je crois. A qui crois-tu qu’il téléphone ? Hiromi sourit de plus belle à Mick.  

 

-Si c’est à ma mère, elle va m’en vouloir à vie. Elle n’aime pas que j’aille à la boutique et que je laisse tante Eriko nous faire des cadeaux. Surtout que cette fois, j’me suis pas contenté d’un petit haut.  

 

-Plus le temps de réfléchir poulette, annonça Hiromi. Ils traversent la route.  

 

-Mince. Qu’est-ce qu’on va faire ?  

 

-Comment qu’est-ce qu’on va faire ? Qu’est-ce que tu vas faire ! Je t’avais prévenu.  

Hiromi avait desserré les dents pour pouvoir parler librement.  

 

-Alors tu va me lai…  

 

-Bonjour tonton Mick et Ryo !la coupa Hiromi. Belle journée n’est-ce pas. Ca fait du bien de respirer un peu d’air frais. Elle respira longuement pour donner plus de poids à ses arguments. Vous ne draguez pas aujourd’hui ? Les jeunes femmes ont décidé de mettre des pantalons ?  

 

A côté d’elle, Ryoko qui était de dos pouvait sentir le regard pesant de son père. Comment allait-elle se sortir de là ? En tous cas, pas avec l’aide d’Hiromi.  

Elle ne put réfléchir plus longtemps car Mick venait de prendre la parole.  

 

-On a assez dragué pour aujourd’hui.  

 

-C’est vrai ? Pourtant il n’est que 11 heures et je ne vois aucune trace de gifle sur vos visage ni aucune bosse, renchérit Hiromi.  

 

Ryo fronça les sourcils et s’approcha des deux jeunes filles.  

 

-Et vous ? Je vois que vous avez fait du shopping. Ryo se tourna vers sa fille avec un sourire espiègle. Tu m’as l’air bien chargé Ryoko. Tu nous montre ce que tu as acheté. J’oubliais, tu n’as pas d’argent. Tu n’as quand même pas volé ?  

 

-Je suis démasqué je l’avoue, je suis coupable. Ryoko se retourna.  

 

-Quoi, t’as vraiment volé ?demanda Mick bêtement.  

 

-Mais pour qui tu me prends ?!Répondit Ryoko. Eriko nous a tout offert.  

 

-Tu profites encore et toujours de la gentillesse d’Eriko. Tu oublies que ta mère déteste qu’on profite des gens, lui rappela Ryo.  

 

-Je ne profite pas d’Eriko ! D’ailleurs, Hiromi voulait tout payer.  

 

-Donc tu profites aussi d’Hiromi ? Ryo croisa ses bras sur son torse.  

 

-Papa, tu le fait exprès. Tu ne sais pas ce que c’est que de ne pas avoir un rond.  

 

- Arrêtes-moi ton cinéma tout de suite ! Tu n’es pas pauvre et tu peux très bien avoir de l’argent. Tu ne sais pas ce que c’est de ne pas avoir un rond comme tu dis. Tu es juste irresponsable. Tu ne sais pas de quoi tu parles.  

 

Ryo avait maintenant une voix ferme. La « pauvreté » était un sujet qu’il connaissait très bien. Ryoko n’avait pas le droit de dire ça. Elle avait un foyer, une mère et un père qui l’aimaient éperdument. Elle ne pouvait pas se permettre de dire qu’il ne savait pas ce que c’était de ne pas avoir d’argent. Il lui apprenait juste à être responsable. En même temps, elle ne pouvait savoir de quoi il parlait.  

 

De son côté, Ryoko avait été surprise par le ton ferme employé par son père. Elle ne comprenait pourquoi il s’emballait pour si peu.  

Préférant éviter d’énerver son père, elle lui demanda ce qu’ils allaient faire de tout les vêtements.  

 

-C’est simple, répondit Ryo. On les rend à Eriko.  

 

-Quoi ?!S’exclama Ryoko. Eriko ne voudra pas les reprendre. Il y en a beaucoup trop. Ca lui ferait beaucoup trop de travail en plus.  

 

-T’inquiètes pas pour ça.  

 

-Mais papa…  

 

-On ne discute pas jeune fille et on avance. Ryo la tourna, posa ses mains sur son dos et la poussa vers l’avant. Mick, tu peux y aller je crois que je vais rentrer directement après ça.  

 

-Ok mon pote. Je vais ramener Hiromi au Cat’s. A plus.  

 

Après un dernier signe de tête, Ryo et sa fille disparurent dans le magasin.  

Hiromi se tourna vers Mick.  

 

-Tonton Mick, j’ai plus 2 ans. Je peux rentrer seul.  

 

-Je sais. Je veux juste aller dire bonjour à mon Umi-chou.  

 

-Génial. Et c’est qui qui va faire payer les réparations ? Surement pas toi.  

 

 

-Ne sois pas si négatif. Tu…  

 

Mick ne finit pas sa phrase. Kaori venait de se garer juste devant lui.  

Il s’empressa d’aller lui ouvrir la portière.  

 

-Bonjour beauté de mes rêves. Comment vas-tu par cette journée ensoleillée ?  

 

-Bonjour Mick. Où sont Ryo et Ryoko ? demanda Kaori en regardant autour d’elle. Il m’a pourtant dit de le rejoindre dans cette rue, devant le magasin d’Eriko. Elle fronça les sourcils. Devant le magasin d’Eriko, répéta t-elle.  

 

 

C’est à ce moment qu’elle s’aperçut de la présence d’Hiromi, et surtout du paquet qu’elle avait dans ses mains.  

 

-Bonjour Hiromi.  

 

-Bonjour tata Kaori, répondit Hiromi un peu mal à l’aise.  

 

-Journée shopping hein ?  

 

-Non non. C’est juste un cadeau pour maman, mentit Hiromi.  

 

-Ha oui ? Combien il t’a coûté ?demanda Kaori.  

 

-Pff…Rien du tout, répondit Mick à la place d’Hiromi. C’est Eriko qui le lui a offert. D’ailleurs, elle à offert une tonne de choses à ta fille.  

 

-Quoi ?!Dis-moi que Ryoko et Ryo sont dans le magasin. Kaori s’était tourné vers Mick.  

Celui secoua sa tête de haut en bas pour lui répondre.  

 

Kaori soupira en secouant la tête.  

 

-Nous on va y aller. Au revoir Kaori.  

 

Mick prit Hiromi par les épaules et s’engouffra dans la foule.  

 

Kaori les regarda s’éloigner avant de se tourner vers le magasin d’Eriko. Elle n’eut pas besoin de faire un pas car Ryoko et Ryo venait de sortir du magasin. Ryoko s’approcha d’elle et l’embrassa sur la joue en lançant un « salut maman » d’une voix incertaine. Kaori sourit gentiment à sa fille avant de passer les clés de la mini à Ryo. Celui-ci grimpa dans la voiture très vite imitée par sa fille qui ne comprenait pas pourquoi sa mère ne la grondait pas.  

Kaori fit un signe de main à Eriko avant de prendre place sur le siège passager.  

 

La mini démarra pour emmener ses trois voyageurs vers leur habitat.  

 

 

 

 

Fatigué d’attendre, Ryoko se releva et se dirigea vers son armoire. Trouvant un survêtement approprié pour la saison, elle le revêtit avant d’aller se placer devant la fenêtre.  

Elle avait besoin de courir, de faire des exercices, n’importe quoi. Tout sauf cette attente interminable.  

 

Alors qu’elle s’apprêtait à sortir en douce, Kaori entra à ce moment-là.  

 

-Je peux savoir où tu vas ?  

 

Ryoko se figea.  

 

-Tu peux annuler ta sortie tout de suite parce que toi et moi, on va parler. On a beaucoup de choses à se dire.  

 

Ryoko descendit de la fenêtre, la referma et alla s’asseoir sur son lit.  

 

-Si c’est à cause de ce matin, je suis désolé. Je recommencerai plus.  

 

-Oh mais ça j’en suis sure, répondit Kaori en allant s’asseoir à côté d’elle. Ce n’est pas ce qui me gène le plus et puis de toute façon, je ne vais pas te punir.  

 

-C’est vrai ?demanda Ryoko surprise.  

 

-Oui.  

 

-Oh merci maman je t’adore ! Ryoko lui sauta au cou et l’embrassa.  

 

-Ne te réjouit pas trop vite. Je t’ai dit que je ne te punissais pas mais je n’ai pas dit que ton père ne te punissait pas aussi.  

 

-Quoi ?!  

 

Ryoko s’éloigna de sa mère sur son lit en croisant bras, l’air boudeuse.  

 

-Arrête de bouder. Plus sérieusement, parle-moi de Chiyo.  

 

-Qui ça ?!S’exclama Ryoko en ouvrant de grands yeux.  

 

-Tu as très bien entendu. Kaori s’installa plus confortablement sur le lit. C’est ton petit copain c’est ça ?  

 

-Mais comment est-ce que tu…  

 

-Je suis ta mère Ryoko, la coupa Kaori. Je sais tout.  

 

 

 

 

 


Capitolo: 1 2


 

 

 

 

 

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