Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autori: saoria , tennad , RKever , Indiana , usakisa , bulma , paty , lyly , TOKRA , bindy5 , Kaoridu86 , Catzen20

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 02-02-09

Ultimo aggiornamento: 11-11-09

 

Commenti: 189 reviews

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Humour

 

Riassunto: Dans cette fic, vous trouverez: Des stripteaseurs, un remake de Flashdance, Kaori en infirmière, une chienne bientôt à terme, Ryô impuissant, un perroquet complètement fêlé du ciboulot, des journalistes en attente du scoop du siècle, une revue porno collector à 120480 yens et le tout sur fond de romance! allez voir!

 

Disclaimer: Les personnages de "Une cliente un peu particulière" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une cliente un peu particulière

 

Capitolo 16 :: Rien n'est jamais simple (Catzen20)

Pubblicato: 19-05-09 - Ultimo aggiornamento: 19-05-09

Commenti: Coucou tout le monde ; ainsi je me lance dans cette aventure (recrutée par Toto :* ). J'espère que vous aimerez ce chapitre. Merci à ma béta Grisou pour y avoir jeté un coup d'oeil. Bonne lecture ^_^ Cat

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Ryô se retrouva sur le dos, il en était tombé à la renverse. Douchka vint s'installer à côté de lui et continua de lécher son visage.  

 

- Un cauchemar, c'est un cauchemar se lamenta-t-il avant de se reprendre et de crier,  

 

- SAEKO, REVIENS IMMÉDIATEMENT !  

 

Il eut à peine fini que la porte s'ouvrit de nouveau. L’inspectrice ne passa que la tête pour informer le nettoyeur,  

 

- Ryô, elle est pleine, donc soit très gentil avec elle et n'oublie de la brosser tous les jours !  

 

Sur ce, la porte se referma aussi vite qu'elle avait été ouverte.  

 

- Non mais, dit-il, c'est pas possible. On n'est pas une pension pour animaux. A ce rythme là, il va falloir changer nos tracts : City Hunter, hôtel-pension pour vos animaux !  

 

Ryô était toujours à terre, Douchka avait maintenant ses pattes sur son estomac et le regarda. C'est alors qu'elle décida de carrément venir s'asseoir sur lui. Ryô poussa un cri de douleur. Elle écrasait son pauvre mokkori.  

 

A son cri, elle s'en alla et s'assit juste auprès du pauvre Ryô.  

 

Ryô tourna la tête et l'examina. Douchka était une chienne de taille moyenne, de couleur grise-ardoise. A vu de nez, elle devait faire une vingtaine de kilos. Son corps était long, une tête large et aplatie avec un museau imposant. Ses oreilles étaient tombantes. Son poil était long et plat, à partir des joues et du menton qui lui donnait l'impression d'avoir une sorte de barbe.  

 

Il avait les yeux humides,  

 

- Pourquoi tout le monde s'en prend à mon pauvre mokkori, il est gentil. Se mit-il à pleurnicher.  

 

Quand soudain, la dernière phrase de Saeko lui revint en mémoire.  

 

Il se mit en position assise et se mit à réfléchir.  

 

Qu'avait-elle bien pu vouloir dire par "elle est pleine" ?  

 

Tout à coup, il ouvrit la bouche en grand, si grand que sa mâchoire aurait pu se retrouver à terre. Il regarda la chienne qui n'avait pas bougé.  

 

D'un bond, il se releva et courra tant bien que mal à la fenêtre. Si quelqu'un avait été témoin de la scène, il aurait cru voir une sorte de crabe qui tentait de se diriger comme il le pouvait pour atteindre la fenêtre.  

 

Une fois arrivée à son but, suivie de près par Douchka, il se releva en grimaçant et ouvrit la fenêtre.  

 

Saeko était en train de monter dans sa voiture après avoir malencontreusement écrasé le saucisson Doc. Celui-ci après sa chute "accidentelle" s'était retrouvé à quelques mètres de la porte d'entrée et il tentait tant bien que mal en glissant tel un ver de terre de regagner l'appartement.  

 

Quand il avait vu Saeko arriver, il s'était dit que peut-être en lui faisant les yeux doux, elle l'aiderait à se libérer. A son appel, elle avait à peine daigner le regarder. Et quand avec un grand sourire, il lui avait demandé si elle voulait bien le libérer, elle s’était contentée d’hausser les épaules et était entrée dans l'immeuble avec… avec un chien !  

 

Doc avait réussi à atteindre la porte d'entrée, quand elle en était ressortie, seule, ouvrit des yeux ronds et un sourire se dessina sur ses lèvres.  

 

Sans y prêter plus attention, Saeko l'écrasa sous un de ses talons aiguilles. Elle fit un léger oups quand elle entendit Doc hurler.  

 

- Pour te faire pardonner ma douce Saeko, tu ne voudrais pas me libérer. Je serais me montrer extrêmement reconnaissant, dit-il alors que la bave commençait à apparaître aux commissures de ses lèvres.  

 

- Débrouillez-vous tout seul, et puis si vous êtes ainsi c'est certainement que vous l'avez cherché ! Lui répondit l’inspectrice en poursuivant son chemin pour atteindre sa voiture.  

 

Elle était sur le point d'y monter quand une voix l'interpella,  

 

- SAEKO !!!!  

 

Elle releva les yeux. Il venait de comprendre. Un léger sourire se dessina au coin des lèvres de l’inspectrice. C’est ravie qu’elle monta dans sa voiture et qu’elle quitta l’immeuble de briques rouge.  

 

Dans l'immeuble d'en face, un homme était avachi sur son canapé et dormait paisiblement devant la télévision, quand un beuglement le réveilla en sursaut et le fit tomber de son canapé.  

 

- Mais qu'est-ce que ? Demanda l’homme en se grattant la tête. Il décida d'aller voir chez ses voisins pour savoir ce qu'il leur arrivait « encore » !  

 

Voyant la voiture de Saeko partir, Ryô souffla de dépit. Il s'était encore fait avoir, mais cette fois-ci, c'était le pompon ! Elle l'avait vraiment bien eu. Pourquoi se faisait-il toujours avoir comme cela ?  

 

Douchka s'était assise et le fixait avec de ses grands yeux ronds. Elle ne le quittait pas.  

 

- Super, pour une fois que j'ai la cote avec une fille ! Il baissa la tête en signe de défaite.  

 

Puis, un voile de tristesse apparut sur son visage. Avec tout cela, il en avait oublié ce qu'il avait fait à Kaori. Elle n'avait toujours pas réapparu depuis les paroles horribles qu'il avait prononcées quand Saeko était arrivée.  

 

Comment lui expliquer son attitude ? Ses mots avaient profondément blessé Kaori, il le savait, il l'avait vu dans son regard. Que pouvait-il bien faire maintenant pour se faire pardonner ?  

 

Il était perdu dans ses pensées, quand il sentit une petite langue sur sa main. Quand il posa les yeux sur Douchka, celle-ci s'arrêta et mis sa tête sous sa main. Machinalement, il la caressa.  

 

Il soupira, puis leva les yeux vers la chambre de Kaori. Il fallait qu'ils parlent. Qu'ils crèvent cet abcès.  

 

Oui, mais comment ? Que pouvait-il lui dire ? Comment lui expliquer que c'est justement parce qu'elle lui fait un effet comme aucune autre femme, qu'il a agit de la sorte.  

 

Il se décida à aller parler à Kaori quand il entendit sa porte de chambre s'ouvrir.  

 

Elle descendit les escaliers et se dirigea vers la cuisine sans un regard pour son partenaire ni pour leur nouvelle cliente-pensionnaire.  

 

- Kaori, tenta timidement Ryô.  

 

Mais celle-ci ne releva même pas.  

 

Ryô déglutit, non seulement par l'ignorance affichée par son ange à son égard mais aussi et surtout par la façon dont elle était habillée.  

 

Quand il la vit en bas des escaliers, son sang ne fit qu'un tour. Elle était magnifique. Elle avait mis une petite robe noire qui lui arrivait juste en haut des genoux. Un léger décolleté en v qui arrivait juste à la naissance de sa poitrine.  

 

Elle avait aussi mis des collants de couleur satinée et des chaussures à petits talons aiguilles, qui mettaient en valeur ses longues jambes.  

 

Une petite touche de maquillage relevait sa beauté naturelle et faisait ressortir ses yeux.  

 

Tout cela ne lui disait rien qui aille…  

 

D'un pas peu assuré, il se dirigea vers la cuisine suivit de près par Douchka.  

 

Quand ils y pénétrèrent, Ryô vit Kaori qui était en train de préparer quelque chose.  

L'heure du dîner approchait après tout.  

 

- Kaori ? il renouvela sa tentative.  

 

- Qu'est-ce que tu veux Saeba ? Lui dit-elle en se retournant et en le fixant dans les yeux. Le ton qu'elle avait employé était dur.  

 

Si elle avait voulu lui faire mal, elle n'aurait pas pu s'y prendre mieux.  

 

- Ne m'appelles pas comme cela. Je ne veux que tu m'appelles ainsi, Kaori. Il soutenait son regard mais sa voix était emplit d'une réelle tristesse.  

 

- Pourquoi ? Demanda-t-elle en s’approchant de lui. Cela te ferait-il mal ?  

 

Le regard de Kaori était noir. Noir d’une colère et d’une haine que le nettoyeur ne lui avait jamais vues auparavant.  

 

- Tu sais bien que oui. Seuls mes ennemis m'appellent ainsi. Et tu n'es pas mon ennemi Kaori. Finit-il par dire d’une voix douce.  

 

Il tendit une main vers sa joue mais elle se détourna avant.  

 

- Tu sais ce que cela fait alors. Murmura-t-elle, d'une telle tristesse que cela en déchira le cœur du nettoyeur.  

 

- Pardonnes-moi, fut les seuls mots qu'il prononça.  

 

Kaori le fixa de nouveau. Fière et droite, elle lui lança,  

 

- Tu n’as rien à te faire pardonner.  

 

Il allait parler quand, elle leva la main pour le stopper et ajouta,  

 

- Rassures-toi j'ai enfin compris… Et à partir de maintenant, nous ne serons que des partenaires de travail et rien d'autre.  

 

- Kaori, ne fais pas cela. La suppliait-il.  

 

Les larmes aux yeux, elle lui répondit,  

 

- Mais moi, je n'ai rien fait…  

 

Durant tout le temps où Kaori était restée enfermer, elle avait réfléchit. Elle n'avait pas compris la réaction de Ryô. Il s'était montré si tendre. C’est lui qui l’avait embrassé, c’est lui qui avait dit qu’il avait besoin d’une femme. Et pourtant, quand Saeko était apparue, ses mots avaient été aussi blessants qu'ils avaient pu être tendre. Chaque mot avait été comme une lame de rasoir lui caressant le cœur.  

 

Elle chercha une explication. Mais après tout à quoi cela la mènerait-elle ? Les mots qu'il avait dits étaient gravés. Il lui avait fait si mal. Non, il n'avait pas le droit de lui faire cela. Alors, elle avait pris une décision… La décision.  

 

Ryô se sentit perdu, cette fois-ci il était allé beaucoup trop loin, il le savait mais à cet instant précis il comprenait la portée réelle de ses actes.  

 

Il aurait tellement voulu revenir en arrière, mais il savait que cela était impossible. Il la regarda œuvrer dans la cuisine..  

 

- Qu'est-ce que tu prépares ? Osa-t-il demander.  

 

- Je constate que tu t'es encore bien fait avoir avec Saeko. Répondit la jeune femme avec un petit sourire au coin.  

 

- Elle s'appelle Douchka.  

 

- Oui, je sais. J'ai entendu.  

 

- Elle nous l'a laissée pour quelques jours.  

 

- Pas à « nous » mais à « toi » tout seul. Tu as accepté l'affaire donc, c'est à toi de t'en occuper.  

 

Il n'eut pas le temps de répondre, qu'elle quitta la cuisine. Il resta bouche bée à regarder son dos puis, réagissant enfin,  

 

- Kaori, il la suivit avec Douchka.  

 

Il la vit prendre sa veste et avant qu'il n'ait pu dire quoique ce soit, leur porte s'ouvrit et Mick apparut tirant derrière lui Doc encore enveloppé comme un sushi.  

 

- Vous pouvez me dire ce qui se passe chez vous à la fin ?  

 

Puis, voyant Kaori, il lâcha Doc et se jeta sur elle,  

 

- Kaori, ma douce, tu es superbe. Viens me faire un bisou.  

 

Au lieu d'atteindre les lèvres de sa douce Kaori, les siennes percutèrent une massue où il était inscrit "Tous à abattre".  

 

Mick alla s'encastrer dans le mur à côté de la porte où Doc se trouvait.  

 

- Mick a raison, ma belle Kaori, dit mielleusement Doc de peur de la réaction de la nettoyeuse. Puis, regardant dans l'appartement, et ne voyant pas Esmé, il demanda où elle se trouvait.  

 

- A l'étage, elle se tient tranquille elle. Quoiqu'elle n'ait pas vraiment le choix, si elle ne veut pas finir grillée !  

 

Elle finit d'enfiler sa veste.  

 

- Tu sors ? Se hasarda à lui demander Ryô.  

 

- Cela se voit, non. Lui répliqua-t-elle d'un ton sévère.  

 

Les trois hommes présents la regardèrent avec stupéfaction. Aucun d'eux ne l'avait déjà vue ainsi.  

 

Mick et Doc se regardèrent et hochant la tête se dirent, que cette fois-ci Ryô avait vraiment dû faire l'idiot.  

 

Prenant son sac, elle se tourna vers Ryô et lui dit,  

 

- Comme je ne tiens pas à ce que tu empoisonnes ta nouvelle cliente, j'ai préparé quelque chose à Douchka.  

 

Puis, elle tourna les talons et se dirigea vers la porte la tête haute mais le cœur lourd.  

 

- Où vas-tu ? Questionna Ryô.  

 

- A un spectacle. Bien que cela ne te regarde pas, lui répondit Kaori avec un sourire mutin.  

 

A la vue du regard triste et sombre de son ami, Mick avait compris qu’il voulait en savoir un peu plus.  

 

- C'est bien ma douce, lui répondit l’Américain tout sourire, tu as raison de vouloir te changer les idées. Et quel spectacle vas-tu voir ? demanda-t-il.  

 

Avec le plus grand naturel, Kaori répondit,  

 

- De Chippendale.  

 

Mick acquiesça,  

 

- C'est bien, et cela parle de… QUOI ? ! ! Son cerveau venait d’analyser la réponse  

 

Ryô n'avait pas bougé. Non, elle ne pouvait pas. Bien qu'elle le lui ait dit. Non, si elle devait voir le corps d'un homme, cela ne pourrait être que le sien. Puis, il réalisa que dans ce genre de spectacle…Il déglutit. Non, jamais, elle n'oserait. Elle était bien trop timide pour cela.  

 

Mais d'un autre côté, elle avait dit qu’elle y allait. Rien qu'à la pensée qu'elle pourrait caresser et mettre un billet dans un des strings, il serra ses poings à s'en faire blanchir les phalanges. Mais une pensée encore plus « hot » lui vain à l’esprit. Elle allait en voir plusieurs se dandiner et défiler sous ses yeux. Elle allait même pouvoir huiler des corps muscler. Sa Kaori allait… Elle si pudique, si timide, si… Si…  

 

- Haaaaa.  

 

-Tu…Tu n'es pas sérieuse, ma douce. Lui demanda Mick les larmes aux yeux. Pourquoi veux-tu aller voir des inconnus alors que je suis là. Un corps parfait à ta disposition.  

 

L’Américain bomba le torse afin d’appuyer ses dires. Kaori ne releva même pas la remarque mais marmonna qu'après le strip-tease de Doc il lui faudrait de nombreuses séances pour oublier. Elle en frissonna et fit une grimace rien qu'en y repensant.  

 

Sur ce, elle quitta l'appartement.  

 

-Ryô, tu la laisses y aller. Mick n'en revenait pas de l'attitude de son ami.  

 

- Comme si j'avais le choix. Dit-il d'un air de dépit.  

 

Douchka qui était à côté de lui, chercha sa main avec sa tête. Ryô se mit à la caresser.  

 

- Je suis le plus grand des crétins. Elle me hait … Finit-il par murmurer mais, pas assez faiblement pour ne pas être entendu par ses amis.  

 

 

 


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