Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: 1grisou

Beta-reader(s): Grifter, TOKRA

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 04-02-09

Ultimo aggiornamento: 07-11-10

 

Commenti: 158 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Avez vous déjà eu une impression de déjà vu ? Non ? Alors venez lire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Une journée sans fin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une journée sans fin

 

Capitolo 7 :: 5. Cupidon or not cupidon ?

Pubblicato: 29-03-09 - Ultimo aggiornamento: 29-03-09

Commenti: Salut vous tous. Voici un chapitre tout chaud j’espère qu’il vous plaira. Merci à Grifter pour sa correction et ses petits plus. Et bien sûr un grand merci à tous ceux qui me lisent fantôme et reviewers. Bonne lecteur kiss

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Ryo avait décidé d’aller rendre une petite visite à son ami Umibozu avant son rendez-vous au parc avec Saeko. Dans un premier temps, il espérait avoir un gros câlin avec Miki mais lorsqu’il était entré, il avait sauté immédiatement en direction du bar sans remarquer l’absence de cette dernière.  

 

- Merde j’avais oublié ! Elle dort, se souvint Ryo mais trop tard pour lui et c’est avec des grands yeux remplis de terreur qu’il réalisa sa méprise.  

 

Tout se déroula très vite. Le saut dans les airs digne d’un grand athlète, l’analyse de son erreur qui se matérialisa sous la forme d’un mini bazooka tout aussi puissant que tenait le barman. Le tir lui passa entre les jambes et frôla son mokkori puis il revint sur la terre ferme grâce au coup de poing d’Umibozu qu’il ne réussit pas à éviter.  

 

Le nettoyeur se releva péniblement en se tenant aussi bien le nez qui lui faisait mal, que son mokkori pour être sûr qu’il soit toujours présent, sain et sauf. Son temps de réaction trop lent avait failli lui coûter son bien le plus précieux et c’est en grognant contre Umibozu qu’il s’assit au comptoir.  

 

Le barman qui avait gardé son arme à portée de main, lui posa un café devant lui sans prêter plus que cela attention aux lamentations de son ami. Une fois calmée, Ryo lui exposa l’une des principales raisons de sa venue.  

 

- J’ai besoin que tu fasses une recherche pour moi.  

- Je t’écoute.  

- Vois ce que tu peux trouver sur RS Yotchi.  

- OK, répondit simplement le barman.  

 

Un silence s’installa entre les deux hommes. Umibozu sentait qu’une chose préoccupait le nettoyeur mais ne fit rien et continua à essuyer la vaisselle. Il n’avait pas pour habitude de s’occuper des affaires des autres, encore moins si s’était au niveau personnel comme il le présumait. Si Ryo souhaitait en parler, il le ferait de lui-même et au vu de son attitude, cela ne serait tarder.  

 

Le nettoyeur de son côté était tendu car il voulait demander conseil au barman mais, n’osait pas lancer la conversation et savait encore moins comment aborder le sujet « Kaori ». Il regardait sa tasse sans la voir tout en tapotant du doigt sur le comptoir. Finalement, il se lança, hésitant.  

 

- Dis Umibozu… Regrettes-tu ton choix en ce qui concerne Miki ?  

- Quoi ? Demanda le barman étonné de la question.  

- Le mariage, la situation face à tes ennemis ?  

- Pourquoi cette question ? Demanda le barman qui commençait à rougir face à cette question personnelle qui le déstabilisait.  

- Euh…Si je te dis comme ça, tu me crois ? Dit-il gêné maintenant qu’il avait lancé le sujet.  

- Non.  

 

« Merde dans quelle galère je me suis encore fourré » Pensa le nettoyeur.  

 

- Tu comptes l’épouser ?  

- Qui ca ?  

- Tu parles bien de Kaori, non ?  

- Hein ! NON. NON pas du tout ! S’exclama Ryo en s’agitant dans tous les sens, confus. Me marier avec elle ? Tu es fou ! Tu veux ma mort ou quoi ? Hurla-t-il.  

- Tsss ! Pourquoi cette question si se n’est pour faire avancer les choses entre vous ?  

 

Umibozu se tut, attendant la suite car il savait qu’il avait fait mouche et que le nettoyeur avait envie de changer les choses avec sa partenaire. Son aura le trahissait et Ryo ne semblait même pas s’en rendre compte.  

 

-Tu sais, je ne regrette rien. Et en plus je devrais te remercier car c’est grâce à toi d’ailleurs que j’ai Miki au près de moi. Alors demande-toi pourquoi tu as aidé Miki à être à mes côtés alors je pensais comme toi et quelle est la différence entre toi aujourd’hui et moi à l’époque ? J’ai pris ma retraite, tu peux donc en faire autant et tu le sais. Alors, arrête de te torturer pour rien car ce n’est pas toi qui en souffre le plus mais Kaori.  

 

Ryo leva la tête. Il n’en revenait pas. Umibozu lui parlait ouvertement, lui si discret d’habitude. Il lui avait ouvert ses pensées et comme à son habitude avait touché droit au but. Le barman était rouge écrevisse et fumait autant qu’une locomotive en essuyant nerveusement son verre mais il avait dit des paroles censées.  

 

Le nettoyeur sourit et salua Umibozu avant de sortir de l’établissement puis il partit en direction du parc où il avait donné rendez-vous à Saeko. Les paroles du barman résonnaient encore dans sa tête, le faisant réfléchir plus qu’il ne l’aurait imaginé. Soudain un picotement se fit ressentir au niveau de sa nuque. Cherchant du regard ce qui pouvait le causer, il aperçut non loin de lui une personne qui marchait dans sa direction. La silhouette qui dans un premier temps était floue se fit de plus en plus nette au fur et à mesure qu’elle se rapprochait.  

 

Ryo se figea en reconnaissant la personne.  

 

- Haaaaaaa non encore pas elle ! Se mit-il soudain à pleurer.  

 

Il regarda de part et d’autre à la recherche d’une cachette, mais rien. Il y avait bien des magasins aux alentours mais il ne voulait pas y entrer. Si quelqu’un le voyait entrer dans un magasin pour bébé ou dans celui vendant des d'articles de mariage sa réputation allait en prendre un coup ! Alors, il traversa subitement la rue. Des pneus grincèrent et plusieurs conducteurs jouèrent du klaxon tout en montrant les poings mais Ryo n’en fit pas cas pour l’heure, il voulait avant tout se cacher de « Mémé baston ».  

 

Ainsi, derrière les présentoirs d’un fleuriste, il chercha méfiant la vieille dame du regard. Ne l’apercevant plus, il poussa un soupir de soulagement.  

 

- Ouf ! J’ai eu chaud, fit-il en se retournant prêt à reprendre sa route. HAAAAAAAAAAAAA ! .  

 

Non ! Impossible ! Son cauchemar vers lui. La vieille dame avait traversé mais quand ? Il ne l’avait perdu de vue qu’une seconde pourtant ! Pas assez pour lui permettre de traverser la route, surtout vu son âge. Et maintenant elle arrivait dans sa direction. Elle était plus qu’à trois mètres de lui… Deux mètres… Un mètre…  

 

Il ferma les yeux le plus fort possible, attendant l’inévitable collision mais, rien. Les secondes passèrent mais toujours rien. Etonné, il rouvrit les yeux et la vit à côté de lui, regardant les fleurs. Puis elle tourna doucement la tête vers lui et… Lui sourit ?  

 

Ryo n’en revenait pas, cette journée était vraiment bizarre ! D’abord sa conversation avec Kaori, ensuite la boite à une place différente… Et maintenant la vielle dame qui lui souriait.  

 

« Plutôt étrange » Pensa-t-il en en rendant son sourire à la vieille dame.  

 

La surprise passée, il partit en direction du parc où l’attendait Saeko. En pénétrant dans celui ci, il fut étonné par le nombre de personnes présentes. Le soleil avait fait sortir les mamans avec leurs enfants qui jouaient dans les bacs à sable tandis que les jeunes couples, main dans la main et sourire aux lèvres, déambulaient d’un pas nonchalant.  

 

Ryo les regarda avec envie, s’imaginant avec Kaori à ses côtés, belle et souriante. Etre en couple aux yeux et à la vue de tous comme n’importe qui, il en rêvait mais voilà, ils n’étaient pas comme tout le monde et le destin se chargeait de lui rappeler.  

 

- Bonjour Ryo.  

 

Le son de cette voix sensuelle le ramena sur terre et, tel un papillon attiré par la lumière, il se jeta corps et âme sur sa proie.  

 

- Bonjour Inspectrice de mon cœur !  

 

Mais avant d’avoir pu atteindre sa cible, il se retrouva à cracher ses dents.  

 

- Heureuse de te voir aussi.  

- On ne dirait pas pourtant, lui répondit le nettoyeur qui faisant mine de bouder.  

- Tu ne m’as pas fait venir jusqu’ici pour me saluer, déclara-t-elle. Alors je t’écoute, je suis pressée.  

- J’ai besoin d’un service.  

- Tiens donc, les rôles s’inversent ! Dit-elle joyeusement. Cela va te coûter cher. Disons…Cinq coups en moins !  

- Tu te fiches de moi ? Cria Ryo en sautant du banc. Après toutes les affaires que j’ai résolu à ta place, disons deux !  

- Bon, alors bonne journée, lui répondit l’Inspectrice en s’éloignant tout en lui faisant un signe de la main.  

- Non, attend !  

 

Ryo la rattrapa et lui répondit sur un ton boudeur :  

 

- Tu as gagné. Cinq coups mais pas davantage !  

- Je t’écoute, que veux-tu ? Demanda-t-elle heureuse d’avoir eu gain de cause.  

- Que tu fasses des recherches sur le passé de Kaori.  

- Sur Kaori ? Répéta Saeko abasourdie par la demande du nettoyeur.  

- Vois si tu peux trouver un lien entre elle et un certain RS Yotchi. Et…  

 

Il hésita un court instant.  

 

- Et ?  

- Si Maki a déjà eu à faire à lui.  

- Ryo que se passe-t-il ? Kaori a des problèmes ?  

- Cela se pourrait, lui répondit-il sans pour autant tout lui révéler. Mais tu ne dois rien lui dire et il me faut les réponses avant 18 heures.  

- Rien que ça ? Ok, tu peux compter sur moi mais comme je dois tenir ma langue et être rapide, cela te coûtera le double donc, dix coups en moins sur mon ardoise. A prendre où à laisser car j’ai une tonne de paperasse urgente sur mon bureau.  

- Tu ne perds pas le nord toi ! Dit Ryo les quatre fers en l’air.  

- C’est le métier, que veux-tu ?  

 

Il regarda Saeko partir avec un grand sourire car si la journée venait à recommencer encore une fois, les informations seraient gratuites.  

 

« Donc tout bénef » Pensa-t-il en se frottant les mains.  

 

13 heures 10, il était en retard et se rendit donc d’un pas pressé au magasin de la styliste afin de retrouver sa partenaire. Il avait décidé de ne pas la laisser seule aujourd’hui pour la protéger efficacement mais les semi-aveux de ce matin allaient rendre les choses compliquées. C’est le cœur battant à tout rompre qu’il pénétra dans le magasin où une vendeuse lui indiqua que Eriko et son amie se trouvaient dans l’atelier pour des retouches en vue du défiler du week-end prochain. Il les rejoignit et lorsqu’il entra, découvrit Kaori en tenue de soirée.  

 

Kaori était à mourir dans cette robe noire dévoilant ainsi ses épaules satinées. Comment résister ? Ryo ne pouvait pas résister, ces lèvres gourmandes l’appelaient. Elles ne demandaient qu’à être goutées…  

 

- Ryo !  

 

Ryo ne l’écoutait plus, imaginant parsemer de tendres baisers le cou de sa partenaire pendant que ses mains glisseraient le long de ses épaules satinées, atteignant bientôt la naissance de sa poitrine maintenue par le léger tissu entrelacé, descendant jusqu’à sa fine taille marquée par le bustier.  

 

- Ryo ?  

 

- RYO ! Hurla Kaori pour le faire réagir car depuis son entrée dans la pièce, il était resté figé comme si le temps avait suspendu son vol.  

 

Kaori le regardait le cœur battant à tout rompre voyant parfaitement son regard glisser sur elle partant de ses lèvres, passant à son cou puis à sa poitrine, s’arrêtant un instant sur celles-ci pour continuer sa course sur sa taille et finir sur ses jambes. Elle remarqua également le regard brûlant et brillant du nettoyeur, ce qui la fit rougir car, en temps normal ce regard était associé à son visage de pervers lorsqu’il y avait une miss mokkori en approche. Elle avait espéré à maintes reprises entrevoir juste une fois cette lueur d’envie dans les yeux de Ryo à son encontre. Là, il n’y avait aucun doute possible car elle était seule dans la pièce, Eriko étant partie chercher une autre robe.  

 

Ryo en pleine contemplation, n’avait pas entendu sa partenaire l’appeler. Le spectacle qui se jouait sous ses yeux le consumait entièrement. Il maudit le ciel d’avoir mit un ange sur sa route car le combat intérieur qu’il menait depuis six ans venait en une fraction de seconde basculait du côté de son cœur. Il la désirait ici et maintenant !  

 

Toujours dans un état de transe, il s’approcha de Kaori puis posa délicatement une main sur la nuque de la jeune femme, l’autre se saisissant de sa taille afin de l’attirer à lui et d’un geste tendre captura ses lèvres. Le feu ardant qui l’envahit, guida peu à peu sa conduite. Le mal était fait et rien ne pouvait l’arrêter  

 

Kaori surprise par le comportement de son partenaire se laissa faire. Rapidement, la passion enfouie depuis toutes ces années l’embrasa. Leurs langues se mirent à exécuter un ballet endiablé. Ils étaient à présent seuls au monde, enfin presque seuls car Eriko entre temps revint et les découvrant enlacés referma discrètement la porte sur eux.  

 

A suivre… 

 


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