Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Tenshi

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 30 capitoli

Pubblicato: 23-08-09

Ultimo aggiornamento: 19-10-11

 

Commenti: 244 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Une nouvelle aventure pour un couple mythique !

 

Disclaimer: Les personnages de "Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!

 

Capitolo 3 :: Client mystère

Pubblicato: 12-09-09 - Ultimo aggiornamento: 12-09-09

Commenti: Salut à toutes et à tous !! Merci encore pour vos reviews, c'est vraiment super sympa ! J'en profite également pour dire merci à ma bêta qui fait un travail formidable (bisous ma betâ !). Voici le chapitre 3, j'espère qu'il sera à votre goût ; bonne lecture et gros bisous !

 


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Dès qu’elle reconnut la voix de son meilleur ami, Kaori sut qu’elle était tirée d’affaire. Et apparemment, le nom de Mick faisait son petit effet sur le bandit et sa clique.

 

- Mick… Mick Angel ?! articula avec peine le meneur de bande, mort de trouille.

 

- Je le croyais mort… risqua l’un des voyous dans un murmure.

 

- Aniki ! C’est qui ce type ? demanda Kentaro, abasourdi de voir son patron trembler comme une fillette devant cet inconnu.

 

- La ferme, crétin ! C’est le nettoyeur n°1 des Etats-Unis… Ne bougez surtout pas, vous autres !!

 

- Très bon conseil, ‘patron’, ironisa Mick. N’empêche que tu as osé faire du mal à mon amie, et ça tu vas le regretter.

 

Le bandit entendit un ‘clic’ de mauvais augure. Mick venait d’armer le chien de son arme.

 

- Non… Attends mec, supplia l’homme, une goutte de sueur descendant lentement le long de sa tempe. Les gars, laissez la fille.

 

Les armoires à glace, en bons chiens obéissants, s’écartèrent aussitôt de Kaori.

 

- C’est bien, tu as l’esprit vif, se moqua Mick. Tu pourras voir le soleil se coucher ce soir. Et maintenant, DÉGAGEZ !

 

Les misérables s’enfuirent sans demander leur reste. Seul Kentaro osa se retourner furtivement, un étrange éclat animant son regard mêlé de déception, d’incrédulité et de colère.

 

Kaori en éprouva une sorte de malaise. Elle sursauta lorsque Mick posa la main sur son épaule. Il s’était aperçu de son trouble.

 

- Alors Kaori, tu te fais de nouveaux amis ? dit-il avec malice.

 

Kaori piqua un fard et regarda ses pieds, gênée.

 

- Ne te moque pas Mick, je me sens assez nulle comme ça… Mais merci d’être venu m’aider, dit-elle avec un sourire éblouissant qui chamboula le beau blond.

 

- À ton service, ma douce, répliqua-t-il en plongeant son regard azur dans les yeux noisette de son amie.

 

Kaori rougit de plus belle : elle était décidément trop timide. Mais cela faisait partie de sa personnalité, et cette timidité mêlée à son petit côté sauvage lui donnait un charme fou… qu’elle ne soupçonnait même pas.

 

Mick regarda avec tendresse son premier amour. Bien qu’il soit en couple avec Kazue, il conservait des sentiments particuliers pour ‘sa douce Kaori’. Ses pensées dérivèrent vers Ryô, son frère d’armes et ancien partenaire.

 

« Bon sang Ryô, qu’est-ce que tu attends pour avouer ton amour à Kaori ? Pourquoi te refuses-tu à faire le bonheur de cette femme extraordinaire… et le tien… »

 

- … tableau des messages… passer au café… Miki va s’inquiéter… Mick, tu m’écoutes au moins ?

 

Kaori s’inquiéta en remarquant son air absent.

 

- Hou, hou, la Terre appelle Mick ! dit-elle en agitant la main devant son visage.

 

- Hum ? Ah, excuse-moi, fit-il d’un air idiot, un bras replié derrière la nuque.

 

« C’est vraiment tout Ryô » pensa Kaori tandis qu’une libellule lui tombait sur la tête.

 

Elle quitta la ruelle en compagnie de Mick qui avait passé un bras protecteur autour de ses frêles épaules.

 

- Dis-moi Mick, que faisais-tu par ici ? demanda-t-elle tandis qu’ils se dirigeaient vers la gare.

 

- Hum… C’est un secret ! répondit-il d’un air énigmatique.

 

- Alors là, tu m’intrigues. De quoi s’agit-il, dis-moi ?

 

- Non, je peux pas, ma réputation en prendrait un sacré coup… C’est la honte !

 

- Allez Mick, je suis ta meilleure amie, fit Kaori d’un ton enjôleur. Et je ne dirai rien à Ryô, promis !

 

- Tu marques un point, ma belle ! Bon, je me lance… Demain, ça fera trois mois qu’on sort ensemble, Kazue et moi, et je voudrais marquer le coup, expliqua le nettoyeur blond à toute vitesse.

 

- Mick, c’est une merveilleuse attention ! s’écria Kaori, les yeux brillants. Je ne te savais pas si romantique !

 

- Moi non plus, à vrai dire…

 

« Hé hé… Après ça, Kazue voudra me remercier comme il se doit ! »

 

- C’est pas Ryô qui ferait ça ! continua Kaori tandis que Mick se recomposait rapidement un visage neutre. Ce crétin volage…

 

Les deux amis se retrouvèrent finalement devant le tableau des messages… apparemment vierge. Kaori soupira, déçue. Toujours pas de boulot !

 

« Qu’est-ce que je vais faire pour calmer la banque ? À ce train-là, on va se retrouver à la rue ! »

 

- Hé, c’est bizarre, regarde, lança Mick. Des inscriptions à moitié effacées…

 

« Hum, on dirait que Ryô est passé par là. Ça va chauffer pour toi, vieux frère ! »

 

- Z… urgent… fontaine !? déchiffra Kaori. AH ! s’écria-t-elle. Ryôôô… Enfoiré, tu m’as encore devancée pour voir les messages en douce !! Je vais l’étrangler, l’étriper, lui couper son satané mok…

 

Kaori s’interrompit en remarquant la moue malicieuse de Mick. Il se rapprocha de son amie avec une mine de conspirateur.

 

- Tu sais quoi, Kaori ? dit-il. Je crois que sur ce coup, on devrait allier nos forces ! J’ai un plan qui va te permettre de te venger de Ryô… et de m’aider à assurer pour demain !

 

Mick chuchota son idée à l’oreille de Kaori dont le visage s’éclaira d’un sourire complice. Et c’est bras dessus bras dessous que les deux comploteurs rejoignirent le Cat’s Eye.

 

Ryô tentait de libérer sa tête encastrée dans un plateau gracieusement lancé par Falcon lorsque son attention fut attirée par des éclats de rire.

 

Mick et Kaori venaient de faire leur entrée dans le café. Ils formaient un si charmant tableau tous les deux que Ryô sentit ses mâchoires se contracter de jalousie. La main de Mick posée sur la hanche de sa partenaire y était certainement pour beaucoup. Le regard de Ryô glissa sur les magnifiques jambes de Kaori. Elle portait une mini-jupe des plus affriolantes et sa poitrine était moulée dans un petit top qui lui allait à ravir. À cet instant précis, nul n’aurait pu confondre cet ange avec un homme ou un travesti. Elle était tout simplement ravissante.

 

Ryô se retint d’aller la prendre dans ses bras et de toucher, caresser sa peau de nacre. Miki camoufla un petit sourire : elle avait bien remarqué la réaction du pervers n°1 du Japon. Et bien qu’il s’en défende avec véhémence chaque fois qu’il en avait l’occasion, Ryô était très attaché à Kaori. D’ailleurs, comment se faisait-il que celle-ci autorise Mick, pervers en second, à la serrer de si près ?

 

« Kaori est rayonnante aujourd’hui. Ça fait plaisir à voir ! » pensa Miki.

 

Elle salua les nouveaux arrivants avec un grand sourire tandis qu’ils prenaient place au comptoir. Kaori s’assit à côté de Ryô et Mick à côté de la jeune femme. Curieusement, celui-ci ne tenta aucun geste déplacé envers Miki ainsi qu’il en avait pourtant l’habitude.

 

- Salut Miki, Umibôzu-san ! lança Kaori en ignorant superbement son partenaire.

 

- Humph ! grogna Falcon.

 

- Ma puce, tu m’as manquée ce matin ! lui reprocha gentiment Miki. J’ai dû me coltiner cet homme en rut… Heureusement, les renforts sont arrivés !

 

- Hé, dis… intervint Ryô faiblement.

 

Le regard flamboyant de colère que lui lança sa partenaire lui intima de faire profil bas.

 

- Tu sais Miki, corriger ce pervers de pacotille avec lequel je vis n’est pas mon unique but dans la vie, répliqua Kaori. Mon travail à moi, c’est de gérer les demandes de protection et autres et de contacter les clients. N’est-ce pas, Ryô ?

 

« Gloups ! »

 

- Euh, c’est exact, Kaori-chan… Un travail que tu remplis à merveille, d’ailleurs ! Ah, ah, ah…

 

Le rire de Ryô sonnait faux.

 

- Tu n’as pas froid, Kaori chérie ? s’enquit Mick avec prévenance. Tu as la chair de poule…

 

- Oh pardon, la clim est au maximum et tu es juste en dessous, Kaori, expliqua Miki.

 

Elle régla le dispositif au minimum tandis que Mick frottait le dos de la jeune femme sous les yeux éberlués de Ryô.

 

- Merci, dit Kaori qui ne put empêcher ses joues de rosir légèrement. Tu es décidément un homme très attentionné…

 

Ryô n’en revenait pas. Mick, attentionné ? Mick qui touche Kaori sans finir sous une massue ? Plus il les regardait, plus il avait l’impression d’avoir affaire à un couple…

 

- Attends ma douce, je vais te prêter ma chemise, proposa Mick.

 

« QUOI ??! »

 

- Mick, tu n’as rien sous ta chemise ! Tu vas te retrouver torse nu, ce n’est pas convenable !

 

- Allons, Kao, on est entre amis ! Et puis, tu m’as déjà vu torse nu, alors…

 

Ryô s’étrangla avec son café. Un point d’interrogation flottait derrière Miki et Falcon qui ne savaient que penser de cet échange lourd de sous-entendus. Kaori était stupéfaite de l’audace de Mick mais elle réussit à n’en rien laisser paraître.

 

- Mick, tu n’es pas à la plage, finit par dire Falcon de sa voix profonde.

 

- Ouais, ouais, grommela l’intéressé. Hé Ryô ! Si tu te comportais en gentleman pour une fois ? Prête ton blouson à ta partenaire ! Tu ne voudrais pas qu’elle attrape froid…

 

Mmm… Ryô commença à imaginer Kaori clouée au lit, fiévreuse, le corps couvert de sueur qu’il lui faudrait éponger…

 

« Ah, mais à quoi je pense, moi ! »

 

- Qu’est-ce que tu racontes, espèce d’exhibitionniste ? répliqua-t-il en se délestant de son blouson. JE suis un gentleman en toutes circonstances ! Ce n’est pas ma faute si Kaori a froid parce qu’elle s’est déguisée en lolita…

 

Les sourcils de Kaori se froncèrent et elle se figea sous l’insulte. Elle reposa bruyamment sa tasse sur le bar puis dévisagea son partenaire qui lui tendait son blouson d’un air nonchalant.

 

C’est alors que Ryô remarqua le menton rougi de Kaori. Il prit instantanément son visage de professionnel et croisa le regard de Mick. Celui-ci forma silencieusement sur ses lèvres les mots ‘Lotus écarlate’. Ryô remercia Mick des yeux.

 

- Tu peux te le garder, j’en veux pas de ton sale blouson ! protesta la jeune femme en repoussant le vêtement.

 

« Il m’insulte avec un air si sérieux ! Ryô, comment oses-tu ? »

 

PLOF. Un petit carnet tombé du blouson de Ryô atterrit sur les genoux de Kaori.

 

« Gurp ! »

 

- ‘Coups potentiels’, dit Kaori en appuyant bien sur les mots. On dirait que j’ai trouvé le Saint Graal, Ryô !

 

Elle feuilleta le calepin jusqu’à trouver ce qu’elle cherchait. Ryô esquissa un pas en direction de la sortie mais Falcon le ceintura sur place.

 

- N’y pense même pas ! avertit le géant.

 

- Grr… Tu me le paieras, Tête de poulpe !

 

Falcon resserra sa prise, tout sourire.

 

- Hé l’éléphant, je peux plus respirer !

 

- Tant mieux !

 

Mick se pencha par dessus l’épaule de Kaori pour examiner le ‘Saint Graal’.

 

- Bof, il n’y a pas grand-chose, dit-il. Et ça se prétend l’Étalon de Shinjuku ! Laisse-moi rire !

 

- C’est à cause… de Kaori… qui ne… me laisse jamais… draguer… en paix ! parvint à articuler Ryô.

 

Miki ne pouvait plus s’arrêter de rire devant ce spectacle : Ryô s’agitant en vain, rouge de colère, et Mick qui se moquait ouvertement des capacités ramollies de son ami.

 

- Ah, je savais bien qu’on avait un client ! s’exclama soudain Kaori. ‘XYZ : très urgent. Rendez-vous devant la fontaine du parc central à 12h’. RYÔ !

 

« C’est la demande d’une femme, j’en suis sûre. Il comptait y aller seul, le bougre ! »

 

Kaori rapprocha son visage tout contre celui de son partenaire qui déglutit.

 

- Ryô… susurra Kaori. ON ira au rendez-vous et si la mission n’est pas trop dangereuse, on accepte. Mais fais gaffe ! insista-t-elle, le doigt pointé sur le torse du nettoyeur. Même si c’est une femme, pas de propositions indécentes : cette fois on sera payés en ARGENT ! Et je vais te surveiller de très près ! C’est clair ?

 

Ryô fit oui de la tête d’un air malheureux et Falcon le lâcha. Mais ce n’était qu’une façade. En réalité, le nettoyeur dissimulait la foule d’émotions que Kaori avait fait naître en lui : sa voix aux accents si sexy quand elle était en colère, la caresse de son doigt sur sa poitrine, son visage si proche qu’il aurait pu l’embrasser…

 

- Bon, on a tout juste le temps d’y aller, dit Kaori. Tiens, Umibôzu-san, c’est cadeau !

 

Ryô vit son précieux carnet atterrir dans les grosses mains du géant qui en fit des confettis. Kaori ne lui laissa pas le temps de protester : elle saisit son partenaire par l’oreille et se dirigea vers la sortie.

 

- À plus tard Miki !

 

- Hé Kaori ! s’exclama Mick. N’oublie pas de me rejoindre là où tu sais pour la chose dont on a parlé !

 

- Compte sur moi ! répondit-elle d’un air entendu.

 

Ryô avait vraiment passé une sale matinée : ses tentatives de drague étaient restées vaines, les rares numéros de jolies femmes récoltés à grand-peine venaient de partir en fumée et pour couronner le tout, Mick draguait ouvertement Kaori ! Ce qui n’avait pas l’air de la déranger… Sa partenaire semblait découvrir son potentiel de séduction et l’été allait aider à le mettre en pratique. Cela voulait donc dire plus de jolis hauts décolletés, plus de jupes sexy, plus de robes… Ryô allait devoir se contrôler pour ne pas sauter sur sa partenaire. Pourtant, il en avait tellement envie ! Il l’aimait mais tant de choses le retenaient : c’était la petite sœur de Makimura, les types du milieu se serviraient encore plus d’elle pour atteindre City Hunter… Et Ryô avait peur de s’engager, lui qui n’avait jamais réellement éprouvé de sentiments profonds pour une femme. L’amour, c’était nouveau pour lui et il le gérait comme il pouvait.  



****

 

Assise devant la fontaine du parc, Kaori s’aspergeait d’eau pour se rafraîchir. Le soleil était accablant et l’air lourd comme une chape de plomb. Le visage, la gorge et les bras de la jeune femme étaient parsemés de petites gouttes d’eau étincelantes qui se frayaient un chemin vers des endroits plus secrets. Ryô s’obligea à détourner le regard de ce spectacle enchanteur. Pour cacher son trouble, il sauta sur la première passante à sa portée, mokkori en action.

 

- HYAAH !! Un satyre !

 

Le cri de la pauvre femme horrifiée sortit Kaori de sa rêverie.

 

- C’est pas possible, je ne peux vraiment pas te quitter des yeux ! hurla-t-elle. Attrape celle-là !

 

Une massue de 242 tonnes en or massif fit son apparition dans les mains de la nettoyeuse… qui l’abattit avec force sur la tête de son partenaire.

 

- Hé bien, vous ne changez pas tous les deux ! lança la voix de Saeko.

 

- Ah, salut Saeko, dit Ryô en s’extirpant péniblement de sous le marteau. Si tu viens pour tirer un coup, repasse plus tard, on attend une cliente…

 

- Il me semblait t’avoir dit de te calmer !

 

Kaori envoya Ryô goûter l’eau de la fontaine. Une libellule passa derrière la tête de Saeko.

 

- Euh Saeko, comme mon abruti de partenaire l’a dit, on n’a pas le temps, on a un rendez-vous, là…

 

- Je sais ! dit Saeko avec un petit rire. XYZ, 12h, devant la fontaine… Le message, c’était moi !

 

- HEIN !!

 

« Oh non, pitié, pas elle »

 

- Ah, mais ça change tout, ça ! dit Ryô tout joyeux. Tu n’avais pas besoin d’en passer par là, voyons ! Il fallait venir à la maison : tu sais que je suis toujours disponible pour toi…

 

Il loucha sur son décolleté généreux, des cœurs roses dans les yeux.

 

- Oui, ça on le sait ! aboya Kaori. Écoute Saeko : quoi que tu proposes, c’est non ! Avec toi, on se retrouve toujours dans des situations pas possibles et pour pas un rond en plus !

 

- Ah oui, au fait Saeko, tu es en retard de cinq minutes, donc tu me dois cinq coups ! précisa Ryô, tout mielleux.

 

« Il ne perd jamais le nord, lui… » pensa Saeko, dépitée.

 

- Dites, je crois qu’il y a comme un malentendu… C’est moi qui ai écrit le message mais ça ne veut pas dire que c’est moi la cliente !

 

Ryô et Kaori étaient loin de se douter de la surprise que leur réservait la belle inspectrice.

 

- Permettez-moi de vous présenter votre client, Monsieur Shinichi Komamura !

 

Un homme en costume gris clair très élégant, veste rejetée sur l’épaule, se dirigea alors vers notre couple de nettoyeurs.  

 

 


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