Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Tenshi

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 30 capitoli

Pubblicato: 23-08-09

Ultimo aggiornamento: 19-10-11

 

Commenti: 244 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Une nouvelle aventure pour un couple mythique !

 

Disclaimer: Les personnages de "Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Je t'aime… un peu… beaucoup… à la folie… Mokkori ?!

 

Capitolo 9 :: Ça commence bien !

Pubblicato: 02-12-09 - Ultimo aggiornamento: 02-12-09

Commenti: Coucou tout le monde ! Tout d'abord, encore merci pour vos petits mots qui m'encouragent et me font très plaisir :) J'adresse aussi mes remerciements à ma bêta qui est vraiment formidable^^ Voici la suite, j'espère qu'elle vous plaira ! Gros bisous :)

 


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Les choses s’étaient déroulées à une vitesse fulgurante, si bien que le patron du Lotus écarlate en croyait à peine ses yeux. Tous ses hommes gisaient à terre, pitoyables pantins désarticulés qui gémissaient de douleur. La plupart n’en avaient d’ailleurs plus la force. Même Kentaro, son fidèle bras droit dont la réputation de trancheur était reconnue dans le milieu, avait été terrassé en un clin d’œil par cet homme qui s’approchait dangereusement de lui à présent.

 

Le patron le regarda enjamber ses subordonnés vaincus avec une terreur grandissante.

 

- Pas… Pas possible ! couina-t-il, la gorge serrée.

 

C’est seulement lorsque Ryô se trouva soudain en pleine lumière, sous un spot, que le patron comprit l’effroyable erreur qu’il venait de commettre. Un gémissement horrifié lui échappa lorsque Ryô lui colla son Python sous le menton.

 

« Cette force… Et cette rapidité de réflexes… Cette arme… Merde… Merde !! »

 

- Tu devrais pourtant savoir qu’on ne se débarrasse pas de moi comme ça, lança Ryô d’un ton glacial, amusé au fond de la terreur qu’il lisait dans les yeux de ce minable.

 

- N… Non… Je n’avais pas réalisé… Croyez-le b… bien…

 

« Les deux meilleurs nettoyeurs du monde dans la même journée… Je suis maudit ! »

 

- Qu’est-ce que je dois croire ? renchérit Ryô en accentuant la pression de son arme sur sa gorge.

 

- Je ne vous avais pas reconnu… Saeba-sama ! s’écria-t-il, le front couvert d’une pellicule de sueur.

 

- Ça, c’est ta deuxième erreur. Tu veux savoir quelle est la première ?

 

Il lui empoigna férocement les cheveux.

 

- Ah ! Pitié ! supplia le misérable, tremblant de tous ses membres.

 

- Ta première erreur, raclure, a été d’avoir porté la main sur ma partenaire ! gronda Ryô.

 

- Je… Je n’ai jamais… Je n’aurais jamais fait une telle chose, Saeba-sama… Je…

 

- La ferme ! Réfléchis mieux que ça…

 

Soudain, la lumière se fit dans l’esprit du patron.

 

- Elle… C’était elle ! balbutia-t-il, les yeux exorbités, se rappelant la petite rousse qui lui avait tenu tête le matin même.

 

- Hé oui, raclure. Maintenant, je vais t’apprendre ce qu’il en coûte de toucher à ma précieuse associée…

 

- Ne me tuez pas ! PITIÉ ! gémit-il lamentablement.

 

Mais Ryô se pencha simplement pour lui murmurer quelque chose à l’oreille, faisant frissonner le bandit.

 

- Répète ce que je t’ai dit, enfoiré, pour voir si t’as bien compris.

 

- Si je… Si je croise encore une fois le chemin de… de Kaori Makimura, si jamais j’ose la souiller de mon simple regard, je… je me retrouverais à me torcher de la main gauche…

 

- Et ? continua Ryô, implacable.

 

- Si je devais être assez fou pour… pour la toucher, ou penser à la toucher encore, je pourrais me réserver une place au… au cimetière…

 

- Bien ! C’était un plaisir de discuter avec toi. Maintenant, c’est l’heure de faire dodo !

 

Le patron glissa inconscient sur le sol, assommé par un puissant crochet du gauche.

 

Ryô rangea son Magnum dans son holster et adressa un regard amical à la jeune fille pétrifiée, agenouillée sur la scène du club. Elle leva la tête vers lui, mi soulagée, mi méfiante tandis qu’il arrivait à sa hauteur. Elle vit alors cet inconnu qui venait de la sauver retirer son imperméable pour l’en envelopper avec douceur. La jeune fille fondit en larmes et se jeta dans les bras de Ryô.

 

- Tu n’as plus rien à craindre, petite demoiselle. On va aller voir une de mes amies qui t’aidera à retrouver tes parents, d’accord ?

 

- Hum, renifla-t-elle en hochant la tête.

 

Il l’aida à se relever et à descendre de la scène. Elle dut à son tour enjamber les hommes du club étendus sur le sol parmi les débris de verre et de chaises. S’agrippant de toutes ses maigres forces au bras de Ryô, la jeune fille jeta les hauts cris lorsqu’elle sentit une main frôler sa cheville. C’était Kentaro qui venait d’émerger de son sommeil imposé. Empli de la rage d’avoir été envoyé au tapis si facilement, il fit une dernière tentative en cherchant à tâtons son couteau.

 

Mais il eut à peine le loisir de l’effleurer du bout des doigts que déjà le pied de Ryô lui écrasait la main, lui arrachant un cri de douleur.

 

- Laisse tomber, l'avertit le nettoyeur. T’as pas le niveau.

 

Au moment de passer la sortie, Ryô sentit un mouvement dans son dos. Kentaro tentait de se redresser avec obstination, une lueur vengeresse dans le regard. C’est alors que l’aura du nettoyeur changea du tout au tout. Il ne prit même pas la peine de se retourner. La voix froide et sévère de l’Ange de la mort résonna de façon lugubre, glaçant le bandit.

 

- Je te conseille de faire profil bas si tu ne veux pas mourir.

 

Kentaro commençait à comprendre pourquoi la simple évocation du nom de City Hunter faisait trembler le milieu. Une simple menace verbale de sa part, et il en avait mouillé son pantalon. Une fois seul, jetant un regard furtif autour de lui, il s’aperçut qu’il était le seul homme à pouvoir encore se relever. Même son patron qui se prenait pour un dur était KO, pensa-t-il avec mépris. Se traînant tant bien mal hors du club désormais sens dessus dessous, il s’enfuit comme un rat dans la nuit.  

 



****

 

Après avoir remis la jeune fugueuse entre les mains de Saeko qui, comme à son habitude, ne comptait plus ses heures au commissariat, Ryô reprit le chemin de Kabuki-Cho pour rentrer à l’appartement. Il pleuvait toujours très fort mais le nettoyeur entendit distinctement qu’on le sifflait depuis le cabaret des « Chattes en chaleur ».

 

- Ryôôô… lança une voix des plus aguicheuse. Tu fais ta ronde par un temps pareil ? Viens plutôt voir mon spectacle !

 

- C’est tentant, Nanao-chan, mais…

 

- Allez, t’es tout mouillé, viens te réchauffer, insista la langoureuse créature. Et puis tu sais, mon numéro de ce soir est vraiment très spécial… ajouta-t-elle en entrouvrant son kimono.

 

Face à ces arguments convaincants, et surtout à la vue d’un décolleté plantureux à souhait, le nettoyeur ne tergiversa pas davantage. Deux cœurs roses clignotant à la place des yeux, il pénétra en salivant dans le cabaret surpeuplé d’hommes déchainés.

 

 

Trois heures plus tard, passablement éméché, Ryô montait les escaliers pour rejoindre la chambre de sa partenaire. Il savait qu’elle avait l’ouïe fine, aussi s’employa-t-il à ne faire grincer ni la porte ni les lattes du parquet. Lorsque ses yeux se furent habitués à l’obscurité, il distingua plus nettement la forme allongée dans l’un des petits lits. Cette fois, Kaori lui avait obéi en ne veillant pas jusqu’à son retour.

 

Il s’approcha et s’accroupit près d’elle, pris du besoin de contempler l’endormie. Il comprit alors qu’il avait tout faux. Depuis quand Kaori allait-elle se coucher sagement sur l’ordre de son partenaire ? Le visage soucieux marqué par ses jolis sourcils froncés, la main crispée sur le rideau de la fenêtre… Bien sûr qu’elle l’avait attendu, surveillant la rue jusqu’à l’épuisement.

 

Elle portait ce pyjama jaune trop grand pour elle, recouverte d’un drap jusqu’à la taille. Ryô détacha délicatement sa petite main glacée qui serrait le rideau et la plaça sous le drap pour qu’elle se réchauffe. Il remonta la mince couverture sur le corps de sa partenaire, comme pour la protéger. Elle remua dans son sommeil, et Ryô dégagea une mèche de cheveux de son front plissé par l’inquiétude.

 

Kaori se détendit aussitôt. Le faible soupir qui franchit ses lèvres entrouvertes emplit Ryô d’un sentiment étrange. Était-ce de la tendresse, du désir… de l’amour ? Il ne savait pas et se dit qu’il était trop ivre pour cogiter sur ses états d’âme. Mais la bouche de Kaori l’attirait comme un aimant. Il se pencha sur ce visage qu’il connaissait si bien, laissant le souffle de Kaori se mêler au sien. Il ferma les yeux, goûtant cette sensation qu’il trouvait bien plus enivrante que l’alcool. Lorsque ses lèvres frôlèrent celles de sa partenaire, Ryô se redressa avant de franchir cette limite qu’il s’était fixé depuis six ans qu’ils vivaient ensemble. Il s’assura de son sommeil quelques instants encore, puis alla se coucher à son tour.  

 



****

 

Assise aux côtés de Ryô dans la Mini qui les emmenait dans le quartier des affaires, Kaori regardait défiler des immeubles de bureaux tous plus imposants les uns que les autres. Ostensiblement tournée vers la vitre, on aurait pu croire qu’elle faisait la tête à son partenaire. Shinichi se trouvait sur la banquette arrière, un porte-documents sur les genoux. Un air contrit sur le visage, il essayait depuis plusieurs minutes déjà de croiser le regard de Kaori dans le rétroviseur. Mais c’était peine perdue, elle était bien trop gênée…

 

Flashback

 

Lorsque Kaori s’éveilla, elle se sentait en pleine forme et presque surexcitée. Elle s’étira joyeusement en se rappelant les raisons de son enthousiasme. City Hunter était de retour, le rayon de soleil qu’elle sentait sur sa joue promettait une belle journée et Ryô…

 

Elle tourna vivement la tête sur le côté et son cœur lui sembla exploser de bonheur lorsqu’elle reconnut la chevelure brune du dormeur. Il était donc rentré sain et sauf. Quel soulagement ! Kaori s’approcha doucement de son partenaire, tout l’amour du monde dans le regard. Mais elle s’arrêta bien vite et se pinça le nez, frappée par les effluves de saké qui émanaient de Ryô. Une grimace de dégoût remplaça le sourire béat qu’elle affichait dix secondes plus tôt. Pour couronner le tout, le nettoyeur se retourna soudain sur le dos, dévoilant ainsi un état d’excitation avancé et un visage qui arborait une belle trace de rouge à lèvres.

 

La tête baissée et les poings serrés, Kaori avait du mal à contrôler sa rage. En temps normal, elle l’aurait volontiers écrasé sous sa plus grosse massue, mais la présence du client interdisait les esclandres tardifs comme les punitions trop matinales.

 

Elle avait donc pris une bonne douche pour se détendre.

 

Lorsqu’elle coupa enfin l’arrivée d’eau, elle sentit avec horreur une présence pénétrer dans la salle de bains.

 

« Ce sale pervers… » rugit-elle intérieurement.

 

Kaori se drapa à la hâte d’une serviette et surgit en hurlant, massue en main :

 

- Dégage de là, espèce d’ivrogne lubrique !

 

- A… Attendez Kaori ! La porte n’était pas verrouillée, je ne savais pas que vous étiez là !

 

Cette voix… Kaori suspendit son geste. Elle se trouvait nez à nez avec Shinichi, à demi nue…

 

- Mais qu’est-ce que vous faites là ?! s’écria-t-elle.

 

- Hé bien… Je viens prendre ma douche, répondit-il avec embarras en essayant de ne pas la dévisager.

 

- Ah… Mais vous comprenez… Euh… C’est que Ryô… tenta d’expliquer Kaori à son client qui semblait visiblement un peu perdu.

 

Elle voulait dire qu’elle n’avait jamais besoin de s’enfermer dans la salle de bains, étant la dernière personne que Ryô serait venu reluquer. Avec les jolies clientes, il fallait se méfier tout le temps. Mais là… Kaori pensait souffler sur cette mission vu que le client était un homme… Or elle n’était pas habituée à partager la salle de bains avec un autre homme que Ryô !

 

- Euh… peut-être devrait-on établir des tours de passage pour éviter tout autre… malentendu ?

 

Kaori s’apprêtait à répondre que c’était une bonne idée lorsqu’elle sentit avec effroi la serviette glisser. Les deux mains crispées sur le manche de sa massue, elle ne pouvait rien faire… Le moindre mouvement risquait de…

 

- HYAAH ! s’écria-elle, en proie à la panique.

 

Shinichi rattrapa la serviette de justesse et la noua lui-même, le temps que Kaori fasse disparaître sa massue.

 

- M… Merci… murmura-t-elle, les joues en feu, avant de s’enfuir de la salle de bains, laissant le client aussi troublé qu’elle.

 

 

Plus tard, au petit déjeuner, une ambiance singulière régnait autour de la table.

 

- Alors comme ça, vous avez vu ma partenaire à poil ? s’enquit Ryô qui s’était fait expliquer l’interlude de la salle de bains.

 

- Non, euh… Ce n’est pas ce que vous croyez, avança Shinichi, tentant de se justifier devant le regard insondable du nettoyeur.

 

- Je comprends que vous soyez traumatisé par ce que vous avez vu, dit celui-ci en posant une main qui se voulait réconfortante sur son épaule. Ouille !

 

Kaori venait de planter une fourchette dans l’autre main de son partenaire.

 

- Félicitations, Kaori ! continua-t-il sur un ton guilleret. C’est la deuxième fois qu’un homme vient te mater ! Et comme on dit, jamais deux sans trois…

 

Le regard noir qu’elle lui adressa l’incita à ne pas en rajouter. Elle fit passer une assiette de beignets au client et continua de manger.

 

- Au fait… tenta Ryô, l’air gêné. Pourquoi moi je n’ai droit qu’à un café ?

 

- C’est pour ta gueule de bois, répondit posément Kaori. Tu crois que je ne sais pas ce que tu as fait hier ? Et ton imper', tu l’as perdu en route ?

 

- Qu’est-ce que vous avez fait, alors, monsieur Saeba ? se vengea Shinichi en enfonçant le clou.

 

- Hé bien, je me suis battu pour sauver une fille qui m’a remercié en se serrant à moitié nue contre moi, répondit Ryô en bavant à l’évocation de ce souvenir. Et comme je suis un gentleman, je lui ai donné mon imper'… Il faut dire qu’elle était encore mineure…

 

CLANG. Kaori abattit la tête du nettoyeur sur la table en le traitant de sale profiteur.

 

- Je vais refaire du café, annonça-t-elle en se levant.

 

Ryô en profita pour s’emparer en douce d’un beignet qu’il enfourna tout entier. C’est ainsi qu’une massue signée « Ne vole pas la nourriture du client ! 1000 T » avait clôturé ce petit-déjeuner.

 

Fin du flashback

 

 

Le silence régnait donc dans la petite voiture rouge. Shinichi relisait des documents et Kaori s’obstinait à regarder le paysage urbain. Une fois de plus, Ryô regretta amèrement que le client soit un homme. D’habitude, il reléguait Kaori à l’arrière et faisait asseoir sa belle cliente à ses côtés : il était ainsi bien placé pour admirer ses courbes généreuses qu’il tentait de frôler en passant les vitesses. Non seulement il n’avait personne à draguer mais il devait encore se coltiner une partenaire ronchonne et violente !

 

« Je voudrais une femme douce et gentille » pleurnicha-t-il en son for intérieur.

 

Espérant trouver un peu de chaleur humaine, Ryô alluma la radio réglée sur sa station préférée.

 

- … nouveau tube d’Akiko Sato en exclusivité, ça passe maintenant sur Tokyo Hits !

 

- Yahou !! s’écria Ryô, faisant sursauter les deux autres. Vas-y Akiko !

 

Je ne suis pas une fille sage

 

Question mecs, pas de partage

 

Je te veux ce soir

 

Viendras-tu chez moi me voir

 

Je te veux ce soir

 

Embrassons-nous dans le noir

 

Je suis chaude comme la braise

 

Je saurai te mettre à l’aise…

 

- Ça, je n’en doute pas ! minauda le nettoyeur, un air stupide sur le visage. Trop sexy…

 

Une nuée de corbeaux vola en croassant autour de la tête de Kaori qui se tenait la tête, mortifiée. Elle se demanda pour la énième fois pourquoi elle restait avec un type pareil.

 

- Oh, monsieur Saeba, intervint Shinichi. Pourriez-vous vous mettre sur Bourse News s’il vous plaît, j’aimerais connaître les toutes dernières actualités du marché…

 

- J’aimerais bien, mais je suis sur le point d’entamer une manœuvre délicate… Je ne veux pas me déconcentrer…

 

- Ryô ! s’exclama Kaori, excédée.

 

Ils étaient à un feu rouge.

 

- Tu es vraiment impossible ! reprit-elle en changeant elle-même la station de radio.

 

- Ben quoi, je veux être le premier à démarrer quand le feu passera au vert… dit-il avec une moue enfantine.

 

Kaori soupira de lassitude mais le comportement puéril de son partenaire l’amusait au fond. Ne pouvant cacher un demi sourire, elle décida de l’offrir au client.

 

- C’est la bonne station, Shinichi ? demanda-t-elle en se tournant vers lui.

 

Celui-ci crut que l’épisode de la salle de bains était enfin oublié.

 

- Tout à fait, je vous remercie ! répondit-il avec enthousiasme.

 

Il éprouvait le besoin vital d’être à nouveau en bons termes avec Kaori. Il ne savait pas pourquoi, mais l’idée d’être rejeté par elle lui était insupportable. Cet homme redoutable en affaires, d’ordinaire si froid avec les femmes, se sentait attiré par Kaori Makimura, rencontrée seulement la veille.

 

Il prit des notes pendant quelques minutes, puis annonça d’un ton quelque peu théâtral :

 

- Regardez, Kaori : cette tour majestueuse qui surplombe les plus hauts gratte-ciels de la ville, c’est KOMACOM. Voilà mon Empire !  

 

 


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