Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: sahar_f

Beta-reader(s): Cdm98, Kaori28

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 10-05-06

Ultimo aggiornamento: 22-01-07

 

Commenti: 38 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: L'amour est parfois imprévisible ! (je ne peux pas en dire plus, faut lire la fic ;0) )

 

Disclaimer: Les personnages de "" Enlève-moi, s'il te plaît ! "" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. sauf les méchants et le copain de Sayuri.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: " Enlève-moi, s'il te plaît ! "

 

Capitolo 5 :: FLASH BACK (2ième partie)

Pubblicato: 07-07-06 - Ultimo aggiornamento: 08-12-06

Commenti: Ouvrez les bouteilles de champagne et buvez à votre santé car je l’ai eu ce fameux bac avec mention assez bien (C vrai C pas terrible mais C quant même bon pour quelqu’un qui n’a presque pas travaillé cette année !) au fait chui désolée de vous faire attendre mais j’ai attrappé une forte grippe ces derniers jours alors G pas pu terminer ce chap à temps. So sorry and please : des reviewwwwwws ! Bonne vacances et bonne lecture à tous !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Chapitre 5 :  

 

 

 

-En fait, j'ai… j'ai été témoin d'un meurtre !  

 

 

Le silence s’installa une fois encore de plus dans la pièce. Bien que la nouvelle fût un peu rude, le nettoyeur resta stoïque, comme à son habitude. Kaori quant à elle, plissa les yeux et comprit de suite ce que ressentait sa sœur. Après tout, la jeune journaliste ne faisait guère partie du milieu et c’était tout à fait normal qu’elle soit traumatisée par une telle vision. Alors, percevant ses tremblements, Kaori vint la serrer étroitement dans ses bras afin de la rassurer.  

 

 

« Explique-moi ça, lui demanda alors Ryô.  

 

-Cela remonte à deux mois plus exactement, répondit Sayuri.  

 

-Raconte-nous ce qui s’est passé, fit Kaori en resserrant un peu plus son étreinte.  

 

-Et bien… je t’ai déjà parlé de l’affaire sur laquelle je travaillais, n’est-ce pas Kaori ?  

 

-heu… un peu oui...  

 

-Et bien figure-toi qu’elle concerne ce bon vieux Hiboshi.  

 

-Hiboshi ? Ly Hiboshi, le célèbre homme d’affaire japonais ? s’exclama Kaori  

 

-C’est exact. Pour résumer, il s’est associé à un riche politicien américain et dernièrement, ils ont tenté de corrompre les élections. De plus, ils se livrent au trafic d’armes illégales. Malheureusement pour eux, un brave journaliste a pu récolter assez de preuves pour faire échouer leur plan et les dénoncer au grand public.  

 

-Ah oui ! Je me souviens maintenant ! Ce journaliste s’appelait Mike Parker d’après ce que j’ai lu dans les journaux. Il s’est suicidé il y a à peine huit jours et on n’en connaît toujours pas les raisons. Ajouta Kaori.  

 

-NON ! IL NE S’EST PAS SUICIDE ! fit Sayuri sans ménagement. Sa voix s’est élevée sans qu’elle ne s’en rende compte.  

 

-Comment peux-tu en être aussi sûre ? lui demanda Ryô en fronçant les sourcils.  

 

Le ton de la jeune femme s’abaissa et son regard devint triste :  

 

-…c’était mon partenaire de travail mais aussi un très proche ami… ils… ils l’ont tué sans aucune pitié, dit-elle alors d’une voix tremblotante.  

 

Des larmes perlèrent dans les yeux de Sayuri. Elle les essuya du revers de ses mains et essaya tant bien que mal de se ressaisir.  

 

-Ce jour-là, nous étions tous les deux restés tard au boulot. Il était presque 23h45 quand nous sortîmes de l’établissement. Les rues que nous étions censés prendre étaient désertes à cette heure de la nuit. C’est pour ça que Mike avait proposé de m’accompagner jusqu’à chez moi… « pour plus de sécurité » m’avait-il dit…  

 

 

Elle esquissa un sourire amer à l’évocation de ce souvenir puis elle continua :  

 

 

-… Quelques minutes après, nous eûmes la désagréable impression d’être suivis. Cette impression se transforma en doute puis en certitude quand nous aperçûmes trois ombres qui étaient à une centaine de mètres derrière nous, et qui nous épiaient depuis un bon bout de temps. Sentant le danger, nous avons pressé le pas puis avons couru à toutes jambes. Au détour d’une ruelle, nous nous sommes tombés dans une impasse. Mike avait comprit depuis le début que c’était lui qui était visé. Il m’a dit qu’il ne voulait pas que je me sacrifie pour lui et qu’il fallait absolument me cacher. Il a insisté alors pour que je me réfugie dans une poubelle qui se trouvait à proximité. A peine cinq secondes après, la cavalerie arriva. Il y eut une dispute de quelques secondes entre Mike et nos poursuivants. J’ai entendu des cris et puis quelque chose comme une masse s’écrouler sur le sol… Et puis…  

 

 

Elle marqua une pause pour reprendre son souffle et poursuivit :  

 

 

-Et puis, il y eut un long silence… ils… ils l'avaient tué d’une balle en pleine tête… ensuite, ils ont fait en sorte que cela soit considéré comme un suicide.  

 

 

Ses yeux s'humidifièrent encore une fois et elle sentit comme un goût amer au fond de la gorge :  

 

 

-Le plus bizarre c’était qu’ils n'ont même pas essayé de me retrouver à cet instant. Apparemment, je n’avais pas grand intérêt à leurs yeux puisqu’ils ne cherchèrent même pas à me retrouver. Leur seul but était de descendre l'homme responsable du scandale qui avait touché leur patron.  

 

-Et comment peux-tu être si sûre que c'est bien Hiboshi qui est derrière tout ça ? demanda alors Ryô.  

 

-J'en suis certaine. J'ai bien entendu ces pourritures parler entre eux après avoir accompli leur saleté de mission. L’un d’entre eux avait mentionné le nom de Sato, le bras droit d’Hiboshi. Alors…  

 

-Là au moins tout est clair. Dit Kaori tout en serrant encore une fois sa sœur dans ses bras.  

 

-Et j’imagine que ce cher Hiboshi veut d’abord vérifier si tu possèdes encore quelque chose contre lui. C’est peut-être pour ça qu’il a engagé un tueur professionnel, dans le but de te faire taire.  

 

 

La constatation de Ryô fut plus qu’évidente.  

 

 

-Le problème c’est que je ne possède aucune preuve concrète de ce que j’avance… tôt ou tard, mon poursuivant s’en rendra compte et aura ainsi une raison de plus pour me tuer. Fit Sayuri toute tremblante.  

 

-Je vois. C’est pour ça que tu as fait appel à moi…  

 

-Oui.  

 

-Et tu sais aussi que je sais très bien consoler une femme en détresse et … dit un Ryô au visage soudainement transformé en celui d’obsédé notoire.  

 

 

BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM !!!  

 

Le pauvre Ryô n’eut même pas l’occasion de finir sa phrase qu’il eut droit au châtiment divin.  

 

-Heureusement que tu m’as filé une de tes MEGA-MASSUES quand nous étions à l’aéroport ! dit une Kaori rouge de colère, à l’intention de sa sœur, qui en oublia pour un instant ses malheurs. Elle esquissa un léger sourire en voyant le pauvre nettoyeur encastré dans le mur du salon :  

 

-"Toujours aussi amoureux ces deux là !" songea-t-elle.  

 

-Allez viens… allons grignoter quelque chose, l’interpella Kaori, tout en rangeant sa nouvelle massue (Nda : où ça exactement ?... vous ne le savez pas ? …. Et bien moi non plus ! ’___^)  

 

-Ok, j’arrive.  

 

 

Et elle suivit sa sœur jusqu’à la cuisine, sans se retourner pour entendre Ryô articuler difficilement :  

 

 

-Alors f’est fa, ta maffue « dernier cri » ?... Oh mivère !  

 

 

 

**----------------**----------------**----------------**  

 

 

 

15 novembre  

11h30  

devant l’immeuble de CH  

 

 

L’homme de l’aéroport téléphonait à son patron :  

 

-Ly, je pense que la tâche va être un peu délicate désormais ; la journaliste s’est réfugiée chez ce bon vieux Ryô Saeba.  

 

-C’est bien ce que je craignais… bon tu es un professionnel n’est-ce pas ? Alors débrouille-toi pour enlever la fille et me l’apporter. Il faut d’abord que je sois sûr qu’elle ne possède pas d’autres preuves contre moi, autres que ceux que son idiot de collègue détenait avant sa mort. Elle va voir ce qu’elle va voir celle-là. Oser s’attaquer au grand Ly Hiboshi en personne !!... fit le vieil homme sur l’autre bout du fil.  

 

-Ly, c’est bientôt fini ton discours ? dit l’homme d’un ton exaspéré.  

 

-Comment oses-tu me parler ainsi ? Je suis ton patron, ne l’oublies pas !... et puis d’abord je t’INTERDIS de m’appeler par mon prénom, tu m’entends !  

 

-Mais oui, bien sûr ! fit ironiquement son interlocuteur.  

 

-Grrrr….  

 

 

Le vieillard était sur le bord de la crise de nerfs, mais il ne pouvait rien faire. Il connaissait assez la réputation de son interlocuteur pour savoir qu’il devait bien tenir sa langue afin d’éviter tout genre d’ennui.  

 

 

-J’aurais peut-être besoin de l’aide de quelques uns de tes hommes pour résoudre cette affaire. Je veux qu’ils soient prêts le plus tôt possible, lui dit alors le tueur, reprenant son sérieux.  

 

-Bien. Je m’attends à ce que le travail soit vite fait avant la prochaine livraison de marchandises.  

 

-Compte sur moi, Ly... Euh… j’veux dire : « votre majesté » !  

 

-GRRRR… ET ARRÊTE UN PEU DE TE MOQUER DE MOI !!!  

 

 

L’homme rigola narquoisement puis raccrocha au nez de son interlocuteur qui était rouge de colère à présent. Celui-ci hurla à l’intention de son homme de main qui eut la malchance d’être tombé en face de son patron à cet instant précis :  

 

 

-JE ME DEMANDE PARFOIS SI TU AS UNE CERVELLE DANS LA TÊTE, SOMBRE CRETIN !!!!  

 

-Mais patron…  

 

-IL N'Y A PAS DE MAIS QUI TIENNE !! DIS-MOI POURQUOI AS-TU CHOISI TOUT PARTICULIEREMENT CE TYPE POUR RESOUDRE CETTE AFFAIRE ?!  

 

On vit quelques gouttes de sueur perler sur le front de l’homme de main qui retira un mouchoir de sa poche pour s’essuyer avec. Puis il répondit avec un peu plus de confiance :  

 

-Mais patron, ce n'est pas n'importe qui ! C’est l’un des plus grands tueurs professionnels des Etats-Unis (Ndb : Est-ce que mon cher Mick entrerait en scène ?).Il est aussi talentueux que Saeba, peut-être même plus : champion dans le maniement des armes à feu, imbattable en combat singulier puisque c'est un spécialiste des arts martiaux. De plus c'est un expert en déguisement et il parle six langues différentes. N'est-ce pas génial ça ? Finit-il par dire, tout excité.  

 

 

Bizarrement, son discours eut l'effet d'une potion magique (eh mais on n'est pas chez Astérix là !!) qui calma presque instantanément les ardeurs de Ly :  

 

 

-On verra bien s’il est aussi « génial » que tu le décris.  

 

-Ne vous inquiétez pas patron. Je suis sûr qu’il fera l’affaire, fit l’homme avant de se retourner pour quitter la pièce. C’est alors que le vieil homme l’interpella :  

 

-Sato ! Informe-toi encore plus sur ce gars. Je veux tout savoir sur lui depuis sa naissance jusqu’à aujourd’hui.  

 

-Bien patron.  

 

 

****  

 

 

Pendant ce temps, devant l’immeuble de CH  

 

Le tueur en question éteignit le système d’écoute qui était activé depuis l’appel téléphonique de Ly.  

 

 

”Tiens, c’est bizarre que ce vieux renard ne lui ait pas demandé de m’éliminer après la mission. J’en ai tellement l’habitude qu’il me semble que c’est une convention entre toutes les pourritures avec lesquelles j’ai signé des contrats !” Songea-t-il, un sourire moqueur au coin des lèvres.  

 

 

Puis, se retournant en direction de l’appartement où se trouvait sa « proie », il enleva ses lunettes noires qui cachaient un regard glacial depuis ces prunelles d’un bleu azur. Il lança alors avec une voix à peine audible avant de quitter les lieux dans sa jeep bleu-marine :  

 

-On se reverra bientôt, vieux frère. (Ndb : J’avais bien raison ^^ c’est bien mon Mick dont il s’agit :D fit une Kaori28 toute excitée. Un aussi beau regard ne pouvait que lui appartenir, continua-t-elle, la bave aux lèvres. Nda : désolée de te décevoir ma chère, mais ce n'est pas celui que tu crois, puisque c'est un brun ! ^____^ )  

 

 

Fin du chapitre  

 

 

 

 

 

 


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