Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 27-11-06

Ultimo aggiornamento: 27-11-06

 

Commenti: 13 reviews

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SongficRomance

 

Riassunto: Le destin toujours et encore le destin ...

 

Disclaimer: Les personnages de "Juste une nuit" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the boundaries. So if you read something that doesn't seem correctly rated, please contact me.

 

 

   Fanfiction :: Juste une nuit

 

Capitolo 1 :: Juste une nuit

Pubblicato: 27-11-06 - Ultimo aggiornamento: 19-05-07

Commenti: En attendant la suite et fin de "A Christmas Carol" vlà une petite song fic on va dire. J'espère que ça vous plaira. Bonne lecture et bonne journée !

 


Capitolo: 1


 

City Hunter était encore et toujours une équipe très soudée et ça depuis plus de 12 ans maintenant.  

 

Mais les choses étaient différentes, les gens étaient différents.  

 

Tout était beaucoup plus compliqué pour eux.  

 

Ryô comme Kaori avaient évolué et s’était avoués un jour les sentiments qu’ils éprouvaient.  

Mais pourtant jamais ils n’avaient réellement franchi le pas, car tout était arrivé au pire moment pour eux.  

 

Un nouveau trafic de drogue émergeait par le biais d’une organisation très puissante.  

Ils avaient mit près de 6 ans à éradiquer cette menace.  

 

Pendant ce temps, tous deux avaient choisi de mettre en suspens leur vie intime. Ils s’étaient fait une promesse, ou plutôt non, Ryô avait fait une promesse à Kaori dès le début de la ‘bataille’.  

 

Celle que le jour où enfin il pourrait l’aimer comme elle le méritait, et comme il en avait tant envie, ce serait le jour ou cette organisation n’existerait plus.  

 

Toutefois, il n’en demeura pas moins que Ryô continuait de faire le joli cœur dans la rue ou auprès des quelques clientes qu’ils avaient.  

 

Et que Kaori utilisait toujours des massues pour le ramener sur la voie de la raison ! Comme quoi tout ne changeait pas autant.  

 

 

Un jour enfin alors qu’il n’était pas rentré depuis plus de 24 h, et qu’il avait disparu sans l’avertir il refit son apparition chez eux, il n’était qu’égratignures de la tête aux pieds, les vêtements déchirés, et le visage émacié qu’il affichait faisait craindre le pire à son ange.  

 

Mais au tout début alors qu’elle l’attendait dans l’angoisse et dans le noir de la nuit latente, elle avait sorti sa plus grosse massue et comptait bien lui dire ça façon de penser.  

 

C’est lorsqu’elle s’était approchée de lui qu’elle lâcha son instrument de justice divine et qu’elle lui sauta dans les bras en pleurs.  

 

Toute l’inquiétude qu’elle avait tenté de contrôler en fermant le robinet des pleurs, transparaissait à cet instant.  

 

Elle le serrait fort dans ses bras comme pour ne plus le laisser s’échapper, comme pour constater qu’il n’était pas un rêve, qu’il était vivant.  

 

 

Les seuls mots qu’il laissât échapper furent :  

 

« C’est fini Kaori. Enfin, je vais pouvoir t’aimer. »  

 

C’est d’une voix sanglotante qu’elle lui répondit « Mais on s’aime déjà idiot ».  

 

Il la regarda droit dans les yeux comme si c’était la première fois de sa vie il la voyait comme elle était, et non plus comme ce qu’elle représentait pour lui.  

Tandis que Kaori pouvait voir dans ses yeux à lui ce que jamais auparavant elle n’avait vu de la passion pour elle.  

 

Enfin il acceptait qu’elle regarde en lui, et pour Kaori ça valait tous les cadeaux du monde.  

 

 

 

Alors pourquoi ? Pourquoi 3 mois plus tard il était seul sans elle et pour toujours dès à présent.  

 

Peut être car il y avait eut une journée, ou plutôt une nuit, juste une nuit avant que les cauchemars de la réalité ne les rattrapent.  

 

Cette journée là, était si belle, si parfaite. Pas d’embouteillage dans la ville, pas de cliente pour City Hunter, pas de rictus pervers et encore moins de massue.  

 

Juste un couple qui avait décidé de profiter de leur relation enfin éveillée.  

Ils marchaient sur la plage amoureusement.  

Les personnes qu’ils croisaient pouvaient bien voir dans leurs yeux comme dans leurs gestes qu’il s’agissait d’une aventure enfin éclose, mais qui demandait encore du temps.  

 

La preuve était les mains de Ryô et de Kaori, elles se cherchaient encore et encore mais avec tellement de timidité, tellement de retenue, alors qu’il ne s’agissait juste que de se tenir par la main.  

 

Ils ne parlèrent pas, ils ne firent que se promener, et ce n’est qu’à la nuit tombée qu’il fallait partir désertant les dunes, le sable, la lune ronde et si lumineuse.  

Mais le chant des naïades semblaient les retenir seul sur cette plage.  

L’eau et son clapotis qui semblait jouer une musique fut le prélude de beaucoup plus.  

Finalement Ryô se leva du sable et admirait les remous de cette mer qui laissait aller et venir ses vagues sur le sable et qui paraissait vouloir retenir le couple.  

 

Mais d’un geste Ryô montra brisa cet espoir enfin peut être pas…  

 

Il venait de tendre sa main à Kaori pour l’aider à se lever.  

A peine était-elle debout qu’elle repartait déjà en direction de la Mini, lorsqu’il attrapa le bras pour l’arrêter.  

 

« Pas par là Kaori, mais par là. »  

 

« Mais enfin Ryô, la mini ne se trouve pas de ce côté-là. »  

 

« Qui t’as dit que nous rentrons, la nuit ne fait que commencer, viens suis moi. » Dit il en proposant son bras.  

 

Nonchalamment ils marchèrent encore et encore. Au bout d’un moment Kaori commençait à ressentir le froid et la fatigue.  

 

« Ryô j’en peux plus. Où nous emmène tu ? »  

 

« Fais moi confiance… et si tu es trop fatiguée grimpe sur mon dos. »  

 

Elle en tombait à la renverse grimper sur son dos !!! C’est bien la première fois qu’il se montrait aussi prévenant, elle accepta donc volontiers.  

 

Il se baissa pour qu’elle n’ait pas trop d’efforts à faire, puis il sentit ses bras se mouvoir sur son torse.  

Tandis que les effluves de son parfum venaient lui titiller les oreilles, et qu’il sentait dans son cou le souffle de sa belle.  

 

Mais quelle idée avait t-il eut en fin de compte !!! Jamais il ne résisterait avant d’arriver !!!  

Heureusement pour lui, elle s’assoupit, ce n’est qu’en arrivant à destination qu’elle se réveilla.  

 

Elle senti qu’il s’était arrêté, et sortit donc de ses songes lentement.  

Elle ouvrit les yeux et vie une petite baraque de bois devant eux où des torches flamboyaient à l’entrée.  

 

Ce spectacle finit de la réveiller totalement.  

 

Puis il relâcha sa belle, qui regardait avec dévotion cette petite baraque isolée et éloignée de tout, surtout de leurs vie quotidienne.  

 

Puis d’un geste il la fit sortir de sa torpeur. Sa main était sur son épaule.  

Elle se retourna et vit son regard plein d’amour.  

Il l’attrapa alors dans ses bras et la souleva d’un seul coup.  

 

« Mais que fait tu Ryô. »  

 

« Je croyais que la tradition voulait que la mariée franchisse le seuil de la maison dans les bras de son mari ? » Répondit il taquin.  

 

« Oui c’est exact mais… »  

 

Elle venait de comprendre et alors que des larmes de bonheur glissaient sur ses joues, il lui murmura à l’oreille.  

 

« Une nuit Kaori… Juste une nuit et notre maison… Va savoir ce que demain nous réserve. Mais cette nuit, je sais moi ce que je te réserve… »  

 

Un regard coquin et mutin s’empara de lui alors qu’ils franchissaient le seuil de cette maisonnée.  

 

Un feu brûlait dans l’âtre et un lit de fortune fait de coussins et de draps les attendait.  

 

Il l’a déposa sur le lit avec passion et déjà elle sentait le bien être d’avoir au moins une nuit sans lutte où ils pourraient s’aimer comme ils le méritaient.  

 

Et ce fut le cas, juste une nuit ils purent s’aimer.  

 

Dès le lendemain une nouvelle bataille les attendait et une autre, et une autre.  

Pendant 3 mois cette seule nuit était restée dans leur mémoire.  

 

Et maintenant il était seul, il survivait seul sans elle, mais pour elle.  

 

Le destin avait voulu qu’il n’y eut qu’une nuit, et un enfant en était la preuve.  

C'est dans le désespoir et avec l’âme meurtrie qu’ils se séparèrent définitivement.  

Et pour ne pas que la tentation soit trop grande, pour ne pas qu’un jour ils revivent ça, ils firent un pacte.  

 

Celui de ne plus jamais se revoir, mais de vivre pour eux, et pour cet enfant.  

Kaori devrait donc tout faire pour se cacher de l’homme qu’elle aime, et lui devrait résister à l’envie de les retrouver.  

 

Cette promesse isl avaient put la conclure sur l’oreiller une chanson raisonnait dans la tête du nettoyeur depuis lors.  

 

La chanson qu’ils avaient écoutée cette seconde et dernière nuit semblable à un rappel et à une prédiction concernant leur avenir.  

 

UNA NOCHE - The Corrs & Alejandro Sanz  

 

Después de pensar  

Après avoir pensé  

Después de ver  

Après avoir vu  

A mi dolor andar  

Ma douleur, marcher  

Sobre el agua del mar  

Sur l'eau de la mer  

Tibia claridad  

D'une clarté tiède  

Que vi, por mi calle pasar  

Que j'ai vu, passer par ma rue  

Sin saber qué hacer  

Sans savoir quoi faire  

Sin sentir o pensar  

Sans sentir ou penser  

Sólo que aún hoy  

Que je suis seul encore aujourd'hui  

Sigo aún, aún hoy, sigo aún  

Je continue toujours, aujourd'hui encore, je continue toujours  

Sigo ata...  

Je continue, attaché... . .  

Atándome a tí.  

En m'attachant à toi  

Aún hoy, mi amor, te doy  

Aujourd'hui encore, mon amour, je te donne  

Mi cuerpo con alma,  

Mon corps avec âme  

Se esconde del sol (sol)  

Il se cache du soleil (soleil)  

De noche se escapa, de noche  

S'échappe de nuit, de nuit  

Aún hoy, aún hoy  

Aujourd'hui encore, aujourd'hui encore  

Te doy,  

Je te donne  

Mi cuerpo con alma  

Mon corps avec âme  

Aún hoy, aún hoy  

Aujourd'hui encore, aujourd'hui encore  

(Aún hoy)  

(aujourd'hui encore)  

Aún hay, aún hay  

Il y a encore, Il y a encore  

Qué esconde la noche ?  

Que cache la nuit ?  

Va a guardar de nosotros dos  

Elle va nous garder tous les deux  

O sentir o pensar  

Soit sentir soit penser  

Se me llenó de luz  

Elle me remplit de lumière  

La noche  

La nuit  

Es porque yo vi Nadar  

C'est parce que j'ai vu nager  

Delfines en tu vos  

Des dauphins dans ta voix  

Y sentir sin pensar  

Et sentir sans penser  

Sólo que aún hoy  

Que je suis seul encore aujourd'hui  

Sigo aún, sigo aún  

Je continue toujours, je continue toujours  

Aún hoy  

Aujourd'hui encore  

Sigo amándote a tí.  

Je continue de t'aimer  

Aún hoy, mi amor, aún hoy, mi amour  

Aujourd'hui encore, mon amour, aujourd'hui encore, mon amour  

Aún hay (aún hay)  

Il y a encore (il y a encore)  

Dos cuerpos con alma  

Deux corps avec âme  

Se esconden  

Ils se cachent  

Del sol (sol)  

Du soleil (soleil)  

De noche se escapan, de noche, aún hoy  

Ils s'échappent de nuit, de nuit, aujourd'hui encore  

De noche, se dan  

De nuit, se donnent  

Los cuerpos las almas  

Les corps les âmes  

Aún hoy, aún hoy  

Aujourd'hui encore, aujourd'hui encore  

(Aún hoy, aún hay)  

(Aujourd'hui encore, Il y a encore)  

Aún hay  

Il y a encore  

Sólo que aún hoy  

Que je suis seul aujourd'hui encore  

Sigo aún sigo aún  

Je continue toujours, je continue toujours  

Aún hoy  

Aujourd'hui encore  

Sigo amándote a t  

Je continue de t'aimer  

(Amándote a tí)  

(De t'aimer)  

Aún hoy, mi amor, aún hoy, mi amour  

Aujourd'hui encore, mon amour, aujourd'hui encore, mon amour  

Aún hay, (aún hay)  

Il y a encore (il y a encore)  

Dos cuerpos con alma, aún hay  

Deux corps avec âme, il y a encore  

Se esconden  

Ils se cachent  

Del sol (sol)  

Du soleil (soleil)  

De noche se escapan, aún hoy  

Ils s'échappent de nuit, de nuit, aujourd'hui encore  

De noche, (se dan)  

De nuit, (se donnent)  

Los cuerpos las almas  

Les corps les âmes  

Aún hoy (aún hay)  

Aujourd'hui encore, (il y a encore)  

Aún hay... (aún hay... )...  

Il y a encore... (il y a encore... )...  

 

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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