Capitolo 1 :: La vie, l'amour, la mort 1er partie

Pubblicato: 03-04-04 - Ultimo aggiornamento: 03-04-04

Commenti: Bon voilà c'est ma 1er fanfic. Cela fait 1 mois que je surfe sur ce site en j'en suis devenue "accro". A force de lire, une irrésistible envie d'écrire à mon tour c'est fait ressentir. J'ai longuement hésité avant de la publier, car il y a beaucoup de talent sur ce site (non, je ne veux pas passer de la pommade a personne, c'est juste mon avis ^_^) et je ne me sentais pas à la hauteur. Néanmoins Sophie (ma Béta Reader) a su me convaincre. Alors mille merçi à toi Sophie pour ta gentillesse, ton humour et ton talent (vu les corrections qu'elle a du éffectuer). N'hésitez pas à me laisser vos avis et bonne lecture.

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TUT TUT TUT TUT!!!  

Ryo tendit le bras pour arrêter cette infernale sonnerie. Difficilement, il ouvrit un œil pour regarder son réveil qui indiquait 5 heures. Jamais il ne s’était réveillé aussi tôt!  

- Mick, tu as intérêt à ce que ce soit un bon tuyau, bougonna-t-il.  

Et c’est d’un regard meurtrier qu’il fixa le réveil en calculant qu’il n’avait dormi que 3 heures. Il sentit le corps doux et chaud de sa femme et ne regretta en rien le peu de sommeil aux souvenirs de la nuit. Elle l’enserrait par la taille et son corps épousait celui de Ryo. Elle bougea légèrement et offrit à Ryo une vue magnifique sur son corps aux formes généreuses. Son visage était tourné vers lui, il regarda ses traits fins et sensuels. Ryo n’y résista pas, il se pencha pour l’embrasser doucement et sentit son parfum épicé. Aussitôt il sentit son mokkori entrer en action.  

- Ah non, pas maintenant mais tu es insatiable toi !! Ne vois tu pas qu’elle dort?  

Il pensa qu’un jour il faudrait qu’il arrête de parler avec lui-même, mais, tout les deux s’entendaient tellement bien, (ils avaient les mêmes goûts féminins :op)  

Il regarda tendrement sa femme et se dégagea doucement de son étreinte. Il se dirigea vers la salle de bain, prit une douche rapide, s’habilla et alla prendre un café. Sa tasse fumante à la main, il se mit devant la fenêtre et regarda le paysage qu’il connaissait par cœur : la rue, les boutiques, les marchands ambulants et le parc, son endroit préféré où il pouvait courir tout en ayant un cadre idyllique : les arbres, les fleurs qui formaient une multitude de couleurs, le lac, les parfums différents se mélangeant pour former une odeur qui pouvait, soit vous rendre nostalgique, soit vous mettre en forme pour la journée. La ville malgré l’heure matinale avait déjà une belle activité entre les travailleurs, joggers et passants de toutes sortes.  

- Oui, j’aime Los Angeles se dit-il.  

C’était à ses yeux l’une des plus belles villes au monde mais ce qui l’agaçait parfois, c’était toute l’énergie que les gens mettaient dans des futilités. Il fallait toujours être à la pointe de la mode, au courant des ragots et surtout des fêtes où il fallait être présent et celles qu’il fallait à tout prix éviter. Quant aux discussions « superficielles » était le mot adéquat. Voilà pourquoi il faisait en sorte de ne jamais côtoyer la vie mondaine de Los Angeles. Ce n’était pas facile car il c’était fait un nom et les invitations pleuvaient chaque jour d’avantage. Les esquiver demandait une ingéniosité sans faille dont il était assez fier. En dehors de ça, Ryo avait une compensation : les plages superbes, la lumière si particulière à LA et surtout la raison principale à ses yeux : les plus belles filles au monde déambulants en maillot de bain à longueur de journée (Eh! Tu exagères Ryo ! Il y en a tout de même qui travaillent en tenue normale, lol).  

Il se détourna et se rendit compte qu’il avait une mauvaise impression depuis qu’il s’était levé, sans doute à cause de l’heure matinale et du peu de sommeil. Il alla à l’évier, déposa sa tasse dedans et décida qu’il était temps de rejoindre le bourreau de son sommeil. Il monta dans l’ascenseur, appuya au rez-de-chaussée et attendit en vérifiant qu’il avait bien chargé son python 357 magnum. Arrivé en bas, il alla chercher 2 beignets chez son marchand habituel, qui les lui donna avec les informations qu’attendaient Ryo.  

-Le bonhomme a passé toute la nuit avec sa belle au Charlton chambre 415. Il devrait partir sur les coups de 10 heures. Eh Eh Eh! C’est ton coéquipier qui avait raison.  

-Ouais pour une fois c’était un bon tuyau. Il avait raison. Le gugusse la trompe. Tiens voilà ce que je te dois.  

Il glissa un billet de 50 dollars dans la main de Christophe qui n’en demandait pas tant. Christophe regarda Ryo s’éloigner en pensant qu’il le connaissait maintenant depuis 3 ans. 3 longues années de collaboration! Dire qu’il l'avait connu avec son autre équipier et qu'il avait vu Ryo se transformer petit à petit, sauf en ce qui concernait les femmes. A ça! C’est sur qu’il était tombé sur le duo le plus pervers des Etats Unis (du monde !!! ^_-) Seuls, lui et quelques autres indics étaient au fait que les comparses étaient des nettoyeurs. Officiellement, c’était des détectives voire des gardes du corps. Mais quand un client devait faire appel à cette équipe choc, il devait forcément transiter par l’équipe d’indic. Si le client s’avérait une cliente, belle de surcroît, le mot de passe à donner aux comparses était : je souhaiterai pouvoir bénéficier de vos talents exceptionnels. Quant aux autres, si le travail était accepté, la phrase choc était : j’ai besoin de vos talents.  

- Pfff s'ils étaient pas aussi craints, on pourrait les prendre pour des imbéciles, pensa Christophe. Quand je pense que mes collègues et moi, on a dû suivre un stage de 3 jours pour savoir les goûts de ces messieurs en ce qui concerne la gente féminine et connaître la bonne phrase pour que leur mokkori soit au paradis comme ils disent! Non mais vraiment!  

Néanmoins Christophe pensa que sous leurs airs de bouffons (ça se dit ça ??:op)), c’étaient de redoutables professionnels !  

Ryo repassa devant son immeuble avec les beignets encore chauds. Il repéra la fenêtre de sa chambre au 30ème étage (oui, je sais c’est haut pour repérer mais c’est Ryo non ?? lol) en pensant qu’il retournerait bien dans son lit avec sa femme pour son câlin indispensable du matin. A cet instant là, il ressentit un fourmillement familier au creux des reins, son sang s’accéléra dans ses veines et son rythme cardiaque augmenta. Il était aux aguets, ses yeux fixant sa droite.  

- Doucement Ryo, s’encouragea-t-il. Calme toi, ne va surtout pas l’effrayer.  

Tout d’un coup, il la vit! Elle apparue en short moulant avec un haut court. Elle était superbe, son 6ème sens ne l’avait pas trompé. Il se sentit prêt pour sa gym du matin. Ryo remarqua ses formes plus que généreuses et son visage doux. Bref tout ce qu’il aimait. Elle faisait du roller et il suivait avidement son déhanchement. Elle passa à côté de lui et le remarqua.  

- Pas mal, se dit elle. Il est grand, musclé avec des cheveux noirs aux reflets bleutés, une bouche sensuelle… Hum, tout à fait mon type d’homme (et le nôtre aussi hein les filles ^____^)  

Mais quand elle arriva à ses yeux bleus nuit (ben oui dans cette série ils deviennent bleus) elle sentit un choc, comme un coup de poing dans le ventre. Il avait un regard incroyable c’était comme s'il était capable de s’exprimer qu’avec lui. Son regard vous sondez donnant l’impression de révéler tout ce qui faisait votre personnalité, mais également ce que vous souhaitiez cacher. Il avait un regard de fauve à qui rien n’échappe et qui hypnotise sa proie. (Bon ok! Là j’ai peut-être un tout petit peu chargé mais c’est Ryo. NOTRE Ryo! Alors peut-on vraiment parler d’excès? Et puis lui aussi en rajoute alors je fais comme lui ^_-). Elle baissa les yeux, troublée et se sentit mal à l’aise mais continua son chemin en se disant que c’était un homme avec un grand H (pff pôvre fille va tu vas déchanter).  

Elle entendit un « Hey mademoiselle », se retourna et vit son bel inconnu courant vers elle les bras grands ouverts, une face lubrique avec ses lèvres tendus en un baiser où de la bave sortait (beurk). Elle faillit tomber à terre en le voyant et eu un rire nerveux pendant qu’une libellule tombait sur sa tête. Instinctivement, elle logea son roller dans le visage de Ryo qui lui dit :  

- Che foulait chjuste un falin  

Là, elle du réviser son jugement :  

- Mais vous êtes un malade, un abruti, un pervers (eh oui dure réalité mais tu as visé juste lol).  

Elle repartit devant un Ryo édenté mais néanmoins ravi d’avoir vu de si jolies fesses.  

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