Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Deathscythe

Status: In corso

Serie: Family Compo

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 09-09-09

Ultimo aggiornamento: 15-07-10

 

Commenti: 7 reviews

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General

 

Riassunto: Un stagiaire Canadien a l'insigne honneur de partager une année dans la vie de la famille Wakanaé et de leur eutourage...

 

Disclaimer: Les personnages de "FAMILY COMPO" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: FAMILY COMPO: LE STAGIAIRE

 

Capitolo 3 :: La famille Wakanaé

Pubblicato: 15-09-09 - Ultimo aggiornamento: 16-09-09

Commenti: Ici, Patrick fait la connaissance de la famille Wakanaé. Bonne lecture et merci de vos reviews!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10


 

Était-elle simplement incapable de parler, ou était-ce (encore une fois!) mon apparence qui l’avait paralysée, je ne puis le dire, mais pendant quelques instants, le seul bruit qu’on entendit fut le ronronement du moteur du réfrigérateur. Le regard fixé sur moi, le rouge lui monta lentement aux joue et à son expression, je pus deviner qu’elle cherchait activement quelque chose à dire pour se sortir de cette situation plutôt gênante.  

 

-Pensionnaire?!, finit-elle par dire, perplexe. Déjà un autre? Kaoru vient à peine de retourner vivre avec son père que sa chambre est déjà prise?? Je ne me souviens pas d’avoir vu un écriteau qui disait “chambre à louer”.  

-Shion, Patrick est le nouveau Stagiaire d’Oncle Sora, répondit Masahiko. Je croyais que tu étais au courant, ajouta-t-il d’un air taquin.  

 

La compréhension se peignit alors sur le beau visage de Shion. Elle se secoua la tête d’un air embarrassé, puis elle m’adressa un sourire chaleureux et parfaitement craquant en disant:  

 

-Je m’excuse de ne pas t’avoir remarqué avant, dit-elle sur un ton d’excuse, mais je ne m’attendais pas à te voir arriver si tôt! Ta chambre n’est pas encore prête.  

-Kaoru n’a pas emporté tout son stock?, demanda Masahiko, l’air surpris.  

-Non, répondit Shion en s’asseyant à côté de moi. Il avait tellement de trucs à ramener chez lui que les déménageurs engagés par Mr. Tatsumi n’ont pas pu tout caser dans leur camion... Il reste encore plusieurs cartons et ils ont dit qu’ils reviendraient les chercher un peu plus tard cette semaine.  

-Tout ce dont j’ai besoin, dis-je en souriant, c’est d’un lit pour dormir. Rien ne presse.  

-On n’aura qu’à entreposer le reste des trucs de Kaoru dans la chambre de débarras, dit Masahiko.  

 

À nouveau, je sentis le regard de Shion posé sur moi, comme si elle voulait détailler chaque partie de mon visage. Je devais me faire une raison: mon entourage était habitué à mon apparence peu ordinaire, mais j’allais devoir faire montre de patience pour ce qui était des nouveaux gens dont j’allais faire la rencontre ici... J’eus un sourire indulgent et je dis, à brûle-pourpoint, alors qu’elle était un beau milieu d’une tirade contre son patron au restaurant:  

 

-Shion, est-ce que mon aspect te dérange?  

 

Je la pris tellement au dépourvu avec ma question qu’elle eut un mouvement de recul et elle dit, l’air mal à l’aise:  

 

-Non, je... Qu’est-ce que tu veux dire?, balbutia-t-elle.  

-Tu n’as pas cessé de me dévisager depuis que tu es arrivée...  

 

Elle se mordit les lèvres et elle dit d’un air embarassé:  

 

-Je te demande pardon, Patrick, mais c’est plus fort que moi... Comprends-moi bien: je ne cherche pas à te mettre mal à l’aise, j’essaie seulement de voir au-delà de ta cicatrice... Puis-je te demander ce qui t’est arrivé?  

 

J’hochai la tête et j’entrepris de lui résumer ce qui m’était arrivé. La réaction qu’elle eut m’amusa: suggèrer d’engager Mr. Tatsumi et ses hommes sembla à ses yeux une excellente façon de faire payer veux qui étaient responsables de mon accident...  

 

Elle s’excusa et prit congé, prétextant qu’elle avait besoin de sortir de son “habit d’esclave” et de prendre une bonne douche. Alors qu’elle sortait de la pièce, je ne pus m’empêcher de remarquer que Masahiko la regardait avec une certaine affection qui me fit penser qu’il en pinçait peut-être pour elle... Je décidai de me taire parce qu’après tout, ça ne me regardait pas Après tou, je n’étais pas venu au Japon pour jouer les entremetteurs et si quelque chose devait se passer entre eus, autant laisser le temps faire seon oeuvre. Au moment ou j’allais demander à Masahiko de me faire visiter le reste de la maison, la porte d’entrée s’ouvrir à nouveau et nous entendîmes la voix d’une femme dire:  

 

-C’est nous, on est rentrés! Il y a des volontaires pour nous aider à rentrer les courses?  

-On est au salon, tante Yukari! Lança Masahiko en se levant. Attends ici, ils vont en faire une tête!, ajouta-t-il à mon intention, me faisant un petit clin d’oeil d’un air complice.  

 

Je pris le parti de me taire et je tendis l’oreille alors que Masahiko saluait sa tante et son oncle.  

 

-Je ne suis pas seul, il y a quelqu’un au salon, entendis-je Masahiko dire depuis le vestibule.  

-Tiens donc?, dit la voix masculine, mais tout de même douce, d’un homme qui ne devait être nul autre que Maître Sora. Tu veux nous dire qui c’est, ou tu préfères qu’on devine? Ajouta-t-il d’un ton moqueur.  

-Allez voir et vous verrez, je m’occupe de rentrer les courses! Répondit Masahiko avant de fermer derrière lui.  

-Je me demande qui ça peut bien être..., dit Sora d’un ton interrogateur.  

-Vas voir, chéri, je m’occupe de transporter les courses à la cuisine, répondit Yukari.  

 

Je m’étais senti assez calme depuis mon arrivé. J’étais certes un peu fébrile, heureux et j’avais hâte de rencontrer Maître Sora, mais en entendant les pas de ce dernier se rapprocher, j’avais carrément un embouteillage de papillons dans les tripes! Les mains un peu tremblantes, je pris appui sur ma canne et je me levai. Maître Sora entra dans la pièce et lorsqu’il m’aperçut, une expression de surprise mêlée d’incrédulité se peignit sur son visage. Jamais on aurait pu croire en le regardant que Sora Wakanaé était en fait une femme: de la tête aux pieds sa personne n’était que masculinité et virilité incarnées. Il devait faire au moins un mètre quatre-vingt-cinq, moi qui ne fait qu’un mètre quarante-cinq! Ses cheveux noirs étaient attachés en queue de cheval et quelques mèches rebelles retombaient sur son front. Il portait une chemise blanche et un pantalon noir.  

 

J’ignore quelle expression j’affichais à ce moment-là. J’espèrais juste ne pas avoir l’air d’un parfait imbécile. Je n’osais parler le premier, incertain de ce qui sortirait de ma bouche: quelque chose de stupide, quelque chose d’intelligent ou quelque chose d’autre...  

Puis un grand sourire se traça sur ses lèvres et il vint vers moi à grands pas, la main tendue, et il dit:  

 

-Patrick! Ça alors! Tu parles d’une surprise!!  

-Maître S-Sora je suis très heureux d-de vous rencontrer enfin!, marmonnai-je, trop nerveux pour articuler normalement.  

 

Maître Sora m’étreignit solidement et il dit dans un ricannement:  

 

-Oublie les “Maître Sora”, appelle-moi juste Sora! Pas de manières entre nous!  

 

Se tournant vers la cuisine, il lança à l’adresse de sa femme:  

 

-Yukari! Tu ne devineras jamais qui est là! Viens vite!  

-J’arrive! J’arrive!, répondit cette dernière d’un ton empressé.  

 

Quand elle entra à son tour dans la pièce et qu’elle m’aperçut, Yukari afficha le même air de surprise que son mari et elle vint vers moi. Jamais on aurait pu croire que sous ses vêtements elle était un homme. Elle était un peu plus petite que son mari, mais un peu plus grande que moi. J’estima qu’elle devait faire un mètre cinquante-cinq et je la trouvai resplendissante dans sa longue robe noire décorée de fleurs blanches. Je m’attendis à ce qu’elle me serre la main en guise de bienvenue, mais elle m’étreignit doucement dans ses bras et déposa un petit baiser sur ma joue... Ma joue mutilée... Tant de gentillesse firent monter quelques larmes discrètes à mes yeux et une chaleur réchauffa mon coeur. Aucune femme ne m’avait embrassé depuis mon accident...  

 

-Bienvenue dans notre demeure, Patrick, dit-elle de sa voix douce.  

-Nous ne t’attendions pas avant la semaine prochaine, dit Sora en s’asseyant sur le canapé, mais c’est vraiment une très belle coïncidence!  

-Une coïncidence?, dis-je en m’asseyant à mon tour. Je ne comprends pas...  

 

Alors que Yukari retournait à la cuisine pour s’occuper des courses, Sora m’expliqua que son équipe d’assistantes et lui-même avaient terminé la prochaine parution de “Notre Emblême” ce matin-là et qu’ils allaient faire une petite célébration ce soir-là, comme il était de coutûme pour eux.  

 

-Tu vas venir avec nous, Patrick, dit-il d’un ton autoritaire. J’insiste, je ne prendrai pas un non comme réponse!  

-Chéri, il a peut-être envie de se coucher un peu, dit Yukari depuis la cuisine. Après tout il a fait un vol de dix-huit heures en avion, il est sûrement fatigué...  

-Je suis fatigué, c’est vrai, dis-je en souriant, mais je ne veux pas rater une occasion comme celle-ci de participer à une célébration. J’accepte l’invitation avec plaisir!  

-Puis-je te demander pourquoi tu es arrivé plus tôt que prévu?, demanda Sora, le sourire toujours aux lèvres. À moins que je me suis trompé en prenant les dates en note...  

-Il est vrai que je devais arriver la semaine prochaine, mais j’ai décidé de partir une semaine plus tôt pour avoir le temps de m’ajuster au décallage horaire et me familiariser avec les coutûmes du pays.  

-Ahhh! Mais c’est très gentil et respectueux de ta part, répondit Sora.  

 

La porte s’ouvrit à nouveau et Masahiko dit d’une voix haletante:  

 

-Bon sang! Mais vous avez rapporté le magasin au complet, ma parole!  

-Je vais t’aider, répondit Sora en ricannant. Ou est Shion?  

-Elle est rentrée de son travail et elle est allée prendre une douche, répondit Masahiko en déposant les sacs d’emplettes par terre.  

 

Comme toute la famille se trouvait à la cuisine et même si ça me demanda un gros effort, je me relevai et j’allai les rejoindre. Masahiko me tira une chaise et il alla aider son oncle et sa tante qui rangeaient les courses. Yukari se tourna vers moi et me demanda:  

 

-Alors, ce vol, il s’est bien passé?  

-Oui, très bien, répondis-je. Le film était ennuyeux et je n’avais rien amené pour lire, alors j’ai dû faire la causette avec un Espagnol qui ne parlait pas un mot de français et savait à peine parler anglais. Des heures et des heures de plaisir!  

 

Tous ricannèrent et je poursuivis:  

 

-On m’a fait visiter le cockpit et le pilote m’a bien fait rire quand il m’a dit que j’avais une tête à jouer dans les plus grands films d’Hollywood.  

 

Masahiko me regarda d’un air perplexe. Avait-il deviné que j’étais sarcastique quand j’avais dit que le pilote m’avait fait rire? En fait, j’avais eu la très forte envie de me servir de sa tête comme punching bag, mais je m’étais retenu, histoire de ne pas passer pour un terroriste, avec la tête que j’ai... Sora et Yukari semblaient également avoir deviné que j’avais été sarcastique dans mes propos car ils ne dirent rien, mais échangèrent un regard plein de signification: pas de blagues sur l’apparence du stagiaire!  

 

-Masahiko t’a fait visiter le reste de la maison?, me demanda Sora.  

-Non, répondis-je. J’avais l’air épuisé selon lui, alors il a voulu que je reprenne mon souffle.  

-Tu avais sérieusement l’air de quelqu’un qui avait besoin de s’asseoir un peu, répondit Masahiko. Si t’es d’attaque, je vais te faire visiter.  

-Non, laisse-moi m’en occuper, dit Sora en me faisant signe de le suivre. J’en profiterai pour le présenter à mes assistantes.  

 

Je me levai à nouveau (il me sembla que je fis cet exercice un peu trop souvent à mon goût ce jour-là!) et je suivis Sora. Parvenus au pied de l’escalier, il désigna mon sac à dos et mon portfolio en me demandant:  

 

-C’est à toi?  

-Oui, mais attention, le sac est très lourd...  

-C’est pas un probleme pour moi! Répondit-il avec assurance.  

 

C’est aisément qu’il prit mon sac à dos dans une main et mon portfolio dans l’autre et qu’il me conduisit au second étage de la maison. Nous débouchâmes sur un long couloir qui s’étirait sur notre droite. À notre gauche, une petite porte donnait sur un petit salon qui faisait le lien entre les toilettes d’un côté et le studio de dessin de Sora. En prenant soin de marcher plus lentement à cause de ma démarche claudiquante Sora me dit que la première porte sur notre droite s’ouvrait sur sa chambre à coucher à lui et Yukari. Juste à côté, il y avait la chambre de Masahiko et devant celle-ci, il y avait la mienne. L’escalier qui se trouvait au bout du couloir donnait sur la chambre à coucher de Shion qui se trouvait au troisième.  

 

C’est à cette étage que se trouvait également la salle de documentation, mais on ne pouvait y avoir accès que par une échelle qui se trouvait dans le studio de dessin. Sora ouvrit la porte de ma chambre à coucher et il m’y fit entrer le premier. Il déposa mes bagages à côté de la porte et je pris le temps de regarder autout de moi: juste à côté de la porte, il y avait un grand placard à portes coulissantes et, contre le mur opposé, sous l’une des deux fenêtres, se trouvait un grand lit. À part une table de chevet et une commode, il n’y avait aucun autre meuble. Plusieurs boîtes de carton étaient éparpillées un peu partout sur le plancher en bois franc et les murs blancs étaient encore décorés de posters de vedettes rock.  

 

Sora alla ouvrir les fenêtres pour aérer la pièce et il me demanda, un sourire aux lèvres:  

 

-Ça te plaît?  

-Biensûr! Répondis-je rayonnant de bonheur. Ma propre chambre à coucher n’est pas aussi grande! Mon appartement au complet pourrait tenir dans cette chambre à coucher!  

-Alors sens-toi libre de l’arranger comme il te conviendra! Je vais demander à Shion et à Masahiko de te débarasser des affaires de Kaoru et demain, Yukari viendra faire un peu de ménage.  

-Je peux m’en charger moi-même, assurai-je un peu mal à l’aise de donner plus de travail à cette dernière.  

-Pas du tout! Tu es notre invité, il n’est pas question que tu lèves le petit doigt ici!, rétorqua Sora d’un ton sans réplique.  

 

J’allai m’asseoir sur le lit, question de tester son niveau de confort, et je lui demandai:  

 

-Ça fait deux fois que j’entends parler de Kaoru... Qui est-ce, si je puis me permettre?  

-Kaoru, dit Sora en s’asseyant à mes côtés, est le garçon de Mr. Tatsumi, un ami de la famille.  

 

J’eus un mouvement de recul. Il avait dit un ami de la famille?? Je me souvins alors que Ejima avait très clairement mentionné que ce Tatsumi était un Yakuza! Remarquant mon désarroi, Sora en devina la cause et il dit:  

 

-Mr. Tatsumi n’est pas un Yakuza comme les autres. Il peut se montrer très bien élevé et très gentleman quand la situation le demande. Nous avons su gagner le respect mutuel l’un de l’autre et ce, malgré Kaoru... Quand nous avons fait la connaissance de ce dernier, il était en train de traverser une une période de crise identitaire.  

-Il était confu au sujet de son identité sexuelle?  

-Non, il savait qu’il était un homme, mais il a le même “handicap” que moi, disons...  

 

Je ne mis pas longtemps pour comprendre: Kaoru était une fille désireuse d’être un garçon... Et c’était l’enfant de Tatsumi, qui avait eu le coup de foudre pour Masami, qui n’était en fait nul autre que Masahiko...  

Je ne pus réprimer un petit sourire et je dis:  

 

-Je ne peux m’empêcher de penser que beaucoup de monde pourrait en perdre leur latin en essayant de comprendre une telle situation!  

-Pour certaines personnes, cette situation est difficile à comprendre et encore plus difficile à accepter...  

-Mr. Tatsumi a eu du mal à accepter le choix de sa fille... ou plutôt de son garçon?  

-Non, ce n’est pas vraiment ça... C’est plutôt Kaoru qui avait du mal à vivre avec son père... Nous nous somme portés volontaires pour essayer de les racommoder. Ça n’a pas été facile, mais nous avons finalement réussi... Et la semaine dernière, Kaoru a décidé de tenter le coup et d’aller vivre chez son père. Jamais je n’avais vu Tatsumi aussi heureux.  

-Il vient souvent ici? Demandai-je.  

-De temps en temps, il vient rendre visite à la famille. Il est très reconnaissant pour ce que nous avons fait pour lui et son enfant. Tu le rencontreras très certainement au cours de ton séjour ici. Tu verras, il peut être effrayant au premier abord, mais il est très sympatique...  

-Un type comme moi, quoi!, dis-je dans un ricannement.  

-Je ne comprends pas la portée de tes propos...  

 

Je lui racontai brièvement les regards que j’avais croisés d’abord dans l’avion, puis à l’aéroport et ensuite avec Ejima et Lee. Je passai sous silence le fait que Shion m’avait également dévisagé pour ne pas lui attirer des ennuis et soulignai plutôt que Masahiko et elle avaient été les seuls qui ne m’avaient pas déshabillé du regard.  

 

-Eh bien tu n’as rien à craindre de mes assistantes, je leur ai parlé de toi. Je leur ai décrit ton apparence et ta condition physique. Elles ont l’habitude de se faire remarquer ou qu’elles aillent et de subir les moqueries des gens... Ce sont les dernières personnes au monde qui se moqueront de toi, je puis te l’assurer.  

-Merci de m’avoir montré autant de considération avant même que je n’arrive dans votre maison, dis-je en inclinant la tête en signe de reconnaissance, touché par tant de gentillesse.  

 

Sora me donna une solide tape dans le dos et il se leva en disant:  

 

-Viens, il est temps que je te présente à mes très estimées assistantes. Elles doivent être prêtes à aller célébrer la nouvelle parution!  

 


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