Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Lauraw

Beta-reader(s): Cats, Maruku, Grifter

Status: Completa

Serie: Cat's Eye

 

Total: 22 capitoli

Pubblicato: 26-05-06

Ultimo aggiornamento: 29-04-09

 

Commenti: 23 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: J'ai essayer de prendre le concept du défi, en donnant des frères à Toshio (Quentin en vf, j'ai garder les noms japonais) un caractère plus ferme et j'espère que vous me lirez jusqu'au bout... merci à tous de m'avoir suivit jusqu'au bout jusqu'à la fin de cette aventure... On se reverra dans d'autre aventure... bonne lecture en attendant.

 

Disclaimer: Les personnages de "cat's eyes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Excépter ceux de mon cru bien entendu.

 

Tricks & Tips

How can I correct a misplaced chapter?

 

It can happen that an author has several stories in process and that he adds a chapter of a story to another one. In this ...

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   Fanfiction :: De bien étrange voleurs

 

Capitolo 18 :: Chapitre 18 : Ruï au repos Forcée !

Pubblicato: 15-02-09 - Ultimo aggiornamento: 16-02-09

Commenti: j'espère que vous ne m'en voudrez pas de ma lenteur et que vous allez apprécier !

 


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Hitomi lui adressa un pâle sourire avant de se diriger vers le commissariat tandis que Naguy prenait le coupé de Toshio et rejoignait l’hôpital où il retrouva Aï en compagnie de son cousin. Elle se leva lorsqu’elle le vit arriver.  

 

- Salut Naguy, je suis contente de te voir !  

- Salut Aï. Ne fais pas cette tête voyons, elle est plus forte qu’il n’y parait.  

- Je sais…Je crois que tu ne connais pas notre cousin : Kano ? voici l’aîné des Utsumi, Kusanaguy ou plus simplement Naguy.  

- Bonjour, j’ai déjà entendu parler de vous.  

- En bien j’espère ? Plaisanta Naguy en lui serrant la main.  

- Bien sur. J’ai déjà rencontré Ken et je connais Kei.  

- Tu connais donc toute la famille puisque tu as dû voir Toshio.  

- Oui Monsieur.  

- Appelle-moi Naguy. Je ne suis pas si vieux que ca.  

 

Kano acquiesça et ils échangèrent un regard bienveillant. Tous deux relevèrent les yeux lorsqu’ils virent Aï se jeter dans les bras d’un homme plus âgé. Il s’agissait de son père, le Commissaire Kisugi en tenue qui la serra affectueusement contre lui et dit :  

 

- Et bien ma chérie, que se passe-t-il ? Hitomi m’a informé que Ruï allait bien malgré sa blessure.  

- Je sais Papa mais j’ai eu très peur tout de même.  

- Moi aussi, mes filles sont de vrais casse-cou et il faut que je compose avec.  

 

Aï glissa son bras sous le sien alors qu’il se tournait vers Kano pour lui dire :  

 

- Et toi mon garçon, tu ne devrais pas être à l’école ?  

- Si mais je suis venu voir ma belle-mère.  

- Rien de nouveau malheureusement mais, tu es chez toi avec nous tu le sais.  

- Oui mon oncle.  

- Et vous êtes ?  

- Papa voyons, c’est Kusanaguy.  

- Ah oui vous êtes le frère de Toshio et de Kenshin et le petit ami de Ruï, n’est-ce pas ?  

- Oui Monsieur, répondit Naguy en lui donnant une poignée de mains franche sans baisser le regard, ce qui sembla plaire au père des filles.  

- Je ne peux pas dire que vous ayez mauvais goût. Mes filles son magnifiques.  

-C’est vrai, reconnut Naguy.  

-Dites-moi, le café Cat’s Eyes ne serait pas à vous des fois ?  

-Si, pourquoi ?  

-Drôle de nom je trouve pour un café et singulièrement, une bande de voleurs nous nargue avec ce surnom depuis un bout de temps.  

 

Naguy sourit, amusé avant de lui répondre :  

 

- Et fait, c’est en hommage à notre père. A sa mort il nous a laissé une pierre précieuse, un cymophane surnommé aussi l’«Œil de chat» avec laquelle nous avons pu restaurer le café que notre oncle nous a légué en héritage. C’est un peu comme s’il nous portait chance.  

- Je comprends, répliqua le père des filles.  

 

Leur conversation fut interrompue par une femme médecin en blouse verte qui se dirigea droit vers le Commissaire.  

 

- Bonjour Commissaire, contente de vous revoir même dans ces circonstances.  

- Moi aussi Docteur Kasuga. Alors, comment va ma fille ?  

- Elle a reçu une balle dans l’épaule que nous avons extraite et lui avons fais un bandage. Elle est hors de danger toutefois, nous aimerions la garder 48 heures le temps pour elle de se reposer mais elle refuse strictement. Pourriez-vous la convaincre que c’est pour son bien ?  

- Comptez sur moi Docteur, je le ferai !  

- Je vous fais confiance. A une prochaine fois j’espère, dans d’autres circonstances.  

- Il me plairait aussi de vous voir en dehors des blessures ou des morts Docteur mais que dirait votre mari ?  

 

La doctoresse éclata de rire en les laissant et Aï sourit, amusée par l’humour de son père qui savait se montrer sous son meilleur jour lorsqu’il le voulait. Il déclara à sa fille en prenant sa veste :  

- Je ne peux hélas pas m’attarder davantage mais dites à Ruï que je repasserai tout à l’heure et que je ne veux pas la voir travailler avant au moins une semaine où ca ira mal. Je viendrai la chercher lorsque les médecins l’autoriseront à sortir.  

- Oui papa ! Répondit Aï en l’embrassant avant qu’il ne se tourne ver Naguy pour lui dire.  

- Et vous, faites attention. Je garde toujours un œil sur mes filles.  

- Ne vous inquiétez pas Monsieur, je n’ai aucune mauvaise intention à leur égard.  

- Je l’espère bien, dit-il en tournant les talons pour repartir.  

 

Une infirmière conduisit peu de temps après le trio après de Ruï qui avait une chambre particulière. Elle leur fit savoir d’un ton ferme :  

 

- Pas plus de cinq minutes car cette jeune femme doit se reposer.  

- Bien sur Mademoiselle, nous ne resterons pas longtemps, lui répondit Naguy avec un sourire qui fit rougir l’infirmière.  

 

Ruï reprenait peu à peu ses esprits encore sous l’effet des calmants. Elle esquissa un sourire en les voyant entrer.  

 

- Que faites-vous tous là ?  

- Tu es bête, où voulais s’assurer que tout allait bien pour toi, répliqua Aï en l’embrassant sur la joue. Tu m’as flanqué la frousse ! Même Papa est passé et reviendra plus tard. Il t’interdit de mettre le pied au bureau avant l’aval du médecin et il viendra te chercher lui-même à ta sortie.  

 

Ruï grimaça un sourire et marmonna :  

 

- Il ne croit tout de même pas que je vais rester couchée longtemps ? J’ai des affaires en cours...  

- Oublie ca. S’il le faut, je t’attacherai moi-même à ton lit. Il te faut du repos, répliqua aussitôt Naguy en s’avançant.  

- Ok, ok Docteur ! Grommela-t-elle avec un sourire.  

- Tu ne voudrais tout de même pas que ton père soit fâché envers moi ?  

- Le connaissant, je suis certaine qu’il s’est montré très protecteur, je me trompe ? Grimaça-t-elle.  

- On ne peut rien te cacher. Il m’a mis en garde de ne pas faire du mal à sa fille mais je lui ai assuré que mes intentions à ton égard étaient parfaitement honnêtes.  

- Quand pourrais-je sortir ? S’enquit-elle.  

- Tu ne vas pas commencer ! La gronda gentiment sa sœur. Je te rappelle que tu viens de prendre une balle dans l’épaule alors tu vas rester tranquille, d’accord ? Mais quelle tête de mule tu fais ! La houspilla Ai les mains sur les hanches.  

- Ne t’inquiète pas, tu sais bien que je suis un roc.  

- Je sais mais ce n’est pas une raison.  

- Comment va Mélanie Kano ?  

- Toujours pareil.  

- Hitomi te ramènera de quoi te changer ce soir après le boulot. On va te laisser te reposer maintenant.  

- Ok.  

 

Les deux adolescents sortirent laissant Naguy et Ruï seul à seul. Le silence s’installa avant qu’elle ne relève les yeux vers lui pour lui dire :  

 

- Je suis désolée pour l’inquiétude et le dérangement...  

- Tu ne me dérange jamais et sache que quoi qu’il arrive, tu peux toujours faire appel à moi.  

- Merci.  

- Comment est-ce arrivé ?  

- Je…J’étais un peu distraite depuis ce matin et…  

 

Prenant sa main, il la porta à ses lèvres et dit :  

 

- Je comprends…Tu dois me promettre de bien suivre les instructions du médecin d’accord ? Je compte sur toi.  

- J’essaierai.  

- Je l’espère bien sinon ton père et tes sœurs y veilleront.  

 

Elle esquissa un pâle sourire et voyant que les sédatifs agissaient à nouveaux, il murmura :  

 

- Je vais te laisser dormir. Je repasserai.  

- Je t’aime, lâcha-t-elle dans un souffle. Tout cela n’est pas de ta faute.  

 

Il plongea son regard dans le sien et leva son bras valide pour lui caresser la joue tendrement.  

 

- …  

- Vous voulez retrouver votre mère et être réunis, c’est normal.  

- Bientôt, tout sera fini, dit-il en l’embrassant, un baiser qu’elle lui rendit malgré sa faiblesse et ce fut l’infirmière qui les interrompit.  

- Excusez-moi mais la malade doit se reposer.  

- Je te laisse, à demain.  

- Je ne peux pas bouger de toute façon, alors…  

- N’en fais pas trop, je compte sur toi.  

 

Naguy laissa donc Ruï aux bons soins de l’infirmière et regagna le café.  

 

Le lendemain Ruï avait refusé de prendre tout ce qui pouvait la faire dormir et n’avait donc pris que des antidouleurs, faisant tourner en rond les infirmières à force de demander à voir son docteur. Lorsque Naguy lui rendit visite ce soir-là laissant Ken et Toshio s’occuper de fermer le café, une infirmière qui sortait de la chambre de la policière le prévint :  

 

- Votre fiancée est d’une humeur massacrante depuis le passage de son père. Ils se sont encore disputés pourtant elle n’est pas autorisée à sortir avant au moins 24 heures encore. J’espère que vous au moins vous allez réussir à lui faire entendre raison.  

- Je suis désolé, elle n’est pas comme cela d’habitude. C’est juste qu’elle déteste rester inactive, déclara Naguy avec un sourire charmeur qui fit rougir l’infirmière.  

 

Celle-ci balbutia une excuse et s’éclipsa rapidement s’occuper d’un autre patient. Naguy pénétra dans la chambre et déclara avec son grand calme :  

 

- Et bien, qu’entends-je ? Mademoiselle ne veut pas se tenir tranquille ?  

- Bonsoir Naguy, qui t’a dis cela ?  

- Une pauvre infirmière que tu rends folle et qui a demandé de l’aide à ton fiancé.  

 

Ruï rougit avant de lui marmonner :  

 

- Je voulais juste savoir quant je pourrais sortir. De plus, mon père est venu me remonter les bretelles en me disant que je ne pourrais pas travailler avant au moins une semaine, voire 15 jours ! Comme si je n’avais que cela à faire.  

 

Naguy se retint de rire. Il arrangea les oreillers derrière le dos de sa belle et répondit :  

 

- Tu seras plus en forme lorsque tu reprendras ta chasse aux criminels si tu te reposes tu sais.  

 

Elle fit la moue en se callant contre les oreillers tandis qu’il prenait place près d’elle.  

 

- Ton père est de mon avis et étant le Commissaire, il a toute autorité pour te faire tenir tranquille. Entre nous, tu ferais mieux de lui obéir, tu ne crois pas ?  

- Il le faudra bien…Mais si je n’ai pas le droit de me rendre au commissariat, que vais-je donc faire en sortant d’ici tu peux me le dire ? Les vacances ou le repos forcé ne m’ont jamais réussi.  

- Que dirais-tu si je t’invitais le lendemain de ta sortie à dîner au « FRIEND’S » pour te remettre de ton repos forcé ?  

- Je serais partante !  

- Dans ce cas, je passerai te prendre à 19 heures.  

 

Elle hocha la tête et lui fit signe de se rapprocher, ce qu’il fit avant qu’elle ne lui saisisse le visage entre ses mains pour l’embrasser fougueusement, lui coupant le souffle. Puis, elle lui murmura :  

 

- Un petit remerciement pour les douzaines de roses rouges et blanches qu’on m’a livré.  

- Tout le plaisir est pour moi. Après tout, ne suis-je pas un fiancé modèle ?  

- Tout à fait ! Mon père a failli s’étouffer lorsqu’elles sont arrivées.  

 

Naguy grimaça à cette nouvelle.  

 

- Je m’arrangerai avec lui, ne t’inquiète pas.  

- Ne t’en fais pas, il n’a pas un mauvais fond.  

- Je le sais bien. Repose-toi, je file.  

 

Elle sourit et serrant sa main dans la sienne, elle finit par s’endormir. Tout en la contemplant, Naguy murmura en lui baisant le front :  

 

- Je comprends Papa ce que tu as pu éprouver en rencontrant Maman si fragile et pourtant si forte.  

 

Ruï resta donc encore un jour de plus à l’hôpital avant que sa sœur ne passe la prendre. Ruï se doutait bien que son père serait trop occupé ce que sa sœur lui confirma aussitôt :  

 

- Papa m’a envoyé jouer les chauffeurs mais tout le monde t’embrasse très fort. Peut-être préfère-tu néanmoins que j’appelle Naguy ? Je suis sûre qu’avec une petite excuse, il accourait très vite.  

- Hitomi voyons ! Naguy travaille et puis, tu n’as juste qu’à me déposer à la maison et tu pourras retourner bosser.  

- C’est gentil mais, je suis sûr que pour toi il viendrait très vite, néanmoins sache que Toshio et moi ne sommes par aussi lent que vous. Pourtant, j’ai pris ma journée pour m’occuper de toi et tu ne voudrais pas que je ne remplisse pas mon rôle de garde-malade, pas vrai ?  

- Comme tu voudras, sourit sa sœur en montant dans la voiture.  

Lorsque Hitomi eu démarré elle ne pu s’empêcher de lui demander.  

- Hitomi, j’espère au moins que vous…  

- Je sais ce que je fais ne t’inquiète pas.  

Ruï fit la moue et Hitomi la ramena chez-elles.  

 

 


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