Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autori: poussin_ki_tu , grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 02-10-05

Ultimo aggiornamento: 08-03-09

 

Commenti: 52 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Ryô décide du jour au lendemain que sa relation avec Kaori doit évoluer, pour cela il organise un dîner. mais a l'heure de celui-ci Kaori a disparut, et la panique l'envahi. Ryô va tout faire pour la retrouver et enfin lui avouer ses sentiments.

 

Disclaimer: Les personnages de "un moi fatidique" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.et les autres, bah à nous!!

 

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   RRS :: un mois fatidique

 

Capitolo 6 :: Braquage

Autore: grifter

Pubblicato: 26-12-06 - Ultimo aggiornamento: 26-12-06

Commenti: Allez encore un petit dernier avant que je ne fasse une pause sur cette rrs pour finir quelques unes de mes fics en cours :) Un grand merci à Poussin ki tu pour m'avoir laissée délirer sur sa rrs, je laisse le flambeau à qui veut prendre la suite :) Je reviendrai surement poster uen petite maje dans les mois prochains. Merci pour les reviews les filles et bonne lecture Gros bisou et à+

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

A peine Mme Kirari eut-elle prononcé ces mots que la porte du bureau vola en éclats et qu’une femme vêtue de noir et cagoulée fit irruption. Rapide comme l’éclair, celle-ci lui colla le museau de son fusil de chasse sous le menton. La banquière pâlit et se figea aussitôt tremblant comme une feuille. Ryo voulut riposter mais la jeune femme ne lui en laissa pas le loisir.  

 

-Toi le beau gosse, tu bouges pas et tu t’assois, compris !  

 

-Il faudrait savoir, soit je bouge et je m’assois ou soit…mhf !  

 

Un coup de crosse bien placé le fit taire. Il se laissa retomber dans son fauteuil lourdement, se massant sa pauvre nuque endolorie.  

 

-Fais le mariole et je la flingue !  

 

-Allez y tout de suite alors, vous avez ma bénédiction bougonna le nettoyeur. Elle vient de m’interdire bancaire.  

 

-Mr Saeba ! S’écria horrifiée la vieille femme. Puis se tournant vers la braqueuse : Ne l’écoutez pas ! Pitié ! Mr Saeba, je vais vous faire radier de cette banque !  

 

-Faites comme ça vous chante, je m’en contrefous répliqua Ryo en croisant les bras sur son torse et en se calant mieux dans son fauteuil, l’air détaché.  

 

-Très bien, considérez donc que dorénavant vous irez vous adresser ailleurs pour votre argent !  

 

-Parfait !  

 

-Hé ! Je suis là je vous signale ! S’énerva la braqueuse totalement dépassée par la conversation et voyant que personne ne lui prêtait attention. Je ne plaisante pas et flinguerai le premier de vous deux qui tente quoi que ce soit !  

 

-J’ai pas l’intention de jouer les héros pour cette vieille taupe, pas de souci !  

 

Le nettoyeur décida de jouer profil bas et de ne pas intervenir immédiatement, préférant attendre de savoir combien il y avaient de braqueurs en action.  

En entendant les propos « doucereux » de Ryo à son encontre, Mme Kirari sortit de ses gonds et vociféra :  

 

-« Vieille taupe » ? Non, mais dites donc, espèce de sale type ! Vous vous etes bien regardé ?  

 

La banquière se tut soudain, ayant distinctement perçu le déclic de l’arme de son assaillante.  

 

-Tttt, qu’est ce que j’ai dit ?  

 

-Ok, ok je me calme, promis ! Se radoucit la mégère en se rasseyant dans son siège et en baissant la tête.  

 

-Bien, attache-le solidement à sa chaise avec ça ordonna la jeune femme en lui tendant une paire de menottes. Et serre bien !  

 

Le cœur battant toujours la chamade, Mme Kirari s’exécuta et ravie de ligoter Ryo, serra tout particulièrement jusqu’à meurtrir les poignets de son client avec une joie non dissimulée. Le nettoyeur fit mine de ne rien ressentir mais se promis mentalement de lui rendre au centuple la monnaie de sa pièce dès que l’occasion se présenterait. Une fois que ce fut fait, la braqueuse appliqua un large morceau de scotch noir sur la bouche de Ryo et empoigna sans ménagement le bras de la banquière et la poussa dehors :  

 

-Maintenant, direction la salle des coffres !  

 

-Mais…mais je n’ai pas la combinaison ! Seul notre directeur d’agence Mr X la connaît et …  

 

-Mauvaise réponse ! Tu as intérêt à se rappeler et vite sinon on descend un otage à chaque minute qui passe…tic tac…tic tac…  

 

Mme Kirari devint livide et se remit à trembler. Que faire ? Elle n’avait pas menti et ignorait comme tous les employés cette combinaison. Mais il lui fallait gagner du temps !  

 

-Alors ? La mémoire te revient ?  

 

-Oui…Je crois que je me souviens bégaya la vieille femme le regard fuyant.  

 

-J’espère pour toi.  

 

L’émetteur radio que la braqueuse portait à sa ceinture crachota et celle-ci s’en saisit pour répondre :  

 

-Oui ? Le bâtiment est sous contrôle ? Parfait ! Je me dirige avec une employée vers la salle des coffres. Dis à Noiny de me rejoindre avec le chalumeau.  

 

Puis elle raccrocha, tout se déroulait comme prévu. D’ici quelques heures, si tout se passait bien, elle et sa bande serait en train de bronzer les doigts de pied en éventail sous le soleil du Brésil. Une année à planifier, à échafauder toutes sortes de théories et hypothèses afin que le jour J, tout se déroule sans anicroche, ça n’avait pas été une mince affaire mais l’avantage de la prison c’est que vous avez tout le temps devant vous.  

 

Resté seul dans le bureau de Mme Kirari, Ryo jugea qu’il avait laissé suffisamment d’avance aux braqueurs et qu’il était maintenant temps d’intervenir. Se défaire de ses menottes s’avéra un vrai jeu d’enfants, Kaori ayant parfois la fâcheuse habitude de l’attacher ainsi à un meuble ou encore au rétroviseur de la Mini si elle se trouvait en rupture de corde.  

La paire métallique tomba au sol sans un bruit et après avoir retiré le morceau de scotch avec une grimace, le nettoyeur fit silencieusement le tour du bureau pour décrocher le téléphone. Comme il l’escomptait, la ligne était muette, pas de tonalité. Il avait donc affaire à des professionnels. Enfin, pas si professionnels que ça. Après tout, cette fille n’avait même pas pris la peine de le fouiller.  

Consultant sa montre, il vit qu’il s’était écoulé 5 minutes depuis que les deux femmes avaient franchi la porte du bureau, elles devaient à présent se trouver en salle des coffres.  

D’abord neutraliser ceux de l’agence et ensuite s’occuper de la braqueuse et de la charmante harpie.  

Vu comment elle l’avait traité, Mme Kirari ne représentait pas une priorité à ses yeux.  

 

« Allez mon vieux, c’est le moment de jouer au héros » murmura t-il en dégainant son python de son holster et en poussant précautionneusement la porte afin de s’assurer que la voie était bien libre. Le couloir étant désert, il sortit. 

 


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