Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore/i: Daniela_Kaori

Traduttore/i: Rosi-chan

Beta-reader(s): Kairi, Libellule, Blue

Status: Completa

Serie: City Hunter

Original story:

La notte dell' Alba

 

Total: 23 capitoli

Pubblicato: 26-05-04

Ultimo aggiornamento: 31-03-05

 

Commenti: 111 reviews

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ActionRomance

 

Disclaimer: Les personnages de "La nuit de l'Aube" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. BETA DE CHOC(presque co-traductrice ^_-): Kairi!!!!

 

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   Traduzione :: La nuit de l'Aube

 

Capitolo 22 :: Retour à Tôkyô

Pubblicato: 28-03-05 - Ultimo aggiornamento: 28-03-05

Commenti: Voilà après un mois un nouveau chapitre. On s'approche de la fin. Plus qu'un chapitre et c'est fini. Comme j'avais envie de terminer cette traduction, voilà une autre beta ^^ qui m'a bcp aidé avec cette chapitre. Merci bcp ma Blue. Que dire sur ce chapitre(juste pour laisser mon commentaire à l'auteur). J'aime bien sa douceur, et le dialogue entre Ryo et Kaori est vraiment merveilleux... On voit bien ce qu'il y a entre eux sans pourtant s'eloigner des persos du manga, tomber dans le guimauve ou se lancer dans des declarations enflammées... ça ne colle vraiment pas ni à Ryo ni à Kaori... mais bon je me tais et je vous laisse le plaisir de le lire...

 


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Lorsque Ryô quitta le salon, il n'y avait plus personne dans celui-ci : les hommes impliqués dans le traffic avaient été emportés, déjà bien empaquetés par Umibozu, afin d'être consignés à Saeko ; les autres invités et le personnel de bord, quant à eux, avaient regagné, tout en chancelant, leur chambre. Intrigué par le fait que le yacht n'avait pas encore commencé les manœuvres pour la rentrée au port, Ryô se dirigea vers la cabine de commande où il retrouva Saeko en pleine conversation avec le capitaine.  

 

— Qu'est-ce que tu fais ici ?! — s'exclama-t-il surpris — Tu n'étais pas dans notre chambre ? —  

 

Elle le regarda sérieuse :  

 

— J'ai quitté la chambre il y a quelques minutes, je dois prévenir la préfecture de police de ce qu'il s'est passé et le capitaine a mis à ma disposition la radio de bord. —  

 

— C'est pour ça que nous sommes toujours ici ? Il te faut l'autorisation ? —  

 

— Oui, ce bateau est chargé d'explosifs ; on ne peut pas rentrer à Tôkyô avant d'avoir alerté les autorités. —  

 

Ryô souffla fatigué : ils devaient encore attendre avant de pouvoir rentrer au port ; et qui plus est ils allaient trouver sur les quai les journalistes et les artificiers qui ne manqueraient pas de les ennuyer.  

 

— Où est Kaori ? — demanda-t-il ensuite, en changeant de sujet — Dans sa chambre ? —  

 

Saeko le regarda malicieusement :  

 

— Je suis désolée pour toi, mais elle n'est plus dans sa chambre — dit elle — Elle m'a dit qu'elle allait dans le salon... —  

 

Ryô lui lança un coup d'œil mauvais tout en marmonnant quelque chose comme réplique à ces insinuations, et il sortit de la pièce en la prévenant que Umibozu la cherchait pour une livraison urgente (les mechants empaquetés quoi ^_^).  

 

Contrairement à ce qu'il pensait, Ryô trouva le salon aussi désert qu'il l’avait laissé peu de temps auparavant.  

 

" Va savoir où elle s'est fourrée ! " pensa-t-il contrarié et il fit mine de partir ; mais en lançant distraitement un coup d'œil à l’extérieur d'un hublot, il aperçut une silhouette à peine éclairée par la lumière du soleil qui était sur le point de se lever : Kaori était sur l'appontement. Il traversa en un instant la grande salle et sortit : la jeune femme, allongée sur une grande chaise longue, était enroulée dans une petite couverture et lui tournait presque entierement le dos.  

 

Il s'approcha sur la pointe des pieds craignant de la réveiller, mais dès qu'il fut assez près il s'aperçut qu'elle l'était déjà et qu'elle regardait d'un air affligé l'eau moutonnée par le vent du matin.  

 

— Je croyais que tu dormais ! — s'exclama Ryô surpris.  

 

Kaori leva le regard et lui esquissa un sourire, puis poussa un long et douloureux soupir :  

 

— Je crois que je ne réussirai plus à le faire... — murmura-t-elle tristement en laissant Ryô perplexe.  

 

— De quoi tu parles ? — répliqua-t-il en se penchant pour mieux la regarder.  

 

Kaori soupira de nouveau :  

 

— Dormir... je crois que je ne réussirai plus à dormir... — et ses yeux se remplirent de tristesse.  

 

A ces propos Ryô changea d'expression et sourit amusé :  

 

— Pourquoi en es tu autant convaincue ? — demanda-t-il encore, feignant un peu de sérieux pour ne pas blesser son amour propre.  

 

Elle le regarda éplorée :  

 

— Je suis si terriblement fatiguée... — s'exclama-t-elle — si lessivée ! Mais je n'arrive pas à fermer un œil ; j'en ai tellement besoin mais je n'y arrive pas. Je ne pourrai jamais plus dormir... — et son visage se fit plus sombre — Ryô, je... je crois que je vais mourir — s'exclama-t-elle finalement d'un ton grave.  

 

Ryô eut un mal fou pour ne pas lui pouffer de rire au nez et, en pensant pour lui qu'elle était déjà endormie, il lui demanda doucement de lui faire une petite place sur la chaise longue.  

 

Kaori se blottit dans un petit coin et Ryô s'assit auprès d'elle en allongeant ses jambes près des siennes et en lui passant nonchalamment un bras derrière ses épaules.  

 

— Oui Kaori — murmura-t-il ensuite en reprennant son affirmation — Malheureusement moi aussi je crois que tu vas mourir ; eh, qu'est-ce que tu peux y faire, c'est une loi de la nature... ça arrive à tout le monde tôt ou tard. —  

 

— Ne te moque pas de moi ! — murmura-t-elle contrariée — Je suis sérieuse ! —  

 

Ryô lui sourit et se moqua affectueusement :  

 

— C'est bien parce que tu es très fatiguée que tu n'arrives pas à trouver le sommeil — lui dit il — Mais tu ne dois pas t'inquieter : tu verras que dans quelques minutes tu vas t'endormir..... et je devrai même te porter à la maison dans mes bras ; quelle vie ! —  

 

Kaori s'approcha de Ryô en faisant de son bras un confortable oreiller et entrouvit les yeux tandis qu'il regardait la mer devant lui et le ciel qui s'éclairait visiblement.  

 

— Le soleil est en train de se lever... — murmura-t-il.  

 

Kaori réouvrit les yeux et sourit :  

 

— Je croyais que je ne l'aurais plus revu. Tu sais quoi ? J'ai du mal à croire que nous sommes saufs... vraiment... —  

 

— Ben, c'est normal ça ; après tout, nous nous sommes sauvés ‘in extremis’... et toi, tu croyais déjà que tu allais à mourir. — répondit il.  

 

— Pourquoi, toi pas ? — répliqua-t-elle ironiquement.  

 

Ryô toussota embarrassé.  

 

— Non, je savais que tu allais réussir. — risqua-t-il.  

 

— Menteur, ce n'est pas vrai du tout ! Je l'ai vu, tu sais, combien tu étais effrayé... —  

 

Il resta en silence se masquant derrière un sourire, puis il reprit :  

 

— ... Je ne t'avais jamais vue si déterminée... —  

 

Kaori attira ses jambes vers elle et s'installa mieux près de lui :  

 

— Je sais. C'est que je... je ne voulais pas que tu meures ; j'étais l'unique possibilité pour vous. Et puis je continuais à penser à Miki, toute seule, au Cat's Eye... —  

 

— A Miki ? —  

 

— Oui........ Si Umi mourait comme ça, loin d'elle.... je ne voulais pas que ça arrive. Et... je ne voulais pas que ça nous arrive, à nous. —  

 

Ryô la serra fort contre lui et resta en silence. Puis le soleil surgit de la mer et éclaira leurs visages en laissant entrevoir à Ryô l'expression sérieuse de Kaori.  

 

— Cette pensée te tracasse tant que ça ? — lui demanda-t-il doucement.  

 

Elle acquiesça.  

 

— Sotte... cela n'arrivera jamais : nous deux nous sommes invincibles ! — et comme pour souligner ce qu'il venait de dire il lui sourit d'un air crâneur.  

 

Même si elle savait que Ryô n'était pas capable de contrôler les évènements et qu'il ne pouvait pas savoir ce qui les attendait dans le futur, Kaori se laissa contaminer par son assurance et décida de le croire. Puis, rassénérée, elle sentit son corps s'engourdir et une force invincible la força à fermer les yeux en la faisant tomber de sommeil.  

 

Lorsque le bateau accosta, Ryô prit Kaori dans ses bras, descendit à terre et s'esquiva avant que les journalistes ne puissent s'interresser à lui. Umibozu s’occupa de leurs bagages, et, décidé à éviter la cohue, sortit par une porte de service que Ryô n'avait même pas remarquée.  

 

 

 

 

A suivre CHAPITRE 23- Conclusion  

 

 


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